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J'aime les voyeurs

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Lue : 28162 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 11/02/2011

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J’aime les voyeurs : sur un des fantasmes de Paradise Kiss
Nous sommes le 14 juillet, avec le pont j’ai trois jours de libre sans trop savoir qu’en faire. Il fait une chaleur accablante, ce n’est pas rare en Bretagne, mon Pays adoré. J’ai envie d’aller à la piscine pour me rafraîchir, pour déverser dans l’eau fraîche mon trop plein d’énergie, pour combler l’immense vide de mes journées en ce moment.

C’est une piscine charmante à ciel ouvert située dans un lieu enchanteur en dehors de la ville. Autour du grand bassin, de grands espaces sablonneux où l’on peut se faire dorer, des terrasses où l’on peut consommer des boissons rafraîchissantes, des cabines individuelles enfin pour s’équiper tranquillement pour le bain. Le paradis quoi quand il fait si chaud, enfin presque car je suis seule, il me manque tous mes copains qui sont en vacances.

Des copains et copines j’en ai beaucoup car en plus de mon dynamisme et de ma joie de vivre je suis d’après eux une belle fille et je les crois quand je me regarde en pied devant un grand miroir. Je suis assez grande, 1m71, mince car je suis sportive, j’ai les yeux bleus, mes cheveux ont des reflets mordorés, j’ai une poitrine ferme dans mon 95C, mes seins sont en forme de poires et ils se redressent, arrogants, agressif, les tétons raidis par le désir quand je suis excitée. Je suis bien cambrée, des fesses bien rondes en raccord parfait avec mes cuisses, mes jambes longues et mon ventre plat.
Il faut dire que je suis d’un commerce agréable quand nous nous réunissons, agréable et pas très farouche et quand je suis en forme je ne suis pas la dernière à céder aux avances d’un homme s’il est beau et s’il me plaît. Il faut alors qu’il me mérite et qu’il cède à mes fantasmes.

Mes fantasmes parlons en ils sont nombreux et variés car je suis une cérébrale et avant d’avoir mon corps il faut contenter mon esprit un brin pervers par moment, je l’avoue. Par exemple j’adore devant l’élu d’un soir lui faire un strip-tease sans fin ; je virevolte autour de lui en m’effeuillant doucement. Je le frôle en me refusant à lui, à ses mains, à ses caresses. J’exige qu’il enlève ses vêtements, qu’il se mette nu lui aussi. J’ai du plaisir de voir l’effet que je lui fais très visible quand il a enlevé le dernier rempart à sa virilité. Alors lorsqu’il n’en peut plus et selon mon humeur il doit me faire l’amour avec tendresse ou au contraire avec violence car à certains moments assez rares je l’avoue je deviens une tigresse assoiffée de sexe……

Mais mon fantasme suprême c’est celui de faire l’amour, de jouir dans la promiscuité entourée de voyeurs, de témoins ou de complices. J’aimerais que l’on m’entraîne dans une boîte échangisme et je m’imagine dans la pénombre à la vue de tous subissant les assauts d’inconnus bien membrés. Cette envie hante mes moments de solitude et je n’ose faire ce pas qui transformerait mon fantasme en une aventure bien réelle.

Je pense à tout cela bien installée à l’ombre d’un parasol tout en sirotant un verre bien frais à la terrasse de la piscine. J’attends que le soleil soit moins ardent pour aller me plonger dans le bassin. J’ai ma tenue d’été, robe légère bien décolleté ne cachant presque rien de mes seins, escarpins, pas de bas, une légère brise retrousse ma robe et caresse mes cuisses nues. Que c’est bon ! Que je suis bien !

J’observe les consommateurs nombreux, attablés comme moi et je remarque un homme charmant qui comme moi à l’air de s’ennuyer ferme. Il est jeune, peut être un peu plus âgé que moi, il est magnifique dans son costume d’été. Il est brun aux yeux bleus, mon rêve. Il est grand sans excès. Je l’observe à la dérobée, mine de rien et souvent nos regards se croisent, s’évitent avant de se rencontrer à nouveau. Cela devient presqu’un jeu. Quand il regarde ailleurs je le détaille, cherchant un défaut que je ne trouve pas, coquine je l’envisage en me demandant quelle sorte d’amant il serait. Il doit faire de même et maintenant nous nous regardons en souriant.

« Puis je vous tenir compagnie ?..... je me prénomme Pierre et je m’ennuie ferme…… »

Je suis surprise car il s’est avancé vers moi sans que je m’en rende compte, Je dois avoir l’air bête car je bredouille :
« Je veux bien mais dans quelques instant je vais aller me baigner…..moi c’est Gaïdic…. »
« Seriez-vous Bretonne petite marguerite ? »

Sa connaissance des prénoms breton me mis à l’aise et après qu’il se fut assis à mes côtés la conversation s’engagea, amicale, sans contrainte. Il était ingénieur en déplacement dans la région, il était Provençal. Nous étions presqu’à nous toucher, il sentait bon….l’homme….il me faisait envie…Je remarquais que son regard plongeais souvent dans mon décolleté où sur mes cuisses quand la brise soulevait ma robe d’été.

D’un coup mon fantasme suprême surgit dans ma tête balayant tout le reste……et si c’était lui ?........c’était lui quoi ?.......celui qui…..non c’est impossible …….brusquement je me levais
« Je vais devoir vous laisser je vais me baigner……. »
« J’irais bien aussi si je pouvais il fait si chaud….. »
« Qui vous en empêche…. »
« Une bricole.. me dit il en riant….je n’ai pas de maillot….. »
Alors je crus me trouver mal……oserais-je ?....mes jambes tremblaient sous moi….je m’entendis lui dire
« Si vous voulez, je peux vous en prêter un…..dans notre cabine j’ai ceux de mes frères…..cela devrait vous aller….. »

Mon filet était lancé ……était ce lui !......était ce lui ?.....lui qui me baiserait dans ma cabine séparée des autres par des parois de carton pâte….lui qui me ferait jouir……gémir….crier peut être s’il sait s’y prendre…..lui….Pierre qui réaliserait mon fantasme en le sortant enfin de ma tête….
« Je n’ose dire oui…. »
« Mince….. » pensais-je
« Et pourtant c’est oui……bonne idée…..merci »
Sur ce il se leva……qu’il était grand….qu’il était beau ; je sentis sa main serrée sur la chair mole de ma taille…… « Je vous suis chère amie…. »

A partir de cet instant, j’avoue ne me souvenir de rien…..comment ai-je fait pour monter les marches qui mènent aux cabines….comment ai-je trouvé la mienne…..et les clés quel calvaire…..Je ne repris vraiment conscience qu’une fois la porte de la cabine fermée derrière nous et que me retournant je me retrouvais serrée contre lui, dans ses bras, sa bouche sur mes lèvres.

Je n’avais esquissé aucun geste qui aurait pu le décourager et qui aurait brisé mon rêve devenant réalité, au contraire j’épousais son corps au plus près. Pierre n’avait pas l’air surpris, une main pour me serrer contre lui, l’autre pour me caresser, sa langue pour m’embrasser. Dans ce lieu exigu et sombre qu’est ma cabine la situation était surréaliste mais conforme à mon fantasme. Tout se déroulait comme dans mes rêves les plus fous. D’un coup je me sentis humide entre les cuisses.

« Tu me plais ma Gaïdic…..depuis l’instant où je t’ai vue…….tu es belle…..je te désire…… »
Et comme je ne disais rien, entre chaque compliment ses caresses devenaient plus hardies pour mon plus grand plaisir. Il ouvrit ma robe dévoilant ma poitrine, fis glisser mon sous tif pour libérer mes seins dressés

« Qu’ils sont beaux me dit il dans un souffle…… » et se penchant sur moi je sentis sa bouche grande ouverte sur eux en aspirant, les léchant à tour de rôle sa langue remontant par-dessous pour remonter jusqu’à leurs pointes raidies serrées et les téter entre ses lèvres.

Pour montrer ma complicité j’avais glissé ma main sur son pantalon, entre ses cuisses et je constatais l’effet que je lui faisais, il était bien membré et il me tardait de découvrir son sexe que je sentais pulser sous le tissu léger de son pantalon.

Alors son audace n’eut plus de bornes, tout en continuant de me sucer de me peloter les seins je sentis sa main remonter doucement sous ma robe entre mes cuisses nues, un frôlement divin sur la chair mole de l’entre cuisses et quand il me prit la chatte à pleine main sur la soie de mon slip en palpant mes grosses lèvres lubrifiées je ne pus retenir un cri en me serrant sur elle, mon corps raidi, pétrifié par le plaisir.

Ses deux mains étaient sur moi maintenant sous ma robe remontée à la taille, passant sous ma culotte elles pétrissaient mes fesses, les écartant pour prendre ma chatte à revers, je n’en pouvais plus, des envies de pénétration bouleversaient ma tête, d’un geste je dégrafais la ceinture de son pantalon qui tomba à ses pieds et qu’il se débarrassât d’un coup de pied, son slip suivi le même chemin. Alors je me plaquais sur son ventre de toute mes forces , mes mains le ceinturant agrippées à ses fesses dures et serrées; sans le voir je sentais son sexe nu, énorme et dur, dressé aller et venir en glissant sur ma culotte, entre mes lèvres.

Alors cela arriva enfin, je sentis descendre mon slip dont je me débarrassais et ainsi sans aucun rempart c’est sa queue nue qui s’enlisa entre mes cuisses ouvertes. Je sentais son gland dans ma raie offerte, entre mes lèvres inondées, pressant mon clitoris, se centrer sur ma vulve avant d’aller plus loin entre mes fesses plus loin que l’anus qu’il titillait au passage.
Nous étions complices pour cette masturbation verticale, je m’ouvrais quand il s’enfonçait entre mes cuisses et me serrais sur lui au retour, je sentais que cela lui plaisait car son souffle devenait court, il gémissait discrètement ; Par moment la cadence s’accélérait et ses râles devenaient des petits cris, je l’accompagnais à l’unisson au rythme des pénétrations. Dans mes instants de lucidité je pensais que j’avais beaucoup de chance d’être tombé sur ce Pierre expérimenté pour réaliser mon fantasme, il me tardait qu’il me baise me demandant comment il allait s’y prendre.

C’est alors que je sentis une présence discrète dans les deux cabines voisines, mon fantasme dans toute sa grandeur : avoir des personnes autour de moi quand je jouis. Alors ma réserve, mon barrage s’effondra et je me laissais entraîner dans la furie du flot enfin libre de mes envies rentrées. Sans baiser le ton pour être bien entendue je criais presque :

« Pierre baise moi maintenant, prends moi, fais moi tienne……. »
« Sans précaution ma chérie ? »
« Oui, oui, ouiiiiiii ! Ne crains rien …..oui ……Baisse toi un peu…..Prends ton sexe…..centre bien ton gland sur moi……je m’ouvre…….oui comme çà…..remonte mais doucement…..Ahhhhhh ouiiiiii…..tu es gros…..c’est bon….doucement….doucement……Je te sens bien… tu me remplis…..Elle est douce….enfonce toi encore…..elle est bien longue….tu es au fond de moi…..je te laisse faire mon Pierre……tu me limes bien la chatte…..Ahhhhhhh …..c’est bon ……continue…….doucement…..plus vite….tu me prends les fesses …….écarte les…..c’est ton doigt que je sens dans mon cul……ouiiiii…. C’est bon…..caresse mes seins ……embrasse les…..léche les……Plus vite ta bite……Embrasse moi…..serre moi dans tes bras……je vais jouir…..Je jouis …….Pierre ! mon amour…mon fantasme …..ahhhhhhhhh ouiiiiiiii c’est boooonnnn…..rejoins moi……gicle…..Attends soulève moi….Mes cuisses autours de toi…….empale moi sur ton pieu….C’est moi qui bouge…..fais moi jouir encore…… »

« Je suis bien ma chérie, tu es belle quand tu jouis…..je te remonte…..je te laisse tomber sur moi….serre ta chatte sur moi ……ouiiiiii…..Je vais jouir ……je jouis……Ahhhhhhhh ouiiiiiiiii…. »

A cet instant c’est comme une traînée de feu qui inonda mon sexe, des jets de foutre giclant sur mon utérus entr’ouvert sur le gland qui le forçait. Je perdis alors toute notion du temps et de l’espace, avant de replonger dans le plaisir j’eus la satisfaction de voir le visage tourmenté de Pierre en pleine jouissance lui aussi, tout son corps agité pour mieux me pénétrer. Combien de fois m’a-t-il fait jouir sans se dégager ? Je n’ai pas compté mais quand nous nous désaccouplèrent nous restèrent prostrés dans les bras l’un de l’autre mon visage au creux de ses épaules.

Dans les cabines voisines pas de bruit mais des frôlements sur les parois révélaient une présence ; on nous entendait je le savais et c’est cela qui m’excitait. Depuis longtemps j’avais remarqué sur les murs en sapin des cloisons des nœuds que l’on pouvait enlever discrètement pour lorgner les voisins, cela m’était déjà arrivé de mater, sans grand intérêt je l’avoue, les fesses nues, parfois un sexe poilu des voisins ; mais savoir que l’on me regardait baiser et jouir voilà mon fantasme depuis toujours et aujourd’hui grâce à ce Pierre je le réalisais et ce n’étais pas encore fini.

Je m’écartais de Pierre pour le voir sous un jour nouveau, malgré sa tenue il était magnifique, lui aussi me dévorait des yeux. Nous commencèrent alors une espèce de streep poker assez jouissif en enlevant un vêtement à tour de rôle. Je fus nue avant lui et quand j’enlevais sa chemise et qu’il fut nu à son tour je pus admirer sa plastique et un frisson parcouru tout mon corps.

Je m’avançais contre lui et délicatement je lui pris son sexe dans ma menotte. Jamais je crois je n’en avait vu de si beau, gros, long, lisse, la peau avait reprit sa place sur le gland. En rien de temps il reprit sa vigueur et je fus fascinée quand le gland émergea de nouveau de son manteau de l’enfance comme le dit si bien Cabrel. Mais quand avec l’autre main je lui pris les testicules en les soupesant en les remontant Pierre se mit à gémir langoureusement, il avançait son ventre quémandant mes caresses et quand avec mes doigts je lui fis un anneau il baissa ma main en agitant ses fesses. Alors sûre de mon pouvoir je m’agenouillais devant lui et pris son sexe dans ma bouche entre mes lèvres charnues.

J’aime faire ce geste, cette caresse, je sais l’effet que cela procure à mes amants, mais avec Pierre, par reconnaissance sans doute, je m’appliquais plus que de coutume. Bientôt il ne fut qu’un jouet pour moi, ma chose ; je plantais mon regard dans le sien tout chaviré, j’écoutais les phrases sans forme qui sortaient de sa bouche et sans arrêt je pensais aux voyeurs qui nous entouraient. Je les imaginais se tripotant le sexe ou la chatte. Je voulais lui faire crier sa jouissance, ma langue astiquait son prépuce par-dessous avant que ouvrant grande ma bouche j’absorbe une bonne partie de sa hampe. Pierre me pris ma tête pour guider mes va et viens de plus en plus rapides de plus en plus profond et quand le voyant au point de non retour j’aspirais sa verge en creusant mes joues c’est un cri de fauve en rut qui emplit la cabine et ma bouche fut inondée de sa semence. Tout ce que je ne pus avaler avec délice souilla mon visage et mes seins.

Alors Pierre se déchaîna pour ne pas rester en dette avec moi, il m’enlaça me prenant par les fesses, me souleva et se tournant il me déposa sur le dos sur un transat capitonné stocké replié au fond de la cabine. Il s’agenouilla entre mes cuisses écartelées, relevées en appui sur ses épaules. Je sentis son souffle entre mes cuisses, puis sa bouche, sa langue, ses doigts, son nez même enfin s’occuper de ma chatte et de mon petit cul. J’aime les cunis bien faits, je fus servi, Pierre ne devait pas être à son coup d’essai car jamais ce genre de caresse ne m’avait autant fait jouir, au point d’hurler mon plaisir avec en contrechamps mon désir de jouir en compagnie.

Même son petit doigt glissé dans mon petit cul serré me bouleversa moi qui depuis une expérience malheureuse, n’est pas friande de cette effraction. Et bien là conjuguée avec sa langue sur mon clito et trois doigts dans ma chatte ce fut la cerise sur le gâteau enfin je croyais car le plus jouissif restait à venir quand Pierre se relevant souleva mon bassin à hauteur de son pieu dressé, énorme, décalotté et d’un coup me sabra la chatte bien préparée , d’un coup, bien à fond et lima ma vulve comme un malade. Je voyais son visage appliqué, sérieux, guettant le moment où il allait me faire jouir. A ce régime là ce ne fut pas long à venir et quand je me tordis sous lui, en plein orgasme, un sourire d’ange illumina son visage.

« Tourne-toi…. » me dit il alors un peu rudement
Je me mis en position de levrette en équilibre instable sur le transat mais maintenu solidement à la taille creusée, les fesses offertes, ma chatte fut pour mon plus grand plaisir pénétrée par la douce verge de Pierre, douce mais raide , grosse et dure et longue aussi, très longue. Jamais aucune verge n’avait été si loin en moi. Alors le pistonnage commença, ample, violent, rapide, sans fin ; le claquement de son ventre sur mes fesses marquait le tempo, ses couilles aussi qui giflaient mon cul. Je crois avoir jouis trois ou quatre fois avec ce sexe infatigable qui fouaillait ma vulve. J’hurlais je priais pierre de me rejoindre et mon plaisir fut immense quand je sentis sa semence de nouveau gicler au fond de moi.

Nous restèrent ainsi emmanchés, sans force, épanouis et heureux. Nous nous relevèrent nus, serrés l’un contre l’autre, nos bouches se joignirent tendrement.
« Pierre veux tu venir chez moi,…… »
« et le bain ? » dit il en souriant
« Au diable le bain mon chéri…. »

Nous nous habillèrent sans hâte et quand nous quittèrent la cabine, après avoir fait quelques mètres je sentis grincer les portes des cabines voisines…On nous observait bien…..j’avais réalisé mon fantasme avec mon Pierre……Pour les exciter une dernière fois je tordais des fesses en marchant au bras de Pierre…..Pouvaient ils se douter que je n’avais pas renfilé ma culotte.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : J'aime les voyeurs

Le 24/02/2011 - 20:50 par untensoipeu
Belle histoire coquine :)))
Le 14/02/2011 - 01:01 par Paradise Kiss
Je suis très heureuse que tu ai mis notre histoire en ligne, Pierre...

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