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J'ai envie

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Lue : 3650 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/05/2014

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-Tu sais, j'ai envie.
Maintenant ?
Oui, je vais me soulager aux waters.
Tu me diras comment tu auras fait ?
Bien sûr, je ne te cache rien, surtout ça.
Embrasse-moi les doigts de la main droite.

Ainsi elle va se servir de sa main droite. Je la vois déjà se caressant pendant que je fini de déjeuner. Elle me fait de l'effet : je commence à bander. Je cache mon pantalon grâce à la nappe. Elle met bien longtemps avant de revenir un peu rouge.
Je me suis faite jouir comme rarement.
Te me fais bander.
Vas te branler aussi.
C'est vrai, je peux ?
Gros nigaud ; comme si je t'interdisais de te faire jouir.

Je me lève en gardant ma main dans la poche pour cacher un peu ma bite. Je sors ma queue un peu tôt, juste en entrant dans les lieux : un type est là aussi. Il fait semblant de pisser, mais je vois sa main parcourir sa queue. Il me fait un clin d’œil en me regardant. Il se dégage de la pissotière, sa queue toujours raide pour aller dans des chiots à fermer, mais il garde la porte ouverte en continuant à se masturber. C'est une invite ou je ne m'y connais pas. Drôle de choix, mon amante dans le restaurant ou lui là en face.

Je suis tenté par l'aventure. J'entre avec lui, il ferme la porte. Il s'assoit sur la cuvette, sa bouche à ma hauteur de bite.

Ma queue se trouve bien dans sa main et ensuite dans sa bouche. Sa langue lèche partout comme seul un homme a le savoir-faire. Il n'a pas traîné pour la fellation et je n'ai pas traîné pour accepter. J'oublie ma nana, je ne pense à elle que quand je suis sur le point de jouir. Je me dégage, laisse mon suceur seul pour remonter.
Tu en a mis tu temps pour simplement pisser.
J'ai fait plus que pisser.
Tu t'es branlé ?
Non. Je me suis fait sucer par un type que j'ai laissé en place pour se branler.
Tu as joui dans sa bouche, comment c'était ,
Je n'ai pas joui.
Viens allons baiser.

Je sors du restaurant en bandant, je suis chez elle, je bande encore. Elle me fait asseoir sur le divan, ouvre ma braguette, sort difficilement ma queue. Je dois encore avoir goût à la salive de l'autre quand elle me prend dans sa main.
Tu veux me la mettre ou que je te suce ?
Te la mettre là où tu aimes.
Elle vient sur mes genoux. Je crois savoir ce qu'elle me veut : la queue dans son sexe. Ses jambes enserrent les miennes. Je sens sa peau contre la mienne. Elle me fait encore bander.
Branles moi avec ta bite.
Où tu veux ?
Sur le cul, attention, pas encore dedans.

Je tiens ma queue par la main droite, je la dirige comme je peux entre ses fesses. Une fois dans la raie, le chemin est ouvert. Je sens l'anus juste sous le gland d. J'ai envie de manquer à ma parole, d'aller dans son cul. Il lui suffit de la sentir pour se laisser aller vers un orgasme que je ne présentais pas. Elle me fait un drôle d'effet sur le gland. Je me laisse aussi glisser vers le plaisir partagé. J'éjacule sur son cul : elle jouit au même instant. Dommage t’aurais été bien meilleur pour moi en elle.

Elle se relève, se met à genoux, prend ma queue dans sa bouche, la tient juste d'une main. C'est sa langue qui me réveille. Je dois avoir un sacré goût de sperme. Elle arrive à me faire bander encore plus. La voilà sur mes genoux encore, cette fois elle me tourne le dos. Elle met la pine dans sa raie. Elle la fait glisser doucement vers son anus. Elle ne dit pas non, c'est elle qui pose la pine sur son cul :
Oui, mets moi là au cul.
Tu te branles aussi.
Bien sûr.

Je suis presque à fond dans ses boyaux : elle gémit comme si je la martyrisais. Sa main droite se pose sur sa chatte. Je sens ses mouvements de masturbation. Enfin elle accepte de se masturber devant moi.
Tu me fais du bien dans le cul. C'est bon continue.
Entre toi des doigts dans le con.
Non, fais le toi.

J'arrive comme je peux à passer sous sa main, ouvrir son vagin et y entrer trois doigts à fond. Je me sens la bite presque contre les doigts. Je pourrais presque me branler à travers elle.
Oui, encule moi profond, encore plus profond.
Caresses moi les couilles.
Je ne peux pas.
Si fais le.
Je te dis que je ne peux pas, je me branle.

Elle va au bout de son orgasme. Je reste avec mon envie de me faire caresser les couilles. Ses jouissances se font autour de ma queue qui résiste un instant encore avant de lui donner une rasade de sperme qui m'étonne moi-même. Elle finit de se masturber, se relève en laissant un filet de semence sortir d'elle : elle le récupère sur un doigt pour le mettre dans sa bouche. Ce n'est plus une femme, c'est un sac à foutre.
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Histoire de baiserjouir

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