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Erotisme rural

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 16/09/2022

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‌‌‌‌‌‌‌‌‌‌‌Pierre et Caroline exploitait une ferme spécialisée dans les légumes bio depuis une dizaine d'années. Ils rencontraient un vrai succès sanctionné par une présence quasi permanente sur place. Tous deux âgés d'une quarantaine d'années, ils se ressemblaient par leur corps mince, au rebours d'une paysannerie locale affichant des caractéristiques de santé nettement moins favorables. Pierre présentait un physique longiligne (1,78m, 65 kg), prématurément chauve tandis que Caroline, dont la mission consistait essentiellement à servir les clients et à gérer l'entreprise, affichait sans complexe une crinière prématurément grise, un visage ouvert sans maquillage, des sourcils épais et des poils sous les bras, bref un physique "au naturel", l'épilation strictement limitée aux jambes. De taille moyenne (1,60m) pour 55 kg, elle n'en présentait pas moins une paire de seins lourds, un peu tombants, qui évoluaient le plus souvent, au moins l'été, en parfaite liberté sur une robe légère et généreusement décolletée. C'était, pour la gent masculine fréquentant les lieux, son atout sexuel majeur et il n'était pas interdit de se demander si cette volonté d'être à l'aise dans son corps n'était pas accompagnée, au moins par temps chaud, par l'absence de slip sous cette robe.

Mais qu'on ne se méprenne pas. Caroline restait fidèle à son mari qui, jusqu'au début de cette histoire, satisfaisait avec vaillance et plaisir les besoins sexuels de son épouse, nettement au-dessus du commun en raison d'une santé éclatante et d'un goût prononcé pour la chose.
Néanmoins, Pierre, qui se donnait beaucoup à son travail, connut un jour un petit problème de santé qui l'obligea à ralentir son rythme et à augmenter son personnel. L'arrivée imprévue, et pour cause, de plusieurs Ukrainiens lui permit d'embaucher un solide gaillard aux yeux bleus, parlant peu mais agissant beaucoup. Caroline avait beau être fidèle par principe, la présence d'un gars aussi viril dans son entourage ne la laissa pas indifférente d'autant qu'il lui parut évident que cette attirance était partagée. Piotr, l'Ukrainien, louchait sans vergogne sur les pesantes mamelles de sa patronne, guettant (en vain) le moment où elles finiraient par s'échapper du décolleté.

Pierre n'avait pas les yeux dans les poches et comprit qu'un jour ou l'autre, Caroline finirait pas céder à son appétit, d'autant que lui-même n'était plus aussi vaillant depuis ses ennuis de santé. Il s'en ouvrit à son épouse qui, bien entendu, nia farouchement toute tentation envers l'employé. Aussi, quelle ne fut pas sa surprise quand Pierre lui répondit :
- Tu mens mal. Je te connais trop. Mais si tu dois baiser avec Piotr, et je sais que tu baiseras un jour ou l'autre avec lui car vous en avez envie tous les deux, je préfère le savoir pour ne pas me sentir cocu. Je te demande juste un truc : c'est d'être présent, quitte à ce que je sois caché si ça vous gêne.

Caroline tomba des nues. Elle ne s'attendait pas à ce que son mari la jette carrément dans les bras d'un amant, pour l'heure virtuel. Mais si sa tête avait pu résister, son bas-ventre réclamait. Cela faisait un bon mois qu'elle n'avait pas baisé. C'était trop, beaucoup trop. Il lui fallait une bite. Un corps d'homme à encercler, à chevaucher, à sucer, à célébrer. Elle demeura muette mais qui ne dit mot consent.
Piotr fut encore plus surpris quand Pierre lui tendit une boite de préservatifs en lui disant dans un anglais scolaire : "You want to fuck my wife, don't you ? Fuck her, I agree". (Tu veux baiser ma femme, n'est-ce pas ? Baise-la, je suis d'accord".

Il ne fut pas long, cet accord, à être concrétisé. La rencontre eut lieu dans l'appentis d'une grange. Après le dîner, tandis que Pierre regardait la télévision, Caroline s'en alla rôder près du dortoir des employés, sommairement vêtue de sa robe habituelle. Il avait fait très chaud dans la journée, elle avait transpiré mais ne s'était pas changée, voulant conserver cette odeur sui generis qui d'après elle rendait l'acte sexuel encore plus savoureux. Piotr sortit de son antre et, sans un mot, lui prit la main pour l'entrainer dans la grange. Il la cala contre la table de l'appentis et ils s'embrassèrent férocement. Troussée, Caroline révéla un pubis broussailleux, confirmant sa nudité sous sa robe et sa réticence à l'épilation, jambes exceptées. Il la hissa sur la table et fourra son groin dans la végétation luxuriante. Sa langue découvrit une fente déjà abondamment lubrifiée. Elle acheva de se dévêtir, dévoilant enfin ses glorieux nichons aux larges soucoupes qu'il empauma tout en léchant l'intimité bien ouverte. Il mit une telle ardeur à ces préliminaires qu'elle connut son premier orgasme, en se cabrant sur la table et en griffant sa nuque. Puis elle reprit ses esprit et lui dit en anglais :
- I want to see your cock (je veux voir ta queue).

Il s'exécuta et libéra un engin plantureux qui la fit saliver. Elle descendit de la table, s'accroupit et passa un moment prolongé à entourer son gland de sa langue, à soupeser ses couilles bien pleines, croisant son regard comme pour vérifier le plaisir qu'elle lui donnait. C'était ainsi qu'elle procédait toujours avec Pierre.
Puis Piotr la hissa à nouveau sur la table et après s'être coiffé de son préservatif, la pénétra avec une facilité qui le rassura sur l'adhésion de sa patronne. Elle l'encouragea même des talons à la besogner durement, ses gros nichons se mouvant en cadence. Son envie d'être pénétrée par ce beau mâle si bien monté était telle qu'elle en avait complètement oublié qu'un voyeur, son mari, ne perdait pas une miette du spectacle, l'oeil collé à l'embrasure de la porte du cagibi. Il était franchement épaté par l'ardeur de son épouse, qu'il découvrait dans l'amour sans lui. Mais sa légitime pointe de jalousie était effacée par le plaisir qu'elle prenait... et qu'il prenait aussi à la regarder. Il s'astiquait en même temps et sentait monter son sperme. Et quand Piotr souleva Caroline pour la planter debout sur son dard et la promener dans le cagibi dans cette position acrobatique, ses mains sous ses fesses, les bras de sa partenaire autour du cou et ses jambes nouées à ses reins, quand Pierre entendit sa femme prononcer un cri rauque en balançant la tête en arrière, ses cheveux grisonnants battant l'air, il envoya un jet de sperme dans la porte. Jamais il ne l'avait entendue jouir comme ça. C'est l'oeil un peu vitreux qu'il vit le couple poursuivre ses ébats, en levrette par terre, face à son observatoire frauduleux. Le visage de Caroline n'était plus que jouissance, confirmé par les mots de l'amour qu'elle adressait à son chevalier servant ukrainien :
- Oui, oui, encore, encore, vas-y, t'arrête pas, continue...

Des mots universels. Pierre les avait souvent entendu aussi mais adressés à un autre que lui, c'était la révolution dans leur couple. Piotr avait parfaitement compris le message. Bien sûr, il en avait baisé de plus belles que Caroline, car les Ukrainiennes sont souvent ravissantes. Mais d'aussi chaudes, aussi entreprenantes, aussi généreuses, aussi volubiles, aussi mobiles, aussi enthousiasmées par sa queue, jamais de mémoire d'homme. Cette femme était née pour donner du plaisir au mâle.
Secoué mais fasciné, Pierre, de son poste, assista à l'orgasme de l'amant dont les ultimes ruées levèrent sa menue partenaire du sol qui émit un nouveau brame. Et le voyeur s'esquiva en loucedé, convaincu que ce coït adultère était achevé. Il retourna dans le logis et se prépara à gagner la chambre où son épouse allait le rejoindre.
*******
- Alors, tu t'es bien rincé l'oeil ?
Ainsi Caroline interpella-t-elle son mari un peu plus tard après s'être douchée et avant d'aller rejoindre le lit conjugal.
- Tu as pris ton pied, hein ? répondit le mari.
- C'est ce que tu voulais, non ? Tu as eu ce que tu méritais.
- C'est vrai, je l'avais cherché. Mais ça ne m'a pas déplu. Tu es magnifique quand tu baises. Un peu salope aussi et il a fallu que je voie un autre à ma place pour m'en rendre compte. Je ne t'avais jamais prise debout. Et ça t'a fait un sacré effet.
- Il n'est jamais trop tard pour de nouvelles expériences.. Cela dit, si on doit recommencer avec Piotr, je ne veux pas que tu te caches. Je veux que tu sois là, avec nous.
- En somme, tu veux qu'on te baise à deux.
- Je ne veux pas avoir l'impression de te tromper.

Une discussion sur le même thème se poursuivit dans le lit, qui eut pour effet de faire bander Pierre. Et comme sa femme était nue à ses côtés, sa "tenue" habituelle au lit, il la prit à la hussarde, sans préliminaire, retrouvant une vitalité qu'il croyait perdue. Sevrée depuis plusieurs semaines, Caroline ne fit aucune difficulté pour remettre le couvert. "Plus je fais l'amour et plus j'ai envie de faire l'amour", avait-elle souvent dit à Pierre. Et tout laissait croire que ses besoins sexuels allaient être largement comblés dans les jours à venir.
*******
Elle raconta cet épisode à Christine, une amie d'enfance devenue secrétaire de mairie dans son village. Celle-ci lui avait auparavant avoué qu'elle avait pour amant un jeune employé agricole également ukrainien, ce qui n'avait pas été pour rien dans la transgression de Caroline. Mais à la différence de celle-ci, la secrétaire de mairie, cheveux bruns coupés au carrés et rondeurs de voluptueuse, avait caché son aventure à son conjoint. Elle tenait donc à la discrétion de son amie.
Néanmoins, elles s'excitaient à la narration de leurs ébats. Et quand Christine proposa à Caroline un "échange standard", celle-ci ne lui opposa pas un désaccord formel, mais posa une condition :
- Que Pierre soit présent.

Christine en fut un peu surprise, mais Caroline l'avait habituée à sortir des conventions, et pas seulement pour des raisons de productions légumières.
A force de s'exciter mutuellement dans la narration de leurs ébats, les deux campagnardes développèrent une force de conviction qui eut raison des réticences de Pierre, peu enclin au départ à se montrer nu dans l'acte sexuel, notamment à son employé ukrainien. Mais la perspective de voir Christine dans le même état suffit à le convaincre. Et de la regarder baiser. Et peut-être même de la baiser lui-même. Curieusement, la perspective de dévoiler Caroline in extenso ne l'inhibait plus, comme si Piotr avait déjà décloisonné son mental.

La rencontre eut lieu un samedi après-midi, jour de congé de la secrétaire, qui prétexta à son conjoint, très pris par ses activités agricoles en cette fin d'été, un voyage en ville pour visiter une expo. La ferme bio était évidemment le lieu choisi pour les ébats. Caroline avait aménagé une chambre en disposant deux matelas à même le sol et avait poussé le zèle jusqu'à joindre un miroir en plus de l'armoire à glace habituelle.
Paradoxalement, les plus empruntés étaient les deux Ukrainiens, pourtant l'objet prioritaire des attentions féminines. Mais quand, après quelques ronds de jambes, ils virent les deux femmes se mettre à poil dans le plus parfait naturel et s'allonger sur le matelas, l'oeil pétillant, les seins étalés aux pointes dressées et les cuisses ouvertes sur un pubis fourni, l'effet fut radical dans leur caleçon. Ces deux femelles sensuelles et juteuses, l'une mince et l'autre replète, auraient damné un saint. Pas besoin de parler : l'érection suffisait. Quatre corps se retrouvèrent sur le matelas, le seul encore habillé étant Pierre qui s'était assis dans un coin pour observer, la main sur son pénis.

- Lick their pussy first ("léchez-leur la chatte d'abord"), dit l'hôte, indiquant aux deux étalons que c'est lui qui leur donnerait la marche à suivre.
Reçu cinq sur cinq. Piotr se concentra sur sa maîtresse et Boris sur la sienne, broutant deux minous qui ne tardèrent pas à juter et leur propriétaire roucouler. Quand Caroline, très sensible au cunni, connut son premier orgasme, son mari ordonna la phase suivante aux deux femmes :
- Sucez-les maintenant.

Les deux Ukrainiens furent alors les destinataires de deux bouches gloutonnes et néanmoins expertes, savourant un acte qu'elles appréciaient particulièrement. Elles s'observaient du coin de l'oeil comme pour vérifier l'expertise de leur voisine. N'était-ce pas la première fois qu'elles se retrouvaient en train de faire l'amour l'une à côté de l'autre ? La situation était tellement inédite, qui plus est en présence du mari de l'une des deux, qu'elles auraient pu avoir des difficultés à "lâcher prise". Au contraire, elles en étaient follement excitées. Rarement elles avaient éprouvé une telle envie de baiser, de baiser vraiment, totalement.
Aussi, quand Pierre ordonna aux deux Ukrainiens :
- Fuck them now but first, put on your condom ("Baisez-les maintenant mais d'abord, posez votre capote"), ils reçurent le meilleur accueil. Piotr choisit de pénétrer Caroline en posant ses pieds sur ses clavicules, la pliant en deux avec facilité tant sa partenaire était souple. Boris fut encerclé par les jambes de Christine. Mais tous deux pilonnèrent en cadence, répondant à une demande de baise fougueuse et sans concession. La pièce s'emplit de cris de plaisir et Pierre se leva de son siège pour observer de plus près, la bite en main, le travail de celles des deux Ukrainiens dans les deux chattes béantes et gluantes. Il prenait autant de plaisir à regarder ces coïts en gros plan qu'à en pratiquer un lui-même avec une des deux protagonistes. Le spectacle de l'extase de la secrétaire de mairie, nue et écartelée, exprimant de surprenantes insanités, le ravissait particulièrement. Si Max, son mari, voyait ça, se disait-il. Quand elle connut l'orgasme, aussitôt suivi par celui de Caroline, Pierre ordonna une nouvelle phase :
- Chevauchez-les maintenant, remuez un peu votre cul.

Elles ne se firent pas prier, subjuguées par la perspective de se mettre ce gros dard bien en profondeur tout en matant deux torses athlétiques. La croupe plantureuse de Christine devint jumelle de celle, plus nerveuse, de Caroline. Mais toutes les deux allaient et venaient en rotation ou en aller et retour, à la grande joie visuelle de l'observateur qui ne put se retenir de leur mettre la main au panier. De leur côté, elles se regardaient dans les deux miroirs de la chambre, se découvrant ou se redécouvrant dans l'activité sexuelle, de face ou de profil, le rictus de plaisir sur les lèvres, les seins et les cheveux en bataille, jouissant presqu'autant de la vue que de la bite. Pierre s'en aperçut et ajouta :
- Regardez-vous, parlez-vous, dites de cochonneries.

Il est vrai que pour l'une comme pour l'autre, cette fornication en parallèle était une grande première et l'observation réciproque tombait sous le sens. Aussi n'eurent-elle pas de réticences à commenter :
- Tu la sens bien ? dit Christine à Caroline.
- Ah oui, elle est longue et dure.
- Elle est bonne ?
- Super. Je me sens magnifiquement remplie. Et toi ?
- Moi aussi. Mmmhh, ohhh, ahhh, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
- Tu baises, hein, grosse salope.
- Pas grosse, salope tout court, et toi aussi tu baises, devant ton mari en plus.
- Ouais et il aime ça nous regarder baiser, hein Pierre ?

Celui-ci opina du chef. Sa queue avait pris un volume qu'il n'avait pas vue depuis longtemps. Il les laissa savourer ce bon moment, priant juste pour que l'ardeur des deux femelles ne finisse pas par faire gicler les deux mâles surmenés, qui ne comprenaient pas cet échange mais n'ignoraient pas l'excitation en résultant. Mais non, ils tenaient bon. Néanmoins, Pierre jugea plus prudent d'interrompre cette chevauchée et ordonna :
- Fuck them doggystyle ("Prenez-les par derrière").
Et il ajouta :
- Piotr with Christine, Boris with Caroline.
Et c'est ainsi que le plan à quatre devint échangiste.

Les deux Ukrainiens marquèrent cependant une pause car ils entendaient honorer les deux dames le plus longtemps possible. Assises sur le matelas, celles-ci attendaient fébrilement qu'ils remettent le couvert.
- Il y a longtemps que je n'avais pas eu autant envie de baiser, avoua Caroline. Comme si je ne pouvais plus me passer de bite.
- Pareil. J'ai la chatte en feu. Il me faut une lance à incendie.
Les deux amies rirent, ce qui déclencha le retour aux affaires de leurs deux étalons. Conformément aux directives, elles se mirent à quatre pattes, côte à côte, et leurs plantureux nichons ne tardèrent pas à se balancer sous les coups de boutoir des deux mâles. L'un d'eux s'immobilisa et sa partenaire -en l'occurrence Christine- vint le chercher à grands mouvements fessiers. C'est alors que Pierre décréta, à nouveau en anglais :
- Fuck their ass ! ("enculez-les").
- Ils vont nous sodomiser ! réagit Caroline, au cas où Christine n'aurait pas compris.
- Tu exagères, Pierre, dit son épouse, qui n'avait pas prévu cette évolution.
- Pas de problème pour moi, répondit Christine, qui cambra aussitôt les reins.

Piotr répondit prudemment à l'invitation mais s'enfonça assez facilement et les peaux de l'enculée et de l'enculeur claquèrent, sous l'oeil attentif de l'autre couple. L'enthousiasme manifeste de la secrétaire de mairie pour cette position finit par inciter Caroline à se cambrer à son tour. La pénétration de Boris fut plus laborieuse, l'agricultrice ayant visiblement une pratique du plaisir anal moins assidue que son amie. Mais quand l'Ukrainien fut totalement engagé, sa partenaire manifesta à son tour une allégresse du cul qui rassura non seulement son enculeur, mais aussi son mari, qui n'avait pas rencontré autant d'adhésion quand il avait imposé la pratique à son épouse. Caroline et Christine piaillaient à l'unisson et atteignirent simultanément la jouissance anale, ce qui eut pour effet de remplir les capotes de leurs chevaliers servants. La tension érotique retomba peu à peu dans la chambre. Elles haletaient encore sous l'effet de leur orgasme tandis que les deux hommes épongeaient leur sueur avec le drap du matelas. Elles les avaient bien vidés, ces deux chaudasses ! Mais leurs commentaires dans leur langue demeurèrent inconnus des deux femmes, ce qui valait mieux.
Ce fut néanmoins le seul épisode de cet érotisme rural. Les deux Ukrainiens annoncèrent à leur employeur qu'ils regagnaient leur pays, à l'appel de leur famille. Caroline et Christine en furent navrées mais pas autant que Pierre qui avait déjà prévu d'inviter le mari de la secrétaire de mairie à leur partouze, car c'en était une, disons le mot. Mais peut-être n'était-ce que partie remise...
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Erotisme rural

Le 17/09/2022 - 18:45 par DBHB24
Démonstration faîte, par ce joli texte bien écrit, comme quoi, candaulisme, ruralité et libertinage peuvent faire bon ménage...
Le 16/09/2022 - 22:19 par OlgaT
C'est absolument excellent! Un épisode de candaulisme pratique et rural, pour le plus grand plaisir des protagonistes et aussi des lecteurs!

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