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Démonstratrice zélée

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Lue : 16538 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/03/2011

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Une limousine blanche qui s’arrête dans la cour d’une villa cossue, une jeune femme en descend, c’est une femme élégante, grande, noire, ses cheveux auburn décrêpés dansent sur ses épaules en longues boucles torsadées. Elle est vêtue d’une sorte d’imperméable de couleur beige, très court largement fendu en arrière et quand elle se dirige vers la porte de la maison, au travers de son vêtement je devine un des lobes de ses fesses nues qui ondule au rythme de sa démarche féline.

Elle sonne et une jeune femme l’accueille en souriant, elle aussi est belle, élancée, brune, de longs cheveux, ses lunettes fines cerclées de noir sur ses yeux bleus foncés lui donnent un certain charme. Elle est vêtue d’une robe bleue foncée, stricte, très courte, ajustée sur sa silhouette longiligne.

« Entrez, je m’appelle Gladys, je suis la démonstratrice…., asseyez vous, installons nous dans ce salon, vous êtes Tanya sans doute ? je vous attendais »

En s’asseyant sur la banquette capitonnée en cuir Tanya eut du mal à cacher ses jambes sous le frêle rempart de son imper mais comme Gladys montrait largement les siennes légèrement ouvertes, elle croisa ses jambes montrant généreusement ses cuisses nues. La conversation s’engagea sur un ton neutre malgré l’émoi qui saisissait Tanya depuis son entrée. Gladys attentive l’enveloppait de son regard bienveillant.

« Je suis la première ? les autres vont venir sans doute ? excusez moi mais je déteste être en retard »

« Nous serons seules, vous et moi, car ce serait délicat de faire l’article en groupe, j’ai l’habitude de voir les femmes intéressée une par une cela me prends plus de temps mais mes clientes sont à leur aise pour exprimer leurs goûts, leurs besoins, leurs désirs.»

« Vous avez raison je serais plus à l’aise comme cela, j’appréhendais un peu cette réunion »

« Ne craignez rien nous serons parfaitement tranquilles, j’ai donné des ordres et personne ne viendra nous déranger. Qu’attendez-vous de moi ? »

« Que vous me conseilliez….. comment dire ?..... J’ai de gros besoins …….sexuels….. »

« Ne craignez rien, confiez vous à moi, vous serez satisfaite … vous avez dit de gros besoins….c’est bien……si on peut les contenter »

« C’est là que j’ai besoin de vous, des articles dont vous faîtes la promo……Je ne le cache pas j’aime faire l’amour mais quand je suis seule je suis en manque et mes caresses ne me suffisent plus….vous comprenez ? »

« Parfaitement, vous ne serez pas déçue……mais mettez vous à l’aise…..posez votre imper sur la banquette »

Alors Tanya se leva et je fus pétrifié par ce qu’elle montra, son corps somptueux mis en valeur par un superbe ensemble de lingerie coquine, une sorte de Body ne cachant rien, montrant tout. Que je vous explique, pas de tissus mais une espèce de toile d’araignée très aérée arrimée sur une bande élastique, noire, soutenant sa poitrine, un réseau noir de cordons élastiques épousant en corbeille ses seins sans les cacher et passant sur ses épaules. En dessous quatre cordons passant sur son ventre plat et convergeant en s’unissant deux par deux pour s’insérer dans les deux plis séparant les grosses lèvres de sa chatte et de ses cuisses puis se réunissant dans la raie des fesses pour remonter dans son dos. Une sorte de petite faveur en forme de papillon coincée dans la commissure en haut de ses fesses

Une splendeur! des seins fermes dressés, de grandes aréoles sombres pointées de tétons assez gros bien formés, une peau sans défauts assez claire, couleur café au lait, mordorée, un ventre plat, des jambes parfaites longilignes, des cuisses charnues sans excès, des fesses somptueuses sans la moindre trace de cellulite, bien rondes, ouvertes, une chatte fruit, gonflée comme une mangue bien mure, fendue entre deux grosses lèvres parfaitement imberbes, des petites lèvres sombres bien développées.

Que dire du visage très expressif encadré par les boucles de ses cheveux arrivant aux épaules, de grands yeux noisette, les paupières maquillées de bleu avec un art consommé, une bouche enfin, le fleuron ! des lèvres charnues ouvertes sur des dents éclatantes de blancheur et d’une langue rose appétissante. Rien d’arrogant ni de vulgaire dans son expression au contraire, de la réserve, de la gentillesse, de la classe. Une merveille d’érotisme d’autant que l’on ne pouvait rien ignorer de ses seins magnifiquement dressés et pointés de bistre, des courbes gracieuses de son corps, de ses fesses, des lèvres sombres de sa chatte, serrées pour l’instant entre ses cuisses par les cordons élastiques.

« Je crois avoir ce qu’il faut pour vous »

« Ok…. oui!.....tant mieux ! »

« J’ai une panoplie de sex-toy rabbit »

« Rabbit ? »

« Oui comme le lapin vous comprendrez, Vous voulez que je vous montre ? »

« Je suis un peu intimidée, mais je suis venue pour cela, oui, Ok, je veux bien »

Alors Gladys se leva et revint avec un gode de bonne taille de couleur rouge vif. Un sourire crispé de Tanya vite estompé, le nez légèrement pincé par l’émotion, le souffle un peu court, elle cherchait en vain à masquer le trouble que lui procurait la vue de cet engin jouissif.

« Prenez le en main, n’ayez pas peur, il est très maniable avec son boîtier de commande ; je vous explique, vous voyez le gland, il est de bonne taille…. »

« Ah oui au moins quatre centimètres, c’est convenable »

« Regardez appuyez sur le bouton, vous voyez comme la partie terminale et le gland s’agitent, vous imaginez la sensation quand vous l’aurez en vous, l’effet est formidable, moi-même j’en suis folle »

« Vous aussi vous aimez ? »

« J’adore et en plus il vibre, en tournant cette molette pour régler sa fréquence »

« Ah bon cela doit faire du bien ! »

« Ce n’est rien de le dire…..Et la longueur qu’en pensez vous ? »

« Je suis assez profonde la longueur ne me gêne pas au contraire »

« Vous voyez sous la peau du gode, ces rangées de billes oui,…. et bien elles s’agitent en tout sens à l’entrée de votre vagin quand le gode est bien enfoncé »

« hummmm, cela doit être terrible, j’ai les petites lèvres d’une sensibilité extrême »

« Venons en au plus jouissif, ce petit sexe implanté après les billes, il vibre aussi….vous voyez à son extrémité ces petites membranes très souples…… comme des oreilles de lapin, imaginez les sur votre capuchon, très fines elles peuvent même passer dessous bien insérées directement sur votre clitoris…..est il sensible lui aussi ? »

« C’est peu de le dire….. »

« Alors vous allez vous régaler quand vous serez seule, croyez moi je connais beaucoup de femmes qui ont fuient la tyrannie de leurs amants et s’en trouve bien seule ou à deux avec une amie »

« Vous m’excitez, je le prends »

« Essayez le……si, si !……il le faut »

« J’en meurs d’envie…….devant vous ? …….cela me gêne un peu »

« Un peu seulement, ce n’est pas grave, ne craignez rien, je vous guiderais pour cette première fois…..commencer par le sucer »

Gourmande Tanya le mis dans sa belle bouche en l’enfonçant plusieurs fois en serrant ses lèvres sur sa hampe, un peu trop profond même car cela la fit hoqueter, confuse elle s’excusa en souriant, il n’y avait pas de quoi ; elle le lécha avec sa longue langue agile l’enroulant autour du gland, elle semblait en avoir l’habitude, heureux ses amants!!.

« hummm, c’est bon, cela a bon goût »

« Ils sont parfumés aux fruits…..léchez le bien……prenez en plus dans votre bouche….étalez bien votre langue en tournant le gode….qu’en pensez vous ? »

« Je suis troublée, c’est drôle je commence à mouiller »
« Parfait, approchez vous…..les fesses au bord de la banquette……présentez le…….entre vos grosses lèvres…..juste au bord……mettez le gland en route »

Tanya était sérieuse, appliquée, attentive aux directives de Gladys, son visage marqua sa surprise quand le gland s’ébranla entre ses petites lèvres ; interdite elle le laissa en place au bord de sa vulve qui s’ouvrait sur lui.

« Enfoncez le doucement…….Je vois que vous êtes toute mouillée cela va être facile…..vos premières impressions chère Tanya? »

« Je suis très émue…..merci de votre gentillesse……ohhhhh…….c’est bon déjà »

« Ouvrez bien vos cuisses……je vois que vous commencez à bander……vos petites lèvres qui gonflent….votre clito qui sort de son antre…..je vous prédis du plaisir quand les petites oreilles vous passer en vibrant sous votre capuchon…….vous semblez bien équipée pour jouir….. »

Le visage de Tanya marquait son plaisir naissant, le gland avait disparu, engamé dans sa chatte ; elle regardait ce membre en elle, déjà il faisait son œuvre, Tanya ouvrait sa bouche, fermait ses yeux, commençait à gémir doucement. Gladys l’observait par-dessus ses lunettes, assise sur son fauteuil proche de la banquette, elle semblait heureuse et scrutait la montée du plaisir sur le visage de Tanya. Jamais elle n’avait vu un capuchon du clitoris aussi long, aussi gonflé, la promesse d’une jouissance infinie.

« Chère amie voulez vous que je vous aide ?…… vous saurez mieux après quand vous serez seule »

« Je veux bien car j’avoue que je n’ose pas……je suis bien déjà….j’ai peur de vous importuner ! »

« Mais non…..au contraire…..ce n’est pas désagréable pour moi de vous faire apprécier au maximum ce que je vends, croyez moi j’y trouve du plaisir moi aussi »

« Ah bon ?......Tant mieux ! »

Alors Gladys se leva pour se mettre à genoux entre les jambes de Tanya, sa robe étroite se retroussa découvrant largement ses bas couleur chair serrés à mi cuisses, elle avait un sacré look, une sacrée classe elle aussi. Je jurerais que sa gentillesse ne devait rien à sa déontologie mais qu’elle trouvait son compte à faire jouir une telle beauté. Elle prit la chose en main si j’ose dire et cela se vit immédiatement dans l’attitude de Tanya qui renversa sa tête en arrière semblant ne plus se contrôler entièrement.

Elle tenait le gode à deux mains en l’enfonçant comme il faut, les billes à l’entrée de la vulve et les petites oreilles sur le capuchon du clitoris. Les deux femmes regardaient fixement l’objet jouissif faire son œuvre….

« Vous sentez les mouvements du gland dans votre ventre ? »

« Oui je le sens, c’est bon……ouiiiiii……c’est bon ! »

« Je vais exciter votre clito et vos petites lèvres avec l’appendice vibrant……. »

« Ahhhhh…….ouiiiiii c’est bon…..continuez……. »

« Ne retenez pas votre plaisir…..pas de respect humain avec moi…..laissez vous aller……caressez vous en même temps…..tirez sur les élastiques pour serrer vos lèvres sur le membre…..Je suis sur votre capuchon, j’entre dessous, je mets en route les vibrations…….alors ? »

« C’est merveilleux…..jamais je n’ai eu cette sensation……..c’est bon……vous savez me faire jouir Gladys…..merci…..continuez……ouiiiiiiii…….ouaaaa »

Alors ce que je pressentais arriva ; Gladys s’y mit à fond, de la main droite elle faisait jouer au gode son rôle, avec ses doigts elle maintenait les petites oreilles sous le capuchon pour titiller le bourgeon du clito de Tanya qui était devenu énorme et dur ou bien elle s’occupait de faire vibrer ses petites lèvres toutes congestionnées par ces attentions, elle faisait aller et venir le gode en d’imperceptibles pénétrations s’arrangeant pour que les billes restent à l’entrée de la vulve, mais incroyablement, contre toutes attentes, avec sa main gauche, elle caressa le corps de Tanya par des gestes furtifs, enveloppants qui l’enflammèrent d’un coup. Elle frôla l’intérieur si doux de l’intérieur de sa cuisse droite relevée, passa sur le ventre avant d’empaumer le sein droit, le téton raidi entre ses doigts baladeurs.

Tanya on le sentait partait vers le plaisir, en geignant elle se caressait elle aussi, son sein gauche qu’elle pétrissait rudement, son mont de vénus, le bout de ses doigts sur son clitoris, elle malaxait ses petites lèvres cherchant sous elles les racines sensibles à l’extrême de son clitoris qu’elle seule savait trouver. Ces caresses inattendues de la part de celle qui n’aurait du n’être qu’une démonstratrice anéantirent sa volonté de ne rien faire paraître au plaisir qui l’inondait maintenant, mais quand Gladys en se relevant à sa hauteur lui saisit elle aussi son sein gauche et que penchant son visage sur lui elle prit son téton dans sa bouche elle poussa un grand cri d’abandon au plaisir.

Gladys se retira mais quand elle vit Tanya en pamoison par ces caresses elle replongea sur son sein et c’est cette fois avec sa langue qu’elle agaça sa pointe. Tanya était un peu décontenancée ne sachant si elle devait continuer à s’offrir.

Manifestement Gladys était bien elle aussi, elle la désirait cela se sentait et quand elle approcha son visage du sien, que sa bouche frôla la sienne elle ne su que faire, elle était désemparée, elle ne contrôlait plus tout ; elles ne s’embrassèrent pas mais seules leurs langues se frôlèrent amoureusement à plusieurs reprises, bouches ouvertes.

Alors vaincue, désireuse d’aller au bout de son plaisir Tanya se renversa en arrière la tête en appui sur le dossier de la banquette, offerte. Le gode enfoncé en elle ; ce gland qu’elle sentait s’agiter dans son ventre, ses billes qui affolaient ses petites lèvres gonflées de plaisir, cet appendice vibratile œuvrant sous l’antre de son clito et maintenu en bonne place par les soins de Gladys, les caresses de ses mains baladeuses qui avaient repris sur ses cuisses sur son ventre sur ses seins, c’était presque trop Tanya se pétrissait les seins en les remontant, son bassin ondulait cuisses ouvertes pour s’offrir davantage à l’engin jouissif qui l’affolait .

Sur son ventre elle tirait sur les cordons pour déformer sa chatte, elle ne pouvait retenir ses cris mais quand le visage de Gladys vint se caler dans son entrecuisses et que sa langue se joignit aux sollicitations du gode elle s’offrit entièrement, son corps se relâcha complètement elle devenait un jouet consentant pour cette Gladys si expérimenté et qui, elle le sentait, trouvait son plaisir sur elle sur son corps sans défense, elle sentait sa langue, sa bouche, ses lèvres à l’endroit où ses petites lèvres, à elle, se rejoignent, sur ce centre du plaisir absolu, il était léché, mordu, aspiré.

Les cris maintenant continus de Tanya étaient rythmés par le souffle, les halètements de Gladys, des sortes d’onomatopées, des « hhhe hhhhe » saccadés et par le titillement des ogives qui la perforaient. Elle avait relevé sa cuisse droite la maintenant avec sa main pour s’offrir davantage, la gauche allongée sur la banquette, complètement offerte ; Tanya se tordait en tous sens maintenant aucunement maîtresse de ses réactions, elle criait son plaisir bouche ouverte en fermant ses yeux avant de les ouvrir sur son corps, sur ses cuisses sur sa chatte ; elle s’était affalée d’un coup, renversée allongée sur le divan, L’orgasme durait maintenu par les soins de Gladys et quand sa bouche quittait sa vulve pour aller brouter la pointe de ses seins c’était le bout de ses doigts qui la caressaient et ce n’était pas moins jouissifs au contraire.

De sa main libre Gladys caressait le corps de celle qui avait perdu tout contrôle, inondée par le plaisir ; c’était des caresses furtives, presque amoureuses mais terriblement efficaces sur le dessous près des fesses et à l’intérieur des cuisses si tendres, sur le ventre en remontant sur ses seins gonflés elles redescendaient pour rejoindre sa bouche et agiter ses petites lèvres toutes congestionnées. A chaque aller et retour de sa main sur ce corps merveilleux elle se faisait sucer un ou deux doigts que Tanya aspirait entre ses lèvres serrées, lapant avec sa langue le miel qu’ils avaient puisé dans son intimité inondée.

Alors d’un coup, tout le corps de Tanya se révulsa, se relâcha, ses bras écartés battant les coussins de la banquette en tout sens, son bassin s’agita en circonvolutions incontrôlées qui auraient pu paraître ridicules mais qui montraient l’intensité, le summum d’un orgasme jamais atteint jusque là. Tanya poussa un long cri , bouche ouverte avant de s’affaisser complètement tétanisée….. Le calme revenant peu à peu. Gladys l’accompagna dans son retour vers la réalité, une main sur sa vulve en agitant doucement ses lèvres et son clito et de l’autre lui caressant l’intérieur des cuisses, son ventre et la pointe de ses seins…… elle sortit très doucement le gode, le gland s’attardant encore à l’entrée déformée, ouverte de sa vulve l

Tanya se redressa souriante, apaisée, elle tenait le gode à la main et le porta à sa bouche pour, reconnaissante, le sucer tendrement en tournant le membre, elle étalait sa langue sur ce phallus qui l’avait tant fait jouir. Sa langue était agile, rose, pointue.

« Alors ma belle qu’en pensez vous ? »

« D’abord merci Gladys, merci à ce gode si jouissif, mais merci pour vos caresses si inattendues, si douces, si efficaces…..pardon de ne pas vous avoir suivie quand vous avez voulu m’embrasser mais j’étais déjà dans un autre monde, le monde merveilleux où vous m’avez entraînée…..merci….mille fois merci »

« Moi aussi j’étais bien, je ne fais jamais cela d’habitude mais vous êtes si belle, si attirante Tanya…. Quand vous jouissiez vous étiez comme un bête sauvage, une bête de race et j’avais envie de vous»
« Vous aussi vous me plaidez Gladys, si vous le vouliez j’aimerais vous faire jouir à mon tour, comme vous tout à l’heure j’y trouverais un plaisir extrême »

« On peut peut-être s’embrasser maintenant »

« Laissez moi faire, j’ai trop envie de vous »

Tanya était toujours assise sur la banquette avec Gladys à genoux entre ses cuisses ouvertes, elles se regardaient et l’on pouvait se rendre compte que leur relation avait changé, c’étaient maintenant deux femmes sensuelles, complices qui voulaient se donner du plaisir. Déjà Tanya s’affairait sur les rubans du col de la robe de Gladys, on la sentait fiévreuse, malhabile, troublée par son audace. Après les rubans, les boutons de haut en bas, puis la robe qui s’ouvre et qui tombe à la taille découvrant un soutien gorge noir bien rempli, les attaches qui tombent des épaules laissant apparaître la poitrine nue de Gladys . Des seins bien formés, moins gros que ceux de Tanya mais bien ronds, bien fermes avec des tétons roses pointant fermement.

Tanya avance ses mains sur eux, elle se penche et sa bouche se fixe sur le sein gauche, la main et la bouche s’entendent à merveille pour caresser, pour embrasser. La bouche, les lèvres s’ouvrent et aspire la chair tendre, c’est maintenant la langue qui lape le téton gonflé, serré entre deux doigts, on ne voit pas mais l’autre sein, le droit est pétri par l’autre main de Tanya. Gladys est bien, elle est tellement excitée depuis le début, dés l’apparition de Tanya à sa porte. Ce n’est pas tous les jours qu’une telle beauté se présente pour des essais de gode. Ces premières caresses l’affolent, elle n’ose y croire. Elle renverse sa tête en fermant les yeux pour goûter pleinement à ses frôlements jouissifs qui l’entraînent vers le plaisir. Elle aussi effleure en gestes tendres les bras, les épaules, la nuque de Tanya.

Tanya est toujours assise, Gladys se relève et se débarrasse de sa robe qu’elle envoie promener, elle est en petite culotte, une culotte normale, noire, soyeuse ne cachant rien des fesses ; ses jambes sont gainées de bas très fins serrés à mi cuisses par de jolies broderies, elle se tourne devant Tanya pour montrer son anatomie, pour lui faire voir ses fesses bien rondes, bien fermes. Tanya l’attire vers elle en lui caressant les cuisses et les fesses. Elle la retourne et avance son visage, sa bouche vers ces trésors et elle commence à lui lécher les fesses en continuant de la caresser.

Tanya n’est plus assise, elle s’est mise à genoux pour être mieux placée pour lui lécher et lui caresser les fesses, elle les écarte et sa bouche s’enlise dans le magnifique canyon de sa raie. Gladys se prête à ses caresses en se penchant légèrement, elle ferme ses yeux, sa bouche s’ouvre sur un gémissement ; déjà elle est bien et son corps longiligne ondule. Tanya toujours à genoux la retourne Gladys face à elle, ses mains caressent ses cuisses et ses fesses, une passe dans l’arc de l’entre cuisses si doux au toucher, si sensible. Sa bouche s’avance et mordille la boursouflure de sa chatte, sa langue la lèche sur la soie de la culotte mais cela ne dure pas, le frêle rempart descend et lancé au loin. Gladys est nue mis à part ses bas, elle écarte ses cuisses et plus rien ne s’oppose aux lippées de la pointe de la langue si experte de Tanya entre les lèvres de sa chatte. Gladys a une chatte fleur, discrète, rasée, mais ces petites lèvres fripées aux formes tourmentées bien développées s’ouvrent en coroles attirantes.

Le besoin de trouver une meilleure position se fait sentir et les deux beautés en pleine connivence ont tôt fait de la trouver. Mais avant de s’installer Tanya se débarrasse de sa toile d’araignée et c’est nue maintenant qu’elle s’allonge sur la banquette sur le dos, le bras droit dans la travée, la tête en appui sur l’accoudoir, elle guide Gladys vers elle, face à elle dans le même sens à califourchon sur son ventre, le genou gauche sur l’accoudoir l’autre plus bas sur la banquette ; cuisses écartelées de part et d’autre de son visage, la vulve à hauteur de sa bouche. En pliant ses jambes Gladys se positionne de telle sorte que les lèvres de sa chatte se trouvent à une portée de la langue de Tanya.

Vue de l’arrière le spectacle est troublant, Tanya nue allongée de tout son long, la tête entre les cuisses de Gladys dont on peut admirer les fesses entr’ouvertes. Tanya n’a qu’à sortir sa langue pour lécher les petites lèvres de Gladys qui pendent et son clitoris qui pointe. Alors l’entente fut parfaite entre les deux femmes, Tanya soutenant Gladys en lui tenant l’intérieur des cuisses et Gladys en se pliant plus ou moins, si bien que la langue de Tanya pu à loisir dans une position reposante laisser agir sa langue entre les petite lèvres de la chatte de son amante.

La langue de Tanya montra une vigueur, une endurance, une agilité hors normes, largement sortie de sa bouche elle affolait les muqueuses si sensibles en allant et venant entres elles où en les agitant en tous sens. En observant le visage de Gladys on pouvait mesurer l’effet de cette caresse subtile, étrange au début, agréable au bout d’un moment, pour devenir par bouffées insupportablement jouissive. Alors on ne savait plus si le plaisir naissait de cette langue agile ou des mouvements de sa croupe d’avant en arrière qui la guidait de son anus jusqu’au clitoris bandé à l’extrême.

Gladys devait alors joindre ses doigts à cette langue et se caresser les seins pour faire un contre feu au plaisir qui la submergeait. Par moment Tanya avec ses doigts écartait largement ses lèvres intimes pour mieux se vautrer dans le fond humide de la vulve et s’enfoncer à l’entrée du vagin. Quand Gladys baissait sa tête elle voyait entre ses cuisses le visage si expressif de Tanya, son regard un peu perdu qui scrutait la montée de son plaisir, sa bouche grande ouverte, les perles de ses dents et cette langue qui lui faisait tant de bien, alors c’est elle qui bougeait son bassin d’avant en arrière pour guider les papilles roses de Tanya aux endroits les plus jouissifs de sa chatte écartelée.

Ces caresses superficielles si bien faites la firent jouir plusieurs fois, la langue de Tanya étant infatigable, obstinée, indiscrète, d’une curiosité diabolique. Alors tout son corps était secoué de spasmes, de contorsions, ses seins devenaient durs, leur pointes raidies, elle sentait son clitoris devenu imposant rouler tout dur sous son capuchon protecteur et pourtant un besoin impérieux naissait entre ses cuisses celui d’être pénétrée au plus profond d’elle-même et sans s’en rentre compte elle cria son désir

« Tanya, ma Tanya baise moi maintenant comme j’ai fait avec toi, Tanya je t’en supplie fait moi ce plaisir »

Alors ils se désaccouplèrent assises côte à côte, complices. Gladys sortit de dessous un coussin un autre gode du même type, rose lui, un peu plus gros, un peu plus long, très souple, à la place d’un gland réaliste une sorte d’ogive oblonde, assez longue, puis des cannelures vibrantes et toujours plus loin sur la hampe une sorte de petit sexe fait pour exciter le clitoris et les petites lèvres en même temps que les pénétrations.

« Faits moi jouir avec ma chérie…..moi j’aime les bonnes pénétrations bien profondes j’aime quand le gode va et viens dans ma chatte, n’hésite pas à me maltraiter….j’aime çà…. »

Alors elle confia l’engin jouissif dans les mains de Tanya et s’installa à genoux en travers de la banquette les bras et la tête en appui sur le dossier, les fesses relevées. Elle aussi avait des fesses admirables, ouvertes sur les grosses lèvres de sa chatte. Ses petites lèvres étaient déjà toutes gonflées par le désir. On voyait même sont petit anus, tout mignon, tout rose, vierge semble t’il.
Tanya se mit aussi à genoux elle aussi sur le côté à sa droite, son genou droit sur la banquette et sa jambe gauche dans la travée son pied sur la moquette. Elle s’avança au plus près, sa main droite sur les fesses de Gladys pour se soutenir et en penchant son visage elle se plaça en bonne position pour de sa main gauche présenter le phallus vers la vulve offerte.

Gladys voulait de bonnes pénétrations, elle fut servie, la hampe la pénétra d’un coup et commença d’amples va et viens onctueux dans sa chatte. Tanya la bouche au dessus de ses fesses inonda le canyon abrupt de sa raie par des jets de salive. Un petit ruisseau cristallin descendait dans la commissure lubrifiant l’anus avant d’inonder les lèvres écartelées autour de la hampe.

Une petite pose pour mettre les vibrations en route et le branlage vigoureux reprit. Tanya fascinée par le spectacle agitait le gode furieusement en l’enfonçant le plus profondément possible. A fond elle le tournait pour que le petit sexe maltraite les petites lèvres et le clitoris congestionné de Gladys qui semblait apprécier cette manière de la faire jouir. Gladys ponctuait chaque pénétration de « Yes….Yes » de « Ouiiiii c’est bonnnn » de « Plus vite……yesssss »

Alors Tanya y allait de bon cœur agitant le gode emmanché comme avec un plantoir, déformant sa vulve et ses lèvres……elle le sortait complètement découvrant sa chatte ouverte qui baillait d’impatience ruisselant de son miel. Alors l’ogive replongeait guidé dans la raie des fesses, pressant l’anus au passage avant de s’enliser d’un coup dans le ventre de Gladys. De temps à autre une petite claque inopinée sur la fesse gauche semblait plaire à Gladys qui réclamait « Plus fort…plus fort » et à chaque tape ses fesses se contractaient serrant l’engin dans sa vulve.

Gladys criait son plaisir, son corps agité en tout sens, elle ne pouvait plus tenir sa position, elle s’allongea en chien de fusil au côté de Tanya, sa tête entre la banquette et sa cuisse. Ainsi au travers de l’arc formé par le ventre d’ébène, entre les seins de Tanya qui dodelinaient étirés comme deux obus par la pesanteur ; on pu voir son visage grimacer de plaisir, ses yeux fous derrière ses lunettes, sa bouche ouverte pour des gémissements des cris. L’orgasme était là, puissant, tenace, vaginal. Incroyablement malgré le plaisir qui la tenaillait, Gladys avança sa main droite pour caresser par-dessous les seins de Tanya, elle les soupesait, pinçant les tétons entre ses doigts.

Depuis un moment Tanya découvrait l’émotion de donner du plaisir, son émoi grandissait avec la jouissance de Gladys, mais quand elle sentit une main, des doigts sur sa poitrine, sur la pointe de ses seins elle joignit son bonheur à celui de celle qu’elle faisait jouir. Cette main coquine s’avança sur son ventre cherchant sa chatte hors de portée, alors elle se serra au plus près, ses seins en appui sur le dos de Gladys. Elle sentit les doigts entre ses cuisses, trois doigts d’une habileté diabolique, l’index sans doute titillant son clitoris et ses deux voisins affolant ses petites lèvres.

Chacune maintenant cherchait à plaire à l’autre. Une dimension manque à mon récit, l’ambiance sonore à la hauteur du spectacle de ses deux corps enlacés, de leurs fesses somptueuses ouvertes de leurs vulves offertes : Des gémissements, des cris ponctuant les soubresauts de leurs ventres, de leurs croupes de leurs seins, une sorte de miaulement continu ponctué de ouiiiiiii, de ahhhhhouiiiicébommmmm, des plus vite, des plus fort, des aaahhhh. Ahuri je voyais ces jeunes femmes déchaînées, dans leur monde criant leur plaisir.

A un moment Gladys réussit à reprendre le gode rouge dans sa main et au lieu de ses doigts c’est le gland qui s’avança en gesticulant, en vibrant entre les cuisses de Tanya. Alors les corps s’unirent encore plus intimement. Tanya à genoux rampa pour s’avancer, ses seins écrasés maintenant sur les fesses de Gladys dont la tête émergea derrière la croupe de Tanya . Alors se fut l’apothéose chacune, à sa façon, les yeux fixés sur leur gode respectifs fourrant les vulves, titillant les lèvres, Tanya les yeux fous pistonnant à tout va, Gladys plus subtile privilégiant les petites lèvres et le capuchon du clitoris. Et moi éberlué, troublé je voyais ces deux femmes magnifiques secouées par des spasmes d’un plaisir partagé jusqu’à leur écroulement, repues, satisfaites, comblées, épuisées, reconnaissantes l’une envers l’autre.

Je les voyais assises côte à côte se regardant complices ; chacune suçant l’objet qui les avait fait tant jouir ; elles se donnèrent la main et pour la première fois approchant leurs visages elles s’embrassèrent tendrement.

« Alors ma chère Tanya que pensez vous de cette initiation ? »

« Je pense que nous avons été folles, mais j’ai joui au-delà du supportable….mais je vous dois beaucoup…..seule saurais je atteindre ce degré de plaisir ? »

« Sans doute……mais vous pourrez revenir me voir…..car moi aussi j’ai beaucoup aimé notre rencontre…..vous ne m’en voulez pas d’avoir prit du plaisir ? »

« Non car sans lui le mien aurait été moins grand……merci Gladys oui je reviendrais.
………………………

Vous qui m’avez lu patiemment jusqu’au bout, je dois me présenter, dire qui je suis. Je suis une caméra, la caméra qui a fixé pour l’éternité cette scène troublante de deux femmes qui se sont données du plaisir.

Ai-je su vous raconter, vous transporter, vous émouvoir comme je l’ai été, spectateur passif et indiscret de cette merveilleuse rencontre.
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Histoire de Pierre le Grand

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