Fatima (3ème partie)

J’ai reçu un appel téléphonique de Charline cet après-midi alors que j’étais au bureau. Elle me demandait de retourner chez sa mère pour son problème d’internet. J’ai rigolé quand elle m’a demandé ça. J’ai évoqué notre conversation et elle m’a donné le feu vert si jamais sa mère me sollicitait pour autre chose que sa connexion.
Je n’ai pas demandé mon reste et sui s parti un peu plus tôt du travail.
Je viens d’arriver chez Fatima et elle est dans sa chambre quand je rentre dans le salon.
-J’arrive dans deux minutes. Tu peux regarder la box, je n’y comprends rien, je n’ai même plus d’image à la télé !
-Bonjour Belle-Maman ! Je regarde ça.
Je vérifie les branchements et comme tout est normal, je reboot. Après le redémarrage, je vérifie la connexion et le débit est comme d’habitude très bon. J’allume alors la télé et l’image est excellente.
-C’est bon, Fatima ! Ça refonctionne !
-Ne crie pas comme ça, je suis là !
-Oh, je croyais que tu étais encore dans ta chambre.
Fatima vient de faire son entrée dans la pièce, elle est en peignoir en lin blanc, ses cheveux longs une fois de plus détachés. Le contraste de ses cheveux noir profond sur le peignoir immaculé est assez impressionnant. Sous le tissu fin, je devine les pointes de ses seins et je constate donc qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins bien pleins semblent se tenir parfaitement.
-Oh, c’est très gentil à toi ! Une fois de plus, tu me sauves.
-Ça va devenir une habitude ! Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi ?
-Oh, pas autant que pour Charline et ce serait normal !
-Bah, j’aime rendre service !
-Tu bois quelque chose ? J’ai préparé du thé tout à l’heure, tu env eux ?
-Volontiers !
Je m’installe dans le canapé et Fatima revient quelques minutes après avec une théière d’où sort un peu de vapeur et une odeur délicieuse de menthe. Nous échangeons sur divers sujets d’actualité tout en dégustant le thé qui est un peu chaud.
-J’ai repensé à ce dont on a parlé hier, toi et moi.
-De quoi ? Dis-je innocemment.
-De la relation que tu entretiens avec ma fille.
-Ah oui ! Et ?
-Tu lui en as parlé ? De notre conversation ?
-Euh, non, je ne crois pas !
-Ah ! Fit-elle avec un soupçon de regret dans la voix. Pourquoi ?
-Je n’y ai pas pensé, en fait ! Pourquoi tu me demandes ça ?
-Oh, comme ça …
-Hum ! Toi, tu as une idée derrière la tête !
-Non ! Pourquoi tu dis ça ?
-Eh, je ne suis pas tombé de la dernière pluie ! J’ai bien compris que ça te titille de savoir ta fille épanouie de la sorte et qu’on soit si ouvert, elle et moi ! Je suis sûr que l’idée de baiser avec moi ta traversé l’esprit, mais tu n’oses pas franchir le pas !
-Non, c’est pas vrai ! Tu es horrible de dire ça !
-Fatima ! Je t’ai menti ! J’en ai parlé avec Charline et elle a bien rigolé au départ, puis elle a fini par me donner le feu vert. Elle n’y croyait pas, mais a fini par comprendre que tu es seule depuis plusieurs années et que cela doit te peser. Elle comprend et accepte cette idée.
-Mais c’est dégueu ! Je ne peux pas coucher avec toi alors que tu es le mari de ma fille ! Ça ne se fait pas !
-Qui va le savoir ?
-Rien que le fait que ma fille le sache me fait honte !
-Oh, tu sais, il n’y a pas de quoi ! Surtout qu’elle serait ravie que tu prennes ton pieds avec moi !
-Mais non ! C’est pas possible !
-Comme tu veux ! Je n’en parle plus alors ! Si ça te dégoûte, c’est pas la peine !
-C’est pas que ça me dégoûte, mais ça se fait pas !
-N’en parlons plus ! Allez, je vais rentrer à la maison.
Fatima s’assoie alors sur le fauteuil à droite du canapé. Elle semble perdue dans ses pensées. Je me lève et fais mine de remettre ma veste.
-Attends, tu ne veux pas rester un peu ?
-Oh, si, je veux bien, mais je ne veux pas que tu te sentes mal.
Un moment de silence s’installe entre nous, alors que je me rassis sur le canapé. Je me ressers une tasse de thé et je prends mon téléphone, pour lui laisser le temps de l’initiative.
-Écoute, je ne vais pas te mentir, car tu as très bien compris, je vois. Oui, ce que m’a dit ma fille et la conversation que nous avons ensuite eu, toi et moi hier, m’ont fait réfléchir et m’ont même très perturbée. Oui, j’ai très envie de faire l’amour, ou plutôt, j’ai envie de sexe, de nouveau, alors que cela faisait très longtemps que je n’y pensais plus. Mais j’ai aussi peur de cette réaction de mon corps.
-Pourquoi avoir peur ? C’est tout naturel !
-Non, c’est pas naturel d’avoir envie de faire l’amour avec l’homme de ma fille !
-Oh, je comprends, mais il faut te dire que s’il y a un homme capable de te donner du plaisir sans juger et sans attendre rien en retour, c’est bien moi ! Et tu n’as qu’à imaginer que je ne suis pas ton gendre !
-Oh la la ! Je ne sais pas si je suis prête !
-Alors, ne fais rien ! Quand tu seras prête, fais-moi signe !
-Oh la la ! Je m’en veux tellement !
-N’en parlons plus !
J’allume alors la télé et me connecte sur Netflix pour mater un bon film. J’envoie un message à Charline :
- « C’est compliqué ! Ta mère n’ose pas, elle a honte de ce que tu vas penser ….Enfin, tu vois ! Je vais donc rester pour mater un film, au cas où ça la détende ! »
- « D’accord Chéri ! Reste aussi tard qu’il le faudra ! Je suis avec Nathalie et son mari et je vais manger chez eux. »
- « Cool ! Salue-les de ma part ! Et amuse-toi bien 😉 ! »
- « J’y compte bien ! »
-Ça te dit un bon film ? Je sais que ma belle-mère raffole des films romantiques, alors j’en cherche un bien long. Je nous mets donc « Coup de foudre à Notting-Hill ».
-Ah, j’adore ce film ! Je crois que je le connais par cœur !
-Alors viens t’installer dans le canapé, moi, je vais me mettre dans le fauteuil !
-Oh, c’est mignon ! Tu es adorable, vraiment ! Je vais même m’allonger.
Fatima s’allonge donc, la tête à mon opposée, les jambes dans ma direction. Son peignoir est fermé correctement et ne laisse rien voir, même si je sais pertinemment qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et peut-être pas non plus de culotte. Je décide de ne pas chercher à faire quoi que ce soit dans l’immédiat, on verra le long du film, comment elle se comporte.
Je connais le film moi aussi par cœur, ce qui fait que je ne suis pas du tout concentré sur l’histoire. Je prends mon téléphone et m’amuse un peu.
-Si le film ne t’intéresse pas, tu peux peut-être me masser les pieds ?
-Pourquoi pas ! Ce n’est pas qu’il ne m’intéresse pas, mais je le connais par cœur moi aussi ! Par contre, si tu permets, je vais m’asseoir à côté de toi et prendre tes pieds sur mes genoux.
-Si tu veux.
Je me lève donc et me positionne à côté de ma belle-mère comme je viens de dire. Je prends ses pieds et les pose sur mes genoux. Je commence alors à masser ses pieds, sans huile ni crème, tout en regardant le film.
De temps en temps, Fatima gémit doucement, presque imperceptiblement, mais cela prouve qu’elle apprécie mes gestes.
Doucement, je remonte sur les genoux, puis les cuisses. Pour ce faire, je fais le geste de repousser le peignoir, mais ça a pour effet de l’ouvrir jusqu’à la ceinture, me donnant une vue magnifique sur la culotte de ma belle-mère. Je fais mine de ne rien remarquer, mon regard fixé sur l’écran. Fatima, alors qu’elle a certainement ressenti l’ouverture de son vêtement, ne change rien à sa position et continue de regarder la télé, non sans avoir jeté un coup d’œil sur ce que je pouvais voir. Je continue donc le massage en prenant bien soin de remonter jusqu’en haut des cuisses, qui s’écartent d’ailleurs suffisamment pour me permettre de passer à l’intérieur. Fatima s’ouvre enfin à moi, à ma main qui vient alors frotter à chacun de mes passages sur son sous-vêtement. Je lâche alors l’écran du regard et fixe ma belle-mère, entre son regard et sa culotte. J’aperçois alors une petite tâche apparaître sur le fond de la culotte, trahissant son excitation.
Je ne me retiens plus maintenant de frotter doucement sa chatte à travers le tissu. Fatima a fermé les yeux et ne s’occupe plus du tout de Julia Roberts ni de Hugh Grant, mais semble se concentrer sur ce que je lui fais.
Je passe alors un doigt dans la culotte, pour aller à la rencontre des lèvres de son sexe, qui est maintenant plus qu’humide. Je ne sens pas de poils sous mes doigts, mais je rencontre très vite le bord interne de ses grandes lèvres et mon doigt est comme aspiré par l’intérieur de sa vulve. Au moment où mon doigt la pénètre, elle pousse un long soupir, comme soulagée d’être enfin considérée comme une femme et plus comme une mère.
Je ressors de sa culotte et me décale. Dans le même temps, j’attrape le tissu au niveau de ses hanches et je le fais descendre jusqu’à ses pieds, puis lui retire complètement. Je détache aussi son peignoir, qui, ainsi libéré, s’écarte totalement et dévoile son ventre rebondi et ses gros seins bien pleins qui tombent légèrement sur ses côtes.
Sa chatte est complètement épilée et ses lèvres, complètement ouvertes et trahissant une excitation certaine, sont brillantes d’humidité. Un filet de cyprine s’écoule de sa vulve ne laissant aucun doute sur ses nouvelles intentions.
Je me penche alors sur son puits d’amour et commence par déposer des baisers sur son pubis, puis je me rapproche des lèvres que je lape comme un chat pour récupérer son fluide intime. Son goût salé-sucré est tout aussi délicieux que celui de sa fille, avec une légère odeur de vanille, sans doute due au parfum dont elle a dû asperger son intimité pour se rendre encore plus désirable. Son odeur, son goût et l’interdit que représente le fait de baiser ma belle-mère rend ce moment irrésistible et je plonge carrément dans sa chatte. Je lèche carrément son clitoris et le fais sortir de son capuchon. À chaque coup de langue, Fatima gémit et émet des petits cris à chaque fois que j’insiste plus fort. Ma langue virevolte sur son petit bouton rose qui devient de plus en plus gros. Chaque onde de plaisir le fait grossir et rougir. Ma belle-mère se met alors à gémir encore plus fort et finit par se tendre comme un arc dans un long râle de plaisir intense. Je sens alors un écoulement de cyprine sortir de sa chatte et rejoindre ma bouche. Je n’en perds pas une goutte et j’avale tout ce jus délicieux illico.
Mais je ne laisse aucun répit à ma partenaire. Je me redresse aussitôt et pointe le bout de ma queue devant sa chatte béante. Sans autre forme de tendresse, j’attrape ses genoux et les monte à hauteur de mes épaules et j’enfonce mon dard dans son vagin, ce qui lui fait pousser un gros râle de femelle affamée.
-Oh oui, je veux te sentir fort en moi ! Baise-moi fort !
Je n’attendais plus que cette demande pour œuvrer. Je donne maintenant des grands coups de boutoir à ma partenaire, ce qui lui fait pousser des petits cris stridents à chaque coup reçu. Fatima est déchaînée et elle donne elle-même des coups de rein pour venir à mon encontre. Maintenant, ce sont des ‟ Oh oui ! ” et des ‟ Encore ! ” à chaque fois que ma queue se trouve au fond de son antre. Elle explose une seconde fois alors que je suis encore en pleine action, plein de vigueur et avec la volonté de poursuivre encore longtemps. Je sens ses jambes trembler alors qu’elle hurle quasiment un ‟ oui ” a faire trembler les murs. Mais je poursuis ma chevauchée. J’active mes aller-retours dans le ventre de la maman de ma femme, ses yeux sont tantôt fermés, tantôt ouverts avec seulement le blanc de ses yeux visibles. Je réalise qu’elle est au bord de la syncope orgasmique, sa chatte dégoulinante de cyprine. Je m’arrête alors, pour lui laisser reprendre ses esprits.
-Non, encore, j’en veux encore ! C’est tellement bon !
-Retourne-toi alors !
-Non, pas dans le cul ! J’ai trop peur d’avoir mal ! J’ai jamais fait !
-T’inquiète, c’est pas au programme aujourd’hui !
Fatima se retourne avec difficulté.
-J’en peux plus, j’ai même pas la force de me relever !
-Pas grave ! Mets-toi sur le côté et replis ta jambe !
Dans cette position, j’accède facilement à la chatte de ma belle-mère et je sais que les sensations seront encore meilleures pour moi, car je pense qu’il ne faut plus que je m’éternise. Je remets en action ma bite et, effectivement, je ressens beaucoup mieux l’intérieur du vagin de Fatima, qui se remet aussitôt à gémir. En moins de temps qu’il n’en faut pour manger une banane, la voilà repartie dans un orgasme fulgurant. Je ressens même les contractions internes de son vagin, ce qui me fait aussitôt de l’effet et je sens à mon tour l’orgasme monter. Je donne encore trois grands coups de reins dans ses grosses fesses et j’explose à mon tour, envoyant plusieurs jets de sperme dans le sexe de ma belle-maman, ce qui la met encore dans un état pas possible, l’obligeant apparemment à crier qu’elle jouit et qu’elle aime ça !
Je m’écroule alors sur ma partenaire, ma queue toujours en elle. Son gros cul est confortable et il est tout aussi charmant qu’il est gros. Sa peau est lisse et sans aucun défaut. Pas de vergeture ou de peau d’orange. Un cul comme je les aime.
Ce n’est qu’après cinq bonnes minutes que ma queue a fini par être éjectée de cette chatte affamée. Nous sommes restés allongés à côté l’un de l’autre pendant un petit moment.
-Mon Dieu, j’avais oublié comme c’est bon de faire l’amour !
-Ça a été un grand plaisir pour moi aussi !
-J’en veux encore !
-Maintenant ?
-Non, pas forcément !
-Je ne sais pas si je peux me le permettre !
-S’il te plaît, Luke !
-Va falloir être gentille, alors !
-Je ferai tout ce que tu voudras !
-Oh la, faut faire attention avant de s’engager comme ça !
-Non, je veux bien prendre le risque, car tu baises trop bien et je veux que tu le fasses encore ! Jamais je n’ai eu autant de plaisir !
-Hum ! Tu sais que je peux y prendre goût !
-Ne te gêne surtout pas !
-D’accord ! Alors, pour commencer, tu vas promettre de m’obéir au doigt et à l’œil pour tout ce qui est baise !
-Oui, je promets !
-Même si je te demande quelque chose qui te fait peur ou que tu n’aimes pas !
-Oui, je promets !
-Bien !