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Découvertes en apprentissage.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 06/02/2024

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Alors que j’ai maintenant 35 ans, je voudrais vous raconter mon apprentissage dans le domaine de la vente…
Tout commença lors de mon année de troisième au collège, l’année de mes 15 ans. Vaguement intéressée par la vente, j’avais fait une demande de stage dans une grande entreprise de la région lilloise où je vis, fabricant des stylos allant du premier prix au produit de luxe. Ce stage obligatoire en troisième est un stage d’observation. Le premier jour, j’ai été reçue par le patron qui, après m’avoir fait la bise à mon grand étonnement, m’expliqua qu’il avait organisé mon emploi du temps pour que je passe chaque jour avec une responsable de vente différente (le service était entièrement féminin) et que les derniers trois quarts d’heure de fin de journée se passeraient dans son bureau où il superviserait l’écriture de mon rapport de stage. Il m’appelait Estelle et me tutoyait, je l’appelais Monsieur et le vouvoyais. Il me prévint dès le départ qu’il était très tactile et câlin mais qu’il suffisait que je le lui dise si ça me dérangeait et qu’il ferait alors attention car il tenait avant tout à me respecter. La semaine se déroula comme il l’avait annoncé et chaque soir, confortablement assise à une table, je rédigeais sous son contrôle. Il était soit assis à côté de moi, soit debout derrière moi me tenant souvent par les épaules me faisant corriger mes fautes orthographiques ou de synaxe d’une pichenette sur la joue ou d’une petite tape sur la cuisse, m’aidant à être précise dans mes développements et me félicitant pour ce qu’il appréciait en accompagnant ses paroles d’une gentille caresse sur la joue. Ce comportement ne m’a jamais gênée même si je n’étais pas habituée à ce genre de contacts et puis j’avais réellement l’impression de progresser et de réaliser un super rapport. Je me sens reconnaissante envers cet homme qui, sous un aspect dur, est plutôt tendre et je regrette que le stage se termine déjà. Quand j’ai eu 20 en note de stage, j’ai fait une copie et la lui ai envoyée avec des remerciements.
L’année suivante, je suis entrée au lycée professionnel en vue d’obtenir un bac pro vente et gestion tellement mon stage m’avait convaincue. Ayant plusieurs semaines de stages réparties sur les 3 ans de ma scolarité, j’ai demandé à la même entreprise de me recevoir. Le patron m’a invitée à le rencontrer pour signer mes conventions. Il m’explique qu’il envisage de me confier des missions à ma portée pour chaque période de stage, la première moitié (seconde et première) dans le secteur « prix d’appel » et la seconde moitié (terminale) dans le secteur « grand public » avec, en fin de journée, bilan d’étape écrit sur la mission. Mon bonheur est grand et j’ai hâte d’être en stage. Les deux premières années comportant 12 semaines de stage, alors que j’avance vers mes 16 ans puis mes 17 ans, se passent comme lors du stage d’observation si ce n’est que chaque soir, pour lui dire au revoir, je me suis serrée contre lui pour un câlin : il me prenait dans ses bras, me caressait le dos puis d’un bisou sur le front me renvoyait chez mes parents. J’adorais ces moments-là. La Terminale, entre 17 et 18 ans, se passa presque à l’identique : je connaissais l’entreprise de mieux en mieux, mes missions variaient et mes résultats au lycée étaient les meilleurs de toute ma scolarité. Le patron me guidait toujours d’une manière efficace et j’appréciais de plus en plus ses mains sur mes épaules ou sur mes jambes ainsi que nos câlins du soir. Pour le bisou du matin, sa main était passée de l’épaule à la hanche mais d’une façon tellement naturelle, douce, sans appui particulier que je trouvais cela plaisant. Il m’avait juste dit, qu’après mon bac, il m’encourageait à tenter un BTS en alternance et que, si je le désirais, il m’embaucherait comme apprentie.
Ayant obtenu mon bac avec mention la veille de mes 18 ans, j’ai opté pour un BTS marketing en alternance et me suis présentée dans la même entreprise pour un contrat d’apprentissage. Mi-juillet, je vais signer mon contrat. Comme il fait très chaud, je porte un court short en jean et un haut blanc laissant mes épaules nues avec un soutien-gorge noir sans bretelles. Le patron a souri en me recevant et m’a félicitée en paroles et en me prenant dans ses bras pour un câlin comme je les aime qui, pour la première fois, s’est conclu par une tape sur les fesses en m’invitant à m’asseoir pour discuter des conditions de travail. Il m’explique alors que de stagiaire accueillie je deviens employée, que je vais toucher un salaire d’apprentie : alors que le minimum légal est de 750 €, il me propose 1000 €. Il va m’employer dans la branche luxe de l’entreprise. Je suis très heureuse et m’apprête à signer le contrat immédiatement mais il m’impose de le relire entièrement. Je m’installe à la table ovale et me mets à lire mon premier contrat de travail. J’arrive presque à la fin après avoir posé une ou deux questions, il s’approche de moi avec un stylo qu’il me tend et met ses mains sur mes épaules. J’ai un léger frisson de plaisir tandis qu’il me les caresse pendant que je paraphe chaque page du contrat et le signe en finale. Il s’assoit alors à ma gauche et me dit que dans l’univers du luxe j’aurais des obligations vestimentaires, qu’il comprend que je sois en tenue de vacances mais que lors de ma venue fin août il ne devrait plus voir en quelques minutes que j’ai une culotte bleue et un soutien-gorge noir en dentelle. Je rougis en entendant ses remarques et ne peux m’empêcher de demander comment il a pu le voir. Il se penche vers moi, m’écarte légèrement les jambes et me montre que mon short est réduit au minimum à l’entrejambe permettant d’apercevoir ma culotte. Il passe alors un doigt sur le bord de la culotte. Je suis tétanisée et cramoisie mais en même temps j’aime ce contact sans pouvoir me l’expliquer. Sa main remonte alors sur mon haut et s’empare d’un sein pendant qu’il m’explique qu’un soutien-gorge noir se voit sous un haut blanc qui plaque et il ajoute en me pinçant légèrement le bout du sein qu’un téton qui pointe trahit bien la dentelle. Mon seul réflexe est de me lever et de me plaquer contre lui comme pour cacher ma honte. Il me serre dans ses bras et me rassure en m’expliquant qu’il comprend parfaitement que je sois avec une tenue de vacances et en riant il ajoute :
- Heureusement pour toi, sinon tu aurais eu le droit à la fessée !
En le disant, il me donne une claque sur une fesse et me libère en me souhaitant de bonnes vacances. Je souris et lui dis « merci Monsieur » puis je pars. En sortant de son bureau, je ressens de l’humidité dans ma culotte… Les vacances ont été excellentes, fière que j’étais d’avoir obtenu mon bac et trouvé un lieu d’apprentissage pour mon BTS en alternance. Fin août, quand il a fallu commencer dans l’entreprise, j’ai choisi mes vêtements avec plus d’attention : culotte noire, soutien-gorge beige avec coques (c’est inconfortable mais on ne voit pas la pointe des seins), jean noir et tee-shirt blanc sans inscriptions. Je suis arrivée avec 5 minutes d’avance au bureau du patron. Il est content de ma ponctualité. Je me serre contre lui pour un câlin. Il me caresse le dos et me pose un bisou sur le front. Puis passant une main sur un sein, il me dit qu’un soutien-gorge à coque permet de cacher les tétons mais est plus visible et montre mon manque d’assurance. Je rougis immédiatement. A son invite, je m’assois à côté de lui à la table de réunion. Il m’explique alors que pour travailler dans l’univers du luxe, mes clients doivent avoir envie de me voir mais ne pas être focalisés sur mon corps. Je dois leur transmettre l’image d’une femme sûre d’elle… Il m’invite alors à retirer les coques si c’est possible. J’hésite, puis, devant son regard insistant, je soulève mon tee-shirt et retire les coques. Sa main reprend mes seins pendant qu’il me dit que je serai mieux ainsi. Je rougis encore plus mais ne fait rien pour me reculer ou lui enlever la main. Il me lâche, rabaisse mon haut et m’explique que mes vêtements doivent avoir beaucoup de classe pour correspondre au niveau desdits clients. Je m’effraie un peu car ni mes parents ni moi n’avons les moyens de changer ma garde-robe… Il me dit que ce n’est pas un problème, que l’entreprise va me fournir des tenues de travail et il me propose de l’accompagner pour ce changement de tenues. Je le suis. Après un court trajet en voiture, nous arrivons devant une maison ne ressemblant en rien à un magasin. Nous y sommes accueillis par une jeune femme qui me dit qu’elle va s’occuper de moi. Je la suis dans une grande pièce comprenant plusieurs miroirs sur chaque mur, quelques chaises confortables et une petite table. Le patron nous a suivies. La vendeuse me demande de me déshabiller pour prendre mes mesures. Je reste tétanisée car le patron ne me quitte pas des yeux. Voyant mon désarroi, il se lève, vient vers moi et soulève mon tee-shirt en me disant qu’il m’a déjà vue en soutien-gorge. Je me contente de lever les bras pour qu’il finisse de l’enlever. Il a déboutonné mon jean et m’a dit que s’il l’enlevait lui-même ma culotte risquait de descendre en même temps. Sans rien dire, me sentant rouge, les joues en feu, j’ai fini de l’enlever. Il s’est rassis pendant que la vendeuse prenait mes mesures puis il lui a dit qu’il voulait deux pantalons, une jupe, un short et six hauts. Quand elle est sortie, je me suis étonnée du short. Il a souri et m’a dit que je n’avais rien à craindre, avec ce short là on ne verrait pas mes dessous… Me voyant gênée, il s’est relevé et est venu me faire un câlin. Je le prends dans mes bras et cale ma tête dans le creux de son épaule. D’une main, il me caresse doucement le dos l’autre étant posée sur ma culotte et il me dit que j’ai la peau douce. J’en frissonne de plaisir. Il se rassoit et garde une main à l’arrière de mes jambes en une douce caresse. Je suis moins en stress quand la vendeuse revient. J’essaye les diverses tenues, la vendeuse pose des épingles pour les reprises (ourlets, pinces, etc.). Après plus d’une heure, retour à l’entreprise. Pendant le trajet, le patron me demande si je ne suis pas fâchée qu’il soit resté et m’ait vue en sous-vêtements. Comme je lui réponds que non et qu’il a su me rassurer, il me sourit en me caressant la cuisse. Il n’y a plus d’autres contacts de la journée sauf quand je viens lui dire aurevoir avant de rentrer chez moi. Comme d’habitude, je viens lui faire un câlin. Il me repousse un peu en me tenant par les hanches et me dit qu’il préfère caresser ma peau. Je souris et lève les bras pour qu’il m’enlève mon tee-shirt et viens dans ses bras. En rentrant chez moi, je repense à cette journée et suis contrainte de m’avouer que ma semi-nudité dans ses bras est plutôt agréable même si j’ai honte de me laisser faire. Les deux jours suivants furent normaux avec câlins mais sans déshabillage. Ce n’est que le jeudi en début d’après-midi qu’il m’appelle dans son bureau. Quand j’arrive, il vient dans mon dos et, en me prenant dans ses bras, déboutonne mon chemisier. J’ai un frisson de plaisir et le laisse faire. Alors qu’il finit de m’enlever mon chemisier, il m’explique que mes nouveaux vêtements ont été retouchés puis mis au pressing et ils viennent d’être livrés. Tout en me donnant ces explications, ses mains se sont attaquées à mon jean et, en le baissant, entrainent ma culotte. Dans un ultime réflexe je la rattrape et me rhabille… Il m’embrasse dans le cou en me caressant le ventre et me dit qu’il regrette que je ne lui laisse pas mes jolies fesses à disposition. Je suis à nouveau rouge. Il m’invite alors à essayer mes tenues et à choisir celle que je veux garder sur moi tout en me caressant le dos, le ventre et même les fesses et l’arrière des cuisses. J’adore trop ce que je ressens pour oser protester (il sera temps d’avoir honte ce soir dans mon lit). Alors que j’ai enfin choisi un pantalon noir et un chemiser rouge à motifs géométriques noirs, avant que je ne les mette, il me prend dans ses bras pour un dernier câlin en me caressant le dos et les fesses et me dit que j’ai de jolies fesses et qu’il a hâte de les revoir. Je recommence à rougir, il sourit et me pose un bisou sur les lèvres. Je suis tétanisée. Une claque s’abat sur mon derrière et me fait sursauter alors qu’il me dit de m’habiller. Il me laisse retourner au travail et je poursuis mon apprentissage sur un boulot qui me plait de plus en plus. La semaine suivante se passe sans rien de notable si ce n’est nos câlins quotidiens se terminant systématiquement par un bisou sur les lèvres auquel je prends goût. Les deux semaines suivantes, je suis en formation au lycée (5 semaines en entreprise pour 2 au lycée).
Le matin de mon retour, alors que je suis en jupe, il m’accueille en me prenant dans ses bras et en me caressant le dos puis il soulève ma jupe pour me caresser les fesses à travers mon collant. Je commence à être habituée à ce genre de caresses et ne rougis même plus. Après m’avoir embrassée, il me fait une proposition non obligatoire mais enrichissante pour ma formation : déplacement de quatre jours pour rencontrer d’importants fournisseurs et deux grossistes à l’étranger. Enthousiaste, j’accepte immédiatement. Il me dit de quitter l’entreprise à 10 h pour rentrer préparer mes bagages car nous partons dès quatorze heures. C’est avec joie et empressement que j’obéis. Son chauffeur nous dépose à l’aéroport où nous attend un petit jet privé. Nous nous installons face à face. L’avion décolle très rapidement et l’hôtesse nous sert un café avant de nous laisser seuls. Direction Marseille pour une première rencontre avec un fournisseur. J’assiste aux négociations (qualité et prix) puis retour à l’avion pour s’envoler pour Dublin où nous passerons la nuit avant de rencontrer un second fournisseur avec qui nous déjeunerons le mardi. Dans l’après-midi, départ pour Rome où nous resterons deux jours pour un retour vendredi après-midi sur Lille. Arrivés à Dublin, nous prenons un taxi pour nous rendre à l’hôtel où nous attendent deux chambres de part et d’autre d’un couloir. Le patron me dit de m’installer et qu’il me rejoint dans dix minutes pour me donner toutes les informations pour la journée du lendemain. J’ai eu le temps de passer dans la salle de bain quand le patron frappe à ma porte. Il commence à m’expliquer notre rencontre du lendemain matin et ce qu’il attend de moi en puis, en m’invitant à me changer pour ne pas attraper froid, il vient alors vers moi et commence à dégrafer ma jupe. Surprise, je reste immobile mais ne repousse pas ses mains. Ma jupe tombe à terre et il me soulève les pieds pour la relever et la poser sur le lit et je mets mes mains sur ses épaules. La situation devient compliquée et je ne sais plus quoi faire pour rester « digne ». Je n’ai pas le temps de me poser de plus amples questions que déjà ses mains s’attaquent à mon collant. C’est alors que je me souviens que je suis en string. Je vire au cramoisi alors qu’il finit de me l’enlever. Il se lève, m’enlace en me caressant les fesses et me dit que je devrais mettre rapidement un pantalon si je ne veux pas recevoir une fessée… puis il éclate de rire. Je m’empresse de sortir un pantalon et m’habille. Alors que nous partons pour diner, me voyant toujours rouge de honte, il me dit que je ne dois jamais avoir honte de mon corps et, face à un évènement imprévu, savoir faire comme si je l’avais voulu afin de paraitre toujours sûre de moi. Assis dans le taxi, tout en me caressant les cuisses, il me demande si je lui en veux pour ce déshabillage. Je ne réponds pas immédiatement car je m’interroge et ne peux m’empêcher de penser à la douceur de ses mains sur mes fesses. Après un petit moment, je lui dis que je ne lui en veux pas mais que je ne peux pas m’empêcher d’être gênée quand il me dénude car il est le premier… Il me sourit, accentue sa pression sur mes cuisses et me dit qu’il espère que j’y ai trouvé un côté excitant. Je ne sais pas si c’est excitant, mais je lui avoue que, malgré la gêne, j’aime ses câlins. En descendant du taxi, avant de rentrer dans le pub qu’il a choisi pour son ambiance musicale, il me prend dans ses bras et m’embrasse ; sa langue force légèrement mes lèvres que j’ouvre presque immédiatement : c’est mon premier baiser ! Je reste collée à sa bouche tant j’aime ce que je ressens. Ce repas simple et peu arrosé, accompagné de musique irlandaise, est une occasion qu’il saisit pour m’interroger sur ma vie privée ; je lui dis que je n’ai pas de copain et, quand il me demande si j’aime faire l’amour, à peine gênée mais légèrement rougissante, je lui avoue ma virginité. En me caressant l’intérieur des cuisses, il me demande si j’aime me masturber. Est-ce la bière ou ses caresses si douces qui me désinhibent, mais j’ose lui répondre que cela m’arrive rarement. Lorsque nous arrivons à l’hôtel, il me demande s’il peut me déshabiller. Il voit vite ma gêne et me sent hésitante. Il me dit alors que, si je l’accepte, il peut juste me mettre en sous-vêtements et me faire un dernier câlin avant de me quitter. J’ouvre ma chambre et l’invite à entrer. Il commence par m’embrasser puis s’attaque à mon chemisier qu’il pose délicatement sur une chaise avant de recommencer ses baisers en me caressant le dos et la poitrine (par-dessus le soutien-gorge). Pendant qu’il m’ôte mon pantalon, je lui dis que je ne me sens pas prête à aller plus loin. Il me rassure en me disant qu’il va me laisser. Après un ultime baiser accompagné de douces caresses sur mes fesses, il me souhaite une bonne nuit et, en riant, il me conseille de me masturber. Après être passée par la salle d’eau, je me couche nue et, en pensant à toutes ses caresses, je me suis procuré une fabuleuse jouissance. Le lendemain, après une bonne douche, je choisis des sous-vêtements blancs comportant des empiècements de tulle permettant de bien voir la pointe de mes seins et mon pubis brun ainsi que l’entièreté de mes fesses car je sais que je vais me laisser déshabiller. Je m’habille avec un pantalon pont (pas de fermeture zip mais deux rangées de boutons verticales) et une blouse à col rond se posant par-dessus ; le tout est très classe et pas du tout aguicheur, le fournisseur que nous devons rencontrer ayant tendance à « sauter sur tout ce qui bouge » dixit mon patron. Je viens de finir de me préparer lorsqu’il frappe à la porte. Il entre et m’embrasse tendrement en passant la main sous mon haut pour me caresser les seins un instant avant que nous allions déjeuner. Je ne rougis plus et me laisse aller dans ses bras avec le sourire. Après un délicieux petit déjeuner, nous partons rejoindre notre visiteur pour visiter son usine et négocier nos prix en concluant autour d’une table pour un en-cas rapide. Comme prévu, pendant la visite de l’usine, le fournisseur essaye de me prendre par la taille en me mettant une main sur les fesses. Je fais alors remarquer à mon patron pour qu’il traduise (mon anglais est exécrable) que je trouve l’usine sale et que s’il n’y a pas le moindre soin, on peut douter des soins apportés à la qualité de fabrication. Le patron traduit et le fournisseur s’éloigne immédiatement de moi comme si j’étais un serpent. Les pièces qu’il nous fournit étant destinées à la gamme luxe, nous sommes très exigeants. La visite se poursuit mais moins enjouée. Je suis tant bien que mal les négociations mais ne peux y participer vu mon niveau de langue. En partant verss l’aéroport, le patron demande au chauffeur de taxi de nous faire faire un petit tour de Dublin. De notre retour dans l’avion, le patron me félicite pour mon intervention ayant permis que ce fournisseur me laisse tranquille et qu’il couche les pouce sur ses exigences tarifaires. Il me dit que si je continue comme ça, je deviendrai une habile négociatrice. Puis il m’annonce des cours intensifs en anglais et j’en suis heureuse. Nous arrivons à Rome vers 16 h et le patron affrète une voiture avec chauffeur pour une visite touristique. Pendant deux heures notre chauffeur me fait entrevoir les merveilles de cette ville avant de nous conduire à l’hôtel. Là je constate que nos chambres sont communicantes. Le patron me demande d’ouvrir la porte de communication de mon côté. J’entre et je m’exécute avant de partir vers la salle de bains. Lorsque j’en sors, il est assis sur mon lit, m’attendant. Il se lève et je vais me lover dans ses bras. Il commence à lever ma blouse, alors je m’écarte de lui et lève les bras en l’air pour lui faciliter mon déshabillage. Il sourit et, découvrant mon soutien-gorge, me remercie de lui offrir une telle vue sur mon corps. Il s’empare de mes seins et excite mes tétons en m’embrassant me provoquant des frissons qui descendent jusqu’à mon sexe. Sentant mon abandon, il pose une main sur l’agrafe du soutien-gorge et me demande s’il continue. J’acquiesce dans un souffle et suis rapidement torse nu. J’avoue que je suis déçue quand il me dit de m’habiller pour que nous allions diner. A sa demande, je ne remets pas mon soutien-gorge. Pendant le repas, sous son regard, je ne me sens plus jeune fille mais femme : j’apprends les pouvoirs de mon corps. De retour à l’hôtel, tout en nous embrassant il m’a entièrement dénudée et, jouant de ses doigts sur tout mon corps, il m’a emmenée vers un premier orgasme qui m’a laissée pantelante. Il a ensuite patienté en me caressant le ventre, le cou et les épaules pour que je redescende de mon perchoir enchanté avant de m’embrasser les seins en me caressant l’intérieur des cuisses. Quand j’ai recommencé à exprimer mon plaisir, il m’a enfin pénétrée, lentement, en prenant soin de continuer ses caresses. Quand il m’a eu entièrement pénétrée, il a attendu pour que je ressente pleinement sa présence en moi puis, sans se relever, il a juste fait onduler son bassin en laissant le plaisir m’envahir. N’en pouvant plus de cette montée infinie de sensations, je lui ai demandé de me faire jouir. Il a alors commencé de lents aller-retours me procurant un premier orgasme avant de les accélérer jusqu’à ce que je crie de bonheur dans la violence d’un nouvel orgasme d’une rare intensité. A ce moment-là, il sort de mon sexe pour jouir sur mon ventre. Après une douce douche commune nous regagnons nos chambres respectives pour une nuit réparatrice. Le lendemain et le surlendemain, le travail fut intense entre des rencontres avec des fournisseurs et celle avec un client. Mais il fut entrecoupé d’une nuit câline me faisant découvrir le plaisir d’un cunnilingus et me guidant dans l’apprentissage de la fellation. Je me suis donnée tout en sachant qu’il ne s’agissait que de plaisir et de tendresse et non d’amour. D’ailleurs, lors de ma seconde session ‘’scolaire’’, je suis sortie avec un garçon de ma promo qui est aujourd’hui mon mari. Notre fille ainée a quinze ans et doit faire un stage d’observation en entreprise. Je l’ai confiée à celui qui est toujours mon patron en lui souhaitant un avenir aussi doux et prometteur que l’a été le mien…
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Commentaires du récit : Découvertes en apprentissage.

Le 11/04/2024 - 01:08 par alexandre8819
sympa à quand mon tour? j'aimerai beaucoup moi aussi passer un momen coquin
Le 12/02/2024 - 09:47 par lucrece
J'ai également été "soumise" à un patron lorsque j'étais étudiante. Comme toi cela a commencé par des petits attouchements semblant anodins. Jusqu'au jour où ses mains se sont glissées sous ma jupe. 15 jours plus tard il me prenait à l'arrière du magasin.

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