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Cours très particuliers 2

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Lue : 60773 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 21/05/2012

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2. Ma première Double Pénétration.

Le vendredi, après le TP, le prof me dit :
- Mlle D. vous viendrez me voir après le cours s’il vous plait. A la fin du cours, j’attends que mes camarades sortent et je vais au bureau pour savoir ce qu’il me veut.
- Vous vouliez me voir Monsieur ?
- Oui, tu as dit que tu accepterais de passer une nuit avec moi. Samedi ma femme part avec une amie, elle ne revient que dimanche soir, peux-tu t’arranger pour coucher chez moi ?
- Oui, bien sûr, je dirai à mes parents que j’ai une soirée chez une amie et que je coucherais chez elle, mais il faudra que je rentre le dimanche pour midi.
- C’est parfait tu peux arriver vers 18 heures ?
- D’accord. Il me passe la main aux fesses par-dessus mon jean et me dit :
- Allez, va rejoindre tes camarades, à demain soir, j’ai déjà envie de toi, qu’est-ce que je vais te mettre, je vais te faire hurler de plaisir ! J’éclate de rire et lui répond :
- Prétentieux !

Le samedi soir, à 18 heures, j’arrive chez mon prof qui m’invite aussitôt à me changer dans la chambre. Il me dit :
- Tu mets les vêtements qui sont sur le lit, par la suite, au cours de la soirée, tu en passeras d’autres. Ne te poses pas de questions, ce sont des fantasmes que tu vas m’aider à réaliser.

En effet, des vêtements sont posés sur le lit, un chemisier noir en soie, une jupe plissée noire très courte, un jupon blanc avec le bord en dentelle, un petit tablier blanc de servante, un porte-jarretelles noir en dentelle, une paire de bas résilles et les chaussures noires à talons.

Il rentre dans la chambre, je suis nue, il m’embrasse, caresse mes fesses et mon minou, soupèse mes seins, s’assoit sur le fauteuil et me regarde passer le porte-jarretelles, enfiler les bas, essayer d’attacher les bas en ajustant les jarretelles, c’est une première pour moi et ce n’est pas évident, il veut m’aider mais ses mains et ses doigts s’égarent, je parviens enfin à les attacher, j’enfile le jupon et la petite jupe, le chemisier, le tablier et les chaussures et je suis prête. Il me dit :
- Voilà, c’est bien, regarde comme tu es belle ! Il me fait tourner devant le miroir, le chemisier ne cache pas vraiment mes seins, la dentelle du jupon dépasse de la jupe sur laquelle est attaché le tablier. Ces vêtements sont si courts qu’ils laissent voir les jarretelles et le haut des bas, j’imagine que les putes doivent être habillées de cette façon pour attirer les clients !
- Tu es parfaite, super bandante, tu vas voir ce qu’on va te mettre !
- Comment ce que vous allez me mettre, vous n’êtes pas seul ?
- Non, ma femme est partie avec une amie, son mari était seul, il se serait ennuyé, je l’ai invité pour la soirée, tu verras il est très gentil.
- Mais c’était pas prévu, je ne peux pas rester habillée comme ça devant quelqu’un que je ne connais pas, j’ai l’air d’une pute !
- Non tu n’as pas l’air d’une pute, tu as l’air d’une belle jeune fille habillée sexy pour faire plaisir à ses amis et les exciter, tu vas voir on va passer une bonne soirée, allez viens !
- Votre ami va me prendre aussi ?
- Oui, bien sûr, pourquoi ça te gêne ?
- Ben, je le connais pas !
- Et moi, tu me connaissais avant que je te saute ? Non, hein ? Alors arrête de faire ta mijaurée. Tu aimes la bite et on va t’en donner. Tu n’as pas envie de mon phallus dans ton minou ?
- Si, bien sûr !
- Alors suis-moi et tais-toi !

En désespoir de cause je le suis, il m’emmène dans le salon et me fait entrer, je vois un homme brun, la quarantaine, de bonne taille, d’apparence musclé, que je reconnais aussitôt (je l’ai eu comme prof en seconde), il me toise et sourit, je deviens rouge comme une pivoine, j’ai honte de me présenter dans cette tenue. Roger fait les présentations, il dit :
- Paul et Anne, mais vous vous connaissez peut-être.
- Oui dit Paul, j’ai eu nôtre charmante Anne comme élève en seconde je crois.
- Oui Monsieur en seconde.
- Je vois avec plaisir que tu as fait ton chemin depuis. Roger reprend :
- Anne a honte d’être habillée ainsi, c’est moi qui ai choisi ses vêtements, qu’en penses-tu Paul ?
- Anne est très jolie, habillée très sexy et très agréable à regarder, pour tout dire, elle me fait déjà bander !
- Comme tu l’as compris, j’entretiens avec Anne des rapports privilégiés, mais j’ai omis de lui dire que tu serais présent ce soir et du fait qu’elle est timide, elle est un peu gênée, c’est pourquoi je te demande d’être particulièrement aimable avec elle.
- Je ne lui ferai que du bien, promis, tu n’as pas changé Anne, tu es toujours aussi jolie, tu en faisais tourner des têtes et pas que celles de tes camarades !
- Donc vous vous connaissez, les relations n’en seront que plus faciles. Soulève ta jupette Anne pour montrer à Paul ce qu’il n’a encore jamais vu.

Honteuse, j’attrape le bas de ma jupe et du jupon et les relève jusqu’à ma taille. Paul dit :
- Pas de petite culotte ! Très bien ! Tu as un très joli minou Anne, il donne envie de le manger, tourne-toi s’il te plait. Oh, tes fesses sont magnifiques, elles donnent envie de les caresser, de les prendre, je me souviens, tu étais toujours en pantalon mais tu avais le plus beau cul de la classe et peut-être même du lycée !
- Tu peux la caresser, dit Roger, elle aime ça !
- Et cerise sur le gâteau, porte-jarretelles, bas et seins nus sous le chemisier ! Tu es super bandante !

Il passe ses mains sur mes seins par l’échancrure du chemisier, me chatouille les tétons, il me demande d’écarter les cuisses, caresse mon minou, me met un doigt, pétrit mes fesses, passe un doigt dans ma raie, s’arrête sur ma rosette dans laquelle il l’insère.
- Magnifique, elle est vraiment magnifique !
- Ravi qu’elle te plaise ! dit Roger, puis il ajoute :
- Anne, nous allons prendre l’apéritif et tu vas nous servir dans le salon, tout est prêt, il te reste à remplir les verres.

Paul retire le doigt qu’il m’a enfoncé dans le cul. Je leur demande ce qu’ils veulent boire, whisky coca pour Paul, whisky pur pour Roger. Je m’accroupis pour servir les verres, mais Roger me dit :
- Ah non, pas accroupie, tu gardes les jambes bien droites et bien écartées et tu te penches en avant pour servir, le but de cette tenue de soubrette c’est que tu nous excites au maximum en nous montrant tes fesses, ta raie, ta rosette et ta fente d’un côté, tes seins de l’autre, c’est pour cela que tu ne portes pas de culotte, ni de soutien-gorge. Tu profiteras de notre excitation par la suite lorsqu’on te prendra. Si nous sommes trop excités, nous te demanderons de nous faire une petite gâterie, voire un peu plus ! Tu bois quoi ma belle ?
- Je vais boire un jus d’orange avec des glaçons.
- Très bien, sers nous et ajoute des glaçons. Bien sûr positionnes-toi pour qu’on profite de la vue. Merci ma belle.

Ils sont tous les deux assis sur le grand fauteuil, devant la table basse, je me mets le plus près possible de la table dans la position que Roger m’a dit, mes fesses ne sont pas très éloignées de leur visage, aussitôt, deux mains se posent sur mes jambes et remontent vers mes fesses et ma minette. Roger dit :
- Regarde Paul, on dirait un bijou dans son écrin, le couvercle est représenté par la jupette et le jupon, les côtés sont délimités par les jarretelles, le coussin est formé par les bas, et au centre le bijou que l’on peut enfiler par l’un ou l’autre de ses chatons, eux-mêmes entourés de deux magnifiques globes bien fermes, la nature est bien faite tout de même ! Paul dit :
- Tu es un poète Roger, il est vrai que ce spectacle est vraiment magnifique ! Je ne m’en lasserais pas mais elle me fait terriblement bander, j’en peux plus !
- Saute là si tu veux, mais pas par le cul, il faut la préparer d’abord, ou demande lui de te faire une pipe, elle suce très bien.
- Je voudrais simplement la prendre par la chatte en levrette et tirer un coup, je peux ?
- Bien sûr, mets-toi en position Anne, Paul a les couilles pleines, il a envie de se vider.

Je me retourne, il a déjà sorti sa queue, beau morceau, pas comme celle de Roger bien sûr, moins épaisse mais presqu’aussi longue ! Je m’agenouille et le prends en bouche, quelques aller-retour me font comprendre qu’il est prêt à exploser, je lui passe un préservatif et je me mets en position, mains posées sur la table basse, jupe et jupon retroussés, cul bien cambré, jambes écartées, Roger regarde en souriant et dit :
- Magnifique ! Paul place sa bite contre ma vulve et me pénètre lentement, je gémis un peu et me crispe pour lui montrer que j’aime, il m’agrippe les hanches, termine sa pénétration et commence à me limer à grands coups de reins, je ne suis pas assez excitée pour jouir mais je remue bien mon cul pour qu’il se soulage rapidement, ce qui ne tarde pas, il jouit en poussant un long râle animal et se retire aussitôt, je me retourne, l’embrasse sur les lèvres et lui dis :
- Merci Paul, c’était bon ! Il n’a pas mis 5 minutes pour décharger !
- C’est moi qui te remercie, excuses-moi d’être venu si vite, j’avais tellement envie de toi !
- Envies refoulées depuis des années et qui réapparaissent ! dit Roger.
- Certainement, et je n’en savais rien, mais après avoir vu ses charmes si joliment offerts, je n’ai pas pu me retenir ! Il retire le préservatif, le jette dans la poubelle et revient s’asseoir, Roger me fait asseoir entre eux, sort sa bite et me dit :
- Ca m’a bien excité de te voir prendre quelques coups de queue ma chérie, allez suce maintenant !

Je me penche sur lui, le prends en bouche, et commence une série de va-et-vient sur sa hampe qui durcit rapidement et prend sa taille habituelle. Pendant que je le pompe et que je lui caresse les boules, il discute avec Paul, ils parlent du lycée et de leurs collègues et j’en apprends de bonnes ! Mais je ne dis rien, on ne parle pas la bouche pleine !
Roger m’a attrapé un sein et me maltraite le mamelon, quant à Paul, il est en train de me doigter la chatte. Roger demande à Paul :
- Tu nous ressers un verre Paul, s’il te plait ? Anne et moi sommes occupés, ressers là également, merci. Elle suce vraiment bien, tu verras dans un moment ! Je ne vais pas tarder à lui inonder la gorge !

En effet quelques minutes plus tard je sens les sursauts annonciateurs de la montée du plaisir et il explose dans ma bouche. Lui aussi est super excité, je ne peux pas contenir tout son foutre, ça déborde. J’essuie le trop plein avec une serviette. Il m’embrasse et me dit :
- T’es vraiment une championne de la pipe ! Les deux hommes sont calmés, ils me caressent la chatte et les seins, l’un d’eux me masturbe, s’ils continuent ils vont me donner envie ! Nous terminons nos verres, Roger dit à Paul :
- Tu veux te la faire une nouvelle fois avant le diner ?
- Non, après.
- J’ai prévu un repas froid, style buffet, on pourra la prendre quand on en aura envie, si elle n’est pas déjà en mains bien sur !
- Pourquoi ? On pourrait se la faire à deux aussi.
- Ah oui, c’est une bonne idée !
- Avant de diner, nous allons commencer à lui préparer l’anus, viens ma chérie, regarde c’est un plug, il se glisse dans l’anus, on peut le porter plusieurs heures tout en travaillant, en faisant les courses, en se promenant ou même au lycée !

A l’extrémité il y a un socle qui reste à l’extérieur de l’anus et permet de le retirer facilement. Le socle est orné d’une pierre imitant le diamant, c’est un bijou pour ton magnifique petit cul. Je te l’offre, tu pourras ainsi préparer ton anus le mercredi. Mets-toi à genoux sur le fauteuil et écarte bien tes fesses. Il me met un peu de lubrifiant en me massant la rondelle et en me plantant le doigt dans le cul pour qu’il pénètre bien, puis il m’insère le plug qui rentre sans aucune difficulté. Il dit :
- J’aurais dû prendre la taille au-dessus, ton sphincter se dilate sans problème. Paul demande :
- Il fait quel diamètre ?
- 30 mm, j’aurais dû prendre 40mm, mais c’est plus lourd à porter. On verra plus tard, en attendant tu gardes celui-là, que tu mettras pour mes cours ! Rien que de savoir que tu l’as dans ton cul, ça sera super !
Pour te préparer à nos assauts, je vais t’engoder.

Il me montre le godemiché, c’est un gros engin avec un aspect veineux rappelant un pénis au comble de l’érection, avec des testicules à l’extrémité et une ventouse qui permet de le fixer où l’on veut. Il est de couleur chocolat, ça me rappelle des souvenirs. Paul demande :
- Il est gros celui-là, tu crois qu’il va rentrer ?
- Oui sans problème. Il ajoute du lubrifiant, dans mon anus et sur le gode puis il place l’extrémité du gland sur ma rondelle et appui pour en forcer l’entrée, il me dit :
- Aide-moi en poussant comme si tu étais constipée, et si je te fais mal dit-le ma chérie, n’hésite pas.

Je pousse, Roger aussi, je sens le gland s’insérer lentement dans mon anus, au début ça va, mon sphincter se détend et laisse passer l’intrus mais tout à coup je ressens une douleur, je préviens Roger qui stoppe la progression du gode et me dit :
- Le gland est presque rentré, quand il sera passé, le reste rentrera tout seul.

En effet, Roger recommence à pousser et le gland passe, la hampe suit, je sens le gode me remplir, c’est bon, le plaisir a pris le pas sur la douleur.
- J’ai l’impression que mon cul va exploser, mais c’est très bon, continue ! Roger entame quelques aller-retour pour me détendre et je commence à apprécier cette nouvelle présence, Roger a compris, il augmente le rythme, je gémis de bonheur et atteins rapidement l’orgasme.
- C’était pas comme une vraie bite mais c’était bon quand même !

Roger maintient le gode planté entre mes fesses et dit :
- Paul, ouvre son chemisier qu’on voit ses seins et prend là en photo de profil, avec ce gode dans le cul et cette tenue de soubrette, elle est super bandante. Je dis :
- Non pas de photo, ça je veux pas !
- Tu nous ennuies, c’est juste un souvenir, tu ne vas pas nous faire tout un foin pour une photo ! Puis il ajoute :
- Bon maintenant qu’il est rentré et que le passage est fait, tu vas le garder dans le cul pendant le repas, nous te servirons à manger pendant que tu t’habitueras au volume. Pour Paul ça ira, pour moi il faudra te dilater un peu plus.
- Il est tout au fond là ?
- Oui tout au fond,
- Ca fait drôle d’avoir ce truc qui bouge pas, coincé dans mon cul, c’est vraiment pas comme une bite ! Roger ajoute :
- S’il le faut j’ai un autre gode un peu moins long mais aussi gros et gonflable, son diamètre est extensible.

Ils me servent et nous mangeons en discutant. Le repas pris, Roger dit :
- Alors, voyons le résultat.
Je me libère du pieu qui me transperce, et me penche pour leur montrer mon entrée dilatée. Roger dit :
- Bien, un trou béant s’offre à notre vue, je pense qu’on va pouvoir t’enculer sans problème ma chérie, pour te donner un ordre d’idée, mets ton doigt dans ton cul ! Je le mets, effectivement, mon petit trou est nettement élargi !
- Ca va se refermer quand ?
- Dans un jour ou deux, d’ici là t’auras pas de problème pour aller aux toilettes ! Il faut que je prenne une autre photo de ce gouffre qui va avaler nos bites ! Ne t’inquiètes pas Anne, je t’enverrai ces photos sur ton mail !
- Tu m’énerves avec tes photos !

Paul et Roger se déshabillent, sortent leur bite et s’assoient sur le fauteuil. Je m’agenouille entre eux, prend une bite dans chaque main et les suce tour à tour jusqu’à ce qu’ils durcissent. Roger dit à Paul :
- Quand tu es prêt, tu la prends pendant qu’elle me suce !
- OK, c’est bon pour moi, dit Paul.

Il s’agenouille derrière moi, pose son gland sur ma rosette bien dilatée et pénètre entre mes reins sans difficulté, je sens bien sa queue s’enfoncer en moi, c’est bon, je la sens vibrer entre mes fesses, en même temps il attrape mon minou et chatouille mon clito. Je prends le dard de Roger en bouche, mais lorsque Paul commence à me pilonner, je ne peux plus le garder et je me contente de le masturber. Je gémis de plus en plus fort et lorsque j’atteins l’orgasme, je ne peux m’empêcher de crier. Paul se retire sans avoir jouis et Roger le remplace aussitôt. Il me pénètre sans difficultés non plus, je comprends rapidement pourquoi, je sens sa queue grossir et s’allonger pendant qu’il me lime, il ne bandait pas à fond lorsqu’il m’a prise, c’est une sensation très agréable et j’atteins rapidement un nouvel orgasme, ce qui n’arrête pas Roger qui continue de me limer à la même cadence, mes orgasmes ne s’arrêtent plus, mon ventre me fait mal à cause des contractions ininterrompues, mais c’est vraiment bon, j’aimerais que ça dure toujours. Je sens la verge de Roger grossir encore et quelques secondes plus tard il décharge sa sauce à grandes giclées dans mes entrailles en râlant comme une bête. Il reste en moi quelques minutes en m’embrassant dans le cou et triturant mes seins, le temps que sa bite dégonfle, il me dit :
- Ca a été pour toi ? Tu as bien pris ton pied ? Je te reprendrai comme ça, tu es bien serrée, c’est très agréable.
- Oh oui c’était super, je t’ai bien senti décharger dans mon cul !

Paul n’attend pas, il me remet la sienne aussitôt, d’un seul coup de reins il est au fond et il entreprend un ramonage intensif du conduit, qui m’amène quelques minutes plus tard un nouvel orgasme. Il continue à me pilonner jusqu’à ce qu’à son tour il explose. J’ai toujours mal au ventre, mais mes amants m’ont bien faite jouir. C’est agréable d’avoir deux hommes ! Mais c’est fatigant !
Roger me prend par le cou et dit :
- C’est bien ma chérie, tu nous as comblé ! Et il m’embrasse.
- Vous m’avez comblé aussi tous les deux !
- On va laisser reposer nos outils pendant que Paul va nous servir un rafraîchissement et que tu vas aller passer une autre tenue ! Allez, viens ma déesse ! Il me prend par la taille et m’emmène dans la chambre. Il est nu, au repos sa verge pend entre ses jambes, il voit mon regard et me dit :
- Pas de souci, je te la remettrai tout à l’heure, la nuit n’est pas finie ! Il prend une poche et en sort une jupe courte écossaise, droite devant et plissée derrière, un chemisier blanc entièrement transparent, un porte-jarretelles en dentelle blanche et des bas blancs à couture. Il ajoute :
- Déshabille-toi, tu ne gardes que les chaussures. Il met les vêtements de soubrette dans un sac.

J’enfile les bas, ajuste les jarretelles et y attache les bas, je passe le chemisier et la jupe, toujours pas de soutif ni de culotte ! Je n’aurai pas besoin de les retirer ! Il me regarde et dit :
- Parfaite, regarde comme tu es belle dans le miroir, tu vas encore nous faire bander ma chérie !

Le chemisier ne sers à rien, c’est comme si j’en avais pas, la jupe est très courte, comme l’autre elle laisse voir les jarretelles et le haut des bas ; plissée derrière, elle fait bien ressortir la cambrure de mes reins. Je lui dis :
- Tu aimes bien m’habiller comme une pute !
- C’est une tenue sexy de jeune fille que tu portes. La tenue suivante, ça va être autre chose !
- Il y en a beaucoup de tenues ?
- Quatre mais j’en garde une pour mercredi prochain, tous les deux ! Allez, viens montrer à Paul tes nouveaux vêtements ! Je rentre dans le salon, la télé est allumée, ils ont mis un film X, Paul me regarde et sourit :
- Tu es super sexy, relève ta jupe … tu n’as toujours pas de culotte, tu vas finir par t’enrhumer ! dit-il en m’attrapant un sein et en posant l’autre main sur ma chatte. Roger dit :
- Ma petite Anne, tu t’assois entre nous deux, de façon à ce que tes orifices soient parfaitement accessibles, on regarde le film en te tripotant pour se remettre en forme. Pendant ce temps, je vais t’enfiler ce gros godemiché dans la chatte, il est gonflable et on pourra en agrandir le diamètre si besoin est, pendant que Paul te plantera un gode plus petit dans le cul, qu’on remplacera par la suite par un plus gros, afin que tu t’habitues à te faire prendre simultanément des deux côtés.
- Et vous allez me prendre comme ça ? Tous les deux en même temps ?
- Oui, tu verras comme c’est bon ! Vu la grosseur de mon sexe, je prendrai ton minou et Paul t’enculera.

Roger m’enfile le gode gonflable dans le minou sans difficulté, Paul fait de même entre mes fesses, la présence de ces 2 objets m’entraine quelques douleurs et des gémissements. Roger commence à gonfler le gros gode. Plus il le gonfle, plus je sens l’enveloppe m’écarter les chaires et plus je gémis. Quelques minutes plus tard la pression devient si forte que je lui demande d’arrêter le gonflage, je vois cet énorme engin entre mes cuisses et je m’imagine le morceau qui a pénétré dans ma petite chatte, j’ai peur. Alors, chacun d’eux s’amuse à effectuer quelques aller-retour, mes gémissements sont de plus en plus forts, Roger dit :
- Ma parole, mais elle va jouir cette petite pute ! T’aimes ça petite salope, être fourrée par les 2 trous !
- Non, j’ai mal, je dois m’habituer à ces 2 pieux qui me défoncent avant de jouer avec !
- Oui habitue-toi bien, pour t’aider on va t’en mettre un plus gros dans le cul.

Malgré mes protestations, ils me font mettre à 4 pattes, Paul retire le petit gode pour le remplacer par le gros, celui avec les testicules qu’ils m’ont mis tout à l’heure pour me préparer. Il l’enduit de lubrifiant et l’introduit lentement dans mon petit conduit. Les 2 godes se touchent rapidement, j’ai mal, je recommence à gémir, Roger me demande comment ça va, je lui réponds que c’est très douloureux, que je me sens totalement remplie et que j’ai l’impression que mon ventre va exploser ! Il dit :
- On stoppe les allers-retours pour que ton ventre s’habitue au volume.

Et quelques minutes après :
- Allez, je crois que c’est bon, les passages doivent être faits, on va lui retirer les godes, mais avant une petite photo souvenir, avec les 2 godes bien enfoncés et la jupette retroussée sur le dos, ça va être super érotique ! On en fait une aussi une avec ma bite dans sa bouche, les trois orifices occupés ! Il rit et ajoute :
- Une aussi pour Paul puis je dégonfle le gode de ton minou.
- Oui, merci, faites vite toutes les photos que vous voulez et dégonflez ce monstrueux engin.

Après plusieurs photos, dont une avec les deux bites dans la bouche, enfin seulement les glands, le reste ne risquant pas de rentrer, ils me libèrent enfin. Je n’ai jamais vu ma chatte autant dilatée. Je leur dis que j’ai mal au ventre et au cul et que je veux me reposer un moment. Roger me demande d’écarter les cuisses et prend des photos de mes orifices dilatés, n’importe quoi pourvu qu’ils me laissent un moment tranquille. Je demande :
- Quelle heure est-il ?
- T’inquiètes pas, on a tout le temps, il n’est que 21h30.
- On a la nuit devant nous renchérit Roger.

Ils parlent un moment de leurs amours et de leurs conquêtes, parfois au sein même du lycée, d’autres profs ou des conseillères d’orientation. Puis Paul me dit :
- Tu as un petit ami Anne ?
- Oui.
- Il est dans ta classe ?
- Non, à l’IUT.
- Il sait ce que tu fais ce soir ?
- Non, bien sûr !
- Il n’aimerait pas ?
- Je ne crois pas, non !
- T’as déjà fait l’amour avec lui ?
- Oui.
- C’était bien ?
- Pas super, il a très peu d’expérience.
- Tu ne lui fais pas profiter de la tienne ?
- Je ne préfère pas, j’ai peur qu’il me prenne pour une pute et qu’il se demande qui m’a appris tout ça, je préfère passer pour une jeune fille sage !
- Oui, je comprends. Roger dit :
- Bon, la jeune fille sage, ça va mieux ta chatte et ton cul ? On peut envisager une visite groupés ?
- Oui, mais faites attention, prenez-moi doucement, regarde : mes grandes lèvres sont toutes enflées. Roger donne les directives :
- On va prendre la jeune fille sage sur le lit conjugal, ce sera agréable avec les miroirs, on se verra mieux !

Arrivés dans la chambre aux miroirs, Roger s’allonge sur le lit et sans plus attendre m’invite à m’empaler la chatte sur son dard, une fois sa queue bien au fond il me demande de m’allonger sur lui tout en gardant sa bite au fond de ma chatte, puis Paul s’accroupit et me pénètre lentement le cul, quelques petites douleurs, le souffle coupé sur le moment, lorsqu’il a passé le sphincter, du fait de l’espace réduit par le proche voisinage de la bite à Roger, mais rien de comparable avec les godes. Bien sûr je sens bien les deux sexes qui me remplissent totalement le ventre, l’un contre l’autre, ils ne bougent pas et la situation commence à m’exciter, je leur dis :
- Alors les mecs, vous jouez aux cartes ou vous me tirez ?

Paul se met en action, de très petits coups de reins, très vite j’ai le ventre et les reins en feu, c’est vraiment bon, je sais déjà que je vais venir rapidement, je commence à gémir de plaisir et ça s’entend de plus en plus, Roger se met également à donner des coups de reins et je comprends mieux l’expression "être prise en sandwich" chaque action d’un partenaire est aussitôt amplifiée par l’action de l’autre ! Et avec deux sexes dans le ventre, le plaisir est multiplié. C’est une première pour moi, mais c’est réellement super, j’adore, je commence à jouir et à crier de plaisir. Ils ont compris qu’ils pouvaient se lâcher et c’est à grands coups de reins qu’ils me prennent maintenant. Je crie ma jouissance et leur demande de ne pas arrêter, de continuer à me prendre comme des bêtes, de défoncer ma chatte et mon cul en feux, je ne suis plus qu’un sexe rempli de bites. J’ai mal partout à force de jouir. Je crois que je vais défaillir. Ils continuent à me bourrer un bon moment pendant lequel j’enchaîne orgasme sur orgasme, mais tout a une fin, ils sont si excités qu’ils ne peuvent se retenir plus longtemps et presque en même temps, ils inondent mes entrailles de leur puissantes giclées en râlant. Je comprends alors que Paul n’a pas, lui non plus, mis de préservatif ! Mais c’est tellement bon que je ne peux pas lui en vouloir.

Mes amants restent un moment en moi, comme s’ils étaient collés, Roger profite de l’accalmie pour faire quelques photos grâce aux miroirs. Puis Paul se retire de mes fesses, je me relève et ma chatte et mon cul se transforment en torrents de sperme. Ca dégouline sur mes cuisses, sur mes bas et sur le lit, il y en a partout ! Paul dit :
- Excuses-moi ma petite Anne, dans l’excitation je n’ai pas mis de préservatif.
- Aucune importance, et puis c’était bien plus agréable au naturel ! Roger dit :
- C’était super, il y a vraiment longtemps que je n’avais pas jouis aussi fort, Anne, non seulement tu es belle mais en plus tu es une sacrée baiseuse, tu aimes vraiment ça. S’il sait s’amuser, ton mari sera un homme comblé ! Paul renchérit :
- Je crois que je n’ai jamais pris autant de plaisir que dans ton petit cul ma chère Anne, je n’aurais jamais pensé cela quand je bavais sur tes fesses en cours il y a quelques temps !
- Merci mes chéris, mais c’est grâce à vous deux si on a pris un tel pied, moi non plus je n’avais jamais jouis aussi fort ! Je crois que je vais devenir accroc à la double pénétration, il me faudra deux maris pour me combler ! Roger dit :
- Je propose un petit rafraîchissement au salon, il est aussi possible d’aller se nettoyer dans la salle de bain, Anne tu es pleine de sperme, pour une jeune fille sage ! Tu peux aller prendre une douche si tu le souhaites.

Je me regarde dans un miroir, relève ma jupette que j’ai toujours, je vois mes orifices béants qui dégoulinent de foutre, mes jarretelles sont décrochées, mes bas sont tombés, l’un au genou, l’autre à la cheville.
- Allez, va te refaire une beauté ma chérie, une douche chaude et ça ne se verra plus, après nous irons laver nos instruments. Nous avons tout notre temps, il est 22h45. Laisse tous tes vêtements dans l’autre chambre, je t’en donnerai d’autres après ta douche. Ça t’ennuie si on te regarde te doucher ?
- Non, vous connaissez déjà tout de moi ! Du coup, nous nous douchons tous les 3 ensembles, ils me lavent, je les lave. Après nous être séchés, nous allons au salon prendre un verre. Roger me dit :
- Ma petite Anne, tu n’as pas froid comme ça ? Pour entrer dans son jeu, je réponds :
- Si justement je mettrais bien quelque chose sur mes épaules !
- Alors viens avec moi. Nous allons vers la chambre "vestiaire", il sort un paquet et dépose les vêtements qu’il contient sur le lit.
- Voilà ma chérie, habilles-toi !

Je découvre les nouveaux vêtements qui me sont destinés, en fait il s’agit de sous-vêtements et de vêtements de nuit, un ensemble complet en dentelle rouge et noire, il y a un soutien-gorge seins nus, un porte-jarretelles, une petite culotte et un string, les deux ouverts, une nuisette transparente et un déshabillé également transparent. A ces effets, s’ajoutent deux paires de bas résilles à couture, une paire noire et l’autre rouge, des cuissardes en cuir noir, brillantes à talons aiguilles et une paire de mules en plumetis rouge et noir. Je demande à Roger ce qu’il veut que je porte.
- Tu mets les bas rouges, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, le string, les cuissardes et le déshabillé. Quand je suis prête, je me regarde dans le miroir :
- Cette fois-ci, j’ai vraiment l’air d’une pute !
- Puisque tu y tiens, oui, tu as l’air d’une pute ! Mais tu n’en es pas une, vas voir Paul pour lui montrer comme tu es belle. Paul me dit :
- Tu es superbe Anne, approche, il vérifie que le string est ouvert, pince mes tétons et caresse mes fesses. Roger arrive avec l’appareil photo et prend quelques clichés de sa "putain préférée".
- Allez ma chérie, on va te reprendre en double, moi dans ton cul, Paul dans ta chatte.

Il s’allonge sur le lit et me demande de m’asseoir sur sa bite, je m’accroupis, il tient son gland contre ma rosette et je m’empale sur sa bite, je sens son gland pénétrer mon anus, j’enfile cette hampe dans mon petit trou qui ne fais aucune résistance et laisse passer l’intrus ! Lorsqu’il est profondément ancré en moi, je m’allonge dos sur Roger qui prend mes seins dans ses mains. J’écarte mes cuisses et laisse ma chatte grande ouverte pour recevoir la verge de Paul, qui prend quelques photos de ma chatte béante et de la bite qui se trouve dans mon cul. Cette fois encore, lorsqu’ils se trouvent tous les deux dans mon ventre, mon excitation est à son comble et lorsque Paul commence ses allers-retours, je ne peux m’empêcher de gémir, gémissements qui vont crescendo avec la vitesse du ramonage ! Roger dessous ajoute quelques coups de reins, pour moi c’est aussitôt l’apothéose et comme d’habitude j’enchaine les orgasmes.

Mes deux amants me pilonnent un long moment, si bien que j’ai mal partout, au ventre, aux seins, j’ai l’impression que mon cul et ma chatte sont des plaies béantes, je n’arrête pas de jouir et je suis heureuse quand ils me remplissent à nouveau de sperme en râlant. Ils reprennent leurs esprits puis ils se retirent de mes orifices qui dégoulinent de foutre. Je les remercie de m’avoir procuré autant de plaisir. Eux aussi ont aimé, Roger a particulièrement apprécié la prise de mon cul en double ! Il me propose de me nettoyer et de retirer les vêtements souillés. Je remplace les bas rouges par les noirs, les cuissardes par les mules, le string par la petite culotte fendue et le déshabillé par la nuisette.
- Voilà, dit Roger, en prenant quelques photos, tu nous as bien fatigués, on va aller se reposer, chacun notre tour, nous te ferons des petits câlins, tu vas tout d’abord passer un moment avec moi puis tu iras rejoindre Paul.
Demain matin on te reprendra à deux avant que tu ne rejoignes ta famille. Il me prend par la taille et me dit à l’oreille :
- Viens ma chérie que je te bouffe le cul !
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Histoire de Anne

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Commentaires du récit : Cours très particuliers 2

Le 28/08/2012 - 13:06 par Kusse2012
Je n'ai jamais lu une histoire de cul aussi excitante. Mais il faudra aussi que Anne reçoive vos deux bites simultanément dans son trou du cul, cela devrait marcher après qu'elle ait reçu les énormes godes. J'aurai aimé le gonfler ce gode pour lui dilater son trou du cul au maximum. Beaucoup de très jeunes filles aiment se faire enculer par un ou deux copains pour éviter de se faire engrosser.
Le 22/05/2012 - 12:09 par Seeley68
Magnifique cette suite, j'en ai mal aux yeux....lol !!! Et ce récit m'a également fait beaucoup d'effet comme tu peux l'imaginer. Bravo et merci pour cette histoire.

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