Dans les toilettes du lycée

Au moment de cette histoire, je venais tout juste d'avoir 18 ans. J'étais alors en terminale dans un lycée de mon quartier en région parisienne. A vrai dire, ce n'était pas le meilleur des établissements mais suffisamment bon pour me permettre d'obtenir mon Bac et d'accéder ensuite à l'université.

De ce que je me souviens, ma classe était plutôt ennuyeuse, et j'avais été déçu de l'ambiance de groupe pour ma dernière année. Cependant, il y a avait tout de même quelques personnes qui rendaient mon année plus attrayante. Effectivement, à défaut de ne pas avoir la meilleure classe que l'on puisse souhaiter, j'avais avec moi Audrey. C'était une amie que je connaissais depuis le collège et nous avions toujours gardé une très bonne entente durant toutes ces années.

Etre dans la même classe nous avait vraiment réjouis l'un et l'autre et nous avait permis de se rapprocher mutuellement.
Nous nous aidions au niveau des cours et révisions ensemble, une fois chez l'un et une fois chez l'autre.
Pendant cette année, je n'ai même pas compté le nombre de soirées et de fêtes que nous avons fait ensemble. C'était une amie vraiment géniale !

Un jour, alors que nous étions en cours d'histoire-géographie, Audrey leva la main et demanda à la prof si elle pouvait sortir car elle ne sentait pas bien.
Assis deux rangs devant elle, j'étais très surpris de cette intervention car l'heure précédant le cours d'histoire, Audrey allait parfaitement bien.
En tout état de cause, la prof consentit évidement à cette demande et me demanda, comme j'étais délégué de classe, de bien vouloir accompagner Audrey prendre l'air.
Dans le couloir, je demandai à mon amie ce qui n'allait pas. Elle ne répondit rien et se rua dans les toilettes.

Surpris de cet empressement, je pensais qu'elle avait mal au ventre ou quelque chose comme ça mais il ne s'agissait pas de ça.
5 minutes plus tard, elle sortit des toilettes et me retrouva juste devant. Je lui redemandai ce qui n'allait pas et à ma grande surprise elle me dit:
" Je veux bien te le dire, mais tu ne rigoles pas
- Bah, pourquoi voudrais-tu que je rigole, on se connaît depuis assez longtemps !!
- Oui c'est vrai... En fait, commença-t'elle avec hésitation, j'étais en manque !
- Hein ?! Mais en manque de quoi ?
- Bah, de sexe. Ca fait trop longtemps que je n'ai pas eu de relation et là c'était vraiment trop, je n'en pouvais plus en cours, j'étais tout excitée. "

Je restai là, surpris de cette annonce et ne répondit rien, la regardant bêtement.
A vrai dire, même si nous étions proches et que nous avions déjà parlé de nos relations personnelles, nous avions toujours respecté l'intimité de chacun.
Au bout de longues secondes, je lui répondit:
" Heu... bah je ne sais pas trop quoi te dire, et ça mieux là ? "
Un peu gênée elle répliqua: " Ben, non pas vraiment...
- Tu n'as qu'à te doigter ! "

J'avais répondu ça par instinct et me sentais à présent idiot de mon conseil que je venais de lui donner.
Elle me répondit: " Tu veux m'aider ? "

Un éclair me traversa le corps. J'étais à la fois étonné et tellement excité de la situation que j'acceptai.
Ainsi, je me retrouvai, dans les toilettes, la main sur sa culotte qui était toute trempée dû à sa chatte toute mouillée. Je ne résistai pas longtemps et passai ma main en dessous de sa culotte me retrouvant au contact de sa petite chatte toute rasée et transpirant comme jamais. Je lui introduisis un doigt puis deux et commençai des vas et viens de plus en plus rapides jusqu'à son clito. Elle, était en extase et adorait la situation. Au bout d'un moment, par un élan de plaisir, elle m'ordonna:
" Lèche-moi la chatte bébé "

Je ne me retins pas. Je pris sa chatte en pleine bouche et la lécha dans les moindres recoins. Je lui introduisis ma langue jusqu'à son clito et je jouai avec. Elle ne put s'empêcher de gémir par un pareil bonheur.
Avide, elle en voulut plus et m'arrêta pour se jeter à mes pieds et sortir ma queue de mon pantalon qu'elle se rua de mettre dans le fond de sa gorge. C'était magnifique, et tellement bon. Elle suçait comme une reine faisant passer sa langue tout le long de ma queue et mes couilles et revenant sur mon gland. Elle suçait comme une affamée qui n'avait pas mangée depuis deux semaines. Elle s'empressait de sucer comme si elle profitait du moindre instant de plaisir qu'elle savait précieux.

Elle finit par s'arrêter mais relevant les yeux elle me demanda de la prendre.
J'étais un peu sceptique, la prof se demanderait peut-être ce que nous faisions mais Audrey me supplia de la baiser: " S'il-te-plait, prend moi, s'il-te-plait ! "

Je ne pouvais résister à la tentation et je lui enfonçai ma queue dans sa chatte toute chaude. Je commençai des vas et viens de plus en plus rapides et de plus en plus profond. Elle gémissait fort et prenait son pied à se faire défoncer dans les chiottes par un de ses potes. Elle aimait ça et le criait sans se préoccuper des classes qui pouvaient nous entendre. J'allais maintenant très vite et elle me criait: " Oui, bébé, baise-moi comme ça, c'est bon "

Je lui disais de crier moins fort mais en vain.
Et à dire vrai, je comprenais son extase car moi aussi
Je prenais mon pied à sauter une très bonne amie dans les toilettes du lycée. Je la limai pendant au moins 1 quart d'heure sans arrêt. Elle n'en pouvait plus et à un certain moment, elle jouit d'une fureur impressionnante. Elle retira mon pénis de sa chatte et se mit à genoux.
Surpris, je lui demandai ce qu'elle faisait à mon grand étonnement elle me répondit: " Jouis moi sur le visage "

Mon étonnement fut remplacé par mon excitation qui me fit jouir en plein sur le visage d'Audrey.
Elle se nettoya rapidement et nous sommes retournés en classe sans un mot.
Plus tard, elle me chuchota dans l'oreille: " Il reste encore mon derrière que tu n'as pas exploré ... "

Nous sommes sortis ensemble pendant plusieurs mois, vivant des moments sexuels très intenses.