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Farida - La rencontre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/08/2022

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Ce récit écrit à deux mains un peu plus de trois ans après les faits, relate autant que nos mémoires le permettent, les véritables contextes et lieux des moments partagés avec Farida que je remercie à nouveau pour avoir accepté cette mise en mots qui nous a par ailleurs permis de nous rapprocher 3 ans après 😉

Une relecture commune reprenant parfois des tournures de phrases a été faite, sans jamais modifier le sens que chacun voulait exprimer.


Partie 1 - La rencontre

Moi

J’avais 42 ans et n’étais pas vraiment épanoui dans mon couple. Cela m’avait d’ailleurs depuis quelques années, amené à emprunter parfois des chemins de traverse dont je n’étais pas fier car par ailleurs très attaché à ma famille. Mais notre passage sur terre étant si éphémère, je l’avais ô combien mesuré au décès prématuré quelques années plus tôt de mon père, que je n’avais pu me résoudre à sacrifier à ce point ma vie sexuelle…

Installé près d’Orléans, cadre de Direction dans la grande distribution, j’avais été envoyé pour trois jours en formation management d’équipes en région parisienne où j’allais rencontrer mon homologue femme, Farida, un mardi matin du printemps 2019, après avoir galéré depuis Fleury les Aubrais pour arriver à l’heure !

Notre rencontre fut facilitée par des jeux de rôles et les déjeuners pris avec le groupe. Si on me dit en général plutôt bel assez homme, Farida était quant à elle une très belle femme d’une quarantaine d’années aussi, discrète et dans une forme de retenue. Typée, à la peau ambrée, le regard profond, les mains fines et longues, les traits du visage un peu durs mais bourrés de charme ; Bref elle me plaisait beaucoup !

En fin de formation échangeant comme il se doit avec le groupe nos numéros de téléphones à des fins espérées de mutualisation de bonnes pratiques et de retours sur expériences, elle me fit comprendre d’un sourire à la fois tendre et entendu, probablement en référence à quelques échanges complices que nous avions pu avoir durant la formation, que je lui plaisais également. J’étais d’Orléans, comme ses parents, elle de Mulhouse, mais qu’importe, nous allions pouvoir rester en contact…

Cela ne tarda pas car sur le chemin du retour dans nos foyers respectifs, nous pûmes échanger nos premiers sms à l’abri des regards. Elle, était maman, divorcée depuis 1 ans, installée depuis peu de temps sur Mulhouse, me confirma qu’elle avait grandi à Saran ! (Au nord d’Orléans) où ses parents vivaient encore. Après avoir l’un et l’autre un peu maladroitement (en tout cas je crois que ce fut mon cas) tourné autour du pot, nous nous confîmes que nous étions l’un et l’autre en manque chronique d’amour et plus particulièrement de sexe. Elle, plus que moi, car seule avec sa fille, et, je le compris au fil des sms, recherchant un homme à son goût qu’elle n’avait pas encore trouvé…

La situation m’était donc favorable pour oser lui dire ce que je ressentais pour elle. Je craignais toutefois sa réaction compte-tenu de sa réserve naturelle… mais, finalement, qu’avais-je à perdre ? Je m’armai enfin (sans une certaine fébrilité psychique et physique) de courage pour lui demander si elle accepterait que je lui décrive mon désir d’elle… Elle me répondit immédiatement par un grand « OUI» suivi d’un smiley tout aussi enthousiaste, je n’en revenais pas et me souviens encore avoir ressenti mon cœur s’emballer...

Le train roulait, les sms se sont enchaînés durant une petite heure, mettant à feu nos libidos.

Elle me confia plus tard dans la soirée avoir pu discrètement se masturber dans le train, qu’elle avait jouit comme une « c. » (sans préciser le contenu derrière le « c »), qu’elle en avait mouillé le dessous de son jean et qu’en rentrant chez elle, elle avait ressenti en elle une douleur résiduelle de cette tension extrême contrainte par la nécessité de rester discrète notamment vocalement… J’en conclu à ma plus grande joie qu’elle devait être expressive lorsqu’elle faisait l’amour…

Aussi, resté quant à moi sur ma faim depuis mon retour, sa confidence m’excitât au plus haut point, et je fis discrètement le nécessaire aux toilettes pour me soulager en pensant notamment aux longues jambes et aux hanches généreuses de Farida, attributs que j’avais à maintes reprises devinés sous son jean bleu ciel moulant et si bien habité, jean qui à ma plus grande satisfaction semblait s’être localement assombri en cet fin d’après-midi !

Mon orgasme fut délicieux et dura de belles secondes durant lesquelles de longs jets très liquides de ma semence vinrent en silence napper divers endroits du petit lave main au rythme du balancement de mes testicules lourds, devenus sur le trajet du retour eux aussi progressivement douloureux de mon désir de Farida... Je venais d’exhausser mon rêve profond de rencontrer un jour une âme sœur de sexe, ne serait-ce qu’à distance… J’en étais si ravi que je ne ressenti aucune culpabilité vis-à-vis de ma femme. Et enfin libéré d’une tension psychique qui me taraudait depuis si longtemps, j’en étais même plus heureux à ses côtés…


Farida

Lorsque j’ai rencontré Eric lors de cette formation, j’étais encore sous le coup de mon divorce et en pleine prise d’un poste à responsabilité. J’étais stressée. Et même si un homme manquait à ma vie, je n’étais pas vraiment en recherche compte tenu de ceux que j’avais croisé depuis et qui ne me plaisaient pas.

Si depuis mon adolescence je reconnais avoir toujours été demandeuse de sexe, ce sont les hommes doux et attentifs qui m’ont le plus souvent attirée. Nettement plus grand que moi (je mesure 1m75), d’allure sportive, les cheveux châtain foncé et légèrement grisonnant sur les tempes, Eric avait durant toute la formation, sans qu’il sache que je m’en étais aperçue, posé sur moi de multiples regards doux soutenus par ses yeux verts pétillants et ses sourcils en léger accent circonflexe. Manipulant par ailleurs avec tact un humour un tantinet provocateur, il avait en l’espace de quelques jours ravivé mon plaisir de plaire et ma joie de vivre…

Tout est allé ensuite très vite car avant même de recevoir le premier sms d’Éric je pensais à lui et me demandant s’il me recontacterait ! Je n’ai pas eu longtemps à attendre, le sms inconsciemment attendu arriva à peine après m’être installée. Il y avait peu de monde dans le wagon en ce milieu de semaine et j’avais choisi une place pour travailler tranquillement ma synthèse de ces trois jours… Mais nos échanges intimes m’avaient mise dans tous mes états et il n’était plus question pour moi de travailler !!

J’ai fini par poser mon portable sur la tablette feignant étudier un document, installé mon manteau pour camoufler le délit que je me préparai à commettre, dégrafé le haut de mon jean, et plongé discrètement ma main dans ma culotte pour tenter de soulager minette qui hurlait désormais famine…

Je me sais pudique, parfois timide aussi, mais à ce moment-là, ça a été plus fort que moi, une pulsion animale m’animait…oui… j’étais devenue en quelques minutes et à ma grande surprise à 38 ans passés une véritable c…… en rut qui crevait littéralement d’envie d’être prise… Mes sms bourrés de fautes d’orthographe en témoignaient !!

Eric était arrivé à Orléans alors que j’étais encore en chemin, seule, avec mon désir impétueux… Après avoir longuement hésité à me soulager complètement, n’y tenant plus, j’ai fini par me décider, juste avant d’arriver à Mulhouse. Mais me connaissant j’en craignais les effets…

Mes seins et mon ventre me faisaient mal… un, deux, parfois trois doigts plongés dans un va et vient labourant l’entrée de ma pauvre minette en feu faisaient ce qu’ils pouvaient pour tenter d’assouvir ma rage d’être pénétrée, tout de suite, profondément, encore et encore…

Très rapidement, dans un regard probablement hébété devant mon pc, un orgasme tsunamique m’envahi, faisant trembler tout mon corps, orgasme accompagné de sa production habituelle mais hélas trop abondante ici de cyprine notamment… au rythme des violentes contractions de mon vagin, je sentais les petits jets chauds inonder ma main avant de s’écouler entre mes cuisses semi écartées… je devais rester impassible et surtout silencieuse… je me souviens de ce plaisir intense, exquis, mais difficilement soutenable… presqu’une torture…

A la descente du train, j’ai vite enfilé mon manteau pour cacher mes bêtises et direction l’appart, à pied, 10-15 minutes de marche, durant lesquelles mes entrailles étaient encore douloureuses d’un manque trop partiellement comblé… je sentais minette toujours ouverte et mon clito, loin d’être rentré dans sa niche, turgescent, frotter contre ma culotte humide… ce n’était pas très agréable… J’avais jouit dans ce train, mais de toute évidence ça n’avait été suffisant pour me calmer…

Comme il n’était pas encore trop tard, je me suis posée rapidement à la terrasse d’un café pour prendre une boisson fraiche et envoyer à Eric mon dernier sms brûlant de la journée en espérant que cela me soulage un peu de cette tension (ce qui ne fut pas le cas, bien au contraire !), mais surtout, j’étais certaine sans le connaître que je le ferai « exploser » ;-)

Arrivée à l’appart, ma fille déjà rentrée du collège faisait ses devoirs dans sa chambre. Nous avions eu l’une et l’autre une journée fatigante (!) et elle ne se fit pas prier pour que je ne contrôle pas ses devoirs. Je me souviens m’être alors changée, avoir fait une rapide et discrète toilette avant de préparer le repas du soir.

Durant le diner écoutant d’une oreille distraite la journée de ma fille, je pensais à ce concombre que mon regard avait croisé au fond du bac à légume… n’en ayant jamais ressenti le besoin, je n’étais à l’époque pas équipée d’un véritable Sex Toy… Après de multiples hésitations et considération sur l’hygiène, une question s’imposait ; comment faire avec un concombre ?... La question trotta dans ma tête le restant du repas, parasitée par ma fille que je me devais d’écouter et par mon envie impérieuse et omniprésente mais impossible à assouvir pour l’instant de me caresser… Je fini quand même par élaborer un mode opératoire avant le dessert… Quelle journée !!

Ma fille couchée dans sa chambre à côté de la mienne, après le câlin rituel du soir (oui encore un peu en sixième !), après m’être assurée sur Internet que mon projet ne présentait pas de risque pour ma santé à condition d’utiliser un préservatif (ouf j’en avais !), faisant mine de préparer le repas du lendemain soir, j’ai empoigné le fameux légume en me demandant comment ça allait bien pouvoir se passer… mais mon entre jambe brûlait d’impatience… j’exécutai, fébrile, le mode opératoire ; éplucher, couper à deux tiers pour l’avoir bien en main, arrondir le bout, rincer à l’eau chaude pour le réchauffer, sécher avec un sopalin et direction ma chambre…

J’ai mis la radio, fermé sans bruit les rideaux et ma porte à clé, enfilé plutôt facilement le préservatif et attendu que ma fille s’endorme en essayant, avec ma main enfin dans ma culotte, de calmer minette par des caresses furtives déclenchant parfois une contraction inattendue…

Dans cette attente préliminaire je constatai, après plus d’une année sans avoir fait l’amour, que j’avais aussi très envie de sucer, de sentir dans ma bouche un gland gonflé et doux, ferme et juteux comme un fruit mûr, d’en ressentir à la fois le plaisir et le désir générer dans mon bas ventre… la tentative avec le concombre fut un échec, j’avais l’impression de sucer une crudité sous cellophane!! Tant pis j’allais devoir faire appel à mes souvenirs et à mon imagination… Mais l’attente était des plus agréable car, cette fois ci, à l’abri des regards, j’allais enfin pouvoir assouvir mon désir criant.

Après une petite demi-heure d’attente ainsi passée à faire patienter minette, certaine que ma fille dormait, je me suis installée, nue sur le lit, les épaules confortablement calées avec le traversin et un oreiller sur ma tête de lit, l’autre oreiller à portée de main pour étouffer mes gémissements (que j’ai toujours eu du mal à contrôler), deux serviettes de bain bien disposées sous mes fesses, mes cuisses outrageusement écartées, comme une grenouille (!) m’étais-je dis en me voyant dans la glace du dressing installé face au lit…

Minette, ouverte à sa base, semblait me sourire dans la glace… elle avait retrouvé son volume et son éclat suite à mes caresses, mon clito un peu irrité et douloureux trônait quant à lui fièrement au milieu du haut de mes petites lèvres déjà colées aux grandes…

Toute cette journée se bousculait dans ma tête ne sachant pas par où commencer… j’étais partagée entre l’envie d’embrasser fougueusement Eric, qu’il me serre dans ses bras, l’envie de le sucer et d’être prise en même temps… mais sans que j’y réfléchisse plus, après avoir abondamment humidifié mon pauvre clito de ma mouille, je présentais le phallus convoité depuis des heures à l’entrée béante de mon vagin, une pression un peu appuyée suffi pour qu’il s’y glissa sans effort, le dilatant largement, progressivement, jusqu’au col… il y fut accueilli par une puissante contraction de bienvenue… Après quelques va et viens de découverte de cette nouvelle sensation, je réalisais que ce phallus improvisé allait être parfait pour ce que j’allais en faire ; il était doux, tiède, rigide et souple à la fois.

Je ressenti, comme dans le train, à nouveau cette monstrueuse envie… il faut le dire… d’être baisée !! La glace en était témoin ; cuisses grandes ouvertes, mon souffle court, ma main gauche allant de ma bouche pour tenter d’apaiser mon envie de sucer à mes seins pour soulager leurs mamelons devenus douloureux et fermes, l’autre manipulant pour l’instant doucement l’objet phallique, le visage tendu et libidineux, défait par cette journée hors norme…

La suite est un peu floue, je me souviens ne pas avoir réussi à faire durer longtemps le plaisir de cette pénétration tant attendue… en quelques minutes mes vas et viens se sont faits plus rapides, je pouvais en entendre nettement les clapotis humides. Puis sans que j‘y prenne garde, en imaginant me régaler goulument de la queue d’Éric (queue que j’imaginais bien sur magnifique !), tout a basculé… Je venais de passer le point de non-retour d’un orgasme comme je n’en avais encore jamais connu seule…

Mes vas et viens se sont alors faits fébriles, plus forts, plus amples et plus profonds me faisant tantôt gicler, tantôt gémir dans mon oreiller (récupérer en toute urgence) quand mon col était enfoncé… j’étais une vraie salope en train de se faire tringler sans détour… la douceur qui m’avait séduite chez Eric était bien loin… j’avais seulement besoin d’une grosse queue… je me souviens avoir à ce moment précis incliné vers le haut la base de mon phallus augmentant l’effet de ramonage, notamment sur mon point G… et…comment le dire autrement… j’ai jouit comme jamais, mon phallus profondément fiché dans mon vagin dilaté et trempé, en pression forte et continue contre mon col… plus de vas et viens, mais d’innombrables cris (étouffés tant bien que mal par l’oreiller) et d’énormes contractions dont les répliques ont durée quelques minutes… Minette était repue, mon bas ventre enfin détendu… Je reprenais doucement ma respiration après l’avoir retenue pour ne pas faire trop de bruit…

Soulagée, vannée, je crois m’être assoupie quelques instants sur le côté, toujours pénétrée… j’ai ensuite retiré doucement ce pieu chaud et luisant de ma mouille qui m’avait fait tant jouir, avant de constater que les deux serviettes n’avaient pas suffi, la housse de couette avait également été tachée plus loin, y compris un peu sous les serviettes… qu’importe, j’ai temporairement caché tout ça sous le lit et enfilé ma nuisette avant de me faufiler sous la couette chaude de mes ébats solitaires.

J’avais retrouvé une joie de vivre, ma fille était en sécurité dans sa chambre, elle avait de bons résultats à l’école, mon poste me passionnait. Après de dernières belles pensées (partagées entre sentiments amoureux et désir sexuel) pour Eric à qui je devais cette incroyable journée, le marchand de sable est passé me plongeant dans un profond sommeil…



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Commentaires du récit : Farida - La rencontre

Le 02/09/2022 - 23:42 par OlgaT
Très belle histoire!

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