Echange

Leur premier rendez-vous encore sur le pré au bord du ruisseau. Elle, 18 ans, une fille encore laissée loin du sexe et ses problèmes. Lui 24 ans. Elle lui a fait comprendre qu’elle aimait bien se branler. Lui, aimerai surtout la baiser. Allongés Sur l’herbe, il pense l’un à l’autre. Elle se voit déjà avec une grande robe blanche avec une traîne. Lui la voit à ses côtés, nue se caressant pour montrer comment elle fait. C’est bien pour lui faire plaisir qu’elle le laisse passer ses mains sur elle. C’est agréable d’être ainsi traitée.

Il veut passer ses mains entre les cuisses de la fille. Elle refuse qu’il aille vers cet endroit magique. A force de l’embêter, elle accepte de lui montrer ce qu’elle fait mais à condition qu’il montre lui aussi comment il fait. Situation embarrassantes. Quand il accepte le marché, elle enlève son string, le fait rouler le long des jambes, relève sa jupe courte. Elle change de position pour se mettre face à lui, montrer sa chatte. Elle lui demande de sortir son engin. Elle en a un peu peur. Un bon 18 centimètres est excitant à voir. Dans son esprit, heureusement qu’il la lui montre avant. Avant quoi ? Elle ne sait pas encore.

Elle passe sa main sur la moule, l’y laisse sans bouger.

Lui prend la pine dans sa main, la tiens sans bouger plus qu’elle.

Elle regarde fixement la queue. Elle n’y tient plus : sa main enfin caresse l’entière moule. Elle goute sa mouille avant de continuer. Elle écarte avec deux doigts ses lèvres, l’autre doigt sert à aller chatouiller le petit bouton naturel. Elle sursaute un peu alors qu’elle sait depuis longtemps l’effet que produit son doigt. Elle regarde surtout la queue dans la main de son compagnon. Elle grossit encore un peu, il baisse la main, le prépuce suit vers les couilles remontées.

Chacun se branle devant l’autre sans pudeur. Au contraire c’est excitant.

Elle accélère son manège, l’arrête quand le plaisir devient trop fort. Lui suit le rythme de son amie. Il lui demande de jouir devant lui : elle le fait en allant plus vite. Lui n’est pas tout à fait au point, la vue de sa compagne se donnant du plaisir l’a, contrairement à ce qu’il pensait, bloquer totalement.

C’est elle qui veut le voir juter. Elle le lui demande.

Bloqué dans sa monter de plaisir, il reste sans jouir. Voulant absolument le voir, elle caresse les couilles, passe en dessous à la recherche d’un autre endroit. Elle sait bien chez elle quel est cet endroit. Mais pour un homme ? Elle va bien essayer. Elle trouve bien le petit trou. Il est tout ridé, tout ridicule entre les fesses. Mais d’un seul doit, elle part à sa recherche. Quand elle le trouve, elle sent que la bite a des mouvements inconnus. Le doigt entre dans l’anus : elle fait frétiller à l’intérieur.

Le sperme part en long jet sur elle, ses bras, sa jupe.

Elle revient caresser son bouton, elle le fait tellement bien qu’elle jouit elle aussi.

Ils savent que la prochaine fois elle aura la bite dans le coquillage.

Il lui faut gouter ces jets blancs : lactés, crémeux, sucrés salé, neutres. D’un doigt elle cueille une petite quantité. C’est un peu gluant, à peine salé. Pas écœurant du tout. Il reste une demi-goutte de semence au bout de la queue. Elle la prend sur son doigt : au moins c’est frais, chaud, ça vient juste de sortir de l’emballage. Tentée elle prend la queue entière dans la main. En se penchant en avant sa chatte s’ouvre complètement. S’il ne la voyait qu’en partie, maintenant le garçon en a plein les yeux.

Il a envie d’aller y fourrer sa bite. Il passe une main vers son paradis futur à lui. Elle le laisse faire, curieuse de la suite de leur badinage.

Il trouve un sexe mouillée, une chatte qui n’attends visiblement qu’une suite. Assez maladroitement il commence à la caresser. Elle se laisse faire, elle le guide dans les gestes. Il arrive à lui donner un peu de plaisir, pas totalement. Il lui faut encore être guidé. Cette fois il passe l’examen haut la main. Il caresse les endroits qu’il ne soupçonnait pas. Il découvre des lèvres un peu épaisses, un étrange renflement sur le haut. A tout hasard, il y passe un doigt, manière de ne pas le regretter ensuite. Il la fait tendre sur elle-même. Elle se tend jusqu’au moment où il sent des spasmes dans le sexe. Il comprend qu’elle vient de jouir. La nature fait qu’il bande à nouveau. Elle en veut un peu plus : ce peu plus est dans la queue. Son sexe appelle l’autre sexe masculin.

La nature fait qu’ils s’emboitent parfaitement, même si elle pousse un petit cri au début. Elle respire de plus en plus vite, elle ouvre sa bouche dans un gémissement de femme mourante. Elle meurt en effet de cette maladie étrange du sexe, juste avant l’orgasme.