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Garçon d'écurie 1
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GARÇON D’ÉCURIE - 1
Je m’appelle Karine, 36 ans et on me dit mignonne avec mes cheveux châtain clair qui descendent un peu en bas des épaules, des yeux brun pâle, toujours attachés en queue de cheval et mon corps entraîné de 1.7 m et 50 kg. Depuis quelques années, je suis célibataire, mon conjoint étant décédé dans un accident d’automobile avec mes parents. Je me retrouve donc à gérer seule une écurie dont j’ai hérité de mes parents situés en banlieue d’une grande ville. J’y vis seul avec un garçon d’écurie et un couple âgé vient à chaque jour préparer les repas et s’occuper de l’entretien de la grande maison.
J’ai engagé le garçon d’écurie, Rock, peu après le décès de mes parents. L’ancien ne pouvait plus venir car trop de souvenirs lui rappelait ses anciens patrons. Rock était dans la mi-vingtaine et travaillait dans une ferme auparavant. Rapidement, il a appris le fonctionnement d’une écurie particulière comme la mienne. Effectivement, j’offre la pension à une dizaine de chevaux l’hiver, mais l’été, il n’y a que ma jument et mon étalon reproducteur, les autres étant à l’école d’équitation à quelques kilomètres pour l’été.
Quand j’ai embauché Rock, un grand homme de race noir de près de 2m et bâti en fonction du travail de ferme, j’ai été frappé par la couleur noir ébène de sa peau. De plus, il ne me regardait jamais et ne me faisait jamais face. Un soir, alors que nous finissions notre journée de travail, je l’ai invité à venir manger avec moi. Je mangeais toujours seule, le couple âgé quittant lorsque j’arrivais. Rock vivait dans une maisonnette avec toutes les commodités et attachées à la grande maison.
Alors que nous terminions notre potage, je lui ai demandé la raison de ce comportement. Il hésita quelques peu et devant mon insistance, il se mit à me parler. Il avait un problème mental quelconque qui se transformait en problème physique lorsqu’il regardait une femme. Il me rassura en me disant qu’il n’y avait aucun danger, mais que c’était très gênant. Devant mon incompréhension, il me dit :
- Laissez-moi vous montrer madame Karine. Il m’appelait toujours madame Karine.
Il se leva et se plaça à côté de la table à ma gauche. Il se tourna vers moi sans toutefois me regarder dans les yeux ou ailleurs. Puis il tourna sa tête en évitant de me regarder dans les yeux, mais en regardant mon corps. Aussitôt, je vis une bosse déformer son pantalon et quand je dis bosse, c’est peu dire.
- Vous voyez madame Karine ce qui se passe quand je vois le corps d’une femme.
- Arrête de m’appeler madame. Karine est suffisante et à partir de maintenant, tu me tutoies. Bon je vois, mais tu n’es pas le premier homme qui bande quand il voit une femme. Ça ne justifie pas ton comportement. Et avec l’étalon reproducteur, j’en ai vu d’autre.
- Ce n’est pas tout, lui dit Rock.
Il entra sa main dans son pantalon ample pour placer son pénis enflé dans une position plus confortable. Une fois la main sortie, Il leva les yeux et me regarda droit dans les yeux. Mon regard fut alors attiré par la déformation dans son pantalon qui ne cessait de s’allonger le long de sa cuisse. Bien qu’habituée aux érections de mon étalon reproducteur, je n’avais jamais vu un organe qui semblait aussi énorme. De plus, je n’avais pas eu de sexe, autre que la masturbation innocente depuis la mort de mon conjoint.
- Viens ici. Il faut que je voie ça de plus prêt.
Ne perdant pas de temps, Rock s’approcha. Je détachai sa ceinture et baissa la fermeture-éclair. Il ne portait pas de slip afin d’avoir plus d’aisance. Je restai bouche-bée devant le peu que je distinguais pour l’instant et qui se présentait à quelques centimètres de mon visage. Mon ventre irradiait d’une chaleur que je n’avais jamais ressenti et mon string s’humidifia quasi immédiatement. Ne faisant ni une ni deux, j’ai baissé son pantalon et un magnifique bâton noir plus gros et au moins aussi long que mon avant-bras se présenta à moi. Le prépuce recouvrait le gland, ne laissant voir qu’une forme encore plus grosse. Encore sous le choc, je doutais de la rigidité de ce monstre qui pendait entre ses deux jambes. Je pris donc sa queue de mes deux mains comme souvent j’avais procédé avec les chevaux. Mais cette fois-ci c’était différent. Je mouillais abondamment et je ne pouvais le laisser des yeux.
- Rock, comment as-tu pu me cacher ce sexe tout ce temps?
- Je pensais que tu étais toujours en deuil et que tu ne voulais plus rien savoir des hommes. Mais je vois que tu avais seulement enfoui tes désirs.
- Oh que oui. Tu ne sais pas si bien dire. Je ne me sentais pas capable. Mais devant un si beau morceau de viande, je me sens revivre un peu.
- Je vais essayer de te faire revivre plus qu’un peu si tu veux.
- Comment?
- Tu vas voir plus tard d’autres effets. Mais pour l’instant, j’aimerais me soulager et si tu ne veux pas, je vais me soulager moi-même.
Au lieu de répondre, je me mis à le branler doucement Je pouvais distancer mes mains l’une de l’autre et il restait encore de l’espace à couvrir. Pour les chevaux, on parle en mains pour leur grandeur. Il en est de même pour ce gourdin. Au bout de quelques secondes, son gland se décalotta et apparu dans toute sa splendeur, étant presque tout aussi noir que le reste. Je ne pus résister et je tentai de le prendre en bouche. Seulement une petite partie s’introduit dans ma bouche. Toujours en bouche, je recalottai le gland et me mis à tourner ma langue tout autour entre le prépuce et le gland sensible. Ses gémissements m’indiquaient que malgré mon manque d’expérience dans le domaine, le traitement était apprécié. Je sentais les pulsions de son cœur dans son bâton de chair. Son souffle s’accélérait et il tentait de pénétrer ma bouche distendue encore plus profondément. Je respirais difficilement, mais je ne voulais pas arrêter de sucer sa verge.
Il ne résista pas longtemps.
- Attention, je viens
- Va-y. Laisse-toi aller. Vide-toi dans ma bouche. Je veux goûter ton sperme.
- Tu vas non seulement y goûter, tu vas le boire.
Aussitôt, en lâchant un cri sourd d’un effort de bûcheron, il éjacula une quantité énorme de son liquide visqueux que j’ai avalé le plus que je pouvais, mais après quelques gorgées, j’ai laissé ressortir le gland ne pouvant plus en boire, mais en continuant à le masturber.
- Tu étais plein, lui dis-je en continuant à recevoir des jets partout. J’aurais aimé continuer plus longtemps.
- J’en avais bien besoin. Je suis un éjaculateur précoce malheureusement. Mais, heureusement ce n’est pas fini.
J’étais déçue qu’il éjacule si vite. Je n’étais pas comblé et quand il m’a dit que ce n’était pas fini, j’étais sceptique, mon conjoint n’ayant jamais pu remettre ça.
- Quand je t’ai dit qu’il y avait d’autres effets, c’est ça que je voulais dire. Tu vois, je ne débande pas. Et cela va durer quelques heures.
- Tu veux dire que tu vas rester dur et à ma disposition pour la soirée et la nuit.
- Peut-être pas la nuit, mais au moins une bonne partie de la soirée, me dit-il avec un sourire en coin, que je ne compris pas.
Je le pris par la main et après qu’il ait enlevé complètement son pantalon, je le tirai avec moi à l’étage où était la chambre des maîtres. Comme il avait déjà éjaculé, je me disais que la prochaine éjaculation serait plus longue à venir et que son érection serait donc prolongée. En marchant derrière moi, il tenait sa queue d’une main pour éviter de douloureux mouvements de balancement. En montant, j’enlevais tant bien que mal un à un mes vêtements, de sorte que j’étais complètement nue quand nous sommes entrés dans la chambre.
Je me suis lancé sur le dos sur le lit extra grand, les talons sur le bord du matelas et les genoux pliés et les jambes écartées. J’étais impatiente de me faire pénétrer, bien que je fusse craintive à cause de la grosseur de l’engin.
Avant mon conjoint, je n’avais pas connu d’autres hommes et comme il n’était pas le plus inventif au lit ni le plus exigeant en termes de fréquence, ma libido, déjà faible, se terra complètement dans un coin de mon cerveau et je me contentais de subir le peu de fois qu’il lui prenait le désir de se vider. Mon éducation stricte avait fait que je ne connaissais rien à se laisser aller à ses désirs, mais plutôt de les refouler.
Toujours est-il que je ne me reconnaissais plus les jambes ainsi écartées, implorant l’attention de mon garçon d’écurie.
- Va-y. remplis-moi avec ton membre. Mais vas doucement. Tu es si gros.
Mais le coquin avait d’autres idées. Toujours en tenant d’une main son pénis aussi dur et aussi long, il s’agenouilla entre mes cuisses et examina longuement ma chatte recouverte de poils châtains et cachant mon trésor.
- Je n’ai jamais eu de relations quelconque et encore moins sexuelle avec une blanche.
- Je serai donc celle qui te dépucellera et qui t’introduira au goût exquis de la viande blanche.
- Et toi tu as pu goûter à la chair brune et juteuse, quoique plus noire que brune.
- Pour être juteuse, j’avoue que ta chair a comblé ma soif. Mais maintenant, le reste de mon corps en réclame.
Je ne pouvais concevoir que c’était moi qui s’exprimais ainsi depuis le repas. Les mots crus que je n’osais laisser sortir se bousculaient dans ma tête. Je n’avais aucune idée d’où ils venaient, mais ils étaient bien emprisonnés et je voulais les garder là.
Une fois son examen terminé, il huma longuement mon entre-jambe mouillé et se mis à déposer de légers baisers ton autour de mon mont de vénus, en descendant le long de mes cuisses dont il lécha le jus qui avait coulé été qui continuait à sortir de mon corps. Jamais je n’avais mouillé comme ça, même lors de mes brèves masturbations. Le ventre me brûlait de désirs et je résistais à l’envie d’aller à la rencontre de sa bouche. Aucune tête ne s’était jamais si proche de mon intimité. Mais je ne voulais pas le brusquer et briser la magie de ce moment. Sa langue remonta et glissa sur mes poils. Je retenais mon souffle. De sa main libre, puisqu’il continuait à se caresser avec l’autre, il tassa les poils et admira les grandes lèvres roses qui surement s’ouvraient devant ses yeux et laissaient entrevoir les petites qui ne devaient plus être capable de cacher l’entrée de mon vagin humide.
- C’est vraiment le plus beau spectacle que j’ai vu. Tu me fais bander encore plus dure petite femme blanche. Je ne peux pas résister.
Et aussitôt il plongea et se mit à lécher doucement le contour de mes lèvres vaginales. Jamais je n’avais eu de caresse si douce. Puis sa langue, une fois sa première excursion lente terminée, se mit à vire voleter avec rapidité. J’étais électrisée et une première jouissance me traversa et me fis crier. Je refermai les jambes autour de sa tête, mais rapidement et presque brusquement, il les écarta et replongea de plus belle.
Soudainement, sa langue pénétra dans mon vagin.
- Oh oui c’est bon comme ça. Jamais je n’ai connu ça. Continue. AAHHH tu vas plus loin. Ce n’est pas une langue que tu as, c’est un serpent.
- C’est une autre surprise.
- Tu en as beaucoup d’autres comme ça. Je vais mourir.
- Tu verras.
Et il continua de plus belle à me pénétrer avec sa langue qui allait aussi loin qu’un pénis de longueur normale. Sa langue tournoyait et caressais toutes les parois de mon vagin. Le jus coulait et il le buvait.
- Ouiiiii. Je jouis. Salaud. Tu n’as pas honte de faire trembler ta petite blanche comme ça lui dis-je en tremblant de mes jambes.
Entre mes jambes, je voyais ses yeux qui me fixait et démontraient la fierté qu’il ressentait du plaisir qu’il me donnait. Je détestais voir cet air de vainqueur, mais j’étais contente d’être vaincu. Pendant, ce temps, sa main libre remonta vers mes seins et il commença à faire tourner le mamelon de mon sein droit entre son pouce et son index. C’était doux et je relaxais. Mais c’était sans compter ce qu’il me réservait encore. Il remonta sa bouche et ses lèvres se refermèrent autour de mon clitoris. Il se mit à le sucer et le téter comme un bébé tète sa mère. La force de sa succion n’avait d’égal que la force avec laquelle il pinçait maintenant mon mamelon. Ma tête allait de gauche à droite et tout mon corps était pris de convulsions. Un violent orgasme me souleva du lit et je retombai lourdement
Je croyais alors reprendre tranquillement mes sens, mais sa bouche n’avait pas quitté mon clitoris, bien que la succion était plus tendre. Sa main délaissa mon mamelon et descendit le long de mon ventre et s’insinua entre mes cuisses. Un doigt me pénétra lentement et explora ma caverne, cherchant à connaître tous les recoins. Un point m’apparut plus sensible, mais l’effleurement ne dura pas et je l’oubliai. Je savourais ce moment de tendresse.
Puis deux doigts s’introduisent. Ils tournoyaient et faisaient des aller-retours. Rapidement, un troisième vint rejoindre les autres. J’étais pleine. Mai le quatrième s’y engouffra et les quatre s’enfoncèrent jusqu’au début du pouce. Je criais de douleur ou de plaisir, je ne sais pas. Mais finalement c’était bon. Les va-et-vient accélérèrent. Il va de bas en haut en même temps.
- Ouahhh. C’est quoi cette sensation. À quoi tu touches. C’est trop bon.
- C’est ton point G maîtresse. Je l’ai trouvé plus tôt. Est-ce que ma maîtresse aime?
- N’arrête pas. Plus vite. Plus fort. Je suis au bord de l’orgasme. Je jouiiiiiiis.
- Oui tu coules. Une vraie fontaine. Continue. Laisse-toi aller. Tu sais que tu es une femme-fontaine.
J’avais expulsé une quantité incroyable de mon corps et je n’arrêtais pas de jouir et de trembler. Que c’était bon. Je ne savais plus où j’étais. Je pleurais, je riais, je criais de plaisir. Il buvait le jus visqueux qui s’était éjecté de mon corps et maculait mes cuisses. Ses coups de langue étaient autant de chocs électriques, mais que c’était bon.
Rock continuait à se masturber en me fixant. J’étais entre deux eaux, c’était le cas de le dire. J’étais bien. Mon cœur revenait à la normale. Mes jambes pendaient le long du bord du lit complètement inondé après cette jouissance. Il fallait que j’aille à la salle de bain pour me rafraîchir. Je commençais à me redresser et c’est à ce moment que Rock cria de toutes ses forces et déchargea son jus sur mon mont de vénus, inondant mes poils, mon ventre et mes cuisses. Décidemment ses réserves étaient immenses.
- Wow. C’était tout une explosion. Regarde tout le sperme qui me recouvre.
- Tu sais que je me branlais pendant que je te faisais jouir. D’ailleurs, je crois que j’ai mouillé le plancher un peu avant cette dernière explosion.
- Un peu. Il y a une flaque immense, que je lui dis en m’assoyant sur le bord du lit. Tu veux dire que tu as jouis sur le plancher et tu viens encore de jouir sur moi.
- Oui je n’y peux rien. Je t’ai dit que je ne suis pas capable de me retenir.
- Et tu bandes encore. Formidable. Mais moi je vais à la douche et on verra ce que je si j’ai encore la force pour qu’on s’amuse encore ensuite ou si on dort. Quelle soirée.
- Mais où t’en vas-tu. Si je t’ai si abondamment arrosé l’entrejambe, c’est pour que tu sois parfaitement lubrifiée pour la prochaine étape.
En disant cela, il a passé ses bras en-dessous de mes et les releva brusquement me faisant basculer sur le dos. Je savais ce qui s’en venait et je n’étais pas encore prête.
- Non attend. Laisse-moi te sucer et ça te calmera pendant que je reprendrai mes sens.
- Oh. La petite femme blanche est fatiguée. Elle n’est pas capable de satisfaire un « black ».
- Ce n’est pas ça, lui dis-je en essayant de me rassoir. Tu m’as comblée pour l’instant, mais tu sais que je ne suis pas habituée, je…
- Arrête de parler. Il faut se dépêcher avant que le lubrifiant sèche, dit-il en riant Je vais te montrer ce qu’est un vrai homme.
Il place mes jambes sur ses épaules et se relève. Il tient son membre dans ses mains et le guide vers ma grotte. Je me débats un peu pour la forme, mais je sais que je ne suis pas convaincante. J’ai seulement peur qu’il me déchire, mais je sais qu’il est trop tard pour arrêter les instincts primitifs de cet homme. Je décide donc de me laisser faire comme je faisais avec mon conjoint espérant peu de douleurs. Il se pencha au-dessus de moi, de sorte que mes genoux touchaient presque ma poitrine. J’étais complètement ouverte, mais étrangement, je sentais mon liquide me chatouiller l’anus en coulant de mon vagin.
- Tiens je place gland sur les lèvres de ta chatte et je le fais glisser. Sens comme c’est chaud. En plus de mon sperme, le flot qui s’échappe de ton vagin facilite le glissement. Je vais faire entrer mon gland.
J’étais surprise. Il était doux, il glissait lentement et probablement à cause du travail de préparation de ses doigts et des liquides présents, le gland pénétra en entier et pratiquement sans douleur. Je dirais même que je ressentais du plaisir
- Merci d’être doux. Il est entré sans dommages. C’est bon continue. Oui va plus loin. Entre.
Je commençais à vraiment apprécier.
- Oui vas-y
- La p’tite dame a changé d’avis. Une bonne queue lui fait perdre la tête, lui dit-il en continuant sa progression à l’intérieur.
- La p’tite dame te dit de continuer. Tu me remplis bien. C’est gros.
- Tu es vraiment serrée. C’est vraiment bon. Je vais te remplir comme jamais tu ne l’as été.
- Tu es au fond. Je te sens dans mon ventre. Ah ce que c’est bon. Oui. Bouge.
- La cochonne qui sommeillait en toi vient de se réveiller.
- Tu vas voir ce que la cochonne est capable de faire. Donne-moi ta langue pour que je la suce.
Il sortit sa langue qui plutôt avait pénétré si loin dans ma chatte. Rapidement, je l’engloutis dans ma bouche. Je la suçais comme un popsicle, ou plutôt comme un pénis. Il salivait et tout me coulait dans la bouche. Je laissais aller sa langue et sans savoir ce qui m’a pris, je lui ai recraché sa salive dans la figure. Il ne se laissa pas démonter et fit de même pour me lécher la figure comme un chat par la suite et recommencer. Pendant ce temps, il commençait à s’activer un peu plus dans mon ventre. Sans être violent, il ne me ménageait pas. Je n’aime pas la douleur, mais je crois que j’aime être malmenée. Nouvel orgasme de ma part et nouveaux tremblements. Si lui est un éjaculateur précoce, je suis une jouisseuse précoce. Il me suit immédiatement en envoyant sa semence dans mon ventre.
- C’était vraiment mon Rock, lui dis-je après quelques secondes de récupération, en anticipant le repos bien mérité
- Mais t’a rien vu me dit-il.
Il sorti de mon corps et me retourna en me retourna sur le ventre et en soulevant, mon bassin, il me mit à quatre pattes sur le lit, pendant que lui se mettait complètement debout sur le côté du lit.
- Tu vas voir ce que c’est un vrai étalon. Je vais te faire sentier ce que ta jument ressent, ce qui n’était pas tout à fait le cas puisque qu’un étalon reproducteur monte une réplique en bois et éjacule dans un réceptacle.
- J’ai bien hâte de voir ça, même si je n’étais pas rassurée.
- Eh bien voilà.
Il venait de me pénétrer le vagin sans préparatifs et bien que j’étais très bien lubrifiée par le mélange de liquides de nos nombreux orgasmes, je ne pus retenir un cri de légère douleur. Il venait de me pénétrer encore plus loin que quand j’étais sur le dos, les jambes repliées. J’avais l’impression qu’il était rendu dans ma gorge.
- Alors ma petite jument, comment aimes-tu ton étalon.
- C’est un peu tranquille, lui dis-je en le larguant, en ne sachant pas où je prenais mon énergie.
- Ah oui. Alors tiens-toi bien. Je vais te défoncer comme jamais tu ne l’as imaginé.
Il me gratifia en même temps d’une claque sonore sur la fesse droite qui me fit crier de douleur. Puis une autre sur la fesse gauche. Sa queue semblait aller de plus en plus loin et de plus vite. Il cessa ses claques et se pencha pour prendre chacun de mes mamelons entre ses pouces et index et en empaumant mes seins. Cette douceur était bienvenue. Mais il se mis à faire un mouvement de va-et-vient de haut en bas.
- Voilà comment on trait une vache comme toi.
Et dans un cri, il laissa sortir encore une fois une quantité appréciable de sperme dans mon antre. Je venais de jouir. Les bruits émis par notre rapport sexuel étaient indescriptibles.
- Oh oui mon taureau, fourre ta vache. Défonce-la. Je suis devenu ton animal. Vas-y fait de moi ce que tu veux
- Je veux te fourrer la plote comme jamais elle a été fourrée. Je vais te défoncer la chatte. Tu es ma chienne et tu vas aboyer avec mes coups de queue.
Je ne comptais plus les orgasmes, ignorant si je jouissais en continue ou si c’était plusieurs orgasmes rapprochés. Soudainement, il mi un et rapidement de et trois doigts préalablement lubrifiés par nos jus, dans mon cul. Jamais rien n’était entré par là. J’étais partagé entre la douleur et le dédain de savoir ce qu’il pouvait toucher avec ses doigts
- Non arrête. Je ne veux pas. Ça fait mal.
- Laisse-toi aller. Une salope comme toi aime ça.
Effectivement, la douleur se changeait en plaisir, et un nouvel orgasme bruyant nous traversa.
- Oui c’est bon. Je suis ta salope. Fais de moi ta putain.
- Tu es ma pute et je suis ton esclave. On fait une belle paire.
- Déchire-moi.
- T’es tout ce qu’il y a de plus perverse.
- Pas autant que toi.
À ce moment, un orgasme inconnu jusqu’alors vint me traverser. Je venais de jouir du cul. Je crois qu’à ce moment j’ai perdu connaissance, ce qui était plutôt l’extase ou le « big O ». Je suis revenu à la réalité quand j’ai senti la langue de mon amant dans ma bouche. Il était couché sur le dos à mes côtés. Il avait récupéré nos liquides en aspirant ceux-ci de mon vagin et de mon anus, les deux dégoulinants et alors que j’étais sur le ventre, il avait saisi ma tête et l’avait amenée à sa hauteur. Le goût et la texture, bien que spécial, ne faisait qu’augmenter la perversité de nos ébats. Il se masturbait tranquillement, son membre étant encore raide. Saisissant l’occasion, j’ai pris le peu de ressources physiques qui me restaient et j’ai plongé la bouche ouverte sur sa verge. Cette fois-ci, je ne sais par quel miracle, le gland entra complètement dans ma bouche. Succion, léchage, masturbation caresse des testicules, pinçage de ses mamelons, tout y passa pour lui donner une jouissance ultime.
Dans un cri inhumain, il lâcha sa semence dans ma bouche. J’ai réussi à en avaler une grande partie, en gardant un peu dans ma bouche et le reste a coulé sur mon menton et sur lui. Je suis remontée à sa hauteur et je lui ai donné le baiser le plus baveux possible, mais tout de même doux. Après les échanges de liquides corporelles, nous nous sommes étendus dans un lit inondé de liquides douteux.
- Je vais retourner dans mon appartement pour éviter de te voir demain matin et de subir les conséquences maintenant que tu es au courant de mes secrets.
- D’accord, de toutes façons, je ne serais plus capable de te satisfaire.
- Qu’est-ce qui te fait dire que je suis satisfait à 100%. Oui c’était extra, mais la prochaine, je vais devoir t’enculer pour être totalement satisfait. Bonne nuit.
- …
Avant de m’endormir, j’eus la présence d’esprit d’envoyer un texto au couple de ne pas venir travailler le lendemain prétextant un mauvais que je ne voulais pas leur transmettre. Je me suis endormie par la suite dans ce lit visqueux et détrempé.
Après une nuit reposante, je me suis réveillée le lendemain matin très tard. J’étais collée, je puais et le lit était comme une zone de combat. Mais j’étais toute souriante. Un regard par la fenêtre me permis de voir mon étalon sur deux pattes déjà au travail. Il était hors de question qu’il me voit aujourd’hui pour éviter ses assauts que je ne saurais supportés.
Au cours des semaines, suivantes, la relation, en plus de conserver de longues sessions de cul, se transforma en amour profond. Par contre, il continuait de vivre dans son appartement pour éviter de trop nombreuses et épuisantes sessions de débauche malgré la plénitude qu’elles nous apportaient à chacun de nous.
Je m’appelle Karine, 36 ans et on me dit mignonne avec mes cheveux châtain clair qui descendent un peu en bas des épaules, des yeux brun pâle, toujours attachés en queue de cheval et mon corps entraîné de 1.7 m et 50 kg. Depuis quelques années, je suis célibataire, mon conjoint étant décédé dans un accident d’automobile avec mes parents. Je me retrouve donc à gérer seule une écurie dont j’ai hérité de mes parents situés en banlieue d’une grande ville. J’y vis seul avec un garçon d’écurie et un couple âgé vient à chaque jour préparer les repas et s’occuper de l’entretien de la grande maison.
J’ai engagé le garçon d’écurie, Rock, peu après le décès de mes parents. L’ancien ne pouvait plus venir car trop de souvenirs lui rappelait ses anciens patrons. Rock était dans la mi-vingtaine et travaillait dans une ferme auparavant. Rapidement, il a appris le fonctionnement d’une écurie particulière comme la mienne. Effectivement, j’offre la pension à une dizaine de chevaux l’hiver, mais l’été, il n’y a que ma jument et mon étalon reproducteur, les autres étant à l’école d’équitation à quelques kilomètres pour l’été.
Quand j’ai embauché Rock, un grand homme de race noir de près de 2m et bâti en fonction du travail de ferme, j’ai été frappé par la couleur noir ébène de sa peau. De plus, il ne me regardait jamais et ne me faisait jamais face. Un soir, alors que nous finissions notre journée de travail, je l’ai invité à venir manger avec moi. Je mangeais toujours seule, le couple âgé quittant lorsque j’arrivais. Rock vivait dans une maisonnette avec toutes les commodités et attachées à la grande maison.
Alors que nous terminions notre potage, je lui ai demandé la raison de ce comportement. Il hésita quelques peu et devant mon insistance, il se mit à me parler. Il avait un problème mental quelconque qui se transformait en problème physique lorsqu’il regardait une femme. Il me rassura en me disant qu’il n’y avait aucun danger, mais que c’était très gênant. Devant mon incompréhension, il me dit :
- Laissez-moi vous montrer madame Karine. Il m’appelait toujours madame Karine.
Il se leva et se plaça à côté de la table à ma gauche. Il se tourna vers moi sans toutefois me regarder dans les yeux ou ailleurs. Puis il tourna sa tête en évitant de me regarder dans les yeux, mais en regardant mon corps. Aussitôt, je vis une bosse déformer son pantalon et quand je dis bosse, c’est peu dire.
- Vous voyez madame Karine ce qui se passe quand je vois le corps d’une femme.
- Arrête de m’appeler madame. Karine est suffisante et à partir de maintenant, tu me tutoies. Bon je vois, mais tu n’es pas le premier homme qui bande quand il voit une femme. Ça ne justifie pas ton comportement. Et avec l’étalon reproducteur, j’en ai vu d’autre.
- Ce n’est pas tout, lui dit Rock.
Il entra sa main dans son pantalon ample pour placer son pénis enflé dans une position plus confortable. Une fois la main sortie, Il leva les yeux et me regarda droit dans les yeux. Mon regard fut alors attiré par la déformation dans son pantalon qui ne cessait de s’allonger le long de sa cuisse. Bien qu’habituée aux érections de mon étalon reproducteur, je n’avais jamais vu un organe qui semblait aussi énorme. De plus, je n’avais pas eu de sexe, autre que la masturbation innocente depuis la mort de mon conjoint.
- Viens ici. Il faut que je voie ça de plus prêt.
Ne perdant pas de temps, Rock s’approcha. Je détachai sa ceinture et baissa la fermeture-éclair. Il ne portait pas de slip afin d’avoir plus d’aisance. Je restai bouche-bée devant le peu que je distinguais pour l’instant et qui se présentait à quelques centimètres de mon visage. Mon ventre irradiait d’une chaleur que je n’avais jamais ressenti et mon string s’humidifia quasi immédiatement. Ne faisant ni une ni deux, j’ai baissé son pantalon et un magnifique bâton noir plus gros et au moins aussi long que mon avant-bras se présenta à moi. Le prépuce recouvrait le gland, ne laissant voir qu’une forme encore plus grosse. Encore sous le choc, je doutais de la rigidité de ce monstre qui pendait entre ses deux jambes. Je pris donc sa queue de mes deux mains comme souvent j’avais procédé avec les chevaux. Mais cette fois-ci c’était différent. Je mouillais abondamment et je ne pouvais le laisser des yeux.
- Rock, comment as-tu pu me cacher ce sexe tout ce temps?
- Je pensais que tu étais toujours en deuil et que tu ne voulais plus rien savoir des hommes. Mais je vois que tu avais seulement enfoui tes désirs.
- Oh que oui. Tu ne sais pas si bien dire. Je ne me sentais pas capable. Mais devant un si beau morceau de viande, je me sens revivre un peu.
- Je vais essayer de te faire revivre plus qu’un peu si tu veux.
- Comment?
- Tu vas voir plus tard d’autres effets. Mais pour l’instant, j’aimerais me soulager et si tu ne veux pas, je vais me soulager moi-même.
Au lieu de répondre, je me mis à le branler doucement Je pouvais distancer mes mains l’une de l’autre et il restait encore de l’espace à couvrir. Pour les chevaux, on parle en mains pour leur grandeur. Il en est de même pour ce gourdin. Au bout de quelques secondes, son gland se décalotta et apparu dans toute sa splendeur, étant presque tout aussi noir que le reste. Je ne pus résister et je tentai de le prendre en bouche. Seulement une petite partie s’introduit dans ma bouche. Toujours en bouche, je recalottai le gland et me mis à tourner ma langue tout autour entre le prépuce et le gland sensible. Ses gémissements m’indiquaient que malgré mon manque d’expérience dans le domaine, le traitement était apprécié. Je sentais les pulsions de son cœur dans son bâton de chair. Son souffle s’accélérait et il tentait de pénétrer ma bouche distendue encore plus profondément. Je respirais difficilement, mais je ne voulais pas arrêter de sucer sa verge.
Il ne résista pas longtemps.
- Attention, je viens
- Va-y. Laisse-toi aller. Vide-toi dans ma bouche. Je veux goûter ton sperme.
- Tu vas non seulement y goûter, tu vas le boire.
Aussitôt, en lâchant un cri sourd d’un effort de bûcheron, il éjacula une quantité énorme de son liquide visqueux que j’ai avalé le plus que je pouvais, mais après quelques gorgées, j’ai laissé ressortir le gland ne pouvant plus en boire, mais en continuant à le masturber.
- Tu étais plein, lui dis-je en continuant à recevoir des jets partout. J’aurais aimé continuer plus longtemps.
- J’en avais bien besoin. Je suis un éjaculateur précoce malheureusement. Mais, heureusement ce n’est pas fini.
J’étais déçue qu’il éjacule si vite. Je n’étais pas comblé et quand il m’a dit que ce n’était pas fini, j’étais sceptique, mon conjoint n’ayant jamais pu remettre ça.
- Quand je t’ai dit qu’il y avait d’autres effets, c’est ça que je voulais dire. Tu vois, je ne débande pas. Et cela va durer quelques heures.
- Tu veux dire que tu vas rester dur et à ma disposition pour la soirée et la nuit.
- Peut-être pas la nuit, mais au moins une bonne partie de la soirée, me dit-il avec un sourire en coin, que je ne compris pas.
Je le pris par la main et après qu’il ait enlevé complètement son pantalon, je le tirai avec moi à l’étage où était la chambre des maîtres. Comme il avait déjà éjaculé, je me disais que la prochaine éjaculation serait plus longue à venir et que son érection serait donc prolongée. En marchant derrière moi, il tenait sa queue d’une main pour éviter de douloureux mouvements de balancement. En montant, j’enlevais tant bien que mal un à un mes vêtements, de sorte que j’étais complètement nue quand nous sommes entrés dans la chambre.
Je me suis lancé sur le dos sur le lit extra grand, les talons sur le bord du matelas et les genoux pliés et les jambes écartées. J’étais impatiente de me faire pénétrer, bien que je fusse craintive à cause de la grosseur de l’engin.
Avant mon conjoint, je n’avais pas connu d’autres hommes et comme il n’était pas le plus inventif au lit ni le plus exigeant en termes de fréquence, ma libido, déjà faible, se terra complètement dans un coin de mon cerveau et je me contentais de subir le peu de fois qu’il lui prenait le désir de se vider. Mon éducation stricte avait fait que je ne connaissais rien à se laisser aller à ses désirs, mais plutôt de les refouler.
Toujours est-il que je ne me reconnaissais plus les jambes ainsi écartées, implorant l’attention de mon garçon d’écurie.
- Va-y. remplis-moi avec ton membre. Mais vas doucement. Tu es si gros.
Mais le coquin avait d’autres idées. Toujours en tenant d’une main son pénis aussi dur et aussi long, il s’agenouilla entre mes cuisses et examina longuement ma chatte recouverte de poils châtains et cachant mon trésor.
- Je n’ai jamais eu de relations quelconque et encore moins sexuelle avec une blanche.
- Je serai donc celle qui te dépucellera et qui t’introduira au goût exquis de la viande blanche.
- Et toi tu as pu goûter à la chair brune et juteuse, quoique plus noire que brune.
- Pour être juteuse, j’avoue que ta chair a comblé ma soif. Mais maintenant, le reste de mon corps en réclame.
Je ne pouvais concevoir que c’était moi qui s’exprimais ainsi depuis le repas. Les mots crus que je n’osais laisser sortir se bousculaient dans ma tête. Je n’avais aucune idée d’où ils venaient, mais ils étaient bien emprisonnés et je voulais les garder là.
Une fois son examen terminé, il huma longuement mon entre-jambe mouillé et se mis à déposer de légers baisers ton autour de mon mont de vénus, en descendant le long de mes cuisses dont il lécha le jus qui avait coulé été qui continuait à sortir de mon corps. Jamais je n’avais mouillé comme ça, même lors de mes brèves masturbations. Le ventre me brûlait de désirs et je résistais à l’envie d’aller à la rencontre de sa bouche. Aucune tête ne s’était jamais si proche de mon intimité. Mais je ne voulais pas le brusquer et briser la magie de ce moment. Sa langue remonta et glissa sur mes poils. Je retenais mon souffle. De sa main libre, puisqu’il continuait à se caresser avec l’autre, il tassa les poils et admira les grandes lèvres roses qui surement s’ouvraient devant ses yeux et laissaient entrevoir les petites qui ne devaient plus être capable de cacher l’entrée de mon vagin humide.
- C’est vraiment le plus beau spectacle que j’ai vu. Tu me fais bander encore plus dure petite femme blanche. Je ne peux pas résister.
Et aussitôt il plongea et se mit à lécher doucement le contour de mes lèvres vaginales. Jamais je n’avais eu de caresse si douce. Puis sa langue, une fois sa première excursion lente terminée, se mit à vire voleter avec rapidité. J’étais électrisée et une première jouissance me traversa et me fis crier. Je refermai les jambes autour de sa tête, mais rapidement et presque brusquement, il les écarta et replongea de plus belle.
Soudainement, sa langue pénétra dans mon vagin.
- Oh oui c’est bon comme ça. Jamais je n’ai connu ça. Continue. AAHHH tu vas plus loin. Ce n’est pas une langue que tu as, c’est un serpent.
- C’est une autre surprise.
- Tu en as beaucoup d’autres comme ça. Je vais mourir.
- Tu verras.
Et il continua de plus belle à me pénétrer avec sa langue qui allait aussi loin qu’un pénis de longueur normale. Sa langue tournoyait et caressais toutes les parois de mon vagin. Le jus coulait et il le buvait.
- Ouiiiii. Je jouis. Salaud. Tu n’as pas honte de faire trembler ta petite blanche comme ça lui dis-je en tremblant de mes jambes.
Entre mes jambes, je voyais ses yeux qui me fixait et démontraient la fierté qu’il ressentait du plaisir qu’il me donnait. Je détestais voir cet air de vainqueur, mais j’étais contente d’être vaincu. Pendant, ce temps, sa main libre remonta vers mes seins et il commença à faire tourner le mamelon de mon sein droit entre son pouce et son index. C’était doux et je relaxais. Mais c’était sans compter ce qu’il me réservait encore. Il remonta sa bouche et ses lèvres se refermèrent autour de mon clitoris. Il se mit à le sucer et le téter comme un bébé tète sa mère. La force de sa succion n’avait d’égal que la force avec laquelle il pinçait maintenant mon mamelon. Ma tête allait de gauche à droite et tout mon corps était pris de convulsions. Un violent orgasme me souleva du lit et je retombai lourdement
Je croyais alors reprendre tranquillement mes sens, mais sa bouche n’avait pas quitté mon clitoris, bien que la succion était plus tendre. Sa main délaissa mon mamelon et descendit le long de mon ventre et s’insinua entre mes cuisses. Un doigt me pénétra lentement et explora ma caverne, cherchant à connaître tous les recoins. Un point m’apparut plus sensible, mais l’effleurement ne dura pas et je l’oubliai. Je savourais ce moment de tendresse.
Puis deux doigts s’introduisent. Ils tournoyaient et faisaient des aller-retours. Rapidement, un troisième vint rejoindre les autres. J’étais pleine. Mai le quatrième s’y engouffra et les quatre s’enfoncèrent jusqu’au début du pouce. Je criais de douleur ou de plaisir, je ne sais pas. Mais finalement c’était bon. Les va-et-vient accélérèrent. Il va de bas en haut en même temps.
- Ouahhh. C’est quoi cette sensation. À quoi tu touches. C’est trop bon.
- C’est ton point G maîtresse. Je l’ai trouvé plus tôt. Est-ce que ma maîtresse aime?
- N’arrête pas. Plus vite. Plus fort. Je suis au bord de l’orgasme. Je jouiiiiiiis.
- Oui tu coules. Une vraie fontaine. Continue. Laisse-toi aller. Tu sais que tu es une femme-fontaine.
J’avais expulsé une quantité incroyable de mon corps et je n’arrêtais pas de jouir et de trembler. Que c’était bon. Je ne savais plus où j’étais. Je pleurais, je riais, je criais de plaisir. Il buvait le jus visqueux qui s’était éjecté de mon corps et maculait mes cuisses. Ses coups de langue étaient autant de chocs électriques, mais que c’était bon.
Rock continuait à se masturber en me fixant. J’étais entre deux eaux, c’était le cas de le dire. J’étais bien. Mon cœur revenait à la normale. Mes jambes pendaient le long du bord du lit complètement inondé après cette jouissance. Il fallait que j’aille à la salle de bain pour me rafraîchir. Je commençais à me redresser et c’est à ce moment que Rock cria de toutes ses forces et déchargea son jus sur mon mont de vénus, inondant mes poils, mon ventre et mes cuisses. Décidemment ses réserves étaient immenses.
- Wow. C’était tout une explosion. Regarde tout le sperme qui me recouvre.
- Tu sais que je me branlais pendant que je te faisais jouir. D’ailleurs, je crois que j’ai mouillé le plancher un peu avant cette dernière explosion.
- Un peu. Il y a une flaque immense, que je lui dis en m’assoyant sur le bord du lit. Tu veux dire que tu as jouis sur le plancher et tu viens encore de jouir sur moi.
- Oui je n’y peux rien. Je t’ai dit que je ne suis pas capable de me retenir.
- Et tu bandes encore. Formidable. Mais moi je vais à la douche et on verra ce que je si j’ai encore la force pour qu’on s’amuse encore ensuite ou si on dort. Quelle soirée.
- Mais où t’en vas-tu. Si je t’ai si abondamment arrosé l’entrejambe, c’est pour que tu sois parfaitement lubrifiée pour la prochaine étape.
En disant cela, il a passé ses bras en-dessous de mes et les releva brusquement me faisant basculer sur le dos. Je savais ce qui s’en venait et je n’étais pas encore prête.
- Non attend. Laisse-moi te sucer et ça te calmera pendant que je reprendrai mes sens.
- Oh. La petite femme blanche est fatiguée. Elle n’est pas capable de satisfaire un « black ».
- Ce n’est pas ça, lui dis-je en essayant de me rassoir. Tu m’as comblée pour l’instant, mais tu sais que je ne suis pas habituée, je…
- Arrête de parler. Il faut se dépêcher avant que le lubrifiant sèche, dit-il en riant Je vais te montrer ce qu’est un vrai homme.
Il place mes jambes sur ses épaules et se relève. Il tient son membre dans ses mains et le guide vers ma grotte. Je me débats un peu pour la forme, mais je sais que je ne suis pas convaincante. J’ai seulement peur qu’il me déchire, mais je sais qu’il est trop tard pour arrêter les instincts primitifs de cet homme. Je décide donc de me laisser faire comme je faisais avec mon conjoint espérant peu de douleurs. Il se pencha au-dessus de moi, de sorte que mes genoux touchaient presque ma poitrine. J’étais complètement ouverte, mais étrangement, je sentais mon liquide me chatouiller l’anus en coulant de mon vagin.
- Tiens je place gland sur les lèvres de ta chatte et je le fais glisser. Sens comme c’est chaud. En plus de mon sperme, le flot qui s’échappe de ton vagin facilite le glissement. Je vais faire entrer mon gland.
J’étais surprise. Il était doux, il glissait lentement et probablement à cause du travail de préparation de ses doigts et des liquides présents, le gland pénétra en entier et pratiquement sans douleur. Je dirais même que je ressentais du plaisir
- Merci d’être doux. Il est entré sans dommages. C’est bon continue. Oui va plus loin. Entre.
Je commençais à vraiment apprécier.
- Oui vas-y
- La p’tite dame a changé d’avis. Une bonne queue lui fait perdre la tête, lui dit-il en continuant sa progression à l’intérieur.
- La p’tite dame te dit de continuer. Tu me remplis bien. C’est gros.
- Tu es vraiment serrée. C’est vraiment bon. Je vais te remplir comme jamais tu ne l’as été.
- Tu es au fond. Je te sens dans mon ventre. Ah ce que c’est bon. Oui. Bouge.
- La cochonne qui sommeillait en toi vient de se réveiller.
- Tu vas voir ce que la cochonne est capable de faire. Donne-moi ta langue pour que je la suce.
Il sortit sa langue qui plutôt avait pénétré si loin dans ma chatte. Rapidement, je l’engloutis dans ma bouche. Je la suçais comme un popsicle, ou plutôt comme un pénis. Il salivait et tout me coulait dans la bouche. Je laissais aller sa langue et sans savoir ce qui m’a pris, je lui ai recraché sa salive dans la figure. Il ne se laissa pas démonter et fit de même pour me lécher la figure comme un chat par la suite et recommencer. Pendant ce temps, il commençait à s’activer un peu plus dans mon ventre. Sans être violent, il ne me ménageait pas. Je n’aime pas la douleur, mais je crois que j’aime être malmenée. Nouvel orgasme de ma part et nouveaux tremblements. Si lui est un éjaculateur précoce, je suis une jouisseuse précoce. Il me suit immédiatement en envoyant sa semence dans mon ventre.
- C’était vraiment mon Rock, lui dis-je après quelques secondes de récupération, en anticipant le repos bien mérité
- Mais t’a rien vu me dit-il.
Il sorti de mon corps et me retourna en me retourna sur le ventre et en soulevant, mon bassin, il me mit à quatre pattes sur le lit, pendant que lui se mettait complètement debout sur le côté du lit.
- Tu vas voir ce que c’est un vrai étalon. Je vais te faire sentier ce que ta jument ressent, ce qui n’était pas tout à fait le cas puisque qu’un étalon reproducteur monte une réplique en bois et éjacule dans un réceptacle.
- J’ai bien hâte de voir ça, même si je n’étais pas rassurée.
- Eh bien voilà.
Il venait de me pénétrer le vagin sans préparatifs et bien que j’étais très bien lubrifiée par le mélange de liquides de nos nombreux orgasmes, je ne pus retenir un cri de légère douleur. Il venait de me pénétrer encore plus loin que quand j’étais sur le dos, les jambes repliées. J’avais l’impression qu’il était rendu dans ma gorge.
- Alors ma petite jument, comment aimes-tu ton étalon.
- C’est un peu tranquille, lui dis-je en le larguant, en ne sachant pas où je prenais mon énergie.
- Ah oui. Alors tiens-toi bien. Je vais te défoncer comme jamais tu ne l’as imaginé.
Il me gratifia en même temps d’une claque sonore sur la fesse droite qui me fit crier de douleur. Puis une autre sur la fesse gauche. Sa queue semblait aller de plus en plus loin et de plus vite. Il cessa ses claques et se pencha pour prendre chacun de mes mamelons entre ses pouces et index et en empaumant mes seins. Cette douceur était bienvenue. Mais il se mis à faire un mouvement de va-et-vient de haut en bas.
- Voilà comment on trait une vache comme toi.
Et dans un cri, il laissa sortir encore une fois une quantité appréciable de sperme dans mon antre. Je venais de jouir. Les bruits émis par notre rapport sexuel étaient indescriptibles.
- Oh oui mon taureau, fourre ta vache. Défonce-la. Je suis devenu ton animal. Vas-y fait de moi ce que tu veux
- Je veux te fourrer la plote comme jamais elle a été fourrée. Je vais te défoncer la chatte. Tu es ma chienne et tu vas aboyer avec mes coups de queue.
Je ne comptais plus les orgasmes, ignorant si je jouissais en continue ou si c’était plusieurs orgasmes rapprochés. Soudainement, il mi un et rapidement de et trois doigts préalablement lubrifiés par nos jus, dans mon cul. Jamais rien n’était entré par là. J’étais partagé entre la douleur et le dédain de savoir ce qu’il pouvait toucher avec ses doigts
- Non arrête. Je ne veux pas. Ça fait mal.
- Laisse-toi aller. Une salope comme toi aime ça.
Effectivement, la douleur se changeait en plaisir, et un nouvel orgasme bruyant nous traversa.
- Oui c’est bon. Je suis ta salope. Fais de moi ta putain.
- Tu es ma pute et je suis ton esclave. On fait une belle paire.
- Déchire-moi.
- T’es tout ce qu’il y a de plus perverse.
- Pas autant que toi.
À ce moment, un orgasme inconnu jusqu’alors vint me traverser. Je venais de jouir du cul. Je crois qu’à ce moment j’ai perdu connaissance, ce qui était plutôt l’extase ou le « big O ». Je suis revenu à la réalité quand j’ai senti la langue de mon amant dans ma bouche. Il était couché sur le dos à mes côtés. Il avait récupéré nos liquides en aspirant ceux-ci de mon vagin et de mon anus, les deux dégoulinants et alors que j’étais sur le ventre, il avait saisi ma tête et l’avait amenée à sa hauteur. Le goût et la texture, bien que spécial, ne faisait qu’augmenter la perversité de nos ébats. Il se masturbait tranquillement, son membre étant encore raide. Saisissant l’occasion, j’ai pris le peu de ressources physiques qui me restaient et j’ai plongé la bouche ouverte sur sa verge. Cette fois-ci, je ne sais par quel miracle, le gland entra complètement dans ma bouche. Succion, léchage, masturbation caresse des testicules, pinçage de ses mamelons, tout y passa pour lui donner une jouissance ultime.
Dans un cri inhumain, il lâcha sa semence dans ma bouche. J’ai réussi à en avaler une grande partie, en gardant un peu dans ma bouche et le reste a coulé sur mon menton et sur lui. Je suis remontée à sa hauteur et je lui ai donné le baiser le plus baveux possible, mais tout de même doux. Après les échanges de liquides corporelles, nous nous sommes étendus dans un lit inondé de liquides douteux.
- Je vais retourner dans mon appartement pour éviter de te voir demain matin et de subir les conséquences maintenant que tu es au courant de mes secrets.
- D’accord, de toutes façons, je ne serais plus capable de te satisfaire.
- Qu’est-ce qui te fait dire que je suis satisfait à 100%. Oui c’était extra, mais la prochaine, je vais devoir t’enculer pour être totalement satisfait. Bonne nuit.
- …
Avant de m’endormir, j’eus la présence d’esprit d’envoyer un texto au couple de ne pas venir travailler le lendemain prétextant un mauvais que je ne voulais pas leur transmettre. Je me suis endormie par la suite dans ce lit visqueux et détrempé.
Après une nuit reposante, je me suis réveillée le lendemain matin très tard. J’étais collée, je puais et le lit était comme une zone de combat. Mais j’étais toute souriante. Un regard par la fenêtre me permis de voir mon étalon sur deux pattes déjà au travail. Il était hors de question qu’il me voit aujourd’hui pour éviter ses assauts que je ne saurais supportés.
Au cours des semaines, suivantes, la relation, en plus de conserver de longues sessions de cul, se transforma en amour profond. Par contre, il continuait de vivre dans son appartement pour éviter de trop nombreuses et épuisantes sessions de débauche malgré la plénitude qu’elles nous apportaient à chacun de nous.
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