ACCUEIL > Divers > Récit : Dernier arrêt

Dernier arrêt

+1

Lue : 3901 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/12/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Elle doit avoir une vie sexuelle développée pour son âge. Elle a, quoi, une vingtaine d’années. Je la regardais pour passer le temps entre les deux stations en fin de parcours. Sans être belle, elle me semblait baisable. Ce n’est que plus tard quand j’ai vu son épaule s’agiter que je comprenais qu’elle se masturbait en me regardant. J’aurais pu m’approcher d’elle, remplacer sa main par une des miennes. J’ai simplement préféré faire comme elle.

J’ai massé la fermeture de la braguette. Elle pouvait deviner ce que j’allais faire. En sortant la queue je poussais un soupir de contentement. Je ne pouvais empêcher mon regard de voir le gland. Je le trouvais beau, brillant, digne d’aller investir une chatte ou un cul. Je le dorlotais dans ma paume avant de l’entourer totalement avec la main.

Nos regards se croisaient : elle savait ce que je faisais, je savais qu’elle se branlait. Un cahot a failli me faire tomber. Je me suis levé, j’approchais d’elle, la bitte dehors conquérante. De moi, elle ne regardait que la pine droite et ma main. Je me suis assis sur le siège en face d’elle. Nous nous masturbions de concert. Et puis le train s’est arrêté.

Elle s’est levée, a pris doucement le sexe dans sa main droite comme pour me dire de la suivre. Dehors il faisait nuit depuis longtemps, les quais étaient sombres. Nous pouvions marcher ainsi moi la tenant par la taille, elle me guidant en tenant toujours la bite. Drôle de fille.

Sur le quai à quelques mètres de nous un banc, un seul. Elle m’y a conduit. Assis nous pouvions faire ce qu’elle voulait : la baiser.

Sa culotte partie depuis longtemps, mon pantalon baissé nous pouvions nous aimer, enfin l’aimer.

De sa place à mes côtés, elle est venue sur moi, les jambes autour de ma taille. Je sentais bien la peau de ses cuisses chaudes. Les paumes des mains sur ses fesses, j’arrivais à caresser vers son cul. Elle tenait mon vit dans sa main, me branlait facilement avec virtuosité. Etonné par la qualité de ses câlineries, je ne pouvais voir les détails de sa prise en main. Elle devait me tenir à pleine main pour me faire se plaisir délicat.

Mes doigts arrivaient juste sur son anus qui s’ouvrait. La salope, elle connaissait bien les façons de prendre son plaisir et d’un donner. Ses lèvres sont enfin venues sur la mienne. Une ventouse n’aurait pas fait mieux en avalant presque ma langue.

Son autre main fouillait sous la chemise. Pour y trouver mes tétons, elle faisait un chemin compliqué plein de chatouillis, passant sous les aisselles.

Elle a lâché la queue pour venir encastrer sa chatte autour de moi. Je sentais là aussi sa chaleur tropicale. Son bas ventre faisant tous les mouvements je n’avais pas à bouger. Je me faisais baiser par plus forte que moi.

Je n’étais pas totalement satisfait. J’aurais voulu lui bouffer la chatte, lui aspirer le berlingot, mettre ma langue dans la moule. Je lui demandais tout ça.

Elle se levait, laissait ma pine en plan, venait presque sur moi, écartait ses cuisses en montant sur le banc. Je devais lever le visage pour lécher ses conduits. Sa cyprine m’étouffait presque malgré son goût un peu ambré. Mon nez sur le pubis, mon menton sur son bijou, ma langue léchait en me donnant l’avantage d’être maître de la situation. J’entendais son souffle s’accélérer au-dessus de moi. En même temps que ses spasmes je recevais la juste récompense dans la bouche: un petit jet de je ne sais quoi, gouteux, aromatique.

Lentement elle se laissait descendre pour à nouveau prendre ma queue dans son con. J’entrais lentement, selon son rythme dans ses chairs. Mon gland se découvrait dans son sexe : le prépuce ne faisait pas le poids dans son étui.

Mon esprit totalement tourné vers les délices de son corps, je ne résistais pas longtemps. J’éclatais dans son ventre en longues giclées. Elle savait bien ce qu’elle avait dans son sein, elle se levait pour que ma liqueur se répande. Je sentais encore les spasmes que mon jus venait sur mes couilles.

Elle me laissait pour venir lécher les restes de sperme sur mes joyeuses. J’avais connu des filles chaudes, pas comme elle. Elle me demandait l’impossible : la fister sur le banc. Sans que je puisse m’y refuser, elle restait sur moi, ouvrait en grand ses jambes pleines de cyprine. Je la laissais faire quand elle prenant ma main droite. Je peux dire que c’est elle qui a commencé à se mettre deux de mes doigts dans sa chatte. Le reste des doigts a disparu lentement en elle : elle gémissait sans cesses avec des encore, oui …

Je la laissais enfin quand je sentais autour de mon poignet les crispations de son orgasme fort long. J’en avais assez vu et eu, je l’embrassais sur les joues avant de partir. Je ne l’ai jamais revue.
11 vote(s)


Histoire de baiserjouir

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Dernier arrêt


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :