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En double en tram

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Lue : 7351 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 08/09/2015

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Salut, moi c'est Julie j'ai 23 ans.
Aujourd'hui je vais vous raconter ma journée d'hier.

Cela se passe le mercredi, 19 Aout 2015, à Lille.
Je suis habillée en tenue légère, je suis masseuse professionnelle spécialisée, pour plus de détails lisez mes histoires.

Je rentre chez moi, après une journée fatiguante, j'ai eu une vingtaine de clients.
Je suis habillée en robe très courte,à ma grande habitude je n'ai aucun sous vêtements.
Je rentre en tramway chez moi, je l'attends, j'ai des talons, un sac à main, ma robee, et je suis bouclée avec une teinture blonde pour me tester en blonde.
Un jeune homme me cède gentiment sa place.
Je lâche juste un "merci"et m'assieds.

J'ai une quinzaine d'arrêts à faire jusqu'à Tourcoing.

A St Maur, une personne âgée monte je lui cède ma place et m'accroche à la barre du tramway, qui depuis son départ se rempli pas mal.
Un garçon bien bâti monte aussi à St Maur, brun, cheveux court, en treillis, avec un sac de sport.
Il doit mesurait environ 1m90, ses bras sont musclés cela m'impressionne.
Sûrement un militaire, s'installe à la place la plus proche de moi.
Il me sourit, je souris, une autre personne âgée monte.
Samuel, le militaire du génie civil, que je connais depuis trois minutes après une conversation rapide,lui cède sa place, et prend place derrière moi.
Se tenant à la barre et à chaque arrêt un peu plus collé à moi, par les voyageurs qui s'agglutinent de plus en plus dans ce tram, bientôt rempli.
Je commence à sentir une forme appuyée sur le bas de mon dos, grossir et grandir.
Je lui jette un regard, il me réponds.
"Désolé mais comment puis-je-le contenir si près d'une si jolie femme".
J'ignore ses flatteries et réplique.
"Si ça continue, je l'enferme au trou, comme à l'armée".
Son sexe applatit contre mon dos continue à grossir.
Je relève, juste un peu ma robe, déjà très courte et commence à le masturber là en pleine milieu de la foule, avec une main dans son uniforme.
Mes fesses à l'air sont à peine visible, tellement on est compressé.
Son sexe, heureux de rencontrer ma main, grandit encore et durcit.
Je le regarde, tire la langue, et me léches trois doigts, avant de me les mettre au panier, je m'humidifie l'anus à la vue de tous.
Soudain, je pousse un "Hah"de douleur et de surprise, devant tout le monde, peu de gens réagissent.
Il s'agit en fait de mes doigts, je me titillai l'anus, et en me bousculant à leurs montées des personnes ont fait que mes doigts se sont enfoncer dans mon cul jusqu'à mes bagues, je ne m'y attendais pas alors un cri de surprise est sorti.
Je ressors ma main enfoncée de trois doigts, et avant que je n'ai eu le temps de dire quelque chose ou d'avoir la moindre réaction, sa bite remplace mes doigts et s'enfonce à son tour à son maximum.

Il est 17h30, heure de pointe, et j'ai une queue dans le cul, dans le tramway blindé de monde, là en public devant tous ses voyageurs pressés d'être chez eux, alors que moi je voudrais que le temps s'arrête pour profiter de cette matraque que j'ai planté là dans l'anus.
Je le regarde,
-J'avais prévenu je vous met au trou.
Il me regarde et en seul réponse s'enfonce encore plus en moi.
Ses vas et vients sont compliqués, le tram bouge, il bouge difficilement vu le monde au tour, s'enfonce encore sans prévenir, je pousse des gémissements sourds étouffés par l'environnement sonore incompréhensible.
Je réclame encore plus en mettant ma croupe en arrière.
Il attrape la barre, se penche un peu vers moi, et d'un grand coup de reins,me déflore encore plus l'anus jusqu'à la garde de sa bite, seules ses boules restes visible à l'extérieur.
"Un militaire débutant au trou, frappe souvent fort dans la porte pour sortir, je vais te transpercer" me lance-t-il.

Peut être une minute après, il me soulève soudainement, et s'asseoit, avec moi toujours empalée sur lui, comme si j'étais fixée à lui, il bouge encore un peu.
Nos voisins à côté et en face, le voient, me voient, avec ma robe remontée jusqu'au nombril.
L'entourage comprend ce qu'il se passe, et moi devant leurs regards ahuris, je perçois le geyser de sperme qui s'échappe dans mon antre anal, et lui rouge pivoine, crie sans plus aucune retenue, le sperme monte encore en moi.
A ses cris d'hommes costaud et viril, pas mal de monde nous regarde maintenant, en train de baisers dans ce tram.

Sous l'excitation, comme lui, on oublie totalement notre environnement, je le laisse se calmer et libère son phallus, vide et souillé de sperme.

Je n'ai rien vu arrivé, alors que je me lève enfin, un homme m'a repoussé sur lui.
Cette fois, face à lui, on ne se cache même plus, je m'accroche à ses épaules, écarte mes jambes qui l'embrassent et recommence mes ascensions et mes descentes sur ce sexe déjà vide mais encore très raide et opérationnel, qui cette fois me remplie la chatte.
Autour de nous, c'est la cohue, certains se régalent, filment et photographient tout avec leurs smartphones, tandis que d'autres nous insultent et détournent le regard.
Ma robe disparaît dans la foule, je ne m'en préoccupe plus, perdue entre le plaisir, le désir et l'envie de jouir, je m'applique sur cette bite qui commence à se ramolir.
Et là, surprise, celui qui m'a bousculait, sépare en deux secondes ses boutons de jeans, sort son sexe de son caleçon et m'encule.
Je gémie une nouvelle fois, puis encore une autre et encore, encore plus, je gémi de plus en plus.
On arrive à l'arrêt Trois Suisses, quand ma double pénétration, commence.
Le tram commence à se vider, le militaire se force à tenir mais sa bite se ramollit alors que l'autre grossit à chaque coups de reins de l'invité surprise.

Les nouveaux voyageurs entrent, en voyant cette double pénétration, pas mal ressortent et d'autres restes, se moquent, prennent des photos.

A trois en train de baisers, depuis quasi dix minutes, devant les voyageurs effarés de la situation, je gémie encore quelques fois.

Ils me libèrent de leur emprise, l'un après l'autre, le militaire puis mon second amant qui en me quittant, alors que je me retourne pour récupérer mon sac, m'éjacule au visage et sur la langue.
Je m'abaisse pour récupérer ma robe, et en profite pour le nettoyer en le suçant, j'avale les restes et m'apprête à sortir.
Je tire sur ma robe, une personne marche dessus, le tram s'arrête à Tourcoing Victoire, je dois descendre.
Je tire sur ma robe pour la libérer, elle s'arrache et je sors tout juste avant que les portes ne se referment, nue avec ma robe en morceau, mon sac à main et mes talons.
Je me planque rapidement le petit parc de la Victoire, enfile ma robe comme je peux et rentre chez moi après cette journée lessivante.
Ma robe arrachée couvre même plus mes seins, mais j'habite à proximité et arrive à rentrer sans encombre.
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Histoire de Julie592

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Commentaires du récit : En double en tram

Le 01/10/2015 - 08:57 par Julie592
Coucou j'attends le tram la, dans 4 minutes je vais le prendre
Le 23/09/2015 - 11:57 par Pepett.hc
On prend quand le TRAM ensemble ?
Le 16/09/2015 - 17:01 par Bibi49
Histoire très excitante ! J'aimerais bien prendre le tram avec vous, ou même autre chose ... Je sens que je m'amuserais bien avec vous !

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