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Escapade entre filles

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Lue : 743 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/05/2021

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- Que dirais-tu si nous allions tous les quatre au Dance Bar ce soir. Ca pourrait etre sympa et on apprendrait à ce connaitre un peu plus.

- P...Pourquoi pas ?! Je demanderais à Marc s’il est d’accord.

- Il le sera surement. Rendez-vous à 21h à l’embarcadère. A ce soir et fais-toi belle. Tony arriva au moment où elle allait franchir la haie.

- Bonjour Isabelle. Comment allez-vous ?

- B...Bien merci. J...j’ai un peu chaud mais ca va. Bafouilla-t-elle.

- Je viens de proposer à Isa d’aller aux Dance Bar et peut être à l’Aphrodisia après, qu’en penses-tu ?

Il m’embrassa, me pris par la taille et me colla contre lui.

- Que c’est une excellente idée. C’est les vacances, faisons la fête.

- A...A ce soir alors. Et elle franchit la haie.

Malheureusement, je ne sais quel mal frappa mon homme, mais il se retrouva au lit avec de terribles maux de ventre. La déception fut cependant de courte durée car Tony me poussa à aller quand meme en soirée avec Isabelle et Marc. Et je ne me fis pas prier pour accepter.

J’allais voir Isabelle pour l’en informer et découvrit à ce moment là que Marc était atteint des meme maux. Je priais Isabelle de se joindre à moi et de sortir entre fille mais elle fut nettement plus dure à convaincre. Elle ne voulait pas laisser son homme seul. Mais mes efforts couplés à l’accord de Marc finir par la convaincre. Je rentrais toute émoustiller à l’idée de sortir avec elle ce soir. Demain matin, Marc ne la reconnaitra pas.

(Pendant ce temps chez Isa et Marc)

- Sympa de me jeter dans la gueule du loup !!!

- C’est clair qu’elle a l’air d’avoir les crocs la petite. J’en connais une qui va passer à la casserole ce soir, se marra-t-il tout en grimaçant de douleur.

- Moi qui pensais que j’allais me jouer d’elle. Punaise ce matin, elle m’a rendu folle. J’avais le ventre en feu.

- Je m’en suis rendu compte. Tu m’as presque violé en rentrant. Mais franchement, avoue que ca te plait cette situation. Te laisser manœuvrer par une petite bombe sexuelle.

- pfff...le pire c’est que tu as raison. J’ai qu’une envie, c’est de voir jusqu’où elle est prête à aller.

- Et ben je pense que t’es pas au bout de tes surprises ma grande !! Bon allez je vais me recoucher, je ne suis vraiment pas bien.

- Mouais, elle est facile celle-là je trouve. Je vais voir ce que je peux me mettre sur les fesses pour ce soir.

(De retour chez Anne)

- Tu sais quoi mon amour ?! Marc est également malade et donc on va aller s’éclater juste entre fille jusqu’au bout de la nuit.

- T’éclater avec ce glaçon ? Je te souhaite bien du courage. Vous serez revenu avant minuit.

- Tatata. Je suis prête à tout pour la décongeler et la dévergonder. J’ai déjà préparé le terrain ce matin. Tu as vu dans quel état second elle était quand elle est partie ?

- C’est vrai qu’elle avait l’air toute perturbée la pauvre. Mais c’est petit. Tu profites de mon absence et de ma maladie pour marquer des points et te rapprocher de la victoire.

- Eh oui, tous les coups sont permis pour gagner et surtout pour atteindre mon plaisir.

- Tu as vraiment beaucoup changé. Tu me fais presque peur !!

- Ecoute, je découvre de nouveaux plaisirs tous les jours et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Et si ça ne te conviens pas, c’est pareil.

Et sur ce, je le laissais pantois sur son canapé et je filais dans la salle de bain pour me préparer.

Je me passais le corps au lait de coco, pour avoir la peau encore plus douce. Je refis une petite beauté à mon minou en le taillant légèrement en forme de V pour, au cas où, montrer le chemin à suivre, mis du vernis à ongle rose à paillette sur les doigts et les pieds, un far à paupière rose léger et un rouge à lèvre rose glossy.

Je passais ensuite dans la garde robe et hésitais longuement. J’optais pour un mini-short en jean blanc qui couvrait juste mon p’tit cul et une chemise rose sans manche très prêt du corps fermée uniquement par deux boutons au niveau de la poitrine. J’enfilais également une paire nu pied à talon haut dont le lacet faisait le tour de mes mollets.

J’apparu ainsi devant mon chéri. J’ai cru que sa mâchoire allait se décrocher.

- Ferme la bouche, tu vas gober un moustique.

Je m’approchais de lui pour lui faire langoureux et vérifier de l’effet que ma tenue lui faisait.

- T’as pas l’air si malade que ca on dirait ! J’espère que je ferais autant d’effet à Isa...et aux hommes que je croiserais en boite. A demain matin, mon amour.

Et je filais par la porte fenêtre.

- Anne... Pas de bêtise quand même !

Je me retournais et lui fis mon plus beau sourire sans rien dire et repris mon chemin vers l’embarcadère pour retrouver Isa.

Isabelle était déjà là et je fus plutôt agréablement surprise par sa tenue meme si elle était un peu trop sage à mon gout.

Elle portait une robe unie grise en tissu plutôt léger et qui mettait ses formes bien en valeur. Elle arrivait en dessous du genou et dont les manches étaient mi-longues. Elle était fermée sur le devant par des boutons pressions sur toute sa longueur.

- Ma belle Isa, je te rappelle que nous allons nous éclater ce soir et pas à l’enterrement de tonton Henry. Voyons voir ce que nous pouvons faire pour arranger ça.

Je m’accroupis, la déboutonna jusqu’à mi cuisse et craqua le tissu pour le déchirer sur toute sa largeur afin de lui raccourcir.

- Aaaanne, ma robe !!! Elle est foutue maintenant.

- Mais non, bécasse !! Au moins, tu pourras faire admirer tes jolies gambettes. Et c’est quoi ces manches.

Et je tirai un grand coup sur l’emmanchure pour les faire céder et lui retirer également. Ensuite je fis sauter ces boutons pressions jusqu’à mi poitrine.

- Voila, c’est nettement mieux. C’était trop dommage de ne pas montrer un aussi beau décolleté. Ca donnerait presque envie de plonger dedans, lui dis-je avec un regard coquin.

Elle devint cramoisie.

- Tu sais que tu es encore plus mignonne quand tu rougis. Et défais moi ce chignon de mamie !!

Je m’approchai d’elle pour lui défaire et j’en profitai pour lui faire un baiser à la commissure des lèvres.

C’est à ce moment là que le bateau arriva pour nous amener sur l’île des fêtards.

Le bateau longea le ponton et un black sculptural nous tendit la main pour nous aider à monter à bord. Il était torse nu et portait juste un short avec des tongs. Je louchais sur ses tablettes de chocolat et ses pectoraux et apparemment il n’était pas non plus indifférent à Isa qui avait un air béat devant lui.

Nous devions lui plaire également car il ne décrochait pas son regard de nos décolletés. Il se reprit et nous souhaita la bienvenue à bord.

- Bonsoir Mesdemoiselles, je m’appelle Amadou. Vous êtes splendides. Veuillez prendre place, le bateau est tout à vous.

- Viens Isa, nous allons nous mettre à l’avant.

Nous nous installâmes face à lui. Nous étions assises l’une à coté de l’autre sur un banc qui faisait tout le tour du bastingage. Nous étions obnubilées par cet apollon qui nous jetait de petit regard avec un magnifique sourire enjôleur et d'une blancheur éclatante.

Nous avions les deux les jambes croisées. Isa était collée contre moi. Je posais alors ma main sur sa cuisse. Elle sursauta et eu un petit mouvement de recul mais je laissai ma main.

Je me retournai vers elle pour lui chuchoter à l’oreille :

- Détends-toi et laisse toi aller ma belle. Ton corps est une invitation au plaisir. Regarde ce beau mâle ! Il nous dévore des yeux. Je suis persuadé qu’il a tout ce qu’il faut et même plus que de raison dans son short.

Elle rougit et eu un petit sourire en coin. Elle commençait à lâcher prise. Je la sentais se détendre sous ma main.

Nous reprîmes la contemplation de notre chauffeur. Je caressais la cuisse d’Isa et remontais de plus en plus. C’est là qu’elle me surprit en décroisant les jambes et en les écartant légèrement. Je pus ainsi passer ma main entre ses cuisses toutes chaudes.

Amadou devait avoir une vue imprenable sur son petit bout de tissu. Il nous regardait de plus en plus souvent. Nous devions lui donner chaud car son crane chauve perla de sueur.

Je continuais de remonter entre ses cuisses et toucha le tissu qui barrait le chemin de son minou. Il était trempé. Le glaçon commençait à fondre ou alors elle cachait bien son jeu et elle écarta encore un peu plus les jambes. Je caressai sa culotte humide. Je sentais sa fente à travers.

Je décroisai les jambes à mon tour et les écartai. Amadou devait voir maintenant ma chatte lisse cachée en partie par mon mini short qui baillait largement à l’entre jambe.

Je regardais Isa et la vis les yeux fixés sur notre barreur en train de se mordre la lèvre. Sa respiration était de plus en plus hachée. Je la sentis effleurer ma cuisse avec le revers de sa main. Ma caresse sur sa vulve se faisait de plus en plus insistante. Elle voulut à son tour me caresser l’intérieur des cuisses mais je repoussais sa main. Je voulais qu’elle prenne son pied devant cet inconnu. J’aurais bien le temps de prendre le mien au cours de la soirée et plus mon excitation sera à son paroxysme, meilleur se sera.

Je passai mon doigt sous le tissu pour sentir ses lèvres lisses trempées mais sans les découvrir pour ne pas les montrer à Amadou. Que c’était doux à caresser. Elle laissa échapper un soupir plus accentué.

J’avais maintenant les jambes grandes écartées, le minou tout luisant de mon excitation. Mes tétons pointaient à travers ma chemise et je les titillais avec le bout des doigts pour qu’ils grossissent encore.

Mon doigt explorateur vint trouver le bouton d’Isa et commençai à m’amuser avec.

Je me demandais quel effet nous devions faire à notre apollon, qui pour le moment ne bougeait pas derrière sa barre mais nous dévorait littéralement des yeux. Je me lançais :

- Amadou, pourrais-tu te décaler pour que nous puissions admirer tout ton corps s’il te plait ?

- Oh oui, Amadou, montre nous tes muscles…tous tes muscles…hummmm….

C’était Isa qui venait d’encourager ma demande mais d’une façon dont je ne m’imaginais pas qu’elle fut capable.

- Ce que femme veut… répondit Amadou et il se décala sur la droite.

Ce que nous vîmes nous laissa bouche bée. Son short était totalement déformé par ce qu’il avait entre les jambes. Il avait une queue hors catégorie. Longue et large à la fois. A cette vue, j’accélérais la masturbation du clito d’Isa et me pinçais le téton plus fort que ne l’aurais voulu. Mais que c’était beau à voir même si l’engin était encore caché.

- Voulez-vous que je me rapproche ?

Isa ne répondit rien mais fit oui de la tête, la bouche grande ouverte. Mais j’en avais décidé autrement :

- Non, reste où tu es !!

- Quoi ??? Comment ça, reste où tu es ??? Je veux la toucher !!! s’exclama Isa

- Pas tout de suite, ma belle. Mais dis moi tu te dévergonde à vitesse grand V ?

- euhhh…ben disons que je ne suis pas une bonne sœur non plus. Et tes caresses me rendent folles… mmmmm…

- Amadou, dis moi, serais-tu libre pour nous accompagner ce soir et nous faire découvrir les merveilles encore cachées de ton pays.

- Je serais bien bête de refuser une proposition si intéressante venant de deux femmes si….bandantes, si vous me passez l’expression.

- Nous passons, lui dis-je en lui faisant un clin d’œil. Tu peux retourner à ta barre et profiter du paysage en attendant d’arriver. En attendant surtout de nous occuper de ta barre, pensais-je.

Il y retourna et regarda ma main s’activer de plus en plus rapidement sur le bouton dur de ma compagne d’un soir pendant que je maltraitais de plus en plus mes tétons.

- mmmmmm… Isa se retenait pour ne pas crier, puis d’un coup, elle resserra ses cuisses sur ma main et se cambra en arrière, les yeux révulsés, le souffle court.

Elle desserra les jambes et je pus retirer ma main que je portais à ma bouche pour lécher la cyprine d’Isa.

- Hummm…tu te sens délicieusement bon, ma belle. Et tout ca qu’un petit apéritif, lui dis- je en la regardant droit dans les yeux et en faisant un signe de tête en direction d’Amadou.

- tu vas me rendre complètement dingue, Anne. Mais je ne pense pas que je vais m’en plaindre.

- Nous sommes arrivés mesdames. Si vous voulez bien me suivre.

Nous nous levâmes et réajustâmes nos tenues. Amadou nous tint la main pour descendre sur le ponton mais je ne pus me retenir de lui caresser la queue qu’il avait encore bien gonflée et m’imaginait tous les plaisirs qu’elle allait nous procurer.
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Histoire de D3sm09067

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