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Femme fontaine

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Lue : 23123 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2008

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Quelques jours après mes 18 ans, j’accompagnais mes parents à une soirée chez un ami de la famille, dans une sorte de manoir impressionnant de par sa taille et sa complexité.

Beaucoup d’invités étaient présents, autant de connaissance que d’inconnu.

Mes parent se dirigèrent vers un couple, la cinquantaine et me les présentèrent comme Carole et Christian, Carole était fine et gracieuse, et malgré les ravages du temps, j’ai pu deviner la jolie fille qu’elle devait être a l’époque, Christian, lui été un gros bonhomme costaud et solide mais bourré d’humour. Carole m’indiqua du doigt ses deux enfants qui été paris au buffet et me proposa d’aller les voir, étant un des seul jeunes présent à la soirée.

Je me dirigeais alors en direction du buffet et je trouvais un jeune, seize, dix sept ans au maximum qui mangeait des parts de gâteau au chocolat à s’en étouffer, je le saluai assez fort pour qu’il m’entende, il se retourna la bouche pleine et bafouilla quelque chose d’incompréhensible. J’entendis alors une voix féminine dire d’un ton blasé « arrête de te goinfrer abruti », je me retourna brusquement et je vis à un mètre à peine de moi une jeune femme sublime, visage fin et sans imperfection, lèvres rose humides, de profonds yeux verts mis en valeur par un maquillage très léger, des cils et sourcils lui donnant un air enivrant et une cascade de cheveux marron formant de légères boucles se terminant sur la peau douce de son épaule.

Mon regard continua son voyage sur les courbes de la demoiselle, une poitrine de taille moyenne, voir petite mais parfaitement ferme et fièrement dressée en avant qui soutenait le décolleté du haut prune moulant qu’elle portait.

Ce haut laissait son ventre plat à l’air libre, honorant tout le monde de cette vision fort agréable. Venait ensuite le jean délavé taille basse, moulant évidemment la forme incroyablement ronde de ses fesse d’adolescente. Je compris a quel point j’étais inconvenant au moment ou elle prononça le mot « enchantée » d’un air las, malgré qu’il ne ce soit passé qu’une seconde pendant mon examinassions.
Je rougis et répondis précipitamment « euh salut, je suis valentin, et toi ? », elle me répondit simplement qu’elle s’appelait Amélie et que son frère c’était Marc.
S’ensuivi alors une discussion de jeune dans les règles de l’art dans laquelle Marc fut vite expulsé.

Apres quelque dizaines de minutes, je remarquais qu’elle ne me laissa pas indifférent du tout, je la trouvais drôle, intelligente, belle et libérée, j’appréciais beaucoup être avec elle.

La discussion s’orienta ensuite sur les petits(es) ami(es) que nous avions eu, et par la suite sur le sexe, elle en parlait très librement, me disait comment elle avait ressenti sa première fois, ce qu’elle aimera, bref sans complexes.

Je lui dis alors en rigolant, quand elle me demanda malicieusement mon fantasme, que j’aimerai beaucoup la prendre, elle ria de bon cœur, et, me saisi la main. Apres un long instant d’échange de regards, elle s’approcha et me chuchota dans l’oreille : « moi aussi », elle recula sa tête de mon oreille, elle fit une escale au niveau de mon visage, m’embrassa brièvement sur la lèvre, puis elle s’écarta, me regardant avec un sourire de malice mêlé d’excitation. Cette scène se déroula sur un banc, dehors près du manoir.

L’instant d’après, nous étions en train de courir dans le manoir pour trouver une chambre éloignée du salon d’où se déroulait la fête.

Elle s’arrêta, haletante, devant une porte comme les autres, j’admirai une fois de plus son physique de rêve, « celle la est assez éloigné tu ne crois pas ? » je lui répondis avec la même intonation malicieuse que oui et elle rentra. La pièce était très sombre, les volets fermés, un lit marron, des armoires en vieux bois, rien de très affolant, mais nous étions déjà entrain de nous embrasser follement.

Mon esprit était devenu fou , je ne pensais à rien sauf elle , je faisais totalement abstraction de tout ce qui aurait pu se passer, j’étais dur comme du bois , nous nous embrassions follement et passionnément , nos langues s’enroulaient , se heurtaient , je lui léchais les lèvres tandis qu’elle gémissait déjà , nous tombions dans le lit , un bruit violent retenti , nous avions brisée des lattes du lit, aucun de nous n’a réagi , je lui léchais le cou , je descendais dans sa poitrine tandis qu’elle croisa ses jambes autour de moi, je lui découvrais les seins , lui mordillais un de ses petits tétons dur et dressés , elle gémit de plus belle , saisissant son deuxième seins de la main , j’enlevais ma chemise en arrachant les boutons, elle plaqua ses mains sur mon torse, me retenant de l’air, mon cœur battait la chamade, ma tête était sur le point d’exploser, je lui enfonçais ma langue dans sa bouche tandis quelle retirait son jean, découvrant ainsi une petite culotte trempée, j’enlevais mon jean , mon boxer ne retenait mon membre qu’à moitié , je le frottais contre son corps alors que nous nous embrassions, elle marmonna entre deux embrassement , son front contre le mien , « prend-moi , prend-moi ,prend-moiii je t’en supplie » , je lui obéissais , je cherchais sa chatte à tâtons, dirigeais ma verge, je pris une inspiration, et je l’enfonçais.

Elle se redressa et hurla un cri de plaisir absolue, je l’a limais de plus en plus fort, elle criait, gémissait, je l’embrassais, j’entendais ses cris étouffés devenir de plus en plus puissant, je la serrais contre moi, et je lui enfournais tous ce que j’avais, à la vitesse de l’éclair, nos corps s’entrechoquaient, je sentais ses seins contre mon torse, elle hurla littéralement.

Je sentais une pression contre mon gland, un jet de cyprines inonda nos vêtement ainsi que le bas du lit et nos jambes, je ne m’arrêtais pas pour autant, mais elle avait fini de hurler, elle pleurait et gémissait au rythme des coups, la respiration saccadée, j’éjaculais comme je n’avais jamais éjaculé, dans sa fleur à pressent inondée.

Le silence se fit, collés l’un à l’autre, nous reprenions notre souffle, j’avais la tête qui tournait, elle souriait tout en tremblant et en essuyant ses larmes, la porte s’ouvra.

Une dizaine d’invités ainsi que les hôtes et nos parents étaient venus voir quelle était la source de ce cri.
Elle a du prendre la pilule du lendemain et nous avons fait les tests du sida, heureusement négatif pour les deux.

C’était la deuxième fois pour moi et la troisième pour elle, elle ignorait qu’elle était « femme fontaine ».

Aujourd’hui j’ai presque 19 ans et je n’ai jamais re-ressenti quelque chose d’aussi fort….
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