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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/09/2024
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Errances partie 1
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ERRANCES
partie 1
La toute première fois où je les ai vues, c'était un lundi après-midi. J'avais pris la voiture pour amener ma mère faire des courses. Elle était à côté de moi, pas vraiment agréable, à son habitude. Sauf à certains moments. Le contact, ou la simple vue des autres semblait toujours l'irriter.
Quand elle les avait vues, elle s'était écrié:
— Regarde-moi ces petites putes!
Pour elle, toutes les femmes étaient des putains.
Moi j'avais vu autre chose.
Elles étaient une quinzaine, et elles étaient en pause. J'avais vingt-trois ans, et elles étaient dans mes âges. De jolies filles. Brunes, blondes, rousses. Difficile de vraiment apprécier leurs charmes. En effet, elles portaient toutes des blouses blanches, qui ne laissaient pas voir grand chose, même si elles soulignaient leurs charmes.
Elle en savait plus que moi, parce qu'elle lisait le journal régulièrement et moi occasionnellement. Elle m'a tout expliqué. Comme on avait ralenti, certaines des filles ont souri et fait un petit geste de la main.
--Sales putes!, a jeté ma mère, variant partiellement ses énoncés.
Dans une région où le chômage faisait la loi, une femme dynamique, qui avait déjà travaillé dans le textile avait décidé de monter une petite entreprise. Elle ne l'avait pas fait dans le vide, en effet elle avait décroché des contrats, car c'était un monde qu'elle connaissait bien, pour fabriquer des pièces de vêtement. C'était une époque où on désindustrialisait, aujourd'hui, on réindustrialise, mais certains luttaient. Elle avait également choisi et c'était tout à son honneur, de faire travailler des jeunes femmes, qui souvent avaient une formation, mais ne trouvaient pas de travail, de les payer mieux qu'on aurait pu les payer ailleurs, mais aussi de les permettre d'accéder à d'autres formations, si elles le souhaitaient. Sa mort, cinq ans plus tard, avait sonné le glas d'une entreprise philanthropique. J'avais été à son enterrement. Il y avait foule pour une femme qui avait un cœur en or.
On avait été faire des courses, avant de rentrer. Ma mère se couchait tôt le soir. Elle avait un sommeil de plomb, renforcé par des somnifères. Et elle se réveillait très tôt. Moi j'en profitais pour sortir. J'étais hyper doué pour dessiner. J'avais commencé par des études et des métiers bien barbants avant de me dire qu'il fallait que je fasse ce que j'aimais vraiment. J'avais envoyé mes dessins autour de moi. Ils avaient plu. Depuis je faisais du graphisme free-lance. Beaucoup de travail, mais j'avais des contrats, et j'en vivais plutôt bien.
Je partais à pied dans les villages avoisinants. Et je faisais toujours des rencontres.
Quand je suis passé devant les ateliers, même s'il était quasiment vingt-deux heures, j'ai été surpris de voir le portail ouvert, et un bloc de bâtiments allumé. Et il y avait une fille devant, qui tirait sur une cigarette. Elle était enveloppée dans une blouse blanche. Je la voyais bien grâce à la lumière blanche qui sortait du local. Elle n'était pas très grande, avec une masse de cheveux blonds attachés sur le crane. Elle m'a souri.
— Bonsoir.
— Bonsoir. Encore au travail?
J'étais devant le portail, elle sur le lieu de l'atelier.
— Tu peux rentrer.
J'ai obéi, et je me suis approché d'elle. Elle venait d'écraser sa cigarette dans un cendrier adéquat.
— Oui, on est restées, à deux pour finir d'emballer une commande. Ma collègue vient de partir.
Elle avait un joli visage. Et un corps aux formes pleines, comme je les aimais, qui tendait le tissu de la blouse. Elle m'a fait un sourire plein de chaleur.
— Tu sais que je suis quasiment nue dessous?
— Ah bon ?
— Juste un slip et un soutien-gorge. Tu veux voir?
En fait, elle n'a pas attendu ma réponse. Elle a défait les boutons qui tenaient la blouse fermée. Ca a été vite. Et elle l'a ouvert. Comme le laissait bien voir la blouse, elle avait de belles formes. Des seins, des hanches, et je l'ai vu par la suite, des fesses. Et un joli ensemble dessous, vert bouteille avec des arabesques dorées dessus. Le soutien-gorge tenait une poitrine lourde, et le slip avait une face avant transparente qui laissait voir des poils blonds, ainsi que le haut de ses lèvres.
Difficile de rester indifférent face à un tel spectacle.
Ce n'était pas surprenant que les choses se passent ainsi. Dans la nuit, ici, dans ce petit village, ou dans les voisins, tout était possible. Les garçons cherchaient les filles, et les filles cherchaient les garçons. Les rapprochements se faisaient très vite, en fonction des envies. Ça ne débouchait pas forcément sur grand chose d'autre qu'un moment de plaisir, mais ce n'était pas non plus ce qu'on cherchait. La beauté d'un corps, une entente basée sur le sexe, un moment de plaisir...Ca laissait autant de traces que des moments plus élaborés.
Surtout, dans de tels moments, on se moquait bien de ce qui pouvait se passer autour de nous. On était dans la nuit, certes, mais éclairés par cette lumière qui nous mettait en évidence. Ca ne nous a pas empêchés à la fois de rester là et d'aller plus loin. D'autres couples, qui faisaient l'amour dans le village ne se gênaient pas pour en faire autant. J'avais surpris des scènes qui m'avaient troublé. Des filles qui se faisaient prendre, appuyées contre un mur, dans l'entrée, ouverte, d'un immeuble, qui suçaient la queue de leur copain assises sur un banc public à côté de lui, ou se faisaient monter et descendre sur sa queue, sur ce même banc.
C'est elle qui a fait glisser sa blouse, mais c'est moi qui ait défait le soutien-gorge, en allant chercher l'attache dans son dos, et en accompagnant le tissu, quand il a commencé à descendre.
Elle avait des seins magnifiques. Lourds, mais bien ronds et bien fermes. Ils étaient orgueilleusement dressés, bien droits, leurs tétons, qui ont eu une soudaine poussée de durcissement, me fixaient. Roses, comme ses aréoles, larges. La fraîcheur de ce début de nuit, l'envie, l'excitation.
Je me suis penché sur elle, et j'ai caressé ses tétons de ma langue. Elle a gémi de plaisir en fermant les yeux.
— Tu sais t'y prendre avec les filles!
Elle a tendu les mains vers mon jean, et elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon.
— Hé ben dis donc, tu as très envie. Oh, mon Dieu qu'elle est grosse...Ah...J'ai envie de l'avoir dans le ventre. Tu crois que c'est possible?
— Tout est possible.
Elle s'est mise à me masturber doucement. Une main de fille sur sa queue, c'est très bon, plus que certains ne le pensent. Différentes caresses, différents rythmes pour une jouissance rapide ou plus délayée dans le temps. Elle, elle voulait simplement que je ne jouisse pas tout de suite.
Elle m'a caressé, pendant que je bouffais ses tétons, qui prenaient toujours plus de volume. On a profité de ce moment, hors du temps, jusqu'au moment où je me suis plié en deux, et j'ai descendu son slip, dans un premier temps, jusqu'à ses genoux, puis ensuite et elle a été obligée de lâcher ma queue, jusqu'à ses chevilles. Elle a levé le pied pour garder simplement la culotte accrochée à une cheville.
A genoux, j'ai eu droit à une belle contre-plongée sur sa chatte. Une vraie chatte, avec des poils blonds, taillés certes, mais bien fournis, qui disaient une blondeur identique à celle de ses cheveux. Il y avait la fente d'un sexe pas close mais entrouverte sur un intérieur rose, des lèvres déjà bien épanouies, et un liquide qui sortait du tréfonds d'elle-même et qui faisait briller sa chair. En d'autres termes, elle était excitée. Je suis venu poser mes mains sur ses hanches, pleines, avant de glisser sur un cul, aussi plein, charnu et généreux, et me redressant légèrement, j'ai léché son sexe, me remplissant de ses liquides intimes et de leur goût et lui donnant en même temps du plaisir. J'ai vu que mon cunni lui plaisait, autant parce que ses liquides intimes étaient abondants que parce que j'ai senti son corps frémir. J'étais tellement excité que je caressais ma queue en même temps. Je n'aurais pas pu tenir sinon. Ca maintenait une tension, certes, mais ça me soulageait aussi.
— Tu as ce qu'il faut?
— Quand je sors, toujours...
— Tu baises souvent des filles le soir?
J'ai préféré ne pas répondre, mais ca restait un aveu.
— Sinon, j'avais ce qu'il fallait dans mon sac à main.
— Alors toi aussi tu cherches des occasions...
— Je veux en profiter avant d'être trop vieille...
J'ai tiré le préservatif de la poche arrière de mon jean. Mais j'en avais aussi dans les poches avant.
— Et si tu me le mettais?
La perspective a eu l'air de lui plaire. Elle a attrapé l'emballage, l'a déchiré, et a fait apparaître la rondelle de plastique toute grasse. Elle l'a posée sur mon gland gonflé d'excitation et gorgé de sang. On regardait tous les deux. Elle l'a fait coulisser le long de ma queue, en arrivant quasiment à la racine.
Puis j'ai eu un mouvement vers elle, me poussant pour rentrer en elle, pendant qu'elle guidait ma queue entre ses lèvres. C'est bien rentré, et je me suis retrouvé enveloppé par la chaleur et la douceur de la gaine de son sexe. Un plaisir si immédiat, si fort, mais ça l'a été aussi pour elle. Elle a gémi pendant que je me glissais en elle, jusqu'à occuper totalement son sexe. Elle m'a soufflé:
— C'est bon de se faire baiser.
On n'était sans doute pas dans une position optimale, et je ne pouvais pas rentrer ma queue totalement en elle, mais c'était quand même très bon. Le contact de nos deux sexes, c'était du plaisir pur. J'ai bougé en elle. On était en transes. Elle gémissait. Elle m'a soufflé:
— Putain, je suis entrain de jouir.
Elle a poussé un cri, plus fort, puis encore un autre. J'ai senti ses liquides intimes couler autour de ma queue en rasades intenses, arroser nos chairs, et j'ai explosé aussi dans le préservatif, crachant de grands jets de sperme qui sont venus taper contre les parois internes de son sexe, l'ont faite gémir, et peut-être jouir à nouveau.
Je suis sorti d'elle. Elle s'est mise à genoux, a soigneusement roulé le préservatif, de manière à ce que le sperme reste dans le réservoir, elle l'a amené à sa bouche, l'a étiré, et lapé la semence jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Elle s'est redressée, ramenant sa culotte sur ses parties intimes.
— C'était bon. Trop bon. J'ai envie de te revoir. Tu crois que c'est possible ? J'habite un petit appartement au village. Je viens d'un département voisin. C'est pas le grand luxe, mais on pourra faire l'amour tranquillement. Viens.
Je suis rentré à l'intérieur. J'ai vu les machines, un coin administratif. Elle a griffonné une adresse et un numéro de fixe sur un bout de papier et me les a tendus. A l'époque, il n'y avait pas de portable. On s'est embrassés, et séparés. Je suis rentré chez moi.
XXXXX
Je me suis glissé dans son lit tôt le matin. Comme tous les matins. C'était notre drogue. La sienne et la mienne. J'aurais été incapable de m'en passer. On avait des rapports exécrables dans la journée, sauf moment de sexe, souvent en début d'après-midi mais au petit matin, on se rapprochait grâce au sexe.
Certains jours, elle dormait avec une nuisette, d'autres, elle était nue.
Cela faisait cinq ans qu'on partageait ces passages de la nuit au jour.
Ca avait commencé très banalement. Elle était venue un soir, je lisais au lit, me chercher. Elle avait une grande chemise de nuit, entièrement transparente. L'occasion de constater qu'au milieu de la cinquantaine elle avait un corps magnifique. Comme je les aimais en tout cas, plein, épanoui, avec des seins, des fesses, des hanches.
— Tu veux venir dormir avec moi ce soir? Je me sens seule.
Je n'avais jamais connu mon père. Des hommes de passage, oui. Elle avait choisi la solitude ces derniers temps.
— J'arrive.
Et je l'avais rejointe dans son grand lit. J'avais un pantalon de pyjama et je n'avais pas vraiment fait attention au fait que j'avais une énorme érection. Ou plutôt, j'y avais prêté attention quand j'avais pénétré dans la chambre. Je m'étais vite glissé dans le lit. Elle parcourait le journal.
Elle l'avait plié. M'avait dit:
-Dis donc, tu as une queue énorme ce soir. Tu es en manque, tu penses à une fille ou je t'inspire?
Et en même temps, sous le drap, elle avait glissé sa main vers mon ventre, puis sous le pyjama, et elle s'était mise à me masturber doucement.
--Tu crois que...?
--Il n'y a pas de mal à avoir un bon moment ensemble.
Et à vrai dire, je n'y voyais pas non plus du mal. Elle avait été, et elle était encore très attirante. Je la trouvais à vrai dire plus attirante que la plupart des filles et des femmes que je connaissais.
Mais ça avait pris une autre dimension, quand elle avait soulevé le drap, descendu mon pantalon, et sorti ma queue. J'étais énorme. Rarement aussi gros. Il fallait croire qu'elle m'inspirait.
Je me suis rendu compte dans les minutes qui suivaient qu'elle savait faire l'amour. Et qu'elle aimait le sexe. Et que, sans doute aussi, elle était en manque. Elle avait longuement parcouru ma queue de sa langue, sans négliger aucune partie, pas même mes couilles. Puis elle avait fait aller et venir sa bouche sur moi. Avait-elle lu ce dont j'avais envie? Elle s'était détachée de moi, avait fait passer sa chemise de nuit par dessus ses épaules, et on s'était calés pour un parfait 69. Son cul sous mes yeux, offert. Un délice. Une croupe énorme, un vrai cul bien charnu, bénéficiant d'une chute de reins qui le faisait très cambré, et une chatte avec de grosses lèvres très charnues bien sorties d'elle, même quand elle n'était pas excitée. Enfin, j'avais déjà pu m'en rendre compte, parce qu'elle se baladait depuis toujours à poil ou en petite tenue.
Je ne pensais pas que ça puisse être aussi bon. En fait, avec toutes les filles, c'était bon, très bon, mais jamais aussi bon qu'avec elle. Je lui bouffais les lèvres, je tirais dessus, je les pourléchais, et ses jus intimes ruisselaient dans ma bouche, même si elle était forcément ménopausée, elle mouillait avec abondance, pendant qu'elle faisait aller et venir sa bouche sur ma queue.
Je crois bien qu'elle aussi, elle trouvait ça très bon. D'ailleurs, on a pas été long à remettre le couvert. Le soir suivant, elle est venue me trouver, et elle m'a dit:
— Viens me rejoindre dans le lit tôt le matin!
Et on est parti sur ce moment. Le matin. La rejoindre, pour une heure ou un peu plus d'un plaisir comme je n'en avais jamais connu, et je n'en connaîtrais jamais.
Cette première-fois là, j'avais pensé qu'on jouirait comme ça, mais elle s'était redressée, et, en gardant le dos tourné, elle était venue me faire rentrer en elle. Elle avait guidé ma queue, qui n'avait jamais été aussi longue, aussi épaisse, aussi dure, aussi dilatée, l'avait faite rentrer dans son sexe, et ça avait été dès les premières secondes, alors que je glissais entre les parois de son vagin, un plaisir intense, une évidence qui ne s'était jamais démentie. Elle m'avait avalé totalement, mais je ne doutais pas que ce puisse être le cas.
Le bonheur d'être dans son sexe. Cette gaine à la fois étroite et souple, chaude et humide. S'il y avait un bonheur absolu, c'était celui-là. Elle s'est faite monter et descendre sur moi.
Elle avait de quoi me surprendre, et elle me l'a prouvé quelques minutes plus tard. Elle s'est immobilisée et j'ai eu une sensation étrange, que je n'ai pas comprise tout de suite. Ma queue bloquée...Par une étreinte. Mais ce n'était pas une main. J'ai réalisé qu'elle avait resserré les muscles de son sexe autour de ma queue. C'était une source de plaisir surprenante. Dans le plaisir, il y avait l'insolite. Elle a desserré l'étreinte plusieurs fois, et resserrée. Et c'est après l'avoir resserrée encore une fois qu'elle a fait quelque chose d'aussi surprenant que cette caresse. Elle a pivoté sur elle-même, dans une caresse à la fois proche et différente, pour se retrouver face à moi. Elle souriait, comme je la voyais rarement sourire dans la journée. Clairement un moment heureux pour elle.
Elle a alterné, comprimant ma queue et se faisant monter et descendre dessus.
Elle avait un corps magnifique. Des seins incroyablement fermes. J'étais tout autant fasciné par son sexe, avec ces lèvres très longues et très épaisses, à présent au summum de leur érection, tout comme son gland clitoridien. J'en avais rarement vu d'aussi gros. On aurait dit une petite bite. C'en était une, en quelque sorte.
Il y a eu une phase ultime, à laquelle je ne m'attendais absolument pas. Elle s'est légèrement redressée pour éjecter ma queue de sa vulve. J'étais énorme d'excitation. Elle a amené mon gland contre son gland clitoridien. Aucune fille ne m'avait fait ça avant. Il fallait dire que je n'en connaissais aucune qui avait une partie de son anatomie aussi grosse.
C'est sans doute parce que deux parties ultra-sensibles étaient en contact, mais aussi parce que c'était une manière de faire peu banale et troublante qu'on a explosé tous les deux. Elle a joui en hurlant et en lâchant des ruissellements, tandis que je jouissais comme rarement en crachant des jets de semence qui l'ont maculée jusqu'au visage.
Ca avait été un début.
Je me suis glissé sous les draps. Son corps était nu, et chaud. Elle somnolait, allongée sur le dos. J'ai posé ma main sur son ventre, et esquissé un mouvement circulaire. Elle a gémi. Quand je suis descendu plus bas, son sexe était déjà ouvert, et ses lèvres bien gonflées. Elle a arrosé ma paume de mouille. Je l'ai caressée un moment. Elle est venue chercher ma queue, l'a trouvée aussi raide que d'habitude. Elle m'a masturbé avant de me dire:
— Viens...J'ai envie de te sentir en moi...
Elle a basculé sur le côté, et soulevé sa jambe, Je suis venu me coller à son dos, et je suis rentré en elle. Retrouver son sexe à chaque fois, cette gaine qui semblait faite pour m'accueillir, comme ma queue me paraissait faite pour rentrer dans sa vulve. Un en boitement naturel, l'un était fait pour l'autre, quelque chose que je ne ressentais avec aucune autre femme. La chaleur de son sexe, la douceur de son sexe, qui m'enveloppait, me prenait, me caressait, se resserrait autour de moi, ce n'était jamais pareil, c'était ça qui était si bon...
J'ai bougé doucement en elle, avant qu'elle ne se resserre autour de moi. J'étais déjà bien au fond d'elle, mon gland butant contre son utérus. Elle m'a caressé comme elle aimait le faire, et comme aucune autre fille ne le ferait jamais, ses muscles vaginaux serrant et desserrant. Elle me disait souvent: 'Il n'y a que moi qui peut te faire ça!' et c'était vrai.
J'ai senti qu'elle montait vers l'orgasme. Les frémissements, puis les soubresauts de son corps, jusqu'à ce qu'elle se tende et crie.
J'avais appris à maîtriser ma jouissance. Rester dur longtemps pour lui procurer le maximum de plaisir, mais aussi profiter plus longtemps de ce qu'elle pouvait me proposer.
Elle a expulsé ma queue de sa vulve d'une ultime contraction. Se redressant, elle a glissé sur moi. Ses deux énormes seins ronds sont venus envelopper ma queue. Elle a posé ses mains sur ses nichons. Elle se servait très habilement de ses seins. Jamais aucune fille avant elle ne m'avait fait une cravate de notaire. Elle m'a fait disparaître dans la douceur entre ses seins, et elle s'est mise à me caresser. Si dans la journée, elle avait souvent, pour ne pas dire toujours un visage maussade, ce n'était pas le cas quand on faisait l'amour. Elle était épanouie et radieuse.
Tenir, toujours tenir quand on sentait qu'on allait jouir. Faire durer le plaisir. Elle a calé ma queue autrement, de telle sorte que mon gland, tout rouge et dégoulinant de mes liquides pré-sécrétifs, dépasse dans son décolleté. Elle s'est mise à laper ce liquide aussi abondant que mes éjaculations, tournant sur mon gland, et autour de mon méat. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a ouvert la bouche, et mes jets de sperme sont partis dans sa bouche, puis dans sa gorge.
Elle savait pourtant que, même si j'avais joui, je ne débanderais pas, et ma queue resterait dure. Elle est venue s'empaler sur ma verge, se faisant bouger jusqu'à ce qu'elle jouisse, dans un enchaînement d'orgasmes, et qu'à nouveau, je jouisse moi aussi, remplissant son vagin d'autant de sperme que je n'en avais déjà craché.
partie 1
La toute première fois où je les ai vues, c'était un lundi après-midi. J'avais pris la voiture pour amener ma mère faire des courses. Elle était à côté de moi, pas vraiment agréable, à son habitude. Sauf à certains moments. Le contact, ou la simple vue des autres semblait toujours l'irriter.
Quand elle les avait vues, elle s'était écrié:
— Regarde-moi ces petites putes!
Pour elle, toutes les femmes étaient des putains.
Moi j'avais vu autre chose.
Elles étaient une quinzaine, et elles étaient en pause. J'avais vingt-trois ans, et elles étaient dans mes âges. De jolies filles. Brunes, blondes, rousses. Difficile de vraiment apprécier leurs charmes. En effet, elles portaient toutes des blouses blanches, qui ne laissaient pas voir grand chose, même si elles soulignaient leurs charmes.
Elle en savait plus que moi, parce qu'elle lisait le journal régulièrement et moi occasionnellement. Elle m'a tout expliqué. Comme on avait ralenti, certaines des filles ont souri et fait un petit geste de la main.
--Sales putes!, a jeté ma mère, variant partiellement ses énoncés.
Dans une région où le chômage faisait la loi, une femme dynamique, qui avait déjà travaillé dans le textile avait décidé de monter une petite entreprise. Elle ne l'avait pas fait dans le vide, en effet elle avait décroché des contrats, car c'était un monde qu'elle connaissait bien, pour fabriquer des pièces de vêtement. C'était une époque où on désindustrialisait, aujourd'hui, on réindustrialise, mais certains luttaient. Elle avait également choisi et c'était tout à son honneur, de faire travailler des jeunes femmes, qui souvent avaient une formation, mais ne trouvaient pas de travail, de les payer mieux qu'on aurait pu les payer ailleurs, mais aussi de les permettre d'accéder à d'autres formations, si elles le souhaitaient. Sa mort, cinq ans plus tard, avait sonné le glas d'une entreprise philanthropique. J'avais été à son enterrement. Il y avait foule pour une femme qui avait un cœur en or.
On avait été faire des courses, avant de rentrer. Ma mère se couchait tôt le soir. Elle avait un sommeil de plomb, renforcé par des somnifères. Et elle se réveillait très tôt. Moi j'en profitais pour sortir. J'étais hyper doué pour dessiner. J'avais commencé par des études et des métiers bien barbants avant de me dire qu'il fallait que je fasse ce que j'aimais vraiment. J'avais envoyé mes dessins autour de moi. Ils avaient plu. Depuis je faisais du graphisme free-lance. Beaucoup de travail, mais j'avais des contrats, et j'en vivais plutôt bien.
Je partais à pied dans les villages avoisinants. Et je faisais toujours des rencontres.
Quand je suis passé devant les ateliers, même s'il était quasiment vingt-deux heures, j'ai été surpris de voir le portail ouvert, et un bloc de bâtiments allumé. Et il y avait une fille devant, qui tirait sur une cigarette. Elle était enveloppée dans une blouse blanche. Je la voyais bien grâce à la lumière blanche qui sortait du local. Elle n'était pas très grande, avec une masse de cheveux blonds attachés sur le crane. Elle m'a souri.
— Bonsoir.
— Bonsoir. Encore au travail?
J'étais devant le portail, elle sur le lieu de l'atelier.
— Tu peux rentrer.
J'ai obéi, et je me suis approché d'elle. Elle venait d'écraser sa cigarette dans un cendrier adéquat.
— Oui, on est restées, à deux pour finir d'emballer une commande. Ma collègue vient de partir.
Elle avait un joli visage. Et un corps aux formes pleines, comme je les aimais, qui tendait le tissu de la blouse. Elle m'a fait un sourire plein de chaleur.
— Tu sais que je suis quasiment nue dessous?
— Ah bon ?
— Juste un slip et un soutien-gorge. Tu veux voir?
En fait, elle n'a pas attendu ma réponse. Elle a défait les boutons qui tenaient la blouse fermée. Ca a été vite. Et elle l'a ouvert. Comme le laissait bien voir la blouse, elle avait de belles formes. Des seins, des hanches, et je l'ai vu par la suite, des fesses. Et un joli ensemble dessous, vert bouteille avec des arabesques dorées dessus. Le soutien-gorge tenait une poitrine lourde, et le slip avait une face avant transparente qui laissait voir des poils blonds, ainsi que le haut de ses lèvres.
Difficile de rester indifférent face à un tel spectacle.
Ce n'était pas surprenant que les choses se passent ainsi. Dans la nuit, ici, dans ce petit village, ou dans les voisins, tout était possible. Les garçons cherchaient les filles, et les filles cherchaient les garçons. Les rapprochements se faisaient très vite, en fonction des envies. Ça ne débouchait pas forcément sur grand chose d'autre qu'un moment de plaisir, mais ce n'était pas non plus ce qu'on cherchait. La beauté d'un corps, une entente basée sur le sexe, un moment de plaisir...Ca laissait autant de traces que des moments plus élaborés.
Surtout, dans de tels moments, on se moquait bien de ce qui pouvait se passer autour de nous. On était dans la nuit, certes, mais éclairés par cette lumière qui nous mettait en évidence. Ca ne nous a pas empêchés à la fois de rester là et d'aller plus loin. D'autres couples, qui faisaient l'amour dans le village ne se gênaient pas pour en faire autant. J'avais surpris des scènes qui m'avaient troublé. Des filles qui se faisaient prendre, appuyées contre un mur, dans l'entrée, ouverte, d'un immeuble, qui suçaient la queue de leur copain assises sur un banc public à côté de lui, ou se faisaient monter et descendre sur sa queue, sur ce même banc.
C'est elle qui a fait glisser sa blouse, mais c'est moi qui ait défait le soutien-gorge, en allant chercher l'attache dans son dos, et en accompagnant le tissu, quand il a commencé à descendre.
Elle avait des seins magnifiques. Lourds, mais bien ronds et bien fermes. Ils étaient orgueilleusement dressés, bien droits, leurs tétons, qui ont eu une soudaine poussée de durcissement, me fixaient. Roses, comme ses aréoles, larges. La fraîcheur de ce début de nuit, l'envie, l'excitation.
Je me suis penché sur elle, et j'ai caressé ses tétons de ma langue. Elle a gémi de plaisir en fermant les yeux.
— Tu sais t'y prendre avec les filles!
Elle a tendu les mains vers mon jean, et elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon.
— Hé ben dis donc, tu as très envie. Oh, mon Dieu qu'elle est grosse...Ah...J'ai envie de l'avoir dans le ventre. Tu crois que c'est possible?
— Tout est possible.
Elle s'est mise à me masturber doucement. Une main de fille sur sa queue, c'est très bon, plus que certains ne le pensent. Différentes caresses, différents rythmes pour une jouissance rapide ou plus délayée dans le temps. Elle, elle voulait simplement que je ne jouisse pas tout de suite.
Elle m'a caressé, pendant que je bouffais ses tétons, qui prenaient toujours plus de volume. On a profité de ce moment, hors du temps, jusqu'au moment où je me suis plié en deux, et j'ai descendu son slip, dans un premier temps, jusqu'à ses genoux, puis ensuite et elle a été obligée de lâcher ma queue, jusqu'à ses chevilles. Elle a levé le pied pour garder simplement la culotte accrochée à une cheville.
A genoux, j'ai eu droit à une belle contre-plongée sur sa chatte. Une vraie chatte, avec des poils blonds, taillés certes, mais bien fournis, qui disaient une blondeur identique à celle de ses cheveux. Il y avait la fente d'un sexe pas close mais entrouverte sur un intérieur rose, des lèvres déjà bien épanouies, et un liquide qui sortait du tréfonds d'elle-même et qui faisait briller sa chair. En d'autres termes, elle était excitée. Je suis venu poser mes mains sur ses hanches, pleines, avant de glisser sur un cul, aussi plein, charnu et généreux, et me redressant légèrement, j'ai léché son sexe, me remplissant de ses liquides intimes et de leur goût et lui donnant en même temps du plaisir. J'ai vu que mon cunni lui plaisait, autant parce que ses liquides intimes étaient abondants que parce que j'ai senti son corps frémir. J'étais tellement excité que je caressais ma queue en même temps. Je n'aurais pas pu tenir sinon. Ca maintenait une tension, certes, mais ça me soulageait aussi.
— Tu as ce qu'il faut?
— Quand je sors, toujours...
— Tu baises souvent des filles le soir?
J'ai préféré ne pas répondre, mais ca restait un aveu.
— Sinon, j'avais ce qu'il fallait dans mon sac à main.
— Alors toi aussi tu cherches des occasions...
— Je veux en profiter avant d'être trop vieille...
J'ai tiré le préservatif de la poche arrière de mon jean. Mais j'en avais aussi dans les poches avant.
— Et si tu me le mettais?
La perspective a eu l'air de lui plaire. Elle a attrapé l'emballage, l'a déchiré, et a fait apparaître la rondelle de plastique toute grasse. Elle l'a posée sur mon gland gonflé d'excitation et gorgé de sang. On regardait tous les deux. Elle l'a fait coulisser le long de ma queue, en arrivant quasiment à la racine.
Puis j'ai eu un mouvement vers elle, me poussant pour rentrer en elle, pendant qu'elle guidait ma queue entre ses lèvres. C'est bien rentré, et je me suis retrouvé enveloppé par la chaleur et la douceur de la gaine de son sexe. Un plaisir si immédiat, si fort, mais ça l'a été aussi pour elle. Elle a gémi pendant que je me glissais en elle, jusqu'à occuper totalement son sexe. Elle m'a soufflé:
— C'est bon de se faire baiser.
On n'était sans doute pas dans une position optimale, et je ne pouvais pas rentrer ma queue totalement en elle, mais c'était quand même très bon. Le contact de nos deux sexes, c'était du plaisir pur. J'ai bougé en elle. On était en transes. Elle gémissait. Elle m'a soufflé:
— Putain, je suis entrain de jouir.
Elle a poussé un cri, plus fort, puis encore un autre. J'ai senti ses liquides intimes couler autour de ma queue en rasades intenses, arroser nos chairs, et j'ai explosé aussi dans le préservatif, crachant de grands jets de sperme qui sont venus taper contre les parois internes de son sexe, l'ont faite gémir, et peut-être jouir à nouveau.
Je suis sorti d'elle. Elle s'est mise à genoux, a soigneusement roulé le préservatif, de manière à ce que le sperme reste dans le réservoir, elle l'a amené à sa bouche, l'a étiré, et lapé la semence jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Elle s'est redressée, ramenant sa culotte sur ses parties intimes.
— C'était bon. Trop bon. J'ai envie de te revoir. Tu crois que c'est possible ? J'habite un petit appartement au village. Je viens d'un département voisin. C'est pas le grand luxe, mais on pourra faire l'amour tranquillement. Viens.
Je suis rentré à l'intérieur. J'ai vu les machines, un coin administratif. Elle a griffonné une adresse et un numéro de fixe sur un bout de papier et me les a tendus. A l'époque, il n'y avait pas de portable. On s'est embrassés, et séparés. Je suis rentré chez moi.
XXXXX
Je me suis glissé dans son lit tôt le matin. Comme tous les matins. C'était notre drogue. La sienne et la mienne. J'aurais été incapable de m'en passer. On avait des rapports exécrables dans la journée, sauf moment de sexe, souvent en début d'après-midi mais au petit matin, on se rapprochait grâce au sexe.
Certains jours, elle dormait avec une nuisette, d'autres, elle était nue.
Cela faisait cinq ans qu'on partageait ces passages de la nuit au jour.
Ca avait commencé très banalement. Elle était venue un soir, je lisais au lit, me chercher. Elle avait une grande chemise de nuit, entièrement transparente. L'occasion de constater qu'au milieu de la cinquantaine elle avait un corps magnifique. Comme je les aimais en tout cas, plein, épanoui, avec des seins, des fesses, des hanches.
— Tu veux venir dormir avec moi ce soir? Je me sens seule.
Je n'avais jamais connu mon père. Des hommes de passage, oui. Elle avait choisi la solitude ces derniers temps.
— J'arrive.
Et je l'avais rejointe dans son grand lit. J'avais un pantalon de pyjama et je n'avais pas vraiment fait attention au fait que j'avais une énorme érection. Ou plutôt, j'y avais prêté attention quand j'avais pénétré dans la chambre. Je m'étais vite glissé dans le lit. Elle parcourait le journal.
Elle l'avait plié. M'avait dit:
-Dis donc, tu as une queue énorme ce soir. Tu es en manque, tu penses à une fille ou je t'inspire?
Et en même temps, sous le drap, elle avait glissé sa main vers mon ventre, puis sous le pyjama, et elle s'était mise à me masturber doucement.
--Tu crois que...?
--Il n'y a pas de mal à avoir un bon moment ensemble.
Et à vrai dire, je n'y voyais pas non plus du mal. Elle avait été, et elle était encore très attirante. Je la trouvais à vrai dire plus attirante que la plupart des filles et des femmes que je connaissais.
Mais ça avait pris une autre dimension, quand elle avait soulevé le drap, descendu mon pantalon, et sorti ma queue. J'étais énorme. Rarement aussi gros. Il fallait croire qu'elle m'inspirait.
Je me suis rendu compte dans les minutes qui suivaient qu'elle savait faire l'amour. Et qu'elle aimait le sexe. Et que, sans doute aussi, elle était en manque. Elle avait longuement parcouru ma queue de sa langue, sans négliger aucune partie, pas même mes couilles. Puis elle avait fait aller et venir sa bouche sur moi. Avait-elle lu ce dont j'avais envie? Elle s'était détachée de moi, avait fait passer sa chemise de nuit par dessus ses épaules, et on s'était calés pour un parfait 69. Son cul sous mes yeux, offert. Un délice. Une croupe énorme, un vrai cul bien charnu, bénéficiant d'une chute de reins qui le faisait très cambré, et une chatte avec de grosses lèvres très charnues bien sorties d'elle, même quand elle n'était pas excitée. Enfin, j'avais déjà pu m'en rendre compte, parce qu'elle se baladait depuis toujours à poil ou en petite tenue.
Je ne pensais pas que ça puisse être aussi bon. En fait, avec toutes les filles, c'était bon, très bon, mais jamais aussi bon qu'avec elle. Je lui bouffais les lèvres, je tirais dessus, je les pourléchais, et ses jus intimes ruisselaient dans ma bouche, même si elle était forcément ménopausée, elle mouillait avec abondance, pendant qu'elle faisait aller et venir sa bouche sur ma queue.
Je crois bien qu'elle aussi, elle trouvait ça très bon. D'ailleurs, on a pas été long à remettre le couvert. Le soir suivant, elle est venue me trouver, et elle m'a dit:
— Viens me rejoindre dans le lit tôt le matin!
Et on est parti sur ce moment. Le matin. La rejoindre, pour une heure ou un peu plus d'un plaisir comme je n'en avais jamais connu, et je n'en connaîtrais jamais.
Cette première-fois là, j'avais pensé qu'on jouirait comme ça, mais elle s'était redressée, et, en gardant le dos tourné, elle était venue me faire rentrer en elle. Elle avait guidé ma queue, qui n'avait jamais été aussi longue, aussi épaisse, aussi dure, aussi dilatée, l'avait faite rentrer dans son sexe, et ça avait été dès les premières secondes, alors que je glissais entre les parois de son vagin, un plaisir intense, une évidence qui ne s'était jamais démentie. Elle m'avait avalé totalement, mais je ne doutais pas que ce puisse être le cas.
Le bonheur d'être dans son sexe. Cette gaine à la fois étroite et souple, chaude et humide. S'il y avait un bonheur absolu, c'était celui-là. Elle s'est faite monter et descendre sur moi.
Elle avait de quoi me surprendre, et elle me l'a prouvé quelques minutes plus tard. Elle s'est immobilisée et j'ai eu une sensation étrange, que je n'ai pas comprise tout de suite. Ma queue bloquée...Par une étreinte. Mais ce n'était pas une main. J'ai réalisé qu'elle avait resserré les muscles de son sexe autour de ma queue. C'était une source de plaisir surprenante. Dans le plaisir, il y avait l'insolite. Elle a desserré l'étreinte plusieurs fois, et resserrée. Et c'est après l'avoir resserrée encore une fois qu'elle a fait quelque chose d'aussi surprenant que cette caresse. Elle a pivoté sur elle-même, dans une caresse à la fois proche et différente, pour se retrouver face à moi. Elle souriait, comme je la voyais rarement sourire dans la journée. Clairement un moment heureux pour elle.
Elle a alterné, comprimant ma queue et se faisant monter et descendre dessus.
Elle avait un corps magnifique. Des seins incroyablement fermes. J'étais tout autant fasciné par son sexe, avec ces lèvres très longues et très épaisses, à présent au summum de leur érection, tout comme son gland clitoridien. J'en avais rarement vu d'aussi gros. On aurait dit une petite bite. C'en était une, en quelque sorte.
Il y a eu une phase ultime, à laquelle je ne m'attendais absolument pas. Elle s'est légèrement redressée pour éjecter ma queue de sa vulve. J'étais énorme d'excitation. Elle a amené mon gland contre son gland clitoridien. Aucune fille ne m'avait fait ça avant. Il fallait dire que je n'en connaissais aucune qui avait une partie de son anatomie aussi grosse.
C'est sans doute parce que deux parties ultra-sensibles étaient en contact, mais aussi parce que c'était une manière de faire peu banale et troublante qu'on a explosé tous les deux. Elle a joui en hurlant et en lâchant des ruissellements, tandis que je jouissais comme rarement en crachant des jets de semence qui l'ont maculée jusqu'au visage.
Ca avait été un début.
Je me suis glissé sous les draps. Son corps était nu, et chaud. Elle somnolait, allongée sur le dos. J'ai posé ma main sur son ventre, et esquissé un mouvement circulaire. Elle a gémi. Quand je suis descendu plus bas, son sexe était déjà ouvert, et ses lèvres bien gonflées. Elle a arrosé ma paume de mouille. Je l'ai caressée un moment. Elle est venue chercher ma queue, l'a trouvée aussi raide que d'habitude. Elle m'a masturbé avant de me dire:
— Viens...J'ai envie de te sentir en moi...
Elle a basculé sur le côté, et soulevé sa jambe, Je suis venu me coller à son dos, et je suis rentré en elle. Retrouver son sexe à chaque fois, cette gaine qui semblait faite pour m'accueillir, comme ma queue me paraissait faite pour rentrer dans sa vulve. Un en boitement naturel, l'un était fait pour l'autre, quelque chose que je ne ressentais avec aucune autre femme. La chaleur de son sexe, la douceur de son sexe, qui m'enveloppait, me prenait, me caressait, se resserrait autour de moi, ce n'était jamais pareil, c'était ça qui était si bon...
J'ai bougé doucement en elle, avant qu'elle ne se resserre autour de moi. J'étais déjà bien au fond d'elle, mon gland butant contre son utérus. Elle m'a caressé comme elle aimait le faire, et comme aucune autre fille ne le ferait jamais, ses muscles vaginaux serrant et desserrant. Elle me disait souvent: 'Il n'y a que moi qui peut te faire ça!' et c'était vrai.
J'ai senti qu'elle montait vers l'orgasme. Les frémissements, puis les soubresauts de son corps, jusqu'à ce qu'elle se tende et crie.
J'avais appris à maîtriser ma jouissance. Rester dur longtemps pour lui procurer le maximum de plaisir, mais aussi profiter plus longtemps de ce qu'elle pouvait me proposer.
Elle a expulsé ma queue de sa vulve d'une ultime contraction. Se redressant, elle a glissé sur moi. Ses deux énormes seins ronds sont venus envelopper ma queue. Elle a posé ses mains sur ses nichons. Elle se servait très habilement de ses seins. Jamais aucune fille avant elle ne m'avait fait une cravate de notaire. Elle m'a fait disparaître dans la douceur entre ses seins, et elle s'est mise à me caresser. Si dans la journée, elle avait souvent, pour ne pas dire toujours un visage maussade, ce n'était pas le cas quand on faisait l'amour. Elle était épanouie et radieuse.
Tenir, toujours tenir quand on sentait qu'on allait jouir. Faire durer le plaisir. Elle a calé ma queue autrement, de telle sorte que mon gland, tout rouge et dégoulinant de mes liquides pré-sécrétifs, dépasse dans son décolleté. Elle s'est mise à laper ce liquide aussi abondant que mes éjaculations, tournant sur mon gland, et autour de mon méat. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a ouvert la bouche, et mes jets de sperme sont partis dans sa bouche, puis dans sa gorge.
Elle savait pourtant que, même si j'avais joui, je ne débanderais pas, et ma queue resterait dure. Elle est venue s'empaler sur ma verge, se faisant bouger jusqu'à ce qu'elle jouisse, dans un enchaînement d'orgasmes, et qu'à nouveau, je jouisse moi aussi, remplissant son vagin d'autant de sperme que je n'en avais déjà craché.
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Commentaires du récit : Errances partie 1
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