Grosse chaleur au camping

Je m'appelle Lola, j'ai 26 ans, brune, pulpeuse, affichant une poitrine plus que généreuse avec mon 105E.
J’ai toujours senti le regard gourmand des hommes se poser sur moi.
Pourtant, je ne suis pas d'une nature exubérante, et les quelques relations sexuelles qui ont jalonné ma vie de femme n'eurent rien de très exceptionnelles !

C’est pour cette raison que je ne m'explique pas l'excitation perpétuelle qui s'empara de moi durant le mois d'Août 2011.Alors que, je passais mes vacances sur la côte Landaise, dans un camping 5 étoiles, en compagnie de ma sœur et de ses deux filles.

Un état qui fit de moi la plus grande des « Miss Salope » de l'été.

Tout à commencer, par une chaude journée, allongée seule sur une petite plage privée, tandis que le soleil, le sable chaud et la rumeur de l'eau contribuaient à mon excitation. Je me caressais fébrilement jusqu'à atteindre un état de désir, rarement connu au cours de ma jeune vie.

Soudain, j'entendis des bruits de pas et comprenant que ma solitude prenait fin, je restai sur ma faim.
Le trouble fête en question s'approchait, et je tentai en vain de reprendre contenance. Mes joues étaient rouges, mes yeux brillants, mes cheveux décoiffés et ma peau ruisselait de fines gouttelettes de sueur qui allaient toutes se loger au creux de mes seins.

L’intrus était un homme, bien fait, la cinquantaine , les cheveux grisonnants, vêtus d'un pantalon en toile de lin beige et d'un tee-shirt noir moulant.
A sa vue, mon désir s'amplifiait, j'avais envie d'être prise par cet étranger, j'avais envie de sentir sa queue sous mes doigts, entre mes lèvres, et jusqu'au fond de ma gorge.

Lorsqu’il fut a ma hauteur, il me salua en observant ma poitrine qui se soulevait a chacune de mes inspirations. Ses yeux suivirent une goutte de sueur descendant entre mes gros seins, qui menaçaient de sortir à tout moment de mon maillot de bain.

Il était allemand. Il me demanda si j'allais bien, d'où je venais et pourquoi j'étais seule sur cette petite plage. Je bafouillais, mes lèvres étaient sèches, j'avais peur qu'il devine mes pensées. Je passais ma langue afin de les hydratés, ma voix était rauque, et je fis en quelques secondes, un grand nombre de lapsus qui confirmèrent mon état à ce bel étranger.
Il passa une main sur son pantalon, au travers duquel, il caressa légèrement le renflement que son sexe y faisait .

Il m'interrogeait du regard tandis que je suivais son geste, j'eus énormément de mal à déglutir avant de lever vers lui mon regard alangui, et je passai de nouveau ma langue sur mes lèvres, mais cette fois ; le geste était sans équivoque.
Regardant autour de lui, afin de s'assurer de notre solitude, il s'approcha de moi et me dit « Sors tes seins, Salope !»

Je m'exécutais en tentant de faire taire la voix de ma conscience. J’avais l'impression de rêver, que tout cela n'avait pas de réelle importance, et que ce qui comptait c'était de prendre le sexe de cet homme dans ma bouche.
Lorsque mes deux gros melons furent à l'air, il s'en saisit vigoureusement en les palpant, en pinçant mes tétons, en les faisant durcir éveillant aussi un désir douloureux.

Il m'insultait de chienne, de salope, de mot en allemand dont je ne comprenais rien, mais qui m'excitait violemment :

« Je t'ai vu te caresser petite chienne, suce ma bite »

Affamée, mes doigts luttèrent contre la fermeture éclair de son pantalon et je put enfin libérer son sexe long, chaud et dur de son écrin. Il était remarquablement membré. Et je commençais à le sucer avidement.
Tandis que mes lèvres, ma langue soudain experte s'attardaient sur les moindres recoins de sa bite, de ses couilles pleines, il râlait de plaisir en s'agrippant à mes cheveux.
M’obligeant à le prendre tout entier, s’enfonçant jusqu'au fond de ma gorge, et se retirant quand je manquais d'étouffer.

« Ha c'est bon Salope, vas y, bouffe bien ma bite ! T’aimes ça, petite chienne, hein ! »

Sortant sa queue, il m'obligea à m'allonger sur mon drap de plage, sous lequel, il avait fait un petit tas de sable afin de me surélever légèrement.
Plaçant un genou de chaque côté de ma poitrine, il glissa sa queue entre mes seins, que je faisais s'agiter autour de sa queue, tandis que ma langue léchait son gland, a chaque coup de reins.

Entre temps, il avait retiré mon bas de maillot de bain. Comprenant que je n'en pouvais plus d'attendre, il se saisit de ma brosse à cheveux qui dépassait de mon sac, et entreprit d'enfoncer le manche d'un coup sec, dans ma chatte ruisselante. Il se tourna et je continuai à m'occuper de sa bite. Tandis que, dans un 69 improvisé, il continuait de m'empaler avec ma brosse.

« C'est ça que tu veux chienne ! »

J’avais envie de sentir sa bite, en moi.
Il se leva, me tira par les cheveux, me fit mettre à quatre pattes, mes mains agrippées au léger talus de sable qui surélevait ma serviette.
Il avait laissé ma brosse dans ma chatte, et il la retira d'un coup sec faisant coulé ma mouille sur la rondelle de mon cul.
Je n'avais jamais été sodomisée, et soudain je pris peur.
Je voulus m'enfuir, mais il me tenait serré entre ses cuisses puissantes:

« Non non, tu ne pars pas Salope, je vais te défoncer ton gros cul de chienne, tu vas aimer ça, tu verras. »

Plaçant sa bite d'un coup sec dans ma chatte, il commença à jouer avec la brosse a l'entrée de mon cul. Il la glissait doucement et la retirait. J'avais mal, mais cette situation m'excitait. Puis, il l'enfonça violemment d'un coup sec, et pour m'empêcher de hurler, écrasa ma tête sur la serviette.
Il remplaça la brosse par sa bite, dont le diamètre était plus gros, me déchirant l'anus pendant de longues minutes, j'avais mal et ça l'excitait. Ca m'excitait ses coups de reins violent. Ses couilles qui frappaient sur mes fesses, ses mains qui tiraient mes cheveux, qui pétrissaient mes seins, il râlait de plaisir à chacun de mes sursauts de douleur:

« Humm c'est bon, sale chienne, tu vois comme on baise une chienne, tu mérites d'être prise comme ça! »

Et je me surpris à lui réclamer de me déchirer encore !

Il sortit sa bite et l'offrit à ma bouche:

« Vas y, goutte toi, Salope »

Je léchais sa bite, affamée. Il me remit à quatre pattes, puis me pris en levrette, ses coups de reins étaient violent. Il s'enfonçait de plus en plus loin en moi, me faisant découvrir des sensations jusqu'alors inconnu. J'avais l'impression qu'il remplissait mon bas ventre, tant sa bite était grosse et semblait enfler encore.
Puis, ses cris se firent plus rauques, il me dit qu'il allait venir, il sortit alors sa bite et me fit mettre à genoux:

« Ouvre la bouche salope, avale tout ! »

Il cracha de longs jets des spermes au fond de ma gorge et sur mes seins.

« Lèche tes seins, jusqu'à la dernière goutte ! »

Je m'exécutais, mais j'en avais partout, dans les cheveux entre mes seins, sur le visage.
Il remit sa bite dans son pantalon et s'en alla sans un mot ni un regard me laissant seule et désorientée.
Je me sentais à la fois sale et comblée. Je me levais et entreprit de me laver dans l'eau, en prenant un bain de mer qui dura très longtemps.

J’essayais de reprendre contenance, avant de retourner auprès de ma famille. J’avais tellement peur que ma sœur remarque quoi que ce soit.
J’eut du mal à marcher pour revenir, et lorsqu'elle me vit et me demanda ce que j'avais. Je lui répondit que je m'étais certainement foulé la cheville sur la plage.

En me couchant ce soir-là, j'étais loin de me douter que ce n'était que le début d'une longue série d'aventure....