Hortense et Edouard

Hortense est une femme mûre d'une soixantaine d'années, son mari Edouard est de vingt ans son ainé. Très aisés, financièrement, depuis quelques années, ils habitent en campagne. Sur le plan sexuel, il est devenu, à cause de l'âge, plutôt voyeur qu'actif. Mais pour combler ce manque d'activité dû à la nature, il paie régulièrement à sa femme qu'il sait nymphomane, des amants, hommes ou femmes, voir les deux à la fois.
Hortense est comblée par la variance des amants, son mari sait les choisir le bougre.

Aujourd'hui samedi, Hortense s'agite, la coquine semble en manque de sexe, pourtant elle a eu une défonce mémorable la veille. Elle supplie son mari de lui trouver un amant rapidement. Ses recherches sur le net sont infructueuses. Hortense s'agite de plus en plus. Devant l'urgence de la situation, il sillonne les rues du village. Il voit dans une jeune homme tond sa pelouse, et une femme qui s'avère être sa maman, tailler des fleurs. Edouard moyennant finance persuade le duo de se rendre immédiatement chez lui. L'argent, proposé, intéresse le jeune étudiant, et la maman divorcée.

Josette et son fils Roman se rendent à l'adresse indiquée. Hortense respire enfin, elle va pouvoir assouvir sa soif de sexe. La douche est obligatoire, Hortense est la première à la prendre. Elle sort de la salle de bain nue et va s'assoir dans un fauteuil confortable. À chaque fois, pendant ses ébats amoureux, un banc matelassé sans dossier est ajouté dans le salon. Josette sort à son tour de l salle d'eau. Ses petits seins bien fermes ne ballotent pas, des bouts larges et épais sont plantés au centre, des tâches brunes grenelées, le déhanchement félin qu'elle a, fait sourire Hortense. Roman, timide, n'ose regarder Hortense, il fixe le sol en marchant. Sa verge se balance sur son bas-ventre, en frappant le haut de ses cuisses.


Hortense se lève, elle enlace Roman, en plaquant sa lourde poitrine contre le torse du jeune homme, elle le regarde droit dans les yeux. Ses yeux brillent de désir, elle sait qu'il va lui donner un plaisir intense. Elle ondule du bassin, les bas ventres se frottent au rythme que choisit Hortense. Lentement, la queue du jeune homme se dresse. Hortense appuie fortement son bassin, elle soupire, d'impatience en ondulant contre la verge tendue. Elle glisse sa main entre les deux ventres et attrape la queue bien raide. Ses yeux s'enflamment, elle dit entre deux soupirs :

-Hum, elle doit-être bonne ta queue mon petit salaud !

Elle se laisse tomber à genoux, décalotte le gland et l'aspire. Roman se cabre en poussant un gémissement, son corps se met à trembler. Hortense lui dévore le cèpe, en grognant. Elle sent dans sa bouche, les veines gorgées de sang battre dans le membre. Le traitement qu'elle impose à la queue, ne dur pas longtemps. Roman se crispe et envoie dans la bouche de la suceuse sa semence. Hortense jubile, elle avale sans rechigner le nectar si généreusement offert. Elle délaisse la queue, s'essuie les lèvres d'un revers de la main, elle regarde Josette et lui dit :

-Bouffe-moi la chatte, je me doute que tu dois être une bonne lécheuse toi !

Hortense s'allonge sur le banc, avec un gros coussin sous les reins, et ouvre largement les cuisses. Josette regarde un instant la large chatte dégoulinante de jus, et se demande combien de bites l'ont visitées. Elle s'agenouille face à Hortense et commence à lui caresser la fente, ses doigts s'insèrent entre les grandes lèvres pendantes et montent dans le sillon charnu. Ils s'agrippent au clito qui se met à palpiter continuellement. Josette le saisit entre son pouce et son index, et commence un doux branlage bien dosé. Hortense grogne comme une bête malade, son bassin s'agite, il se cambre pour mieux offrir à Josette son temple en feu. Le clito devient énorme, le doigté de l'experte, Josette, fait couiner Hortense de plaisir. Soudain, elle pousse un grognement plus fort que les autres et gicle comme un geyser. Sa jouissance bruyante fait sursauter Roman. Elle hurle :

- baise-moi, baise-moi !

La bouche de Josette se plaque sur le puits intarissable et la fouille avec sa langue agile, Hortense agite sa croupe comme une furie, elle hurle :

-Oh putain, oh putain comme c'est bon, Edouard, tu m'en a trouvé une très bonne là mon chéri ouah !

Josette lui aspire le clito, et le suce comme un bonbon, Hortense est au bord de la syncope. Elle se tend comme un arc et jouit une seconde fois. Edouard regarde sa femme jouir, il est heureux, il se presse la queue à travers son pantalon pour tenter de la faire durcir, mais pour l'instant, c'est vint. Josette se redresse, Roman qui a la queue toujours raide, prend place entre les cuisses pesantes d'Hortense. Il s'accroche à ses hanches et d'un seul coup de reins, l'empale jusqu'aux couilles. Il lui défonce la chatte avec force, l'ardeur de sa jeunesse l'avantage, le jeunot semble increvable.

Sa queue coulisse dans la gaine brulante en prenant de la vitesse. Les râles d'Hortense sont de plus en plus bruyants. La jeune queue qui bute contre le col de son utérus, la fait gémir comme une bête tombée dans un piège. Josette se penche sur la poitrine généreuse et gobe à tour de rôle les mamelons épais. C'est le summum du bonheur pour Hortense, elle se cambre comme un pont un jour de tempête, et explose de jouissance. Roman continue de la démonter férocement, Hortense s'accroche à lui en gémissant comme une malade. Elle délire, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un rictus affreux. Entre deux halètements, elle parvint à dire :

-Prends-mon cul petit coquin, vas-y, fais-moi mal !

Edouard à retirer son pantalon et son slip, il a sorti sa queue, il se triture l'engin mou en soufflant comme un bœuf. Roman place son gland contre la petite rosette palpitante, et donne un coup de reins violent. Son mandrin s'enfonce aisément dans le canal anal qui doit être souvent visité. Hortense se cambre en agitant sa large croupe. Roman, lui saisit les hanches et pousse fortement, ses couilles pleines de semence, viennent en contact avec le fessier charnu. Hortense est euphorique, elle hurle :

- Regarde mon chéri, comme Roman m'encule bien, oh la vache, il y est à fond dans mon cul, branle-toi, branle-toi mon chéri !

Le ramonage commence lentement puis, au fur et à mesure, augmente en intensité. Roman se défoule le plus possible dans le cul d'Hortense qui gémit comme une forcenée. Josette délaisse les mamelons, se place derrière son fils et passe sa main entre ses cuisses. Elle saisit les couilles pleines de son fiston, et les triture vigoureusement, Roman grogne de plaisir, cela lui donne encore plus d'ardeur. Il démonte comme un soudard le fondement d'Hortense, qui s'agite comme une damnée sur la queue qui lui fore le rectum. Josette change de cible, elle s'approche d'Edouard, saisit son bout en semi-érection et le branle énergiquement. Elle humecte deux doigts et les passe sur la rondelle du vieil homme, qui pousse de gros soupirs.


Les longs doigts, fins, tournent sur la pastille brune qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment. Petit à petit, Josette les enfonce dans le rectum d'Edouard. Le bougre se cabre, les doigts agiles de Josette le fouille comme jamais, le bougre, se laisse faire, c'est la première fois qu'une personne lui fouille le cul. Il trouve cela insensé, mais si merveilleux à la fois. Josette tout en le branlant lui ramone le cul, les râles d'Edouard se mêlent à ceux de sa femme, les deux gémissent de bonheur. Comme par miracle, sa queue devient dure comme un morceau de bois. Il hurle :


-Hortense, Hortense, je bande, je bande !

Elle relève légèrement la tête pour regarder la chose miraculeuse qui se produit. Elle lui répond entre deux souffles :

-Jouis, mon chéri, jouis !

Roman ne ménage pas ses efforts, il pilonne sauvagement le cul bien rebondit d'Hortense qui souffle comme un animal à chacun des assauts de son jeune amant. L'issue en est fatale, elle se cabre et explose comme une bombe, sa jouissance du cul est fabuleuse, elle halète terriblement, sa respiration est rapide, son souffle est court, elle est presque dans le coma. Enfin, Roman peut lui remplir le cul de son sperme abondant. Sur son siège, Edouard, gémit comme une bête, Josette cesse de lui branler la queue, elle la gobe et la suce comme une malade. Ses doigts voyagent dans l'antre de l'enfer sans faiblir. Hortense regarde, hébétée, la queue tendue de son mari. Roman la libère de son glaive.

Elle se lève difficilement, s'avance vers le duo en pleine action. Edouard hurle :

-Je vais jouir, je vais jouir !

Josette sous l'influence d'Hortense libère Edouard. Sa femme l'enjambe, et le chevauche comme une amazone guerroyant un ennemi inconnu. Son corps monte et descend sur la verge qui spécialement sous les actions de Josette est devenue opérationnelle. Hortense pousse un long râle qui ressemble à un gémissement de bête blessée. Elle jouit fortement en embrassant fougueusement son mari. Le bougre explose dans le ventre de sa femme, que sa queue ignorait depuis de nombreuses années. Josette de voir tant de jouissance se masturbe en regardant les deux amants. Hortense reprend peu à peu ses esprits, elle regarde avec ses yeux embrumés de jouissance, Josette se faire un petit plaisir. Elle la stoppe nette :

-Vous êtes payés, pour un service, il n'est pas terminé, je crois qu'une petite rallonge bien méritée, vous sera accordée !
Josette et toi Roman faites l'amour ensemble, je vous rejoindrai en cours de route !


Josette est son fils se regardent, Josette rougit et en béguant répond :


-Vous voulez que mon fils et moi fassions l'amour ensemble ?

-Ben oui, ce n'est pas compliqué tout de même, je suppose que souvent vous, vous défoncez tous les deux, une belle veuve avec un fils si performant, cela ne serai que normale !

Josette regarde son fils, il opine de la tête pour dire oui, il s'approche de sa maman, l'enlace.

Mais cela est une autre histoire.