Demande d'embauche factice

Une employée de l'agence où travaille mon homme lui avait raconté que le patron avait soi-disant laisser sous-entendre des possibilités d'embauche aux jeunes femmes qui venaient se présenter pour un emploi. Elle disait même soupçonner Jessica (pseudo) d'avoir eu des relations avec lui pour de petites "compensations".
Cet homme a créé sa société il y a plus de 40 ans, difficile à croire qu'il n'y aurait jamais eu de plaintes contre lui.
D'après mon homme, lorsqu'il reçoit une postulante, et contrairement à quand il s'agit d'un homme, il ferme toujours la porte de son bureau.
- Moi: "Et tu aimerais savoir si tout ça est vrai ?".
- Lui: "Je m'en fous".
- Moi: "Si tu me dis ça c'est que tu veux le savoir, autrement tu ne m'en aurais pas parlé".
- Lui: "Peut-être qu'avant il se passait ces choses-là, mais maintenant il a plus de 70 ans et je ne crois pas qu'il oserait encore "taquiner" des jeunes femmes, surtout depuis "ME TOO".
Mais je connais mon homme, j'avais compris qu'il aimerait que je le renseigne sur ce que Jessica lui avait dit mais que malgré que nous soyons candaulistes il n'osait me le demander.
Alors je lui ai proposé de jouer à la jeune femme ayant vraiment besoin d'un emploi et il a accepté avec un large sourire.
Le souci c'est que je connais 2 personnes qui travaillent là et que nous ne tenions pas à ce que ces gens me voient venir me présenter.
Mon homme a réfléchi quelques instants puis m'a fait cette proposition:
"Le vendredi, monsieur ... reste toujours plus tard au bureau, nous quittons tous à 17h et lui jusque tard dans la soirée. Tu pourrais lui téléphoner en lui disant que tu cherches désespérément du boulot mais que tu ne sais pas te présenter avant 18h".
Presque aussitôt dit, presque aussitôt fait, le lendemain après-midi j'ai téléphoné au patron en lui expliquant ma soi-disant situation. RDV fut pris pour le vendredi à 18h30.
Le vendredi j'ai pris une douche puis ai perdu 1/2 heure à choisir ma tenue. Devais-je simuler une oie blanche vêtue classiquement ? Devais-je être un peu sexy ou outrageusement séductrice ?
J'ai opté pour le côté "un peu sexy", une robe courte boutonnée sur le devant, des bas autoportant et des talons de 7 cm. Bien sûr je n'ai pas boutonné 3 boutons du haut ni 2 boutons du bas.
18H15, je me gare à +- 30 m de la société et m'assure pendant un certain temps que personne n'y entre ou en sorte.
18h30 pile, je sonne à l'entrée et une voix masculine me répond et me dit de prendre l'ascenseur jusqu'au 4ème et dernier étage.
Pendant la montée, excitée par ce qui allait peut-être se passer, je me suis un peu caressée.
Lorsqu'il m'a faite entrée dans son bureau il m'a désigné une chaise de bureau où prendre place, directement j'ai compris que Jessica avait dit la vérité car cette chaise avait le siège baissé au maximum et le dossier assez penché vers l'arrière.
Il m'a posé quelques questions sur mon parcours pro, je lui ai répondu que j'avais peu d'expérience dans le travail de bureau, que depuis 2 ans je posais pour des peintres et des photographes sans être déclarée.
Là j'ai réellement vu ses yeux pétiller, j'avais réussi à l'intéresser !
- "Je vais vous dicter une petite lettre que vous écrirez de façon manuscrite afin de vérifier votre écriture et votre orthographe, pour cela je vais m'asseoir à côté de vous".
Le temps qu'il se saisisse d'un blog-papier, et installe une chaise à côté de moi, j'ai discrètement fait tomber les pans de ma robe dévoilant ainsi la quasi entièreté de mes jambes.
Il s'est assis et a commencé à dicté, mais au bout de 2 lignes il a demandé à ce que je tienne le blog plus haut, pas posé sur moi.
J'ai tenu le blog à hauteur de ma poitrine.
- "Vous pourriez presque poser le blog sur votre poitrine tellement elle semble ferme", me dit-il avec un grand sourire.
- "Vous me gênez" ai-je répondu.
- "Il ne faut pas être gênée, vous êtes jeune et terriblement belle, dés que vous êtes entrée je me suis dit que celui qui a le bonheur de caresser vos jambes est vraiment un homme chanceux".
- "Merci, mais c'est pour du travail que je suis ici, pas pour parler des hommes qui, selon vous, ont le bonheur de me caresser".
C'est alors que tout s'est enchainé !
Dans le même temps il a posé une main sur ma cuisse et m'a dit: "Les 2 ne sont pas incompatibles".
Je lui ai dit qu'il devrait peut-être bouger sa main de ma cuisse, il l'a fait mais pour la monter jusqu'à ma petite culotte.
- "Je ne sais pas si tu avais l'intention de m'allumer avec ta robe si peu boutonnée, mais quoi qu'il en soit j'ai vraiment envie de toi".
- "Mais...".
- "Ecoute, si tu veux je t'engage, mais j'aimerai que tu te lèves d'abord".
Je me suis levée et il m'a dit de me mettre face à lui qui était resté assis.
Nous étions distant de 30 cm, il a commencé à détacher les boutons encore fermés jusqu'à ce que ma robe soit totalement ouverte, ensuite ses mains ont parcouru mon corps.
- "Monsieur, je n'ai pas l'habitude de me laisser faire par des inconnus, laissez-moi me rhabiller et partir".
- "Tu te rhabilleras et partiras dés que notre entretien sera terminé, maintenant laisse tomber ta robe car je vais t'enlever ta petite culotte et ton soutien-gorge".
- "Vous me promettez du travail si je vous laisse me caresser ?".
- "Oui, mais je ne vais pas seulement te caresser, tu vas me sucer et je vais te baiser petite salope".
J'ai fait glisser ma robe et, comme il l'avait dit, il retiré ma culotte et défait mon SG qui est tombé par terre.
Il m'a léchée la chatte, m'a retournée et écarté les fesses pour me léché l'anus avant d'y introduire un doigt tout en me demandant de me pencher vers l'avant.
J'étais entre les mains d'un vieux vicieux, je sentais qu'il n'avait aucune limite.
J'ai dû me mettre à genoux et le sucer alors qu'il était assis, ensuite il m'a demandé de me mettre face au bureau et m'a appuyé sur la tête pour que je sois semi-allongée avant de m'écarter les jambes.
- "Je vais t'enculer, j'espère que tu n'y vois pas d'inconvénient, d'ailleurs si tu tiens à travailler pour moi..."
- "Oui, mais j'ai du lubrifiant dans mon sac, svp prenez-le".
- "Tu te promènes avec du lubrifiant ? T'es une pute ?".
- "Je suis aussi pute que vous un vieux vicelard, ça vous dérange ?".
Il a prit le lubrifiant et s'en ai enduit le sexe, du moins c'est ce que j'ai cru car il avait fait semblant. Délicatement il a introduit le début de son gland en me demandant si ça allait. Vu ma réponse positive il s'est enfoncé d'un coup sec jusqu'à ce que son ventre soit collé à mes fesses.
- "Vieux dégueu, vous n'avez même pas lubrifié votre queue, vous m'avez fait mal".
Il a rigolé et, en plus de ses allers-retours entre mes fesses, s'est mis à me fesser sans douceur.
Le résultat ne se fit malheureusement pas attendre, j'aime la sodomie et suis adepte des fessée et autres petits jeux sm, donc j'ai manifesté mon plaisir.
- "Tu aimes ça ma salope, ton cul est un trou à bites que papy Marcel va déglinguer, je n'ai plus la fougue d'un jeune mais à 73 ans je sais m'occuper des jeunes donzelles comme toi, tu es ma chose et tu vas gouter à des plaisirs que tu ignores peut-être encore.
Il me bourrait violemment, me tripotait les seins sans aucune délicatesse, puis j'ai senti sa bite gonfler et son sperme se déverser en moi.
J'ai cru que malgré ses dires il en avait fini, mais non !
Il s'est retiré et m'a demandé de me mettre à 4 pattes, il m'a saisie par les cheveux et m'a promenée ainsi dans les couloirs avant de me faire entrer dans une pièce qui s'avéra être une salle de bain.
- "Allonge-toi dans la baignoire".
Je le fis, pensant qu'il désirait me laver. Mais lorsqu'il prit sa queue en main j'ai compris son désir, désir qu'i exauça immédiatement en m'urinant dessus.
- "Ouvre la bouche".
- "Non, je ne boirai pas votre pisse".
- "Avale ou pas, mais ouvre ta bouche de salope" d'un air très directif.
J'ai ouvert la bouche et il m'a pissé dedans ainsi que sur la tête. Je n'ai pu faire autrement que, malgré moi, d'avaler un peu de son pipi, mais cela m'arrive parfois avec mes amants, alors..."
J'étais inondée d'urine de la tête aux pieds et il m'a demandé de me mettre à genoux et de le sucer à nouveau. Là encore j'ai eu droit à quelques gouttes de son urine, mais pas à du sperme qu'il n'était sûrement plus capable de produire aussi rapidement.
Ensuite, toujours trempée d'urine, il m'a ramenée dans à son bureau sur lequel il m'a allongée avant d'introduire tout ce qui y trainait en précisant qu'il prendrait son pied lorsque son personnel prendrait ces objets sur lesquels ma cyprine serait.
Lorsque j'ai pu me relever il a tenu à me rouler une pelle, ce qui n'avait pas encore été fait. Bon, elle fut assez désagréable car il prit un malin plaisir à laisser couler un maximum de salive dans ma bouche qui en écoulait une partie sur moi.
Ensuite il s'est écarté et m'a dit de me rhabiller, que je pouvais partir.
- "Mais j'aimerai pouvoir me laver avant, j'ai les cheveux et le corps pleins de votre urine".
- "Je n'ai pas le temps que tu te laves et, de plus, il n'y a ni savon ni serviette de bain, rhabille-toi et me fais pas ch...".
- "Et pour ce qui est du travail ?" ai-je demandé.
- "Passe voir ma secrétaire lundi et donne-lui tes coordonnées, dés qu'il y aura une place de libre on te contactera".
- "Je ne vous crois pas, vous vouliez juste me sauter".
- "Hé hé, peut-être, faut dire que tu avais l'air très ouverte quand tu t'es présentée à moi à moitié déboutonnée, mais si tu veux tu peux venir de temps en temps et je te ferai de petits cadeaux".
Je lui ai répondu que je n'étais pas intéressée et, idiotement l'ai remercié en partant.
Bisou à tous,
Lucrèce