ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Et dire qu'elle ne voulait pas sortir ( cette version corrigée annule la premièr récit )

Et dire qu'elle ne voulait pas sortir ( cette version corrigée annule la premièr récit )

+16

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/01/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

En ce samedi de mai, je propose à ma copine d’aller passer la soirée en boite, afin de nous changer les idées, après une dure semaine de travail.
Ça fait pas mal de temps, que nous ne sommes sortis.
Lisa est une superbe brune de vingt trois ans, au corps moulé dans la chair. Tous les hommes normalement constitués, n’ont d’yeux que pour elle. Ça l’excite de se sentir désirée, et pimente un peu sa soirée.
Faut dire que je ne suis pas un foudre de guerre au lit, et qu’après avoir pris mon plaisir, je laisse souvent ma copine insatisfaite. J’avoue qu’elle n’a jamais été exigeante, pas à la hauteur en tout cas de ce que son sublime corps mérite.
Lisa, plutôt réservée, n’a jamais été emballer pour ce genre de sortie, il a vraiment fallu que j’insiste, mais ce soir, elle est décidée.
- Tu sais que je n’aime pas ces soirées, les homme n’arrêtent pas de me regarder.
- C’est normal, tu es si belle ma chérie.
- Peur-être, mais un soir, je vais me faire lever et baiser dans un coin de parking. Tu diras quoi après ?
Je ne réponds pas à ces propos, sachant ma copine très fidèle.
Nous arrivons à la discothèque, et déjà, l’ambiance s’annonce chaude.
On se dirige au bar, et quand Lisa croise ses jambes en montant sur le tabouret, j’entends déjà des sifflements admiratif. J’y fais pas cas, elle sort si peu souvent, que je peux bien accepter les regards de ces mâles sur son magnifique corps.
Je foule la salle, à la recherche d’une table, mais elles sont toutes occupées.
En retournant au bar, je vois ma copine, un verre à la main, trinquer avec un inconnu. De dos, il à l’air jeune, et pas mal foutu. Puis je vois Lisa éclater de rire.
Je m’approche, interrompant leur discussion.
- Bonsoir, dis-je, Didier...vous vous connaissaient pour rire comme ça ?
- Pas du tout mon chéri...si tu savais...
- Bonsoir, répond le jeune homme, moi c’est Karim...désolé, je la croyais seule, alors je lui tenais compagnie, et lui ai offert un verre, c’est tout.
- Mais pourquoi riais-tu comme ça, ma chérie, que pouvait-il bien de dire.
- Tu vas pas le croire, me croyant seule, il me fit le pari de me faire jouir en moins de cinq minutes, qu’avec ses doigts...je n’ai pu me retenir de rire.
- N’importe quoi...j’ai toute les peines du monde pour lui faire atteindre l’orgasme, et je connais son corps sur le bout des doigts.
- Justement, c’est avec mes doigts que je la ferai jouir.
- Qu’avec tes doigts en plus. Tu sais quoi, si ma copine est d’accord, je suis prêt à parier. Mais dis-moi, si par miracle, tu l’as faisait jouir, que demanderais-tu en échange...tu ne ferais pas ça gratos…
L’inconnu nous dévisagea en souriant.
Le sourire du mec sûr de lui. Il caressa la joue de Lisa, préparant sa réponse.
- Une petite pipe...ça vous va ?
Lisa éclata à nouveau de rire, puis son visage se contracta, surprise par une telle proposition. Moi même restant cloué par ce gage sordide.
Ma copine me prit la main, et m’entraîna sur la piste.
- Quel vantard...viens mon chéri, allons danser.
Bien évidemment, je ne croyais en rien, quant à l’aboutissement de son fantasme.
Pendant le slow, on discute à peine du sujet, Lisa me laissant entendre que j’étais l’homme de sa vie, et n’avait aucune intention d’accepter le deal de cet inconnu.
Elle m’avouait quand même, être troublée et excitée par cette proposition.
Je lui dis, qu’après, on pouvait jouer le jeu, laisser entrevoir une issue favorable à son mirage. Puis arrivé au but, lui dire qu’il pouvait s’asseoir sur son fantasme, et ce qu’il demandait en retour, s’il te faisait jouir.
Puis je sortirais de derrière une voiture, te prendrais par la taille, et te donnerais un sulfureux baiser. Nous partirions, le laissant planté sur le parking.
Lisa accepta, et s’imaginait déjà la scène.
Je décidais de me tenir à l’écart, et les laisser négocier leur deal. Sûr de moi, je me permettais même d’inviter une jeune et belle femme à danser, sur une série de slow. Au bout d’une vingtaine de minutes, je retournais au bar. Lisa n’y était plus.
Je jette un regard circulaire, rien. Je commence à m’inquiéter. Je fais les toilettes, les tables, au cas ou cet inconnu l’aurait entraînée...rien. Je décide de sortir sur la terrasse, m’engage sous un porche attenant à la discothèque. Et là...stupeur.
Je vois Lisa appuyée contre le mur, jambes légèrement écartées, les mains posées sur les épaules de Karim.
En regardant de plus près, je vois sa culotte enroulée à une cheville, tandis qu’il a glissé une main sous sa courte robe. J’imagine et redoute la scène.
Sans un mot, je m’approche d’eux.
- Vous faites quoi là ?
- Ben tu vois, je caresse la chatte de ta copine...là, je suis en train de la branler.
- Arrêtez ça...ça suffit…
- Faudrait peut-être lui demander son avis...
Je vois le visage de Lisa, les yeux mi-clos, ondulait sur les doigts qui la fouille. J’essaie de me rassurer, me disant qu’il ne l’avait pas encore faite jouir.
- Je vous ai dit d’arrêter...chérie...allons-y...
- Pourtant, elle à l’air d’aimer ça, hein, dit-il...dis le à ton copain.
- Oh ou j’aime ça...c’est bon...quel salaud…
- Soulèves ta robe...fais voir à ton copain comme je doigte ton petit bouton…
Lisa relève sa robe, et je vois le majeur de ce jeune maghrébin tournoyer sur le clitoris de ma copine, qui commence à gémir.
- Chéri...tu n‘as jamais décalotté mon clitoris comme ça...regarde comme il fait...
J’entends Lisa gémir de plaisir, s’offrir au doigt vicieux qui fond durcir son clito, lui donne un plaisir intense. Soudain, elle se cambre, atteint un orgasme terrible.
- Que t’arrive-t-il, demande Karim en souriant.
- Salaud...tu vois pas que tu me fait jouir...vas-y...enfonce tes doigts en moi...
- Fais voir à ton copain comme ta chatte est bien mouillée.
- Mon chéri...regarde la chatte de ta copine comme elle coule...c’est sa faute.
J’assiste impuissant à la jouissance de Lisa, qui n’a pu résister aux caresses de ce jeune inconnu, oubliant, qu’au départ, c’est nous qui devions mener le jeu.
- Alors...il a obtenu ce qu’il voulait, dis-je déçu…
- Si tu savais mon amour...ça fait trois fois qu’il me fait jouir…
Je constatais avec stupeur que, non seulement, il avait atteint son but, mais qu’il demandait à Lisa, en retour, d’honorer son contrat, à savoir, lui tailler une pipe.
Sur de lui, le jeune marocain me regarda en souriant, fit glisser la fermeture de son pantalon, et le baissa. Je fus surpris par les dimensions de sa queue, bien au-delà des miennes en tous cas. Lisa aussi s’en aperçus, mais ne se démonta pas. Elle me regarda, s’agenouilla devant ce spectre de chair. Ses doigts en faisaient à peine le tour, elle le décalottait, puis le prit en bouche.
Devant ce spectacle je tombais à genoux, suppliais Lisa.
- Non ma chérie...s’il te plaît...ne fais pas ça…il n’y rien d’abouti encore…
Cloué, je voyais le calibre de Karim aller et venir entre les lèvres de ma chérie. Il lui maintenait la tête, rythmait les aller retour à sa guise. Je voyais cette énorme queue baiser la bouche de ma copine, faire de lents va et vient maîtrisés, réguliers. Parfois, je voyais son gland décalotté apparaître, et la langue de Lisa s’y enrouler autour. Un spectacle douloureux, mais hallucinant
- Ouah...ta copine...elle est bonne...tu sais qu’elle assure pour tailler les pipes...
- Il peut pas savoir, gémissait Lisa...je l’ai jamais sucé lui…
Un coup de plus porté à mon orgueil masculin. C’est vrai que Lisa ne m’’avait jamais accordé cette faveur, pour soit disant la réserver pour nôtre mariage. Mais là, elle la réservé à un étranger.
- Donc, il ne pas si tu avales, ironisait Karim...on va le savoir. Allez, fais voir à ton copain si tu avales...ouah...putain, regarde comme elle se régale la salope...
Une minute plus tard, je voyais le sperme du jeune inconnu, suinter de la bouche de Lisa. Elle garda longtemps la queue du jeune maghrébin en bouche, le temps qu’il se vide entièrement les couilles. Puis elle se leva, se pendit à son cou.
Je les vis s’échanger quelques mots, puis elle se dirigea vers moi. Elle ouvrit la bouche, me montra la charge de sperme sur sa langue, puis avala tout d’un coup.
KO debout, je la voyais déglutir devant moi, puis d’ajouter.
- Karim m’a proposé de passer la nuit avec lui. Il a vraiment envie de me baiser, de s’amuser avec moi. Surtout après les préliminaires qu’on vient de vivre. Mon corps a besoin de connaître d’autres sensations que tu ne peux m’apportais. Il me ramènera demain matin. Désolé mon chéri…bonne nuit.
Rapidement, les images les plus torrides et douloureuses aussi, défilaient dans ma tête. Je me l’imaginais se faire baiser...pire, se faire sodomiser.
Je les vis monter en voiture et disparaître dans la nuit.













16 vote(s)


Histoire de Aurore34

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Et dire qu'elle ne voulait pas sortir ( cette version corrigée annule la premièr récit )

Le 14/02/2023 - 14:36 par Balista
Je la vois bien la suite, le jeune maghrébin va lui aléser si bien tous ses trous qu'il ne lui restera plus qu'à mettre la tête et à bouger les oreilles pour qu'elle sente quelque chose.
Le 29/01/2023 - 16:42 par valeriane
une suite svp

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :