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Eté 2014 : canicule au bureau (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/06/2025

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Jeudi 28 août 2014

Ce matin ça va mieux et la journée commence tranquillement avec Julie. Elle ne fait même plus attention quand je lui colle mon minou ou mes seins pile sous son nez en venant la voir à son bureau. Mais en repensant à hier, ça commence à me remettre en état d'excitation. Je suis toujours résolue à ne pas la mêler à des jeux sexuels, mais de tout de même continuer mes exhibitions en allant un peu plus loin.

Une fois notre pique-nique terminé, nous nous abandonnons au soleil devant la fenêtre comme c'est maintenant l'habitude.décide Mais cette fois, je fais semblant de m'être un peu assoupie et je commence à me caresser la fente doucement. Elle doit le voir car je sens sa respiration changer. Comme je continue, elle finit par me dire :
— Euh, Caro…
— Oui ?
— Si tu pouvais arrêter de te… euh… toucher le sexe devant moi…
— Oh pardon, le soleil sur mon corps, je faisais pas attention.
— Oui, mais tout de même, te… masturber, là ?
— Ben, j'étais un peu partie et je repensais à ce matin quand j'ai sucé mon mari.
—Euh, bon, si tu pouvais m'épargner les détails…
— Oh, ne me dis pas que tu le fais jamais, je te croirais pas.
— Je te rappelle que je vis seule.
— Je parlais de te branler, ça t'arrive, non ?
— Oui, c'est vrai que je le fais aussi, mais à la maison, pas en public.
— On est juste entre nous, ça fait pas une grosse différence.
— Pour moi, oui.

Pendant que nous parlons, j'ai cessé ma manœuvre et tout rentre gentiment dans l'ordre. Puis nous retournons au travail pour faire passer le petit malaise qu'elle ressentait à cause de ça. Je décide d'en rester là pour aujourd'hui et elle ne m'en reparle pas quand on se quitte.


Vendredi 29 août 2014

Aujourd’hui c’est le dernier jour avant le retour de Lionel. Donc je compte en profiter une dernière fois en remettant ça mais ouvertement. Pour aller un peu plus loin, je m'enfile un plug anal, celui qui a l'embout extérieur plat, plus discret. Afin de ne pas la brusquer, je reste bien tranquille jusqu'à midi, évitant soigneusement de lui montrer mon côté pile pour qu'elle ne risque pas d'apercevoir la pastille noir qui m'orne l'anus.. Mais à la pause, il est temps de me lancer.

Nous sommes donc installées pour le petit repos d'après le déjeuner et je commence d'entrée à me caresser la fente ouvertement. Forcément, elle le remarque :
— Oh, Caro, encore ? Et cette fois me dis pas que tu es à moitié endormie !
— Non, c'est vrai. mais comme tu m'as déjà vue le faire un peu hier, je me suis dit que ça te ferai rien que je me fasse un peu plaisir aujourd'hui. J'adore me branler, ça m'arrive souvent.
—Et tu vas me dire que ça t'arrive souvent devant du monde ?
— Ben, oui, parfois.
— Dis, tu serais pas un peu exhibitionniste, par hasard ?
— Juste un peu, mais c'est surtout que je vois pas pourquoi on se gênerait entre nous, au point où on en est. Donc tu peux le faire aussi, moi ça me gênera pas du tout.
— Ben non, je crois pas que je sois prête à faire ça devant quelqu'un.
— Allez, déjà on est à poil ensemble tous les jours, c'est pas beaucoup plus.
— Euh, Être à poil, c'est une chose. Me masturber devant toi, c'en est une autre.
— A ta guise. Mais tu as tort de te priver si tu en as envie.

Ce disant, je reprends ma branlette doucement. Elle ne dit plus rien, mais après un petit instant elle choisit de me laisser continuer seule en retournant déjà à son poste de travail. Je continue en soupirant fortement exprès, puis je simule un orgasme pas trop discret avant d'aller moi aussi me remettre à mon bureau. Je préfère écourter pour voir un peu plus tard. Je regagne mon bureau pour faire un peu de travail tout de même. N'oublions pas qu'on est surtout là pour ça.

Un peu plus tard, je me lève pour aller voir un dossier avec elle. Je termine ce que nous faisons et la laisse. Je m'arrange cette fois pour lui mettre mon cul bien en vue près de son visage en me retournant pour la quitter. Elle ne peut pas manquer de remarquer le plug au milieu de ma raie. Elle ne dit rien, mais du coin de l'œil je constate que même si elle essaie de rester neutre, ses tétons pointent bien durs.

Un moment plus tard, c'est elle qui se lève pour venir me présenter le planning sur lequel elle travaille. Dès que je la vois se dégager de son fauteuil, je reprends vite une branlette. En s'approchant de mon bureau, elle voit bien le mouvement de mon bras qui remue et sait pertinemment ce que ma main est en train de faire sous le bureau. Mais elle ne se dégonfle pas et vient jusqu'à moi. Je lui dis de prendre le siège de devant et de se mettre à côté de moi. Pendant qu'elle s'installe, je recule un peu mon fauteuil.

D'où elle est placée, elle me voit bien m'activer tranquillement dans mon triangle. Je discute de son planning et lui apporte quelques suggestions de modifications sans arrêter ma manœuvre. Comme elle a l'air de plus en plus troublée, je lance :
— Tu vois que tu t'habitues à ce que je me gêne pas.
— Euh, m'habituer c'est un bien grand mot, c'est quand même bizarre…
—Allez, je vois bien que tes tétons sont dressés. Tu as envie toi aussi.
— Oh, Caro…
— Vas-y, fais-le ! Ça te soulagera.

Et enfin, elle lance sa main vers sa fente et commence timidement à se toucher. Une fois ferrée, elle ne peut plus se retenir d'aller déplus en plus franchement et elle accélère le mouvement. J'en rajoute un peu en soupirant :
— Oh oui, c'est bon !

Elle se lâche complètement et me devance en jouissant bruyamment. Hébétée, elle reste sur sa chaise sans savoir ce qu'elle doit faire ensuite. Je la rassure :
— Ben tu vois que ça calme bien, hein ?
— Euh, oui. Mais tout de même, j'en reviens pas d'avoir fait ça…
— Allez, on est entre nanas, rien de bien méchant. Ça reste entre nous.
— Euh, Caro, tant qu'on en est à ce genre de discussion, j'ai autre chose à te demander…
— Oui, quoi ?
— J'ai remarqué tout à l'heure que tu avais un truc entre les fesses. C'est quoi ?
— Ah oui, c'est un plug anal. Je l'ai mis ce matin et c'est un peu pour ça que je suis aussi excitée aujourd'hui.
— Tu veux dire que tu as ça dans le… cul depuis ce matin ?
— Ben oui. Comme ça, je serai prête pour ce soir. J'ai promis à mon mari qu'il pourrait m'enculer dès mon retour.
— Euh, le genre de détail dont j'aurais pu me passer…
— Comme tu avais l'air de vouloir savoir le pourquoi…

Elle n'insiste pas, se lève et retourne à son bureau. Nous n'en reparlons pas jusqu'au moment de nous quitter. A ce moment, je lui pique sa culotte :
— Commence à t'habituer à ne pas en mettre. Tu verras, en été c'est bien mieux.
— Vraiment, ce que tu me fais faire.
— Profites-en, c'est la seule chose que tu pourras te permettre à partir de lundi. Lionel revient et on sera beaucoup moins libres…
— Je sais pas si je vais venir sans culotte devant lui.
— En tout cas, tu sais que pour moi ce sera le cas.

Elle me quitte en restant le cul à l'air sous sa robe et sa culotte dans son sac à main.


Dimanche 31 août 2014

C'est la fin des vacances. Nous nous offrons une belle partie débridée tous ensemble avec la tribu. Décidément, cet été a été bien rempli !
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Histoire de Hannapurna

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