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Cuissardes pour une cousine

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/11/2024

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CUISSARDES POUR UNE COUSINE

J'habite dans un petit immeuble de trois étages, qui a été rénové. Son propriétaire a remis en état ainsi une dizaine d'immeubles à travers la ville plutôt que de les laisser pourrir. Quand on voit la plaque sur le mur : Ici a vécu Eugénie de Guérin morte en 1823, on mesure que pas mal de personnes sont passées entre ces murs, difficile de ne pas éprouver de l'émotion. Et on se dit aussi, heureusement que les lieux ont été rénovés. A côté, il y a des immeubles qui tombent en ruine.
On est trois dans l'immeuble, un par étage. Moi au troisième, une famille de trois personnes en dessous, et au premier, je le connais depuis longtemps, Marco, un gars d'une cinquantaine d'années qui a monté une petite entreprise de nettoyage. Un gars simple qui aime la moto et le sport, beau gosse même s'il n'a plus un poil sur le caillou, mais qui séduit les filles. Il en ramène régulièrement à la maison. Ça ne dure pas forcément.
Il y a pourtant une fille qui vient régulièrement, presque tous les week-ends. Que je n'ai aperçue que de loin. Une chevelure brune épaisse et longue. Pas très grande. Ce qui m'a plu, dans cette silhouette brièvement entrevue avec Marco, c'était que, les trois fois où je l'ai vue, elle était bottée. Comme pas mal d'hommes, je suis fétichiste, et j'adore les filles qui portent des bottes. Je trouve que c'est hyper-érotique.
J'ai gardé trois souvenirs très forts avant la réelle rencontre. Trois fois où je l'ai aperçue, arrivant, et où, effectivement, elle portait des cuissardes ou presque. Une chevelure épaisse, longue, qui lui masquait le visage. La première fois, avec une robe très courte, les jambes gainées de nylon, elle avait des bottes très hautes, noires, luisantes, à talons aiguille, mais qui n'en étaient pas, parce qu'elles arrivaient juste en dessous du genou. J'avais été fasciné. Une silhouette sans visage. Les deux fois suivantes, je n'avais pas non plus vu son visage, mais bien par contre des cuissardes, une paire rouge, en daim semblait-il, et une autre paire en cuir, marron, luisantes, deux paires portées avec une mini jupe ou une robe très courte.
Marco m'avait dit : 'Je suis content, j'ai retrouvé une cousine que je n'avais pas vue depuis longtemps.' Et c'était sans doute vrai parce qu'il restait à distance, alors que quand il ramenait une copine, il avait tendance à la palper de toutes les manières possibles.
Je me suis branlé cent fois en pensant à cette silhouette. Sans rien espérer cependant d'un quelconque rapprochement.
Marco avait une habitude qu'il faisait partager à ses invités : avant de rentrer dans son appartement, pour des questions d'hygiène qu'on pouvait parfaitement comprendre, il laissait ses chaussures sur le palier. Elle aussi. Sans l'avoir cherché, le week-end, le soir ou le matin, j'ai eu l'occasion d'apercevoir, à côté des chaussures si masculines de Marco les belles cuissardes, allongées sur le sol. J'avais envie de les toucher, de toucher leur matière. Pour moi il y aurait eu bien sûr la cuissarde en elle-même, mais aussi, au-delà, la caresser, ça aurait été comme caresser son corps. Et, dans un tel moment, j'étais rempli par l'envie, le désir, la frustration.
Mais, la fatalité étant ce qu'elle est, s'est produit ce qui devait se produire.
Ca s'est passé un lundi matin.
Marco démarrait toujours très tôt, sur le coup de six heures du mat. Il partait à l'heure où je me levais. Je ne l'ai véritablement compris que ce jour-là, mais il la laissait seule le lundi matin, car elle démarrait plus tard.
Moi, je descendais vers sept heures trente.
Les chaussures de Marco avaient disparu. Les cuissardes étaient toujours là.
Je n'ai pas pu résister.
Je me suis accroupi, et j'ai touché le cuir. Froid, lisse contre mes doigts. Contact agréable. Avec la sensation, en même temps, que je caressais son corps, que je connaissais pourtant si mal.
J'ai été trop absorbé dans ma caresse, je m'y suis appesanti trop longtemps.
— Tu veux que je les mette pour toi? C'est possible...
J'ai relevé la tête. La porte de l'appartement était ouverte, et je pouvais voir la jeune femme en contre-plongée, mais aussi la voir intégralement. Son visage, aux traits fins, avec de grands yeux noisettes...Elle portait une nuisette couleur marron glacé, qui s'arrêtait très haut, et de ma position, j'avais une vision impeccable de son sexe. Une partie de son pubis, couverte d'une toison de la même couleur que ses cheveux, taillée, une vulve bien gonflée, fendue en deux, avec deux morceaux de lèvre copieux qui en dépassaient.
Ca a été curieux, mais, alors qu'on se connaissait à peine, je n'ai pas été surpris par sa proposition. Je me suis dit qu'une femme qui mettait des cuissardes, élément de séduction, ne faisait pas vraiment preuve de pruderie. Et qu'on ne se connaisse pas ne changeait pas grand chose. Elle avait compris que j'étais troublé, fan de cuissardes, et elle se disait qu'il pouvait se passer quelque chose de bien entre nous. Ca serait sans doute un one shot, une fois unique, mais ça n'était pas forcément un problème. Jusqu'à présent, je n'avais eu qu'une petite copine qui aimait porter bottes et cuissardes, c'était d'ailleurs elle qui m'en avait donné le goût, et qui m'avait initié aux jeux qu'on peut faire avec, qui m'avait totalement fasciné avec ses jambes gainées de cuir...Je n'aurais même pas imaginé de demander à mes copines suivantes de se parer ainsi, elles n'y auraient même pas pensé, ça aurait été même un motif de rupture...Et voilà que mon Destin remettait sur ma route quelqu'un qui aimait bottes et cuissardes...Même si c'était un one shot, j'aurais pu lui dire merci.
Elle s'est accroupie pour ramasser les cuissardes. Pile face à moi, qui étais toujours accroupi. La nuisette était accrochée à son ventre, elle m'a donné une vision impeccable de son sexe entre ses cuisses.
— Tu peux mettre la main partout, et autant que tu veux.
Elle en tout cas elle n'a pas hésité à toucher. Les cuissardes dans la main gauche, elle a amené la main droite sur moi. J'étais, j'en ai pris conscience au moment où elle a posé la main sur mon pantalon, en pleine érection. Elle m'a défait avec habileté, d'une seule main, et elle a fait jaillir ma verge à l'air libre.
— Hmmm, tu as une belle queue...Tu es très gros...
Et c'était vrai que je n'étais jamais aussi long et dur que quand des bottes ou des cuissardes étaient concernées.
Elle s'est mise à me masturber tout doucement. Elle avait sans doute trouvé son Graal elle aussi, parce qu'elle souriait d'un air radieux. Sous mes yeux, de manière indéniable, son sexe s'est très vite entrouvert, disant clairement son excitation, ses lèvres se sont allongées, et un flot de cyprine s'est mis à couler, qui a trempé ses chairs intimes. J'ai risqué une main sur ses cuisses, elle avait une peau douce et chaude. Elle m'a dit :
— Viens, on rentre, on sera mieux à l'intérieur.
Et on s'est glissées dedans. Je connaissais déjà l'intérieur de Marco. De grandes pièces claires et peu meublées.
— Je m'appelle Olivia.
Je me suis approché d'elle. Elle a fait glisser l'une des deux bretelles qui tenaient sa nuisette à son épaule, et j'ai fait glisser l'autre. Le tissu, léger, est arrivé à ses chevilles, sa nudité totalement révélée. Elle avait des seins fermes, dressés, et une paire de tétons en pleine érection. Impossible d'y résister. Je me suis penché dessus, et pendant qu'elle attrapait ma queue et me masturbait à nouveau, j'ai sucé ses tétons, dont la longueur et la dureté ont rempli ma bouche. Elle a gémi. Oui, sans aucun doute, elle avait du plaisir.
Quand elle a reculé, elle m'a dit :
--Ce que je te propose...J'en mets une devant toi et tu me mets l'autre. Deux plaisirs différents...C'est bien comme ça, non...
Elle les tenait toujours. Elle en a laissé tomber une par terre, et elle a gardé l'autre. Elle a reculé, pour basculer sur un divan.
Elle a été parfaite. Elle a su donner de l'importance, de l'envergure, du cérémonial, à ce qui pouvait n'être qu'un simple geste pratique. Nue, elle était parfaite, avec une paire de cuissardes, elle le serait encore plus, et encore plus excitante.
Clairement, et son sexe, dans son état et son évolution le disait, elle était aussi, voire plus troublée par la situation que moi. Elle s'ouvrait de plus en plus, ruisselait, et un vraiment gros gland clitoridien s'était décalotté et gonflait, se gorgeant de sang comme peut le faire une queue d'homme.
J'avais déjà eu le temps d'examiner les deux cuissardes. C'était la première fois que je la voyais avec cette paire, couleur crème. Pas forcément neuve, mais j'avais le sentiment qu'elle entretenait soigneusement sa collection, car toutes les cuissardes, toutes les bottes étaient impeccables. Je la voyais bien les cirant soigneusement.
Elle éprouvait en tout cas un plaisir réel à les porter, mais aussi à les manipuler, à les mettre. Et ce même si elle se mettait en scène.
Il y avait une longue fermeture-éclair sur le côté, qui démarrait au niveau de la cheville et montait jusqu'au haut de la botte. Preuve qu'elle en prenait soin, après l'avoir ôté, elle avait remonté la fermeture au sommet, fermant la cuissarde pour la protéger. Très lentement, elle a descendu la fermeture-éclair, pour me troubler, me fixer, créer une tension. Elle y a parfaitement réussi.
— Je n'ai pas de bas, dommage, sinon j'aurais couplé bas et cuissardes...Ça t'aurait plu.
— Les choses sont déjà très bien comme ça.
Avec cette lenteur qui me seyait parfaitement, elle a amené sa jambe près de la cuissarde. Elle était ouverte aux trois-quarts, elle y a fait glisser sa jambe, enfonçant ensuite le pied, puis elle a remonté la fermeture-éclair tout aussi lentement.
Elle n'avait qu'une seule cuissarde, mais il y avait déjà quelque chose d'autre. Quelque chose de fort, d'intense, de troublant. Son sexe ruisselait littéralement, je n'avais jamais vu ça avant avec une autre fille.
— Dommage qu'on ne se soit pas connus plus tôt...On était et on est faits pour s'entendre. On aime la même chose. Le même plaisir, mais chacun a un bout de celui-ci.
— Et avec Marco ?
Elle a eu une expression surprise.
— Marco, c'est un cousin. On ne fait pas l'amour ensemble. On n'a plus de famille, lui comme moi, on s'est retrouvés par hasard et on se revoit régulièrement. Il n'est pas question de sexe entre nous. Mais je vais avec d'autres hommes. Malheureusement, ils ne partagent pas ce qui nous a rapprochés.
— Alors, ça ne sera pas un one shot?, je lui ai demandé, plein d'espoir.
— Quand je suis ici, Marco me propose souvent des activités que je n'ai pas envie de faire. Et puis on pourra toujours se caler des moments de libre. Tu viendras chez moi.
Il n'y avait pas que son sexe qui s'ouvrait. Des possibilités aussi.
— Allez, viens me mettre l'autre.
J'avais les mains tremblantes, je dois bien l'avouer, quand je me suis approché d'elle. J'avais la cuissarde à la main pas encore ouverte. Elle a attrapé ma main, m'a dit :
— Viens, on va l'ouvrir ensemble.
Sa main sur la mienne, elle m'a guidé pour descendre la fermeture-éclair. Un geste partagé. Ca me plaisait. Elle m'a rendu mon autonomie pour que j'écarte le cuir luisant et que je vienne envelopper sa jambe. Ma queue était rarement aussi grosse qu'à ce moment. Ce qui me plaisait ce n'était pas la cuissarde seule, contre laquelle j'aurais frotté ma queue comme un substitut à l'acte sexuel, mais plutôt d'aller du cuir à la chair, et de la chair au cuir. Une manière de sublimer le sexe avec une femme, de lui donner une autre dimension.
J'ai remonté la fermeture-éclair. Ainsi, offerte, nue, les jambes gainées par les cuissardes, elle était irrésistible, et désirable. Et mon désir pour elle était à son plus haut point. Je voyais bien que ça lui plaisait de s'offrir ainsi, et qu'elle se considérait, elle aussi, irrésistible, parée ainsi.
Pour me troubler plus encore, elle est venue ficher ses deux index dans sa vulve, et elle s'est ouverte autant qu'elle le pouvait, me laissant voir une bonne partie de son intérieur, en tout cas jusqu'à son utérus.
— Regarde bien...Quand tu seras seul et que tu y penseras, tu te branleras cent fois...Et tu n'épuiseras jamais ça...
Ce serait sans doute le cas.
— Viens sur moi.
Les minutes qui ont suivi, il y a eu un jeu entre les cuissardes et la chair. Je me suis approché d'elle, elle a attrapé ma queue, dilatée, dure, l'a caressée doucement, comme pour s'assurer de sa dureté, et puis elle l'a faite frotter contre le cuir de ses cuissardes. Sensation lisse et rêche à la fois, sensation troublante, intense, qui a alterné avec une caresse sur sa chair, douce et chaude. Elle me guidait, m'amenait sur son ventre, sur ses lèvres, sans me faire rentrer en elle, revenait sur les cuissardes. Mais ce n'était pas que mon plaisir, c'était aussi le sien, intense, dont le signe le plus visible était sans doute que, quand elle frottait ma queue contre les cuissardes, elle se masturbait en même temps.
Jusqu'au moment où elle m'a dit :
— Regarde, il y a mon sac la-bas sur la table...Va chercher un préservatif et viens sur moi, j'en peux plus...
Le temps d'un regard dans le sac, elle était à quatre pattes. Mon désir à son maximum en la regardant, aussi offerte, son visage tourné vers moi, son regard et son sourire me disant 'Viens !', mon regard accrochant les cuissardes et glissant jusqu'à sa croupe bien charnue offerte, ouverte par sa position sur ses plissements anaux et sa vulve toute gonflée.
Je n'avais pas espéré, en descendant, que ça se passerait aussi bien...Comme quoi...Le Destin pouvait être largement positif...
Je suis venu sur elle. Elle a tendu la main en arrière pour me guider vers sa chatte. Un ajustement et j'ai glissé en elle, la faisant gémir. Son sexe était chaud et doux. Je me suis mis à la caresser en bougeant en elle. En même temps, j'ai laissé mes mains redescendre et glisser sur le cuir glacé des cuissardes. Comment aurait-il pu en être autrement ?
Malgré l'épaisseur du cuir, je savais qu'elle percevait les caresses dans sa chair, au-delà du geste et qu'elle y prenait du plaisir. Je l'ai fouillée dans cette position, avant qu'on en enchaîne d'autres, ma queue toujours dans sa vulve, et mes mains au contact des cuissardes, avant qu'elle ne me dise :
— Sodomise-moi.
J'ai appuyé mon gland dilaté contre sa muqueuse anale, et j'ai poussé. Ce n'était pas la première fois qu'elle se faisait prendre par là, j'ai glissé en elle sans problème, et ça a été à ce moment qu'elle a joui le plus fort. Elle s'est masturbée comme une forcenée, frottant son sexe dilaté, gland clitoridien dardé, bouche entrouverte, ruisselant encore plus, et c'était possible, une véritable cascade, arrosant nos chairs. Quand elle a joui, et elle a enchaîné les orgasmes, elle a craché des jets de liquide copieux, blancs, qui ressemblaient à du sperme sans en être, autre consistance, autre texture...
C'est après qu'elle m'a dit:
— Je vais m'occuper de toi. Je vais te donner du plaisir autrement.
Je ne risque pas d'oublier les moments qui ont suivi. Elle a fait preuve d'inventivité, d'habileté et d'audace. Partant sur des postures que je n'aurais même pas imaginé.
A commencer par ce que j'ai trouvé tellement audacieux, elle a replié sa jambe, pour amener ce long talon, effilé, d'une dizaine de centimètres à son sexe. Incontestablement souple, elle a baladé le talon autour et sur son sexe, se caressant avec. C'était pour me séduire, me faire plaisir, ou me tourmenter, mais elle y prenait un plaisir indéniable, qui n'était pas seulement celui de l'exhibition. Elle se donnait du plaisir avant tout.
Je me demandais si elle allait le faire. Elle l'a fait. Elle a fait glisser, avec une contorsion supplémentaire, le talon dans son sexe. Elle en a avalé une bonne partie. Elle a esquissé un mouvement de va-et-vient, ruisselant sur et autour du talon, preuve qu'elle avait du plaisir.
Elle a dégagé le talon de ses parties les plus intimes, pour l'amener, ruisselant de ses jus les plus intimes, jusqu'à ma queue...Elle l'a baladé sur ma chair. Caresse brûlante, un peu comme si elle avait baladé un couteau sur ma queue. Elle appuyait bien la caresse pour que je sente quelque chose. Un instant, j'ai cru que j'allais jouir, et, effectivement, j'ai baladé un jet de sperme qui a atterri en travers de ses poils pubiens.
--Non, il faut que tu tiennes. Je veux que tu aies encore du plaisir.
Elle est venu appuyer le talon sur mon gland, encore plus sensible. Elle a posé le bout contre mon méat, et elle l'a poussé à l'intérieur. Il y a eu de la douleur, mais aussi du plaisir.
--Une autre fois, quand on aura le temps, je te dilaterai avec une crème et je ferai rentrer le talon en toi...Tu verras comme c'est bon...Tu jouiras...Viens, maintenant, il faut jouir.
Elle m'a fait glisser contre elle, et elle a frotté ma queue contre le cuir. Ma jouissance a d'abord été figée, avant d'exploser. Elle a été hyper forte. En partie parce que je n'avais pas eu de partenaire ces derniers temps, que je ne me masturbais pas pour me soulager, mais aussi parce que j'étais hyper-excité par cette situation, si rare. Même si je savais que biologiquement ce n'était pas le cas, le sperme est sorti de moi comme d'une lance d'incendie, en grands jets copieux qui ont marqué d'un blanc crémeux le noir profond d'une cuissarde, puis de l'autre parce que j'ai basculé. Du bout des doigts, elle a ramassé la semence sur l'une des cuissardes, et l'a avalée, puis, elle a massé le sperme, moins copieux, sur l'autre cuissarde, le faisant pénétrer dans le cuir.
— Je prends bien soin de ma collection de bottes. Je les cire régulièrement. Le sperme c'est bien aussi pour donner vigueur et beauté au cuir.
Ce moment ensemble, unique, tirait à sa fin.
Dressée, alors que j'étais encore sur le canapé, entre deux, elle m'a dit, en passant une culotte, puis une robe :
— Samedi prochain, au matin, j'arrive pour le week-end. Marco ne sera pas là pour m'accueillir, il ne sera pas là non plus de la journée. Il va assister à une compétition moto et il rentrera le soir. Donc je serai toute seule. Je monterai te voir. A moins que tu ne passes ? J'aurai une belle paire de cuissardes. Ou de bottes. On pourra jouer à plein de jeux. Ca te dit ?
— Rien ne pourrait me faire plus plaisir.
Je suis sorti de l'appartement en sa compagnie. Elle a descendu l'escalier. Ses talons tapaient sur un plancher en bois. Je l'ai rejointe. Elle ne l'avait pas remarqué, mais il restait un peu de sperme sur l'une des cuissardes, et il glissait vers le bas. J'ai gardé cette image dans la tête jusqu'au samedi suivant.
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Histoire de JamesB

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