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enfin rentré

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 17/07/2023

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Ce troisième récit est la suite de ‘retour TGV’.

Pour résumer l’épisode précèdent : Claude rentre d’un séminaire, et Marie le chauffe comme jamais elle ne l’avais fait à l’aide de photos coquines pendant qu’il est dans le TGV.
La dernière photo de Marie la présentait jambes ouvertes, genoux repliés, le clitoris brulant, le sexe brillant de mouille, un vibromasseur enfoncé jusqu’à la garde, et un gros plug entre les fesses ;
Claude ne pouvant se retenir durant l’échange, avait fini par lui envoyer des photos de sa masturbation, dans les toilettes de la rame.

Sur le chemin entre la gare et la maison, le simple souvenir de la dernière photo provoquait chez Claude une érection comme il en avait rarement eu. Son sexe, enfermé dans son pantalon, lui faisait mal tellement il était dur. La voiture garée, il se précipita dans la maison, se demandant ou était Marie.
Il ne tarda pas à le savoir.

Entré dans le salon, il ne vit que les fesses de Marie. Elle était sur le canapé, la tête dans un coussin, ses gros seins écrasés sur l’assise, les genoux repliés, les fesses levées et complètements offertes à sa vue.
Claude s’arrêta une minute pour admirer le tableau : les fesses de Marie étaient brillantes d’huile de massage, et l’odeur de l’huile de coco emplissait la pièce. Entre ses fesses, si impudiquement tournée vers l’entrée, il voyait le sexe complètement rasé de Marie, ses grandes lèvres rouges et gonflées, ses petites lèvres ouvertes autours d’un gode qu’il lui avait acheté quelques semaines auparavant. Il l’avait choisi car il était aux dimensions exactes de son sexe au meilleur de sa forme. Seules les fausses bourses dépassaient, et quelques gouttes de l’excitation de Marie coulaient le long de celles-ci avant de s’écraser sur ses pieds.
Le gros plug mauve remplissait toujours le petit trou (pas si petit que ça disait souvent Claude). Il devait être planté là depuis une bonne heure, et la base en forme de rose dessinait comme une cible au milieu du tableau.

Avant que Claude ne puisse parler, Marie se fit entendre : « déshabille toi et vient me la mettre. J’ai craqué une troisième fois en t’attendant. Je suis tellement excitée, prends moi le cul tout de suite si tu veux »
Claude n’en croyait pas ses oreilles. Il lui avait bien dit qu’il aimerait un jour la sodomiser directement, mais jamais ils n’étaient allé jusque-là.

Claude obéit aussitôt. Il se déshabilla totalement, la verge dressée comme rarement.
S’approchant, il mit lentement une main sur chaque fesse de Marie, et les écarta encore un peu plus. Mais il voulait quand même profiter un peu de la vue malgré son excitation.
Il commença par poser quelques baisers sur les fesses, et s’approchant de son sillon, il fit aller sa langue entre le gode et le plug.
Tout en continuant, il saisit la base du plug entre 2 doigts, et tira légèrement dessus, puis le laissa aller se replacer de lui-même. Marie se laissait faire. Il accentua le geste, faisant apparaitre le corps de celui-ci.
Il tira encore un peu plus fort, et s’arrêta au maximum de diamètre de celui-ci. L’anus de Marie était alors dilaté au maximum. Le plug faisait un diamètre de 4cms, ce qui était supérieur à celui du sexe de Claude.
Il n’avait jamais jusque-là eu l’occasion de lui insérer celui-ci.
Marie poussa un soupir d’excitation. Elle devait sentir son ‘petit trou’ dilaté comme jamais, maintenu ainsi par Claude qui s’en amusait.

Au bout de quelques secondes, elle lui dit : « prend moi comme une salope, défonce moi le cul ».
Jamais Claude n’avait entendu ces mots dans la bouche de Marie. Elle était toujours très réservée d’habitude. Son excitation crue encore.

Mais une autre idée avait germée chez Claude. Il en avait toujours fantasmé, mais ne l’avais jamais dit à Marie.
Il se releva, et s’approcha le sexe dressé, le gland presque violet d’excitation.
Il le pris dans une main, et fit aller et venir son gland dans l’espace qu’il avait léché quelques instants auparavant.
De son autre main, il joua avec le plug, faisant mine de le retirer, mais s’arrêtant toujours avant, pour mieux l’enfoncer à nouveau.
Puis, alors qu’il butait dans sa caresse contre le gode, il poussa pour entrer dans le sexe de Marie, parallèlement au sexe de latex déjà en place.
Marie, coincé par le canapé et sa position, ne pouvait pas se débattre. Elle poussa un petit cri, mais le sexe de Claude, aidé par l’abondante sécrétion de Marie, était déjà à mis course.
Elle n’avait jamais été si remplie. La ‘presque’ prude Marie, qui n’avait jamais senti plus d’un sexe à la fois, avait maintenant trois fois le volume habituel en elle.
Elle grogna : ‘tu en profites bien, tu en veux toujours plus, mon cochon’ et quelques secondes après ‘vas y, je te sens comme jamais’

Claude, qui était resté à la moitié, continua alors lentement son introduction, jusqu’à sentir ses bourses toucher le gode.
Son sexe n’avais jamais été aussi serré, même le conduit étroit de l’anus de Marie était plus spacieux.
Il ne bougea pas un instant, savourant la pression sur sa queue, avant d’entamer des va et vient sur la moitié de sa longueur, afin d’éviter une sortie impromptue du gode.
Marie avait commencé à masturber son clitoris, et elle poussait des cris à chaque fois que Claude arrivait au fond de son vagin.
La tension montait rapidement, et Claude regardait la base du plug anal entrer et sortir sur les 2 centimètres les plus fins de celui-ci.

Le sexe de Marie s’était adapté à cette sauvage chevauchée, et Marie criait de plus en plus souvent. Elle n’allait pas tarder à avoir son quatrième orgasme de la soirée.
Claude attrapa alors entre 2 doigts le plus anal, et tira légèrement pour positionner le plus grand diamètre au niveau de l’anus de Marie.
Il senti aussitôt son sexe à nouveau plus serré, et Marie jouie presque immédiatement. Claude continuait ses va et vient avec plus de force, sentant lui aussi sa jouissance proche.
Marie commençait à se tordre sous lui, ivre de sa jouissance. Il sentit son sexe grossir encore, signe de l’arrivée de l’arrivée de sa propre jouissance. Encore quelques mouvements courts et il éjacula tout au fond du sexe de Marie, en longues vagues dans un plaisir qu’il n’avait jamais autant ressentie auparavant.

Il resta planté ainsi encore un moment, relâchant le plug qui retourna à sa place.
Elle se dégagea doucement, et lui dit simplement : ‘tu ne m’as même pas enculée, mon gros cochon’ avant de se lever et de courir vers la salle de bain. Benoit la regarda s’éloigner, gênée par le gros plug visible entre ses fesses, lui répondant ‘le week-end ne fait que commencer, ma chérie’

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Histoire de benoitClaude

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Commentaires du récit : enfin rentré

Le 18/07/2023 - 19:08 par Sky
Waouh, j'ai jamais essayé ! Faut que je vois ça avec Charline 😉
Le 18/07/2023 - 11:01 par OlgaT
Excellent!
Le 18/07/2023 - 07:13 par michelle2
ouah j'adore une suite svp

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