Il convainc sa femme de se donner à d'autres 4

Juliette à beaucoup de mal à se remettre des nombreuses jouissances, qu'elle a subi. Elle halète fortement son souffle et court. Marion la regarde et lui dit :

-Putain, tu es vachement bonne toi ma chérie, viens, je t'emmène au paradis !

Juliette chancelante, le pas mal assuré, suit Marion en lui tenant la main. Elles arrivent dans une salle qui ressemble à une petite arène entourée de gradins. Des personnes sont assises, elles regardent une femme se faire saillir par un gros malinois. La femme hurle sous les assauts du chien qui ne la libère qu'une fois qu'il lui a rempli la chatte de sa semence animale. Les voyeurs applaudissent à tous rompre, certaines femmes ont la jupe relevée et, se caresse la chatte. Des hommes la queue a l'air se masturbent rageusement. L'un d'eux, crie à la femme :

-Grosse salope, fait toi prendre par le cul, lèche lui la bite au clébard !

Juliette reste bouche bée devant le spectacle qui malheureusement, prend fin. Marion qui connait bien les lieux, l'emmène au centre de la piste et lui retire ses vêtements. Juliette pas rassurée veut fuir, mais Marion l'en dissuade :

-Reste ma chérie, tu vas être la star, tu vas prendre un pied d'enfer !

Juliette, tremblante, se demande ce qui va lui arriver.

Marion s'adresse maintenant aux spectateurs :

-J'ai besoin de trois bons mâles, ma chérie souhaite connaitre le summum des plaisirs !

Trois types se lèvent et, s'approchent, Marion leur demande de se dévêtir entièrement.

Les hommes sont deja en érection, pour cause, le spectacle précédent. Marion leur parle à l'oreille, ils regardent Juliette en souriant. L'un d'eux enlace Juliette, la plaque contre lui, il lui relève une jambe et la maintient, à hauteur de sa hanche. Il saisit sa bite d'une main et la dirige vers la chatte de Juliette, qui s'accroche au cou de l'homme pour ne pas chuter. Un autre homme se place derrière elle, lui écarte les fesses et crache sur la rosette encore fébrile. Il enduit son gland monstrueux de salive et, le pose contre la petite porte convoitée.

Il pousse doucement, l'anus visité il y a peu de temps, engloutit difficilement la queue dure comme du béton. Juliette se cabre, c'est sa première double pénétration. Elle a l'expression que les deux bites sont dans le même orifice, et qu'elle va éclater. La sensation qu'elle ressent, est étrange, distendue à l'extrême, elle croit que son anus va se déchirer tellement la queue qui s'enfonce en elle et monstrueuse. La dilatation extrême, devient supportable, qu'après de nombreux vas-et-viens, Les queues voyagent dans ses entrailles, en prenant de la vitesse. Les gaines de chair enserrent bien les membres qui la forent. La tension monte dans son corps, elle souffle fortement.

Les deux hommes accélèrent le rythme, Juliette s'agite, elle râle comme une bête blessée. Dans les gradins, Lucas et Jacques regardent attentivement les réactions de Juliette. Les deux hommes sortent leur bite et la branlent en regardant Juliette geindre de plaisir. Un homme surexcité, dégage la main de Lucas et lui gobe la queue. Lucas n'a pas le temps de réagir. L'inconnu lui suce comme un beau diable le gland, d'une main, il lui triture les couilles sauvagement. Lucas gémit de bonheur. Jacques se lève et offre sa bite aux lèvres de Lucas qui sans se poser de question ouvre la bouche et suce le manche de chair.

Les deux hommes font de violentes succions sur les verges tendues, c'est presque en même temps qu'ils déchargent leur sperme dans les bouches voraces. Lucas avale par petite rasade la décharge abondante de jus. Pendant que le suceur fait une gorge profonde avec sa bite de Lucas, qui n'a pas faibli.

Juliette, s'agite comme une forcenée, les coups de reins des deux hommes sont d'une brutalité féroce. Les queues entrent et ressortent de son corps à une cadence infernale. Les assauts sont si violents que le trio tombe sur le sol. Juliette se retrouve maintenant sur le ventre de l'homme qui lui laboure la chatte. Toujours prise en sandwich par les deux puissants mâles, les assauts reprennent. Juliette pousse un long râle rauque, elle jouit fortement. Les deux hommes continuent de la démonter. Soudain, Juliette pousse un hurlement qui fait frémir les spectateurs. Le troisième homme, vient de se glisser en faisant de nombreuses contorsions, entre elle et son collègue qui la sodomise et, lui a enfoncé sa verge dans le rectum de Juliette déjà occupé par la queue monstrueuse.

Elle se plaque contre le torse de l'homme sous elle, prise comme jamais, elle couine comme une bête, son anus et distendu à la limite de la rupture. Ses yeux s'emplissent de larmes. Les trois hommes, ne prêtent pas attention à sa souffrance et, continuent de la démonter. Lucas regarde en écarquillant au maximum ses yeux, il s'approche même pour mieux voir. Le défonçage, dure un long moment. Petit à petit, Juliette commence à
s'habituer aux monstres qui la dilatent exagérément, ses gémissements maintenant, ne sont que plaisir. Les queues voyagent dans son corps comme des marteaux-pilons. Juliette arrive au point de non-retour. Elle prend un plaisir phénoménal, les bites qui coulissent en elle, l'emmènent au bord de la syncope. Elle se cabre en hurlant et jouit monstrueusement. Le public applaudit, Juliette a la bouche grande ouverte, elle respire difficilement. Son corps et secoué de spasmes violents, elle a orgasme sur orgasme. L'un après l'autre les hommes déversent en elle un flot de sperme gluant.

Enfin après quelques coups de reins, ils libèrent Juliette qui tombe sur le sol les bras en croix. Son anus est monstrueusement ouvert, un filet de sperme s'échappe du trou béant. Marion la félicite de son exploit :

-Bravo ma chérie, tu es devenue une grosse salope comme moi, bien venue au club !

Lucas et Jacques arrivent à leur tour, Lucas se penche sur sa femme et l'embrasse fougueusement. Jacques ne peut s'empêcher de fourrer ses doigts dans le trou béant. Le coquin, sans difficulté, arrive à en entrer sa main entièrement. Juliette pousse un soupir bruyant. Jacques lui ramone doucement le rectum, Juliette se remet à geindre. Elle agite faiblement sa croupe, elle est presque sans force. Jacques, ferme le poing et lui ramone sauvagement le cul. Le résultat ne se fait pas attendre, Juliette jouit en hurlant terriblement fort. Les spectateurs se lèvent et font une ovation. On aide Juliette à se lever et, péniblement, on la ramène à la table pour fêter ça.