ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Il était une fois
Lue : 750 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/10/2013
Histoire précèdente <<<
Il était une fois
+4
Lue : 750 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/10/2013
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Il y a fort longtemps, encore plus fort longtemps : il était une fois une femme sorcière, Dure, aimait dresser les jeunes femmes. Elle avait sous son emprise une fille de 18 ans, environ, fille d’un roi du coin qui voulant plaire à son épouse jalouse avait placé cette enfant chez cette méchante sorcière.
La fille, nommé Plaisir n’en avait pas beaucoup ! Elle devait se lever comme les poules, se coucher comme elles. Son premier devoir était l’obéissance absolue à Dure.
Dure menais sa vie dissolue en marge de sa vie courante. Mais si Plaisir voyait Dure entre les bras d’un homme ou d’une femme, elle ne se doutait pas de la réalité, sauf qu’un soir en revenant du jardin, elle trouvait Dure sur la table de la cuisine, là ou Plaisir devait réparer le repas. Dure n’était pas seule. Un de ses amis lui tenait compagnie en lui donnant une partie de sa personne dans un endroit que Plaisir ne soupçonnait pas destiné à ça. Si elle avait été un peu au courant de la vie, elle aurait compris que Dure se faisait baiser par un copain, comme souvent.
Dure organise des fêtes chez elle. D’accord elles sont spéciales ses fêtes. Elles réunissent des couples jeunes ou moins jeunes, à la recherche de raffinements particuliers.
Un soir un jeune homme se retrouve seul : celle qui devait venir avec lui s’est décommandée.
Comme pour toutes les fêtes, Plaisir sert les premiers verres avant d’être mise dehors par Dure. Elle sert un verre à un jeune homme bien habillé, élégant, semblant faire partie d’une société largement au-dessus de celle de Dure. Charmant, car c’est lui demande à Dure où est la jeune beauté qu’il a juste entre aperçue. Dure se trouve dans l’impossibilité de caché Plaisir. Elle doit revenir. Elle va être obligée d’associer Plaisir à ses turpitudes : Charmant est puissant, il pourrait faire fermer pas voies administratives son beau château.
Ne voulant pas tout perdre, Dure indique où trouver Plaisir. Elle est au premier étage où on monte par un escalier en colimaçon.
Plaisir est en petite tenue, juste avec un petit slip qui ne cache pratiquement rien de son sexe, et un micro soutien-gorge. Charmant est tétanisé de voir cette fille magnifique, éblouissante, délicate, sublime. Plaisir devine sa présence : elle lève les yeux. Ce qu’elle voit l’ébloui. Comment la nature a-t-elle pu créer un être si séduisant, si attrayant. Après tout ce n’est qu’un garçon comme les autres. Mais ses yeux, son visage bien arrondi, ses yeux magnifiquement bleus poussent irrésistiblement vers lui, vers ses lèvres.
Plaisir ne se rend même pas compte de sa correction négligée, pratiquement nue. Charmant lui voudrait bien passer un grand moment avec elle. Qu’en dirait Dure ? Finalement les empêchements de Dure ne comptent pas. Charmant s’approche de Plaisir. Il lui tend une main. Dans le même élan elle la saisit.
Ils sont corps à corps. Plaisir sent bien quelque chose contre son ventre, une chose qui grossit sans cesse. Curieuse comme l’étaient les femmes de l’époque, elle y porte une main. Le haut de chausse ne peut cacher grand-chose. Une belle queue apparait à la surprise de Plaisir. Pour mieux examiner sa découverte, Plaisir tombe à genoux. Son nez près de la bite sent une odeur inconnue : celle d’une queue bandée avec le prépuce mi descendu. Elle fait une chose inimaginable en prenant la pine dans une main, en la serrant fort, très fort, en la lâchant pour la masser longuement. Elle est surprise quand du bout de ce morceau de viande s’épand un long jet de laitage blanc, et gluant qui vient sur son ventre.
L’odeur ne la surprend pas trop, la même monte souvent, atténuée, pendant que Dure reçoit ses nombreux amis. Plaisir voudrait que cette belle queue reste tendue toujours. Mais elle retombe doucement. Plaisir la prend dans sa main. Sans le savoir elle la fait encore bander. Elle sent sa chatte bien humide qui voudrait connaitre mieux ce qui est au bas ventre de Charmant.
Charmant pense la même chose, plutôt que de perdre sa bite dans un con quelconque il va farcir celui de la demoiselle qui semble bien d’accord, même si elle paraît vierge. Il n’a que la queue dehors, il enlève ce qu’il porte. Plaisir regarde ce corps, le voudrait encore contre elle.
Ils sont réunis, debout, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis, sauf une queue contre le nombril de Plaisir qui se colle encore plus contre la bite. Plaisir prend Charmant par le cou, le tire à elle en tombant sur le lit. Elle ne connait rien à l’amour, pas le grand, pas encore. Elle sait qu’elle se donne à un prince, par sa tenue, ses façons de faire, d’embrasser, de la caresser.
Il tombe sur elle. Pour ne pas abuser d’elle comme ça, comme un aventurier, un mercenaire de bas étage, il la caresse. Elle ignorait les délices d’une main sur ses seins, sur son ventre. Sans s’en douter elle donne à Charmant plus qu’il ne demandait : elle écarte les jambes. Charmant y passe une main, il commence à caresser bien bas, depuis le genou en montant doucement vers la fourche. Plaisir tend encore plus son ventre. Charmant passe sa main sur son endroit humide Le désir d’y être touchée, caressée fait qu’elle se donne totalement. Charmant fait ce qu’un homme, même de rang, quand il est avec une fille aussi belle est excitante, il la caresse, la masturbe, la branle sans cesse jusqu’à ce qu’elle pousse un cri du soulagement et du plaisir enfin découvert. Charmant voudrait bien la faire sienne. Mais à cette époque il fallait que ce soit la dame qui le demande. Alors il la tourne sur le ventre. Il est sur elle, la queue dans la raie. Le gland passe dans la raie, survole le petit trou : il le passe et tant pis pour la morale de l’époque il la pique dans son intimité. Elle pousse des gémissements, à croire qu’il lui fait mal. Plaisir se tend, se plie en deux, écarte totalement les jambes. Charmant va et vient dans son vagin. Plaisir jouit, Plaisir en veut encore. Charmant lui donne tout ce qu’il a : sa semence.
Plaisir ne sait plus ce qu’elle fait. Elle se remet debout, reprend la queue dans sa main, la masturbe inconsciemment. Sa bouche est attirée par le gland rougeoyant, elle le lèche à peine, aime ce gout de bite mêlé à son gout à elle. Elle commence une chose impensable pour elle jusqu’à présent, elle se caresse l’abricot.
Ayant enfermé la pine dans sa bouche, elle allie les mouvements de sa langue à ceux de ses mains et ses doigts sur et dans sa chatte, son petit trou. Elle arrête, écœurée, quand elle reçoit la purée de la bite de son amant.
Charmant la comprend. Il sait que pour une première fois il lui en a trop demandé. Pour la remercier, il lui embrasse la chatte, près à lui manger si elle le veut bien.
Dans mon récit, le hasard fait bien les choses, Plaisir a justement envie d’une chose qu’elle ne connait pas encore : elle lui donne sa moule dégoulinant de liquide intime. Charmant se précipite sur cette gourmandise. Il boit directement à la source des voluptés tout ce qui en sort. Il lèche sans cesse. Plaisir n’en revient pas du nombre de fois où tout son corps est précipité dans cette volupté qu’elle ne connaissait pas.
Elle reste nue quand Charmant part. Elle traverse avec Charmant la pièce où Dure fait la fête avec deux amis sur elle. Polie, Plaisir donne un baiser à Dure.
Le couple part dans la nuit : personne ne les a revus. Sauf le jour du couronnement quand Charmant devient le nouveau roi.
La fille, nommé Plaisir n’en avait pas beaucoup ! Elle devait se lever comme les poules, se coucher comme elles. Son premier devoir était l’obéissance absolue à Dure.
Dure menais sa vie dissolue en marge de sa vie courante. Mais si Plaisir voyait Dure entre les bras d’un homme ou d’une femme, elle ne se doutait pas de la réalité, sauf qu’un soir en revenant du jardin, elle trouvait Dure sur la table de la cuisine, là ou Plaisir devait réparer le repas. Dure n’était pas seule. Un de ses amis lui tenait compagnie en lui donnant une partie de sa personne dans un endroit que Plaisir ne soupçonnait pas destiné à ça. Si elle avait été un peu au courant de la vie, elle aurait compris que Dure se faisait baiser par un copain, comme souvent.
Dure organise des fêtes chez elle. D’accord elles sont spéciales ses fêtes. Elles réunissent des couples jeunes ou moins jeunes, à la recherche de raffinements particuliers.
Un soir un jeune homme se retrouve seul : celle qui devait venir avec lui s’est décommandée.
Comme pour toutes les fêtes, Plaisir sert les premiers verres avant d’être mise dehors par Dure. Elle sert un verre à un jeune homme bien habillé, élégant, semblant faire partie d’une société largement au-dessus de celle de Dure. Charmant, car c’est lui demande à Dure où est la jeune beauté qu’il a juste entre aperçue. Dure se trouve dans l’impossibilité de caché Plaisir. Elle doit revenir. Elle va être obligée d’associer Plaisir à ses turpitudes : Charmant est puissant, il pourrait faire fermer pas voies administratives son beau château.
Ne voulant pas tout perdre, Dure indique où trouver Plaisir. Elle est au premier étage où on monte par un escalier en colimaçon.
Plaisir est en petite tenue, juste avec un petit slip qui ne cache pratiquement rien de son sexe, et un micro soutien-gorge. Charmant est tétanisé de voir cette fille magnifique, éblouissante, délicate, sublime. Plaisir devine sa présence : elle lève les yeux. Ce qu’elle voit l’ébloui. Comment la nature a-t-elle pu créer un être si séduisant, si attrayant. Après tout ce n’est qu’un garçon comme les autres. Mais ses yeux, son visage bien arrondi, ses yeux magnifiquement bleus poussent irrésistiblement vers lui, vers ses lèvres.
Plaisir ne se rend même pas compte de sa correction négligée, pratiquement nue. Charmant lui voudrait bien passer un grand moment avec elle. Qu’en dirait Dure ? Finalement les empêchements de Dure ne comptent pas. Charmant s’approche de Plaisir. Il lui tend une main. Dans le même élan elle la saisit.
Ils sont corps à corps. Plaisir sent bien quelque chose contre son ventre, une chose qui grossit sans cesse. Curieuse comme l’étaient les femmes de l’époque, elle y porte une main. Le haut de chausse ne peut cacher grand-chose. Une belle queue apparait à la surprise de Plaisir. Pour mieux examiner sa découverte, Plaisir tombe à genoux. Son nez près de la bite sent une odeur inconnue : celle d’une queue bandée avec le prépuce mi descendu. Elle fait une chose inimaginable en prenant la pine dans une main, en la serrant fort, très fort, en la lâchant pour la masser longuement. Elle est surprise quand du bout de ce morceau de viande s’épand un long jet de laitage blanc, et gluant qui vient sur son ventre.
L’odeur ne la surprend pas trop, la même monte souvent, atténuée, pendant que Dure reçoit ses nombreux amis. Plaisir voudrait que cette belle queue reste tendue toujours. Mais elle retombe doucement. Plaisir la prend dans sa main. Sans le savoir elle la fait encore bander. Elle sent sa chatte bien humide qui voudrait connaitre mieux ce qui est au bas ventre de Charmant.
Charmant pense la même chose, plutôt que de perdre sa bite dans un con quelconque il va farcir celui de la demoiselle qui semble bien d’accord, même si elle paraît vierge. Il n’a que la queue dehors, il enlève ce qu’il porte. Plaisir regarde ce corps, le voudrait encore contre elle.
Ils sont réunis, debout, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis, sauf une queue contre le nombril de Plaisir qui se colle encore plus contre la bite. Plaisir prend Charmant par le cou, le tire à elle en tombant sur le lit. Elle ne connait rien à l’amour, pas le grand, pas encore. Elle sait qu’elle se donne à un prince, par sa tenue, ses façons de faire, d’embrasser, de la caresser.
Il tombe sur elle. Pour ne pas abuser d’elle comme ça, comme un aventurier, un mercenaire de bas étage, il la caresse. Elle ignorait les délices d’une main sur ses seins, sur son ventre. Sans s’en douter elle donne à Charmant plus qu’il ne demandait : elle écarte les jambes. Charmant y passe une main, il commence à caresser bien bas, depuis le genou en montant doucement vers la fourche. Plaisir tend encore plus son ventre. Charmant passe sa main sur son endroit humide Le désir d’y être touchée, caressée fait qu’elle se donne totalement. Charmant fait ce qu’un homme, même de rang, quand il est avec une fille aussi belle est excitante, il la caresse, la masturbe, la branle sans cesse jusqu’à ce qu’elle pousse un cri du soulagement et du plaisir enfin découvert. Charmant voudrait bien la faire sienne. Mais à cette époque il fallait que ce soit la dame qui le demande. Alors il la tourne sur le ventre. Il est sur elle, la queue dans la raie. Le gland passe dans la raie, survole le petit trou : il le passe et tant pis pour la morale de l’époque il la pique dans son intimité. Elle pousse des gémissements, à croire qu’il lui fait mal. Plaisir se tend, se plie en deux, écarte totalement les jambes. Charmant va et vient dans son vagin. Plaisir jouit, Plaisir en veut encore. Charmant lui donne tout ce qu’il a : sa semence.
Plaisir ne sait plus ce qu’elle fait. Elle se remet debout, reprend la queue dans sa main, la masturbe inconsciemment. Sa bouche est attirée par le gland rougeoyant, elle le lèche à peine, aime ce gout de bite mêlé à son gout à elle. Elle commence une chose impensable pour elle jusqu’à présent, elle se caresse l’abricot.
Ayant enfermé la pine dans sa bouche, elle allie les mouvements de sa langue à ceux de ses mains et ses doigts sur et dans sa chatte, son petit trou. Elle arrête, écœurée, quand elle reçoit la purée de la bite de son amant.
Charmant la comprend. Il sait que pour une première fois il lui en a trop demandé. Pour la remercier, il lui embrasse la chatte, près à lui manger si elle le veut bien.
Dans mon récit, le hasard fait bien les choses, Plaisir a justement envie d’une chose qu’elle ne connait pas encore : elle lui donne sa moule dégoulinant de liquide intime. Charmant se précipite sur cette gourmandise. Il boit directement à la source des voluptés tout ce qui en sort. Il lèche sans cesse. Plaisir n’en revient pas du nombre de fois où tout son corps est précipité dans cette volupté qu’elle ne connaissait pas.
Elle reste nue quand Charmant part. Elle traverse avec Charmant la pièce où Dure fait la fête avec deux amis sur elle. Polie, Plaisir donne un baiser à Dure.
Le couple part dans la nuit : personne ne les a revus. Sauf le jour du couronnement quand Charmant devient le nouveau roi.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Il était une fois
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<