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Exhibition et candaulisme 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/01/2024

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La première expérience
Depuis l’épisode de la plage, Claire et moi en parlions que pendant nos soirées complices, je revenais sans cesse sur certaines phases restées sous silence de sa part, surtout l’instant incroyable où elle avait laissé cet homme totalement inconnu, la pénétrer, sans capote, sans une possible autorisation...mais Claire esquivait cet instant, disant qu’il s’était jute appliqué contre elle pour qu’il jouisse...tout cela était faux, mais j’en tirais une certaine excitation, elle acceptait de faire l’amour avec un autre homme, du candaulisme tout simple et j’en devenais un adepte farouche !
Dès que j’ai compris que Claire devenait accessible, prête à tout pour prendre du plaisir, je cherchais d’autres scenarii qui pouvaient entrer dans ses fantasmes. L’été n’était pas encore terminé, nous passions les derniers jours sur ces côtes atlantiques qui nous plaisaient tant, moins de monde, donc davantage de chances pour s’amuser encore un peu. J’avais imaginé un scénario qui pouvait être crédible et pouvait plaire à Claire. Je proposais un après midi « bronzage » dans les dunes, le temps était chaud, humide, un petit risque d’orage en fin de journée, je décidais que nous allions sur le même lieu que lors de notre première expérience. Claire a presque sauté de joie, je voyais son visage rieur, son corps semblait vibrer, je la sentais excitée. Petit matelas de plage, serviette, petit sac de plage (j’avais surpris Claire saisir un paquet de Kleenex) , au moment de partir, mon portable a sonné (totalement imprévu!), mon collègue resté au travail me demandait de lui transmettre des documents urgents. Claire semblait déçue...mais mon cerveau n’a fait qu’un tour.
« Ecoute...on y va, je te laisse sur la plage et j’ai vu une brasserie pas loin, je sais qu’il y a une connexion wifi, j’envoie mes doc et je te rejoins...ok ? »
Claire a… vite réfléchi et...vite acquiescé. Nous partons rapidement, parking ombragé, j’accompagne Claire sur la plage, je la laisse s’installer au même endroit que la dernière fois, je l’embrasse tendrement, je la sens fébrile, son visage un peu inquiet, je lui annonce :
« Je vais vite au snack, j’envoie tout et je reviens » et j’abandonne Claire sur la parcelle de sable, elle a son maillot deux pièces, sa culotte moule parfaitement son abricot et on devine bien sa fente aux lèvres épaisses. Le haut est, lui, très restreint, deux ficelles tiennent le tout et ses bouts, déjà, dardaient sous le fin tissu. Claire s’assoit sur sa serviette et me lance une bise quand je la laisse. Mon coeur bat la chamade. Malgré la fin de saison, il y a encore du monde et, je note qu’il y a beaucoup d’hommes plus ou moins âgés, nus ou pas, qui se baladent sur la plage, lançant des regards rapides sur les quelques personnes allongées sur le sable… des mateurs certainement. Je file chercher la voiture pour aller au snack, je me connecte et envoie les documents demandés, le tout a pris trente minutes au plus. Je n’étais pas concentré sur mon travail, mon cerveau était en ébullition, j’imaginais déjà ces hommes qui reluquaient Claire, tentant une éventuelle approche et comme elle semblait les accepter…. En arrivant sur la plage, j’apercevais le petit endroit où Claire se situait, mon coeur n’a fait qu’un tour...elle n’était plus là. Ses affaires, sa serviette, sa casquette, mais pas son sac, étaient là. Je scrutais au loin, vérifiais dans l’eau, je ne retrouvais pas Claire. En m’approchant de notre emplacement, j’aperçois un homme, chauve, assez athlétique, d’une soixantaine d’années, gravir la petite dune, j’ai de suite, une appréhension. Je le suis à distance, en haut de la dune, j’aperçois quatre autres hommes, immobiles, presque côte à côte, dans un creux de sable, leur visage dirigé vers le fond de la cavité… J’hallucine ! Serait ce ma dulcinée qui serait là ? En m’approchant du lieu, j’aperçois la scène, je reste en retrait derrière une touffe de plantes de sable. Sur une serviette, je reconnais les cheveux de Claire, elle me tourne le dos, autour d’elle, hormis les quatre hommes qui la matent, deux autres sont agenouillés, de chaque côté d’elle qui est sur le dos. Ils sont très proches d’elle, mais ils ne la touchent pas, ils la regardent faire...et ce qu’ils voient semblait leur plaire ! Claire avait ôté ses maillots de bain, elle était nue, sa tête appuyée sur son sac, ses jambes ouvertes, elle avait ses mains sur sa chatte, des doigts ouvraient sa petite moule, d’autres trituraient son clitoris et, de temps en temps, allaient dans son vagin. Tout était fait de manière frénétique, je l’entendais soupirer, gémir, je la voyais s’activer en se caressant, puis, relâcher la tension pour se détendre et...ne pas jouir...pas encore. L’homme chauve que j’avais suivi s’approche de moi et me dit :
« Aujourd’hui, il n’y en a plus beaucoup des femmes qui se branlent...c’est dommage. Mais celle là...elle n’a pas froid aux yeux ! Et puis, elle est bien foutue ! » Il ne savait pas que j’étais son mari. Il m’a laissé pour venir plus prés, rejoignant le groupe d’hommes qui mataient Claire...cela en faisait sept...quand même ! Tout ce petit monde la regardait, en silence, il régnait une ambiance électrique, à tout moment, ça pouvait exploser...je restais sur mes gardes, prêt à intervenir si cela dégénérait. Claire, elle, continuait à se toucher, passant de sa chatte à ses seins qu’elle pinçait, je les trouvais fermes et ses bouts très érigés. Un des hommes à côté d’elle lui parlait en silence, elle lui répondait mais je ne pouvais rien entendre avec le bruit des vagues. L’autre homme a déplié son bras pour poser sa main sur le sien, elle ne l’a pas repoussée, il a continué à le lui caresser, allant de son cou jusqu’à atteindre la main de Claire dont les doigts continuaient à garder ses lèvres ouvertes pour qu’elle puisse se caresser. Mon coeur accélérait...apercevoir les doigts de cet homme prendre la place de ceux de Claire...c’était un moment fou !
L’homme à sa droite, comprenant qu’elle semblait consentante, a posé sa main sur un sein, malaxant son lobe, serrant son bout. Dès cet instant, tous les hommes présents ont, par la suite, baissé leur short, leur maillot, pour se caresser sans gêne. Ceux proches de Claire, sont venus plus prés, je découvrais qu’ils étaient nus, leurs verges en érection complète, ils continuaient à caresser son corps, ses seins pour l’un, sa chatte pour l’autre, inversant leurs caresses pour en profiter davantage. Claire ne bougeait pas, je l’entendais soupirer, son corps sursautait, les deux hommes devenaient plus pressants, le premier s’est abaissé pour lui embrasser ses seins qu’il a sucés longuement, l’autre s’est déplacé pour s’installer entre ses pieds, face à son entrejambe complètement accessible. Il bandait fort, se masturbant vivement, je restais sur mes gardes, prêt à intervenir, mais mon corps ne semblait plus répondre, trop excité par ce que je voyais, ma petite femme aux mains de ces gentils messieurs pervers...Les cinq autres hommes autour, se sont rapprochés jusqu’à effleurer les bras, les jambes de Claire qui était, désormais, à l’ombre. Sa tête, en arrière, renvoyait l’image d’une femme en pleine extase, ses yeux fermés, sa bouche à peine ouverte, sa respiration rapide, ses soubresauts incontrôlés, je la voyais s’abandonner à leur désir. Certes, j’aurais pu me détendre si un, voire deux hommes étaient présents, mais sept, ça demandait une attention particulière que je n’avais plus, trop attiré par la découverte des envies de ma femme.

La scène s’est accélérée, l’homme qui s’occupait des ses seins, a continué vers sa tête, effleurant sa peau avec ses lèvres, il a déposé ici et là, des petits baisers sur son cou offert, puis, son front, ses joues et, pour finir par poser sa bouche sur la sienne qu’elle n’a pas dérobée. J’ai vu leurs mâchoires se détendre, l’homme lui roulait une pelle d’enfer avec le consentement de Claire. Celui entre ses jambes, les observant très occupés, s’est baissé pour approcher son visage entre ses cuisses. La tête du premier homme m’empêchait de voir ce qu’il faisait, mais, au vu du mouvement de sa tête, il devait s’abreuver de la chatte de ma petite femme qui, au premier contact a vainement tenté de refermer ses cuisses, mais il était trop tard, l’homme, avec ses deux mains puissantes, a entièrement ouvert son entrejambe qui laissait libre l’accès de son sexe. J’ai même aperçu son ventre qui se soulevait pour aller au devant de ce cunnilingus imprévu. Le chauve qui m’avait accompagné, s’est approché d’elle, s’est agenouillé sur son côté, lui a saisi sa main pour la poser sur son sexe bandé, elle l’a masturbé lentement, la laissant le caresser à sa guise. L’un des quatre hommes qui assistaient à la scène a éjaculé bruyamment, lâchant plusieurs jets de sperme sur son ventre et sur le sable, il est reparti sans se retourner. Celui qui l’embrassait depuis un long moment, lui a chuchoté quelque chose à l’oreille, je n’ai pas entendu, il s’est relevé pour saisir son sexe qu’il a branlé quelques secondes au dessus du visage de Claire et il l’a posé sur ses lèvres...qui se sont ouvertes pour absorber ce membre inconnu. J’apercevais la joue déformée par le gros gland qui encombrait sa bouche, mais Claire l’a sucé plus fort, le pompant, l’homme a imprimé un rythme sur lequel elle se faisait prendre la bouche sans rechigner. Mais celui qui la léchait lui procurait beaucoup de plaisir, elle gémissait fort, criant même par moment, il lui avait soulevé son bassin en plaçant ses mains sous ses fesse pour la porter plus haut, plus fort, plus ouverte, plus accessible, pénétrant sa langue au plus loin dans son vagin...elle allait jouir sous peu. Un des trois hommes restants s’est éclipsé après avoir, lui aussi, éjaculé au dessus de Claire dont le ventre commençait à être maculé de sperme. Le suivant a bien tenté de se frayer un passage en tentant d’écarter la tête de celui qui la léchait...en vain. Il s’est masturbé rapidement, éjaculant sur son ventre brillant et s’est sauvé en râlant.
Il restait un qui ne bougeait pas, matant la scène dont les acteurs devenaient de plus en plus pressants, il est parti sans jouir. Seuls, les trois hommes bien occupés sur Claire, continuaient leur manège, au gré de leur envie, leurs mains, leur bouche prenaient le temps de goûter à ses fruits de plaisir, alors que Claire éclatait sans retenue, dans une longue complainte qui s’amplifiait jusqu’à l’orgasme. Ses cris, accompagnés de sursauts incontrôlés de son corps révélaient une puissance de plaisir alors inconnue pour moi, jamais elle n’avait joui aussi fort avec moi, pourtant je la connais femme fontaine, capable d’avoir des orgasmes intenses...mais cet après midi là, ça paraissait presque surhumain. L’homme qu’elle suçait s’est retiré de sa bouche, prenant le soin de se masturber sur les lèvres de ma femme, j’ai pensé qu’il allait lâcher son jus, mais il semblait se retenir. Celui qui la léchait, la maintenait fermement sur ses mains, forçant Claire à continuer à offrir son sexe pour boire sa cyprine et lui taquiner son clitoris comme il le voulait. Elle qui ne supportait plus le moindre attouchement après un orgasme, ce jour là, elle laissait ces trois hommes la toucher, la caresser, l’embrasser pendant qu’elle étalait le sperme abondant des hommes qui s’étaient épanchés sur elle. Pendant que l’homme entre ses jambes se redressait, enfin rassasié, j’ai aperçu les doigts de Claire qui massaient son ventre avec ce sperme et elle enduisait sa chatte, son vagin, son clitoris avec, jusqu’à la formation d’une crème blanchâtre qui emmêlait ses petits poils bruns. Elle semblait planer, dans un nuage virtuel, la laissant comme une proie accessible à ces trois hommes qui se posaient certainement la question fatidique...je la baise ou pas ?

J’étais prêt à surgir de mon observatoire, mais comme la dernière fois, mon corps n’était plus commandé par mon cerveau, l’envie de voir où tout cela allait se terminer, était puissante. Claire était visiblement aux abonnés absents, elle reprenait ses esprits difficilement. Le chauve m’a regardé, il ne comprenait pas pourquoi je ne participais pas. Je lui ai fait un signe comme quoi je ne voulais pas. Il a haussé les épaules, s’est abaissé pour embrasser Claire pour la première fois, sans aucune résistance. Celui entre ses jambes avait éjaculé sur la chatte de Claire, j’ai aperçu un important dépôt blanc sur ses poils, il s’est relevé et a lancé un « A la prochaine bébé ! » et il s’est éclipsé. Le chauve a été réactif immédiatement, profitant du libre accès à son sexe, il s’est avancé entre ses jambes, collant son bas ventre à ses fesses, son sexe en tension s’est posé sur son mont de Vénus, prenant les deux jambes de Claire, il se massait sur elle.
J’apercevais fort bien les mouvements imprimés sur ses poils collés par les spermes déversés, je me persuadais qu’il allait, lui aussi, se lâcher sur son ventre. L’homme qui l’observait, s’est levé pour chevaucher le corps de ma femme et s’est abaissé pour présenter son sexe à sa bouche. Claire a refusé au début, mais elle a certainement eu peur que cela dégénère en viol, elle a accepté ce membre pas très gros mais épais qu’elle a absorbé sans gêne, masquant son copain que je voyais plus aussi bien. J’ai juste aperçu qu’il s’était arrêté, a baissé la tête pour faire quelque chose, puis a repris son ballet lentement au début, puis plus raide ensuite...je crois que j’ai compris qu’il l’avait probablement pénétrée...sans certitude, mais je me doutais bien qu’une femme aussi accessible, il fallait en profiter. L’homme qui était sucé a joui hors de sa bouche, je n’ai pas su si elle aurait accepté qu’il éjacule dedans, je la sais gourmande. Il s’est relevé pour s’enlever et observer son copain qui...l’avait bien enfilée ! Son gros membre allait et venait dans son ventre, Claire tournait sa tête de droite à gauche sous le plaisir, le chauve la pilonnait en lui maintenant les jambes repliées contre lui, certain d’être bien à fond dans son vagin, elle recevait des coups de bassin violents qui la faisaient rugir à chaque fois, secouée comme une poupée de chiffon. Son corps glissait sous ses coups de reins, la serviette ne servait plus, le corps de Claire se lovait directement sur le sable chaud, ses cheveux s’enfonçaient dans le sable de la dune. Le chauve m’a jeté un regard vide...il me dévisageait...avait il un doute ? Supposait il que j’étais le mari de celle qu’il baisait ? En tout cas, son expression semblait dire « Tu vois...regarde comme je baise ta femme...et elle en veut ! » Je me sentais tout bizarre, cocu mais heureux d’avoir une femme comme Claire, je devinais notre avenir sexuel et cela s’est avéré exact par la suite.
Dans ce moment, j’étais en direct, j’assistais à une saillie digne de film porno, l’homme était endurant, puissant, adroit, il savait ce que voulait Claire et il le lui donnait. Leurs ébats ont duré une bonne vingtaine de minutes, j’ai entendu Claire jouir à plusieurs reprises, mais après chaque orgasme, il lui laissait le temps de récupérer pour reprendre lentement sa pénétration qui s’accélérait au fil du temps. Claire a fini la tête contre la touffe de plantes des sables, je n’étais qu’à à peine un petit mètre d’elle, je percevais les bruits de rivière qui émanaient de son ventre, elle avait lâché sa petite fontaine à plusieurs reprises, je l’entendais. Combien d’orgasmes a t’elle eus ? Quatre, cinq, ou plus, je n’en avais aucune idée. Il y a eu ce dernier moment où l’homme s’est rué sur elle, se pliant en deux, il a émis un son rauque, plaquant son corps contre celui de ma femme, il éjaculait en elle...Ils sont restés immobiles, cherchant à reprendre leur souffle, Claire a laissé ses bras et ses jambes en croix, elle était à bout de force. Avant de se retirer, il l’a embrassée doucement, j’ai entendu :
« Tu es vraiment bonne...j’ai vu ton alliance, donc tu es mariée hein ? » Claire a répondu :
« Oui...mais il va revenir...il faut que j’y aille ! » A cet instant, l’homme m’a regardé interrogateur, il a deviné...que son mari, c’était moi...Il s’est lentement retiré du ventre de Claire qui a détaillé les « dégâts », passant sa main entre ses cuisses et découvrant la quantité de sperme qui s’écoulait…
« Ouh...j’en ai partout ! J’ai la pilule, heureusement...mais ça risque quand même...sans capote ! » L’homme lui repond :
« T’inquiète chérie, je suis clean. Moi aussi, j’ai une femme et même une maîtresse, alors ! » et il ajoute :
« Je te laisse mon numéro...si tu veux me revoir ! Pour moi, ce serait avec beaucoup de plaisir ! » Il sort un papier de sa poche de son short, griffonne avec son stylo et tend le papier à Claire qui le range sans son sac. Elle lui dit :
« Pas impossible...j’ai un peu de liberté. » J’étais stupéfait par ses mots, mais j’assure. L’homme est reparti en lui faisant un clin d’oeil, je me suis esquivé en silence, laissant Claire reprendre ses esprits. J’ai pris le chemin du parking et je croisais l’homme chauve qui descendait l’allée en bois. Il m’a fait un signe et s’est approché de moi.
« C’est votre femme alors ? »
« Oui... » dis je un peu géné
« Elle a du tempérament ! Une bombe de sexe ! Et elle aime ça ! »
« Je sais ! »
« Vous devriez lui laisser du temps libre, histoire de mieux la garder...sinon, vous allez la perdre, elle aime le sexe ! »
« C’est prévu...si ça vous dit...je la laisse quelques jours encore ici, je dois rentrer »
« Je lui ai laissé mon numéro...si elle veut...mais...vous êtes où ? » J’ai hésité quelques secondes...allais je lui donner notre adresse, risquer de le faire venir ? J’ai vite réfléchi :
« Nous sommes au camping Les…………, dans un mobilhome » J’avais lâché une information importante. Lui a insisté :
« Le numéro ? » Je n’en n’étais plus à ça prés…
« Le 47B, prés du plan d’eau. »
« Ok, je passerai la voir...discrètement, bien sûr...allez, ciao ! » et il m’a quitté. Il avait une Alfa Roméo rouge immatriculée 33...du coin.
J’ai pris du temps pour revenir vers l’emplacement d’origine, quand je suis arrivé, Claire était là, allongée sur sa serviette, sur le dos, elle s’était endormie, casquette sur le visage. Elle avait pris un bain dans l’océan, son maillot bleu ciel (je m’en souviens encore) était encore mouillé. Ses jambes étaient ouverte, une repliée et l’autre posée sur le sable, ce qui laissait apercevoir le fond de sa culotte...et là...surprise ! Le fond encore humide, laissait apparaître une grosse tâche grasse et foncée...sûrement du sperme abandonné par son dernier assaillant ! Et ça humectait tout le sillon jusqu’à ses fesses. Ca m’a fortement excité de voir cela. Cette petite femme avait bien des talents cachés !
Plus tard, elle m’a raconté qu’elle avait fait une petite exhibition dans la dune où elle avait posé ses maillots et ça avait excité quelques hommes...mais rien de plus !! Le soir venu, nous avons fait l’amour comme des fous, j’ai bien senti son vagin plus large et beaucoup mieux lubrifié. Quand elle a joui, sa petite fontaine était...tarie !
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Commentaires du récit : Exhibition et candaulisme 2

Le 17/01/2024 - 22:17 par OlgaT
Comme je comprends Claire!

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