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Cours de piano et de sexe

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Lue : 56073 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 10/08/2010

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Je m’appelle Emily, j’ai 28 ans, et j’enseigne le piano à domicile. Ce qu’il m’est arrivé cette semaine ne peut pas rester dans ma tête indéfiniment, malgré le fait que j’en ai quelque peu honte… c’est pour quoi j’aimerais vous raconter cette incroyable histoire.

C’était un mardi matin, je reçois un appel sur mon portable pour d’éventuelle cours de piano. La personne concernée est une jeune fille de 18 ans tout juste. Lorsque j’ai décroché, sa voix grave et chaleureuse m’a marquée, elle s’est présentée, et nous nous somme fixé une date pour un premier cours.

Je la voyais donc le mardi qui suivait, à 17h30, chez elle. Arrivée là bas, je frappe et me fait accueillir par sa mère, une belle femme, classe, élégante et souriante. Je me présente, elle fait de même et me conduit à sa fille, qui jouait déjà sa musique, m’accueillant à sa façon.

A ma vue, elle se leva immédiatement et un sourire surdimensionné s’installa sur son joli visage. Ma première impression fut « woua », quelle fille simple, classe. Elle était grande, environ 1m80, elle me dépassait de 3,4 centimètres. Mince, belle, originale et souriante ; j’ai d’abord pensé « ah, cela me changera des petits à qui j’ai l’habitude de faire cours », car il est vrai que la plupart de mes élèves sont des enfants. Ce qui ma le plus interpellé chez cette jeune fille, était ses cheveux ; rasés ! Elle devait avoir 1cm sur le crâne, et c’était… magnifique ! Ca lui allait tellement bien, avec son visage rond et joyeux. Moi qui ai l’habitude des ados aux chevelures toutes plus extravagantes les unes que les autres, cheveux longs et soyeux, j’étais surprise, agréablement surprise.

Tout de suite, après ces quelques secondes de découverte, je me suis sentie admirative. Oui, cette jeune fille, cette simple ado, là, debout derrière son piano m’a envoûtée de son aura incroyable. Elle tendit sa main, je la serrais avec énergie. Elle n’avait pas encore dit un mot, et ça me rendait mille fois plus curieuse. Une fois les présentations finies et les deux ou trois consignes mises au point, sa mère partit travailler, nous laissant seules pour la leçon de piano.

Toute émoustillée et ravie de me trouver à cet endroit à ce moment, je commençais une discussion pour connaître un peu le niveau de mon élève. Elle semblait modeste et timide, mais toujours incroyablement souriante et agréable. Je lui dis donc de me montrer comment elle se débrouillait, ce qu’elle fit sans se faire prier. Ses grandes mains que j’imaginais fortes et légères à la fois se posèrent sur les touches, et c’est à cet instant qu’elle m’emporta dans son monde. Elle jouait divinement bien, et tout son corps dansait, envoûté par les vibrations des cordes. Je la regardais. Ses yeux étaient fermés, elle jouait un morceau de Chopin, c’était magnifique. J’étais prise aux tripes, je ne pouvais détacher mes yeux de ce corps fin et sensuel. Une fois terminé, je la félicite, et lui demande avec humour pourquoi elle avait besoin de cours de piano ! Mais elle m’expliqua les quelques raisons avec modestie.

L’heure était finie, et je serais bien resté encore tant je me sentais bien assise là, à coté de mon élève, de son piano et de sa maîtrise. Elle me raccompagna à la porte d’entrée et me remercie d’être venue. Elle me tendit sa main, je lui fis la bise en souriant. Nous avions prévu le même rendez vous la semaine prochaine. Sur le chemin du retour, je pensais à cette heure. Je me sentais étrange. J’admirais cette jeune fille, et j’aurais aimé passer plus de temps à partager sa musique. Arrivée à la maison, j’embrassais mon mari.

La semaine qui suit, je lui dis de me tutoyer, elle n’eut pas trop de mal et très vite l’ambiance était plus détendue que l’on aurait pu l’imaginer. Nous étions proches et elle me faisait beaucoup rire. Elle jouait divinement bien et nous exécutions de magnifiques 4 mains, emportées par notre amour pour la musique.

C’est au bout de quelques semaines que je compris que j’étais attirée par cette fille... Jusqu’à là, ça ne m’était jamais arrivé. Jusqu’à là, tous mes rendez vous n’étaient que des hommes. Jamais je n’ai été attirée par une fille. C’était la première fois, et malgré mon combat pour résister à la tentation, chaque mardi, je mourrai d’envie d’embrasser sa petite bouche souriante.

Je ne savais pas ce qu’elle ressentait. Elle paraissait ouverte, mais jusqu’où ?

Puis un beau jour, il faisait chaud, très chaud. Ou bien c’était moi qui était brûlante de désir en voyant mon élève jouer si brillamment… Je la regardais fixement. Mes yeux ne bougeaient plus. Bientôt, elle s’arrêta, me regarda, et sourit… J’allais craquer, je le sentais. Elle était là, à coté de moi, mes mains tremblaient d’envie de la toucher, juste une fois. Mais « pourquoi » me demandais-je… ? Je ne pouvais plus à résister, je regardaient ses mains et les imaginaient sur mon corps… je les pris, les embrassaient. Elle ne bougeait pas. Elle avait compris. Elle prit les miennes, les embrassa. Je la regardais, nous étions seule, et je sentais le désir envahir mon corps bouillant.

Elle était vêtue d’une salopette à carreaux, elle était tellement sexy ! Son débardeur laissait apparaître ses bras bronzés et bien dessinés. Elle attendait que je fasse le premier pas, et je le fis. J’approchais ma bouche affamée de la sienne, et nos lèvres se touchèrent. A cet instant, je sentais mon corps se détruire de l’intérieur, je sentais mon bassin donner des pulsions d’excitation, je sentais mon sexe en ébullition et mon cœur en admiration. Je fermais les yeux et embrassais délicatement sa précieuse bouche, douce comme de la soie. Je mouillais déjà. Je pris sa tête rasée entre mes mains : comme j’avais envie d’elle ! Je me sentais étrange. Rien à voir avec l’excitation dont je faisais preuve avec mon homme… c’était étrange, mais excitant ! On était assise, là, devant ce piano, à s’embrasser lentement. Puis elle recula son visage, qu’elle était belle, ses grands yeux colorés me regardaient, pétillants et plein d’envie. Elle se leva, prit ma main, et me guida jusqu’au canapé.

J’étais tellement brûlante que ma respiration se faisait haletante, je ne pouvais dire un mot j’étais subjuguée par cette jeune silhouette si parfaitement dessinée. Je glissais ma main dans sa salopette et découvrit un petit string qui ne demandait qu’à être retiré. Elle me caressait le cou, les seins, les bras, les mains, le ventre, puis plus bas. Elle m’embrassait partout, et chaque endroit où sa bouche se posait semblait marqué au fer rouge tant elle était brûlante. Je la regardais encore une fois, mais ne dis pas un mot. Je la déshabillais, elle était en sous vêtement, assise à cheval sur mon bassin. Elle rigolait, semblait toute excitée et passait doucement ses doigts dans mes cheveux. Elle retira mon Tshirt, puis mon jean. Les vêtements étaient à nos pieds, au milieu de son salon, j’avais peur de me faire prendre, et cela m’excitait d’avantage. Je mis ma main sur son sexe, sentant qu’il était très humide et excité. Mes doigts pénétrait la jeune fille, qui pendant ce temps m’embrassait fougueusement, me caressant les seins et le ventre. J’étais au summum de l’excitation et je me sentais plus qu’heureuse. Je la fis jouir, pis elle me fit jouir à mon tour. Je sentais sa bouche sur mon clito, elle était chaude et déchaînée. On était allongées là, à jouir chacune notre tour, à s’embrasser dans les parties les plus intimes, à faire l’amour pour la première fois, à se découvrir, nous ne faisions qu’un. C’est au moment ou l’on se caressait doucement le corps que l’on entendit la voiture arriver dans la cours. Elle paniqua et cela m’excitait d’avantage !

Elle était rhabillée en moins de deux, il ne me restait que mes chaussures à enfiler en vitesse. Lorsque la porte s’ouvrit, sa mère nous vit toutes les deux devant celle-ci, prête à se quitter, le cours terminé.

Dans ma voiture, je tremblais encore. Je ne savais plus comment je me sentais… un mélange d’excitation intense, d’amour fusionnel, de frayeur et de désir. Sur la route, je ne pu m’enlever cette scène de la tête. Aucune de nous n’avais prononcé un mot. Elle était parfaite aussi bien pour la musique que pour l’amour, le sexe, la sensualité… J’étais submergée d’émotions…
Le soir, chez moi, j’embrassai mon mari, en pensant à mon élève.

Nous avons cours la semaine prochaine et j’appréhende ce moment autant que je le désir.
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Commentaires du récit : Cours de piano et de sexe

Le 11/02/2017 - 23:35 par lasemelle
Feb. 11, 2017. Quelle sensualité. Vivement une suite.
Le 18/10/2010 - 08:36 par goy68
Vivement le prochain cours...

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