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copine coquine

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/03/2024

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Ceci est l’histoire de nos amis, ceux de « notre location de vacances » et « courrier pas si anonyme », 15 ans plus tard, ce n’est pas une suite, mais une autre histoire, lui, marre d’un boulot qui se dégradait d’année en année, elle, marre de ne travailler que 3 mois par an en intérim, je leur trouve un travail par chez nous, ils quittent sans regret leur petit T 3 de 40 m² sans confort.

À notre première rencontre, sur une plage, nous avons sympathisé et sommes restés ensembles toutes les vacances, c’est tellement rare que les hommes s’entendent et surtout nous les femmes, aucune jalousie, et pourtant, son mari me matait dur, ce sont devenus des amis VIP.

Nous les hébergeons provisoirement dans une dépendance qu’on avait aménagée, un T 3 de 75 m² tout équipé, nombre d’amis ont habités là, le temps de trouver quelque chose, ou pour les vacances, et aussi pour servir de garçonnière à mon mari ou moi.

Cette copine se négligeait avant 1999, elle se trouvait moche, malgré son petit 95 D de poitrine, elle s’habillait avec des tenues repousse mec, avait des chevilles manquant de finesse, des jambes poteaux et 5 kg de trop, depuis notre histoire « courrier pas si anonyme », j’avais réussi à lui redonner espoir d’amélioration en s’habillant mieux et s’entretenir plus, cela avait fonctionné, mais pas suffisamment.

Cette copine, c’est celle aussi dont je parle dans "ça a commencé au ciné 3", au 3eme paragraphe, celle ayant appréciée, mais sans plus.

Ensuite, il y a eu son histoire, « notre location de vacances », et cela l’a boosté un peu plus à ce moment-là et aussi pour la suite ou elle a eu d’autres mini aventures, depuis qu’elle travaille à temps plein maintenant, elle bouge beaucoup, on se retourne sur elle, tout en étant consciente de son pouvoir de séduction.

Avant eux, on avait hébergé provisoirement un ami que je vais nommer Susan, et on avait fini par lui trouver une maison, avec beaucoup de travaux, mais avec un loyer dérisoire sous condition, qu’il s’occupe de la propriétaire âgée, faire ses courses et regarder le matin si ses volets sont ouverts et le soir s’ils sont fermés, signe de vie.

Les travaux engendrés étaient déduits des loyers à venir, ce qui fait qu’il n’a jamais payé de loyer, uniquement me rembourser les matériaux tous les mois, 2 ans après, la vielle dame décède et connaissant les héritiers, avec qui j’avais négocié la surveillance de leur mère, je propose à mes amis d’acheter.

N’ayant pas les moyens, je leur prête, après m’avoir dit que l’endroit leur plaisait et que s’ils avaient les moyens, ils signent de suite, la chose est entendue sous conditions aussi, qu’il garde notre ami Susan, ce qui ne leur posait pas de problème, un deal avec les héritiers est trouvé pour commencer les travaux dès le compromis signé, les 2 longères font 120 et 140 m² plus une grange.

Comme on en parlait déjà dans mes premières histoires, « vengeance heureuse d’un cocu », les nombreux copains sont venus mettre la main à la pâte, sous les directives des copains artisans du métier.

C’est en apprenant mon aventure « jeune coquin », que la copine se lance et ose à son tour, de me raconter ce qui suit, ne se sentant plus seule, même si je savais qu’elle se tapait ce jeune, je ne savais pas tout et jusqu’ou son déroulement.

Comme à chaque fois dans mes histoires, j’écrierais ce qui suis ci après en son nom.

Avec mon mari, on avait signé le compromis de vente, et on commençait déjà à faire les travaux et à débarrasser, il y avait du fouillis en tout genre, le feu pour se débarrasser de ce qui brûlait et la décharge pour le peu de ce qui ne se brûlait pas, il y avait 2 greniers et une grange avec plancher, mon mari avait un jeune collègue de 19 ans, nouveau dans la région, il ne connaissait personne dans le coin et était hébergé provisoirement chez Susan.

Celui-ci se propose pour nous aider, mon mari et des copains s’attaquent aux travaux de la maison, le jeune et moi on débarrasse les greniers, on jette tout par un chien assis ou une grande remorque agricole se trouve en dessous, sous les tuiles, il fait chaud, je suis en jeans avec un vieux pull, le 2eme jour, je m’aperçois que le jeune n’a pas les yeux dans sa poche, le soir j’en parle à mon mari qui me dit, « je sais, avant qu’il sache que tu étais ma femme, il m’a parlé de toi, de tes roberts (seins) ».

Je lui dis, « tu aurais pu me le dire, je fais quoi maintenant », il me dit, laisse le mater, c’est de son âge, le samedi suivant, le matin, avec ce jeune, nous retournons au grenier ou je le laisse mater, quand je dis, « je le laisse », ça signifie que je ne le regarde pas afin de le laisser mater tranquillement ma poitrine.

Il y a des clous dans les poutres, et je dois les retirer, ceux que je peux, le jeune me tient l’escabeau et parfois, c’est moi qui lui tiens pour qu’il retire ceux trop durs, le dimanche, on remonte là-haut et le matin, je me mets en short et tee-shirt comme la veille au soir, mon mari m’avait dit de le faire.

La veille, butant sur un bout de bois, je m’étais retenue au jeune et lui-même par 2 fois, avait failli tomber, cela ne m’avais pas interpellé, mais ce dimanche matin, sa maladresse m’a fait réfléchir, lorsqu’il se retient à moi, j’ai l’impression qu’il me touche, furtivement, mais il se rattrape toujours sur mes hanches et fesses.

Le contact ne m’est pas indifférent, sur l’escabeau, lorsqu’il le tient, il mate mes cuisses et quand je retire un clou, les bras en l’air, le tee-shirt me découvre le ventre et par en dessous, on voit mes seins dans le soutif, quand je suis bras en l’air, il est devant moi et il revient derrière lorsque je descends, d’ailleurs lorsque je suis en bas de l’escabeau, il me gène pour passer et je sens ses mains.

On travaille, mais on prend aussi le temps de s’amuser, on ne pouvait pas faire de barboc là où on habitait avant, maintenant qu’on peut, mon mari qui adore ça, récupère toutes ces années, quand tout est prêt, il appelle tout le monde et on passe à table avec un seul apéro.

Nous sommes une quinzaine au début, sur des bancs, les tables sont des planches sur des tréteaux, le jeune à côté de moi comme par hasard, mes jambes sont droites, les siennes sont droites pour sa jambe droite et écarté vers moi pour celle de gauche, par moment, nous nous faisons furtivement du genou, cela me fait frissonner, le sait-il, ou ne s’en rend-il pas compte.

Après le repas, nous retournons là-haut, la remorque est emmenée pour brûler dans un endroit plus grand, ce qui fait que pendant ce temps, nous approchons prés de l’ouverture le fouillis à brûler, on se félicite de ce qu’on a vidé au 3/4, et on retire encore des clous des poutres, il devrait me dire de laisser, qu’il va le faire, mais je devine pourquoi il ne le fait pas, il mate mes cuisses et mes seins quand la situation le permet.

Quand c’est lui qui monte et que je lui tiens l’escabeau, nul doute qu’il m’a maté, la protubérance au niveau du short ne laisse planer aucun doute, il défait les gros clous restant et sur la dernière marche, le plateau, il se tourne pour parler des autres clous sur la charpente d’a coté, ce qui fait que j’ai directement la bosse du short devant moi.

Forcement, je regarde en vitesse, et il a dû le voir, car il ne cherche pas à s’en cacher, je lui dis, « on verra l’autre poutre après, va y, descends », il descend à l’envers et arrivé à la dernière marche, je vais pour me reculer pour qu’il puisse descendre, mais il loupe cette marche et se rattrape à moi, par réflexe, je le rattrape aussi et il se retrouve la tête sur mes seins.

Ben alors dis je, on ne tient pas debout, sa chaussure à raccrochée dit-il, qui va croire ça, mais au moins, il a de la repartie, on continue le peu qui reste et on entend le tracteur, la remorque est à nouveau dessous, on jette ce qu’on avait préparé et on fini ce qui restait, nous sommes arrivés a l’autre ouverture, ou une autre grande remorque tractée par une voiture se trouve dessous pour emmener à la décharge.

Cette remorque à le plancher beaucoup moins haut et le vide est plus grand, je me penche pour voir la vue que l’autre ouverture ne permettait pas et il me tient par les hanches, je sursaute en disant, « tu m’as fait peur, je croyais que tu me poussais », ha non, jamais de la vie, je vous tiens pour ne pas que vous tombiez, vous avez vu tout à l’heure, j’ai failli tomber et si vous ne m’aviez pas retenu, j’embrassais la tommette.

Je ne réponds pas et regarde la vue au loin, je retourne à l’intérieur en disant aller, on vire ferraille et plastic maintenant, une fois fait, c’est au tour des clous et je commence ceux que je peux, attendez, ne bougez pas, il attrape un chiffon qu’on avait monté pour s’essuyer et m’essuie derrière la cuisse, tenant le devant de mon genou et frottant l’arrière de ma cuisse.

Laisse, ça partira à la douche dis-je, il répond que ça ne fait pas beau, des belles cuisses comme ça, je fais, voilà autre chose, sais-tu que mon fils pourrait être ton père, donc je pourrais être ta grand-mère, il dit, « j’aimerais bien avoir une grand-mère aussi …. », aussi quoi dis-je, il répond, « ben aussi enfin .., aussi belle », il n’a pas osé dire le mot exact, qui serait plus du genre bien foutue, bien golée, ou aussi bandante.

Je redescends après avoir fait les derniers clous, il me reçoit en bas en me frottant les hanches, il monte et une fois les clous restant retirer, il descend à nouveau, j’ironise en disant de faire attention et il recommence, mais cette fois, il dit, « non, je l’ai fait exprès là, suis taquin », on descend boire un coup, en demandant aux hommes, qu’on mette la remorque de l’autre côté, au-dessus de Susan.

Nous commençons à vider le 2 ème grenier et nous nous bousculons souvent, bousculade pour me tripoter, l’heure ayant tournée, on nous dit de redescendre pour partir, comme le jeune est hébergé chez Susan, je rentre avec mon mari.

La semaine, on bosse et le samedi suivant, on vide ce 2 ème grenier qu’on avait commencé, mon mari ma trouvé un tee-shirt plus ample qu’il a pris au mari d’Annie qui est beaucoup plus baraké que le mien, dans ce nouveau tee-shirt, même le jeune rentrerait avec moi dedans, mes seins qu’il voyait par en dessous avant, maintenant, il les voit par au-dessus.

Quand il est face à moi ou sur l’escabeau, il a la vue plongeante et il ne s’en prive pas, ce jeunot n’a pas beaucoup de poil, je touche en pinçant son mollet en disant, mais tu n’as pas de poils aux pattes, regarde moi ces mollets de coq, c’est du muscle dit-il sans se pousser, je tripote plus en disant, ou ça du muscle, si je te pince le nez, y aura du lait qui sortira.

Il descend, m’attrape une hanche pour m’approcher et plie son coude pour montrer son muscle, je rigole en disant que c’est de la guimauve, on entend un copain monter à l’échelle, à savoir que ce copain me donnait l’impression d’avoir des vues sur moi et je pensais qu’il était monté pour me voir, ce qui s’est révélé juste.

Le jeunot va d’un côté, moi de l’autre, le copain dit en plaisantant, ça a l’air de s’amuser plus que ça bosse ici, je dis, oui, le gamin vient de trébucher et est tombé sur le tas de vieux sac, le copain dit, avec le Bazar qu’il y a, y a intérêt à voir où on met les pieds.

Pendant que le copain redescend, on se regarde en rigolant sans bruit, on reprend nos jets de fouillis, on prend à 2, on jette et lorsqu’on retourne chercher autre chose à jeter, il me pince la hanche en disant, quel gamin, ou ça le gamin, je me tourne la hanche pour qu’il lâche en rigolant sans bruit, je monte à l’escabeau et là il fait, mais c’est quoi ces mollets de cocotte.

Tu veux un coup d’arrache-clous dis-je, vous ne feriez pas ça à un gamin dit-il en continuant, il continue et montant plus haut, disant, et ces cuisses de grenouille là hein, je me venge de tout à l’heure, tu vas me faire tomber lui dis-je sans bouger, il continue et je finis les clous qui viennent sans forcer, arrête, dis-je à nouveau en descendant, il m’attrape les hanches jusqu'à ce que je sois les pieds au sol.

Il monte à son tour, je lui pince les jambes et cuisses aussi, faisant celle qui lui fait pareil, pour lui apprendre, sauf qu’il continue de retirer les clous, je fais, mais il se laisse faire le vilain, t’as pas honte, non mamy répond-il, je lui claque l’arrière de la cuisse en disant que je vais lui en foutre des mamys.

Ha, voyez que vous n’avez rien d’une mamy dit-il, après la claque, je lui tenais les jambes pour ne pas que la surprise de cette claque le déséquilibre et le fasse tomber, je me surprends à apprécier ce contact de mes mains sur ses jambes, je les retire aussitôt en lui disant de descendre lorsqu’il finit d’arracher le dernier clou restant.

On continue le ménage par le vide et en jetant une chaise pourrie, ma manche gauche à l’arrière se prend dans une espèce de piton rond porte serviette vissée dans le bois, me tourner tend le tissu, le jeune comprenant vient voir et me dit de ne pas bouger.

Mettez vos bras le long du corps dit-il, il passe sa main à la hauteur de mes épaules et me fait coller sur le bois ou est ce piton, bien évidemment mes seins dépassent et son bras me les touche, ce qui fait que mes tétons, qui sont plats en temps ordinaire, pointent par ce contact, une fois le tissu détendu, il arrive à me décrocher sans dommage.

Même si je regarde ailleurs en faisant celle qui n’a rien ressenti, même si mon soutif atténue, mes tétons durcissent, le tee-shirt laisse entrevoir un petit bombé qui n’y était pas avant, qu’est ce qu’on dit à son sauveur dit-il, je réponds qu’il ne mérite pas la croix de guerre non plus, un petit bisou au moins à celui qui a risqué sa vie pour vous.

Je retourne chercher des vieilleries en disant, « et puis quoi encore », il se précipite derrière moi en disant, « alors je me sers », en même temps qu’il met sa main sur ma fesse gauche, l’autre qui m’attrape l’épaule droite, il m’embrasse sur le cou au niveau de l’épaule.

Mais il n’est pas bien celui-là dis-je en me retournant pour l’attraper, plus rapide il se sauve, je le course sur 5 mètres, mais il monte sur un tas de je ne sais quoi, si je l’attrape, je lui mets une fessée dis-je en attrapant une planche à jeter, aller au boulot, je jette la planche et il en jette une autre.

Profitant qu’il est dans la partie restreinte du chien assis, à peine a-t-il lancé sa planche que je l’attrape par la ceinture du short à l’arrière et par le haut du teeshirt, « alors on fait moins le malin là, hein, je n’ai pas besoin de courir », disant cela, je vois l’ombre d’un copain monté par l’échelle a l’autre ouverture, je lâche le jeune, le copain, toujours le même qui aimerait que je sois seule, nous dit de venir à table en regardant la place faite par le vide.

Après avoir discuté un peu, il redescend, le jeune attend pour descendre aussi, hors de vue, je l’attrape comme avant, en chuchotant, hein si je te l’arrachais maintenant le short, tu ferais moins le malin, je vais t’en foutre des bisous dans le cou, aller, et laisse moi passer la première, la galanterie, tu connais.

Il me laisse passer en disant « madame », je passe et il me tape la fesse, je lève mon bras, je continu à me positionner à l’échelle, je descends 3 ou 4 échelons et il m’attrape le tee-shirt au col et me dit, descendez, hein, qui c’est que ne fait plus la maligne là, tu vas l’avoir la fessée lui dis-je à voix basse.

Arrivé en bas, j’incline l’échelle pour ne pas qu’il l’attrape, il court à l’autre ouverture et saute sur les vieilleries puis descend ensuite, les copains amusés et rigolant disent, « il t’a baisé le jeunot », je réponds que je l’aurais sans courir.

À table, on prend tous la même place qu’à chaque fois, pour faire du genre, une fois assis, je lui serre le cou de mes 2 mains en disant que je l’avais dit que je l’aurais sans courir, je serre très modérément mais il fait celui qui ne peut plus respirer en profitant de serrer sa jambe gauche contre la mienne.

Je le lâche en disant, tu as de la chance qu’il y a encore du débarras à faire, mon mari qui sait tout de ce qui se passe, sauf de l’évolution qu’il y a eu ce matin dit, « va y doucement avec le personnel, on en a besoin ici et j’ai besoin de lui aussi en semaine ».

Je lui lâche le cou, mais lui ne me lâche pas la jambe qu’il presse avec la sienne, l’apéro pour les hommes, jus de fruit pour le jeune et moi, quand arrive merguez et côte de bœuf, servit par les hommes en leur faisant remarquer que c’est bien de se faire servir, notre tablée est servit, quand je sens la main du jeune me frôler la cuisse, en faisant celui qui rattrape sa serviette sur ses genoux.

Le copain à ma gauche, moins virulent, me faisait déjà du genou les week-ends derniers, mais cela restait plus que discret, ce copain célibataire, très serviable et très vicieux aussi, du genre à se taper 7 km en voiture et 2 km à pied, à travers bois et champs pour mater Annie dans sa salle de bain.

Ce copain fait contact, mais c’est tout, le jeune m’attrape furtivement la cuisse en récupérant sa serviette qu’il a malhabilement fait tomber sur ses genoux, cela à l’en croire, mais je ne suis pas dupe, étant la seule femme à table, je suis sollicité aux discussions.

Les copains faisant le service, en profitent pour mater dans mon ample tee-shirt en passant derrière moi, seul moment ou le jeune s’abstient, mais dès que tout le monde est à table, il recommence, je discute avec celui en face et à gauche et le jeune en profite pour caresser ma cuisse du dos de sa main, une fourchette dans une main et mon couteau dans l’autre, je ne peux rien faire qui ne se verrait.

Lorsque je ne suis plus sollicité, je dis au jeune que cet après-midi, en plus des vieilleries, je risque aussi de le balancer dans la benne, il me répond qu’il m’aidera, il m’a bien frôlé une quinzaine de fois à table, le repas fini on remonte la haut, je le regarde en lui disant, « qu’est ce qui me retient de ne pas te jeter dans la benne ».

Ne se démontant pas, il répond, « le plaisir de frissonner, si je ne le faisais pas, vous seriez vexée et déçue », tu ne doutes de rien toi dis-je, on continue à bosser et miracle, plus de frôlement, plus de touché, une bonne heure passe, et c’est vrai que même si je ne me sens pas vexée, je suis un peu déçue, je monte retirer les clous et rien, je lui laisse ceux difficiles.

Il monte à son tour, et je lui dis qu’il est devenu sérieux, vous avez vu dit-il, sérieux mon œil, tu n’as pas arrêté de m’embêter à table, disant cela, je lui caresse l’entrecuisse mais juste au dessus des genoux, vous être en train de me harceler dit-il, je réponds que je me venge, vous me harcelez quand même redit-il, je suis sur le coté et mes caresses ne font pas que du harcèlement, j’allais lui dire qu’il bande mais il me dit à voix basse, « voila quelqu’un ».

C’est toujours le même, qui vient pour me mater, mes mains avaient lâché ses cuisses et attraper l’alu de l’escabeau, pas trop dur les clous dans le chêne demande t’il au jeune, ça va qu’il répond, le copain va voir la benne, je le suis, le jeune me suit, le copain se penche sur la gauche en disant, ça ne parait pas, mais il y en avait un paquet aussi.

Je réponds qu’il y a au moins 50 ans de stockage pour ne pas jeter, le copain est plus au bord, moi un peu plus en retrait et le jeune se mettant à côté de moi, à droite, il met sa main sur ma fesse qu’il caresse pendant une dizaine de secondes et où je le laisse faire.

Interrompu par un copain en bas, qui demande s’il reste beaucoup d’ordure à cramer, expliquant que le mari d’Annie voudrait foutre le feu, le copain mateur dit, je reste la haut pour les aider, dans moins d’une heure, c’est fini, et tous les 3, on se met au boulot, par moment le jeune et moi, nous croisons nos regards ayant l’air de dire, quel emmerdeur, je fais celle qui rigole de la situation, mais je n’en pense pas moins.

Une bonne demi-heure après, tout ce qui peut brûler est dans la benne, le copain descend et il emmène la benne archipleine pour la vider, nous ont fini le reste mis à part, qui ira en décharge, le jeune dit, « on est tranquille une petite heure », je ne réponds pas et en passant près de lui, il me saisit les hanches et m’embrasse encore dans le cou.

Arrête un peu dis-je en le repoussant, il me lâche, on jette dans la remorque dessous et suivant notre position, il recommence, il attrape mes hanches à pleines mains et m’embrasse dans le cou, je le repousse encore mais sans m’énerver, il recommence et à la 4eme tentative, je lui dis, « tu n'en as pas marre », ce que je ne lui dis pas, c’est que je commence à apprécier ses mains sur moi et ses lèvres sur mon cou.

Une fois les dernières vieilleries jetées, on fini l’arrachage des clous sur les poutres, qu’on n’avait pas fait avec le copain pour finir de remplir la remorque, je monte faire les faciles, me poussant aux hanches, arrivée en haut, il me tient les jambes, ha la la, vivement que ça se termine lui dis-je.

Il me répond que je dois aimer comme je le laisse faire, je réponds que c’est parce que j’en ai assez de lui répéter, vous avez raison me dit-il en passant des jambes aux genoux, je descends ensuite en étant tenue plus qu’il ne faut, grimpe maintenant, il y a un clou que je n’arrive pas, une fois monté, je lui caresse les jambes en disant, regarde comme c’est chiant quand quelqu’un t’embête quand tu fais quelque chose, vous ne m’embêtez jamais répond t’il.

Le tracteur revient et je vais dire au copain que tout est dans l’autre remorque, évitant qu’il monte pour ce prétexte, on fini les 2 poutres restantes où on se tripote les jambes, le soir, nous ne sommes plus que 4, on dîne à l’intérieur, chez Susan avec le jeune, mon mari s’arrange pour le laisser à côté de moi.

Nos jambes se touchent sans que je ne le repousse, il ne me touche pas, car mon mari est juste en face, tous les 4, nous sommes comme une famille, le jeune nous a prêté sa prime de licenciement qu’il avait eu et mis de côté, Susan nous a prêté l’argent qu’il avait de coté aussi, ce qui fait qu’on avait emprunté très peu à la banque, et pour eux, remboursable en petit loyer.

On ne voulait pas déranger, mais Susan nous dit que nous sommes les proprios quand même, ce qui est vrai, mais nous ne réalisons pas encore, Susan va prendre sa douche, mon mari prétexte d’aller prendre l’air et revoir le chantier.

Quand par la fenêtre, on voit mon mari rentrer en face, le jeune me met sa main sur ma cuisse, je lui dis d’arrêter, mais sans le repousser, nous regardons mon mari, ou plutôt nous faisons attention à ce qu’il ne revienne pas à l’improviste, il lâche ma cuisse et passe sa main derrière sur ma fesse, puis son autre main sur ma cuisse, on écoute la salle de bain.

Il me demande le programme pour demain, je lui dis, coup de balai et ensuite, on fera au-dessus de la grange, les hommes feront le bas, car je ne pourrais pas soulever pour jeter, il me chuchote, « demain en short aussi et le même tee-shirt », je réponds que je mettrais ce que je veux, je vous laisserais me caresser les jambes dit-il, je m’en fous dis-je et il répond, « non ça vous émoustille ».

Fin de la discussion, car Susan arrive, nous partons et le lendemain, j’avais un short propre et le même tee-shirt sale, mais pour ce qu’on fait, pendant 90 mn, rien ne s’est passé, masqués, nous avons balayés les 2 greniers, avec une de ces poussières, vers 11 heures, on attaque la plateforme au-dessus de la grange, plein de bout de bois bouffé aux vers.

Sur cette plateforme, sur le devant, on est visible du bas, mais de la moitié jusqu'à l’arrière, personne ne peut nous voir, on y accède par un escalier de meunier, la grande remorque est mise dessous et nous vidons ce qui est le plus prés du vide, les murs sont tous pictés et pour enduire, un compresseur diesel et une bétonnière essence tourne dans la cour.

Ce qui est au bord, on lève et on jette, le travail se fait rapidement, nous sommes déjà au milieu, de là on ne voit plus les 2 copains qui préparent l’enduit dans la bétonnière, ce qui signifie qu’eux non plus ne nous voit pas, même si j’étais déçue de ne plus être tripotée, je le comprenais parfaitement.

Mais vers le milieu de la grange, je ramasse ce qui ressemble à une chute de lino, sans prévenir, il arrive derrière moi, m’attrape par les hanches en collant son sexe sur mes fesses, je me redresse et avant de pouvoir me retourner, sa main gauche passe par-dessus mon épaule et sa main gauche bloque mon bras, il me fait un baiser dans le cou.

Contrairement aux autres fois, il me garde dans ses bras et m’en refait d’autres, je fais juste, « ha toi alors, arrêtes un peu, il y a du monde dehors », il répond entrecoupé de baisers, « vous n’attendez que ça, ils ne nous voient pas de là où on est, faut en profiter, vous avez gardé le même tee-shirt et short malgré le temps maussade, je ne suis pas le seul à aimer, ceux qui passent derrière toi à table, ils se rincent l’œil aussi ».

N’importe quoi dis-je, j’ai toujours mes baisers et je réponds sans bouger, je sens bien son sexe sur mes fesses, peut être ne sait il pas que je le sens, alors je ne dis rien, il dit, « celui qui nous a dérangé les autres fois, je suis sûr qu’il vient exprès », je réponds, « le pauvre, si c’est pour ça, il perd son temps alors, aller, lâche moi ».

Il me répond « à une condition », laquelle dis-je en me tortillant juste ce qu’il faut pour faire bien et pas trop pour pas qu’il arrête, il répond, tirez sur le tee-shirt que je me rince l’œil, je lui dis qu’il est fou et puis quoi encore, aller on a du boulot ça va paraître louche s’ils n’entendent rien tomber dans la remorque, il redemande plusieurs fois, je refuse plusieurs fois et il dit, aller on balance quelques bazars et tu me montres.

Il me lâche et on lance dans la benne pendant ¼ d’heure, dégageant tout le milieu pour bien placer l’escabeau, je monte pour défaire les quelques clous sur la charpente, d’où je suis-je vois les copains en bas, sans dire un mot, ses mains parcours mes jambes, passent mes genoux et montent sur mes cuisses, tes fou dis-je en tentant de les repousser, il me répond que personne ne nous voit.

Il me lâche et dit qu’il monte pour voir, il a la tête à la hauteur de mes fesses et il me dit qu’il ne les voit pas, donc eux non plus, attendez dit-il, descendez, je descends, il change l’escabeau de place et de sens et me dit de remontez, tout en me poussant aux fesses, dès que vous voyez leur tête, vous restez sur la marche, en lui demandant de retirer ses mains, je lui indique voir leur tête.

Bien dit-il, continuez de les regarder sans qu’ils ne vous voient, comme ça, vous pouvez les surveiller en douce, avant que je demande le but, ses mains sont sur mes cuisses, je me tortille et il me dit, ne bougez pas, ils vont se demander ce qui se passe, je regarde les copains afin de ne pas être surprise.

Je vois que la bétonnière ne tourne plus, je le lui dis, ils ne font plus d’enduit dit-il, qu’ils finissent ce qui est déjà mélangé et qu’on va passer à table, on descend et les copains disent qu’on mange chez Susan, celui-ci arrive avec des pizzas et nous dit de venir l’aider à préparer la table, on rajoute une table de 6 comme on est 10 maintenant.

à suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : copine coquine

Le 12/04/2024 - 16:56 par vieuxmec
Bonjour Annie, Quelle bonne surprise après une si longue absence.Toujours intenses vos aventures, c'est un plaisir de vous lire. Vous me rappeler une amie d'il y a plusieurs années.... ça revigore . A vous lire. Dominique

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