Fantasme un peu spécial

Avant toute chose, je tiens à préciser que ceci est une histoire vraie. Sur ce, bonne lecture à tous.

Cela faisait maintenant une semaine que ma dulcinée était partie en voyage. Elle arborait les doux paysages d’Italie avec sa famille pendant que je restais à l’appartement pour mes cours. En effet, nous étions au mois de mai et mon concours de médecine approchait à grand pas. Cette semaine sans elle s’annonçait longue et difficile étant donné que pour diverses raisons, nous n’avions pas pu faire l’amour depuis quelques temps. Le soir, j’imaginais son corps nu dans notre lit, la chaleur de sa peau contre la mienne et tous les plaisirs charnel qu’elle aurait pu me procurer.

Je n’étais pas le stéréotype du garçon parfait ; du haut de mes 18 ans j’étais plutôt petit, les cheveux roux et ma musculature n’était pas vraiment bien dessinée. De plus mon année de médecine pleine de stresse m’avait occasionné quelques dégâts au niveau de la balance et j’avais quelques kilos en trop. Malgré ça j’étais (et je suis toujours) plutôt beau garçon. Ma douce, elle, était une jolie brune aux yeux verts. Elle avait des hanches bien dessinées, des jolis seins et des fesses merveilleuses. Le genre de fille à qui on a envie de faire l’amour jusqu’à la fin de sa vie sans jamais s’arrêter. Ses lèvres étaient pulpeuses et très attrayante, surtout quand elles étaient posées sur le bout de ma verge.

Il y a de ça plusieurs mois, ma chère et tendre m’avait avoué un de ses plus grands fantasmes : que je lui fasse une simulation de viol. Etant tout excité de cette découverte, je voulais lui faire passer un moment parfait dont elle se souviendra toute sa vie. L’occasion était idéal, elle n’était pas là de la semaine, ma libido était assez grande pour satisfaire la moitié des filles de cette planète et elle ne se doutait de rien. J’entrepris donc mes plans pour que tout soit parfait quand elle reviendra de vacances.

Il était 20h, le soleil venait juste de disparaître derrière les nuages quand j’entendis les clefs dans la porte. Tout était prêt, j’avais coupé le disjoncteur, les volets étaient fermés et l’ombre régnait dans l’appartement. Quand elle franchit le seuil de la porte, elle posa ses doigts sur l’interrupteur avant de se rendre compte que le courant était coupé. Surprise elle m’appela sans aucune réponse de ma part. C’est là qu’elle se rendit compte qu’au fond de la chambre, retentissait une musique de film d’horreur. Elle ferma la porte derrière elle, posa sa valise sur le côté avant d’avancer doucement vers la porte de la chambre. C’est à ce moment-là que je l’ai saisi par la taille, que j’ai posé violemment ma main sur sa bouche et que je l’ai jeté sur le lit. En deux temps trois mouvements elle était attachée au montant avec un foulard sur la bouche. Elle était enfin entièrement à moi…

Je commençai par lui enlever son pantalon, sa culotte et ses chaussettes tandis qu’elle se débattait (elle se prit tout de suite au jeu). Je pu admirer son sexe entièrement épilé et le bas de ses reins. Mon érection fut immédiate. Sans aucune hésitation j’enfournai ma langue dans sa vulve et entreprit rapidement de lécher l’intérieur de ses délicieuses lèvres. Et même si j’avais envie de lui lécher le minou toute la nuit, ce n’était pas le thème du scénario, il fallait que je la domine. J’arrachai donc son haut pour dévoiler sa poitrine. Le spectacle était magnifique, ses seins pointait comme jamais et ses tétons était aussi dur que la plus solide des roches. Sans plus attendre je plongeai ma tête dans sa poitrine infinissable jusqu'en oublier ma mission. Cependant je me repris très vite et c’est à partir de ce moment-là que le plaisir a vraiment pu commencer.

Je me déshabillai en vitesse et j’enfournai mon pénis dans sa bouche qui n’attendait que ça. Je saisis ses cheveux et la força à me donner la plus belle de toute les fellations. Elle lécha mon gland comme une affamée, engloutit ma verge jusqu’au plus profond de sa gorge et en redemandait encore. Elle avait faim, faim de sexe. Après plusieurs minutes de fellation je me mis au-dessus d’elle et la pénétra comme jamais. Tout son corps s’est alors raidit, elle gonfla la poitrine si bien que ses seins touchaient mon torse. Son vagin trempé m’accueillit comme un prince et je pu commencer mes va et viens. Ce soir-là je ne lui ai pas fait l’amour, non, je l’ai baisé.

Je la tenais par les cheveux en lui criant des vulgarités pendant que ma verge entrait en elle. Son plaisir était intense, et malgré le fait qu’elle fut bâillonnée, ses gémissements étaient audibles de l’autre bout du quartier. Elle tirait sur ses liens pour pouvoir me toucher et me suppliait du regard pour que la détache. Mais ce soir j’étais son maître et elle devait le comprendre. Pour la punir de me résister, je mis fin à son plaisir en sortant de sa vulve humide. Elle était horrifié, son corps criait famine, elle voulait que je rentre de nouveau. Mais elle avait était méchante, et pour se faire pardonner, elle devait m’obéir. Je lui ordonnai de se caressé devant moi et pour mon plus grand plaisir elle s’exécuta. Je la détachai et aussi tôt elle glissa sa main droite entre ses lèvres avant de toucher son clitoris gonflé. Une main ne suffisait plus, il fallait que l’autre caresse ses seins pendant que la première continuait de lui donner du plaisir. Elle s’était défaite de son bâillon et gémissait à haute voix. Mon excitation était palpable, j’entrepris moi aussi de me masturber à la vue de ce spectacle.

Au bout de quelques minutes je n’en pouvais plus, je lui sautai dessus pour finir ce que j’avais commencé. A l première pénétration, elle jouit, son orgasme était intense et tout son corps tremblait. Le miens n’allait pas tarder non plus, alors me retira de sa vulve et éjacula une grande coulée de sperme sur son visage satisfait. Je voyais ruisseler ma semence sur son visage, et le plaisir fût à son comble. Elle passa sa langue autour de sa bouche pour en avaler un peu avant de pousser un dernier soupir de jouissance. Nos retrouvailles furent vraiment parfaites. Vivement les prochaines vacances…