Elle invite son ex à nous regarder baiser

Cela fait bientôt 6 mois que je vis une relation torride avec Anna, une sublime blonde chaude comme la braise.

Mickaël, son ex-petit copain, qui a goûté à ses plaisir et à sa chair, ne peut pas se résoudre à la lâcher et continue à revenir régulièrement vers elle, dans l'espoir de la voir revenir à lui.
Mais, pour mon plus grand plaisir, elle est bien décidée à rester avec moi, et ne sait plus comment faire pour lui faire comprendre.
Son idée a été de l'inviter prendre un verre à la maison pour qu'il se rende compte que c'était fini le sexe entre elle et lui. qu'elle le réservait pour moi seul.

Samedi, à l'heure de l'apéro, me voici donc rendu chez elle pour ce rendez-vous.
Elle était vêtue d'une mini-jupe rouge et d'un débardeur qui laissait pointer les tétons de ses petits seins.
En l'aidant à préparer les salés, j'ai frôlé sa poitrine et j'ai vu instantanément ses pointes se durcir sous son fin vêtement. Elle était prête à me dévorer quand la sonnette retentit.
Elle alla lui ouvrir et me présenta rapidement.
Toujours avenante avec lui elle lui servit une coupe de champagne et on a commencé à papoter tranquillement.
Mais son envie à elle était toujours présente et elle se rapprochait de plus en plus de moi sur le canapé.
Sa main allait et venait sur ma cuisse et faisait monter mon envie de lui rendre la pareille.

Tout en discutant avec Mickaël de banalités, je fis remonter ma main sous sa jupe.
Elle n'avait pas mis de petite culotte. Je le senti en même temps qu'il le vit. Anna quant à elle, n'en pouvait plus de désir.
Sa main remonta dans le haut de mes cuisses et elle commença à me malaxer mon sexe prêt à exploser dans mon caleçon.
Mickaël perdait rien de tout ça. Anna remarqua comme moi la bosse qui déformait son pantalon.
Nous n'en pouvions plus et c'est ce moment que choisit Anna pour lui dire une dernière fois qu'elle était entièrement à moi et qu'elle avait choisi ce moment pour le lui montrer, pour la seule et unique fois.

Elle lui tendit notre appareil photo et lui ordonna d'immortaliser ce moment, en fixant la simple règle suivante : Il n'a pas le droit de la toucher ni de se déshabiller. Juste la photographier.
Il accepta et nous suivi dans la chambre.
Sa robe et son haut finirent rapidement à terre, et mes habits les rejoignirent aussitôt pour profiter intégralement du contact de sa peau sur la mienne.
Elle se coucha sur le dos et je me mis sur elle en 69.
Elle me suçait avec avidité pendant que je savourait la chaude humidité qui entourait son clitoris.
Mickaël était toujours coincé dans son pantalon et n'en perdait pas une miette derrière l'objectif.
Il voulut la caresser, mais elle lui rappela la règle : ne pas la toucher elle. Par contre, elle lui dit qu'il pouvait s'occuper de moi si je le voulais.

Ma bite étant déjà largement comblée, je lui dit de me lécher l'anus.
Je n'avais encore jamais été avec un mec mais le plaisir de se faire lécher la rosette était trop fort pour refuser cette occasion.
Il se mit donc au-dessus d'elle et, tandis qu'elle s'activait de plus belle sur ma bite, je senti la fraicheur humide et ferme de sa langue sur mon petit trou.
De sa main libre, il caressait sa bite toujours prisonnière de son pantalon.
Après un long moment dans cette position, Anna fut secouée de spasmes tellement son plaisir fût soudain, irrépressible et intense.
Ses cris étouffés par mon sexe dans sa bouche et les coups de langue frénétiques de son ex me firent jouir dans sa bouche au même instant.
Mickaël, de son côté poussa un râle de plaisir et une tache humide apparut dans son entrejambe. Le pauvre avait jouit dans son pantalon tellement notre plaisir était communicatif.

Il avait compris qu'il ne pourrait plus jamais la toucher et qu'il était grand temps pour lui de se trouver une autre cavalière qui pourra chevaucher sa bite.
Après une petit tour aux toilettes, il partit rapidement, visiblement encore sous le coup de l'émotion.
De notre côté, nous profitâmes encore du lit pour quelques câlins avant de filer sous la douche pour rincer les traces de plaisir qui s'étaient répandues sur nous.