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Jade 1976

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/11/2024

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Il fait très chaud en cette année 1976 qui est restée dans la mémoire de beaucoup de gens de ma génération.
Je m’appelle Michel, j’ai 17 ans, blond aux bleus, très sportif, je fais en moyenne 17 heures de sport par semaine et la Bretagne étant une terre de vélo je m’y adonne naturellement beaucoup malgré mon gabarit pas très adapté. 1.76m pour 75 kg et des épaules de déménageur, vous avez mon portrait.
D’une timidité quasi maladive je ne connais de la sexualité que le plaisir solitaire et cet été 76 sera pour moi l’occasion de gouter au corps à corps avec ces inconnues que sont pour moi les femmes.
Au mois d’août ma cousine Jacqueline (tout le monde l’appelle Jade, elle m’avait expliqué pourquoi mais je ne m’en souviens plus) et sa meilleure amie qui habitent à Lens ont réservé 2 chambres à l’hôtel du port de l’ile-Tudy pendant une semaine. La meilleure amie allait devenir ma belle-sœur l’été suivant et les complices avaient bien pris soin de prendre 2 chambres séparées. Mon frères en vacances faisait Quimper l’ile-Tudy tous les jours et rentrait souvent très tard. Le jeudi matin il m’annonce que Jade nous invite au restau de l’hôtel du port le samedi et que je suis invité à passer l’après midi à la plage avec eux. J’accepte avec enthousiasme, ma cousine est mon plus grand fantasme. Il faut dire que la demoiselle a des arguments , petite brune aux cheveux courts de 24 ans , des yeux noisettes , une magnifique petite poitrine ,des jambes et des fesses musclées par 15 ans de gymnastique dont 10 au plus haut niveau, ma cousine est une vrai bombe , le paradoxe ,c’est qu’elle n’est pas particulièrement belle mais elle a un sourire dévastateur , une élégance féline et des yeux rieurs qui brillent d’intelligence . Elle a également une autre qualité que j’apprécie particulièrement, son humour.
Le samedi nous nous retrouvons donc tous les 4 sur la magnifique plage de l’ile Tudy où Jade et moi passons notre temps à nous baigner, faire du badminton ou du volley pendant que les tourtereaux sont au bord de l’outrage public tellement ils sont chauds.
Alors que nous jouons au volley et que j’apprends à mes dépends la différence qu’il y a entre le haut niveau sportif et mes 17 heures par semaine elle m’apprend qu’elle arrête la gym. Elle me regarde et, les larmes aux yeux, me dit.
- Tu es le premier à qui je le dis.
Là, devant sa détresse, oubliant ma timidité, je la prends dans mes bras et la sers très fort en l’embrassant sur le front. Son corps musclé tressaille, elle lève la tête vers moi et me fixe avec un regard vague.
- C’est dur tu sais, c’est une page de ma vie qui se tourne et y’a pas grand monde qui comprendra le vide que ça va me faire.
Elle est toujours dans mes bras et je l’embrasse à nouveau sur le front pendant que d’un geste tendre je lui caresse les cheveux. Elle tressaille à nouveau et je me rends soudain compte qu’une petite érection est en train de naître. Je m’écarte donc avant de me retrouver dans une situation gênante et je la vois qui me regarde, les yeux brillants et le sourire aux lèvres en me lançant un.
- Je t’ai vuuuu.
J’ai dû rougir encore plus que les coups de soleil qui ont déjà fait beaucoup de dégâts sur ma peau de blond. Et là, connaissant son humour je lui balance.
- Ben quoi, pour moi aussi c’est dur.
Elle explose de rire.
- T’es vraiment un idiot.
Elle me prend par la main et on se met à courir.
- Aller viens te baigner, c’est de l’eau froide qu’il te faut là, les deux autres, ils feraient bien d’y aller aussi d’ailleurs me dit-elle en me montrant mon frère et sa copine.
- Quand ils plongeront y’aura de la vapeur dis-je.
On part d’un fou rire en plongeant la tête la première dans l’eau qui s’est réchauffée avec la marée montante.
L’après-midi se passe, nous avons fait un footing de 6kms le long de la plage en se chahutant en permanence, c’est vraiment une chouette nana, dommage qu’elle habite si loin.
19h30 ,on lève le camp , les amoureux sont cuits à point et nous ,nous sommes fatigués de cette fatigue saine qui est celle des sportifs qui ont bien donné , on est bien ,on se sent forts et bien dans nos têtes. Nous traversons le bourg par les petites ruelles pour arriver au port, « money money money » d’ABBA passe sur le jukebox du bar en face du petit cinéma qui affiche « Emmanuelle » .Je me tourne vers Jade, lui montre l’affiche du cinéma.
- Tu crois que si mémé (notre grand-mère) va voir le film avec sa coiffe de quimper elle ressortira avec une coiffe de pont l’abbé ? (Google est votre ami si vous ne comprenez pas la blague).
Jade pouffe de rire.
- Qu’est-ce qu’il est con, c’est ta meilleure de la journée celle-là.
La table réservée par Jade fait face au port tout comme sa chambre dont la fenêtre donne sur la jetée. Le traditionnel plateau de fruits de mer est avalé arrosé de muscadet bien frais .Le plat de résistance suit, poisson pour les filles, tournedos pour les gars, les verres se remplissent et se vident très rapidement et ça commence à parler fort, moi je fais l’impasse sur le vin rouge, n’ayant pas l’habitude de l’alcool j’ai peur d’être malade mais je sens quand même que je suis chaud. Le dessert avalé je vois tout à coup Jade qui se lève et se dirige vers le bar, elle revient quelques instants plus tard avec quatre petits verres.
- Vous connaissez le Père Magloire ? goûtez, vous allez voir, c’est du 20 ans d’âge et ils le vendent comme du calva bas de gamme, elle part d’un fou rire.
J’avais oublié qu’elle était amatrice d’alcool fort.
- Amatrice, mais avec modération et uniquement du bon me dit-elle avec un petit clin d’œil qui aurait fait fondre l’iceberg du Titanic.
On savoure, la petite est connaisseuse, c’est un nectar.
Il est presque 23 heures quand nous sortons de table et presque aussitôt 2 équipes de 2 se forment, Jade me prend par la main, nos doigts s’entrecroisent, quelle sensation étrange, elle me dirige vers un banc sur le port, on s’assoit, on est bien dans la chaleur estivale de cet été inoubliable. Elle est un peu éméchée mais très lucide. Elle me dit son regret de partir demain, qu’on aurait dû se voir plus tous les deux. Je me tourne vers elle et elle voit mes larmes, elle met sa tête sur mon épaule et elle aussi sanglote. Je m’imprègne de son doux parfum qui domine l’odeur d’iode du port. Je passe mon bras sur son épaule et on reste là sans rien dire pendant ce qui me semble être une éternité. La fraicheur du port commence à se faire sentir, elle me reprend la main.
- Viens je commence à avoir froid.
Elle se lève promptement et fait voler sa robe d’été qui découvre ses cuisses bronzées.
- On sera aussi bien dans la chambre à les attendre, si c’est comme mercredi, t’es pas encore rentré, c’est moi qui te le dis, on va peut-être avoir droit au baroud d’honneur de la journée.
Nouveau clin d’œil, le Titanic est sauvé.
Elle me précède dans l’escalier en bois qui mène à l’étage, l’escalier craque à chaque marche. J’ai à nouveau les cuisses magnifiques devant les yeux et des pensées lubriques émergent peu à peu .Nous entrons dans la chambre qu’elle ferme à clé. La fenêtre qui donne sur le port est ouverte mais il fait une douce chaleur dans la pièce. Une petite salle de bain, un lit double, une armoire à 3 portes dont celle du milieu avec un miroir qui est entrouverte, une petite table et deux chaises, voilà l’endroit où nous allons devoir attendre le retour des tourtereaux dont la chambre est séparée par une simple cloison.
- Je vais prendre une douche, si tu veux y’a l’équipe sur la chaise me dit Jade.
Je me saisis du journal qui est ouvert sur les exploits de Nadia Comaneci au JO de Montréal .Elle passe la tête par la porte de la salle de bain qu’elle n’a pas fermée et me dit.
- Tu peux t’allonger sur le lit, tu seras mieux.
J’enlève mes chaussures et mon teeshirt et je m’allonge en cherchant l’article sur la victoire tant attendue de Guy Drut au 110m haies des JO.
Je n’ai pas beaucoup de souvenir de cet article car au-dessus de mon journal je ne tarde pas repérer le miroir de la salle de bain qui me renvois l’image de ma cousine sous la douche, mon regard ne peut s’en détourner, je l’ai vu en maillot tout l’après-midi mais c’est un corps entièrement dénudé qui s’offre à mes yeux. Ses seins magnifiques me font pensé à ceux de Brigitte Lahaie .Son ventre plat laisse apparaitre la légère sculpture de ses abdos et sur son bas ventre une petite toison rasée très courte sans doute adaptée au port des tenues de gymnastique très ajustées. Nos regards se croisent et son regard me dit.
- J’ai fait exprès de ne pas fermer la porte.
Je le soutiens donc effrontément.
- Elle se rince le corps, je me rince l’œil.
Cette pensée me fait sourire.
A mon grand désespoir le miroir s’embue quand elle ouvre la porte de la douche me masquant cette image qui restera gravée à jamais dans ma mémoire.
Jade réapparait quelques secondes plus tard enveloppée dans une serviette de plage. Le journal de sport effectue un petit voyage jusqu’à mon entre jambes où Nadia Comaneci et Guy Drut vont contribuer à masquer l’érection monstrueuse qui a envahie mon slip. Même si je suis doté d’un sexe d’une longueur normale de 15 ou 16 cms, le diamètre, lui, ne l’est pas et ils ne seront pas trop de 2 pour cacher tout ça. Elle s’est installée sur le ventre, les bras repliés sur les coudes, le menton dans les mains en forme de réceptacle, elle me regarde, je suis gêné, je bafouille :
- Tu sais, cet après-midi sur la plage quand je t’ai pris dans mes bras et que …
Elle me stoppe.
- Et que tu bandais ?, tu n’as pas à te justifier, c’est plutôt naturel et flatteur pour moi, non ? , et puis tu sais, moi aussi j’ai été troublée par ton attitude tellement mature pour me consoler et par la douceur avec laquelle tu l’as fait.
Tout en parlant sa main est venue caresser mon torse et titiller mes tétons ce qui a pour effet de rendre mon slip encore plus étroit. Elle se redresse un peu et vient me lécher le téton gauche ,je perds le contrôle ,elle passe au téton droit , je vais exploser .Là , elle vient vers ma bouche et me lèche les lèvres , j’ouvre la bouche ,sa langue s’y engouffre avec beaucoup de salive ce qui rend le baisé encore plus sensuel , elle me bouffe la bouche , me suce la langue , ce qui était de la douceur devient de plus en plus violent et elle alterne bientôt en redescendant sur ma poitrine . Le journal a terminé par terre, les deux héros des JO ont échoué à masquer la bosse qui déforme mon pantalon de toile blanc. Jade s’est calmée, elle est collée à moi et me caresse le ventre et les pectoraux avec une douceur qui me fait frissonner. L’escalier de bois craque, serait-ce nos 2 amoureux qui rentrent ? non, ils vont à l’étage au-dessus.
- Ça doit être le couple d’Italiens, je les ai vu au p’tit dèj ce matin, ils sont canons tous les 2, j’aurais voulu être une petite souris dans leur chambre la nuit dernière quand ils baisaient me dit ma voisine de lit avec un petit rire.
La douche du dessus qui coule, 10 mns de silence et.
- C’est parti me dit Jade.
Effectivement, les premiers craquements de lit, les premiers gémissements de l’Italienne et me revoilà en train de bander comme un taureau.
- On dirait que ça te fait de l’effet mon cochon ?
J’y crois pas, ma cousine vient de défaire le bouton de mon pantalon et me caresse la bite au travers de mon slip, me masse la bite, me branle la bite. Je gémis, elle me lèche la poitrine. Elle s’arrête, descend et fait glisser mon pantalon et mon slip, à genoux à mes côté elle me branle tout en me suçant les tétons, elle s’arrête pour cracher un filet de salive sur mon érection et reprend sa masturbation. Le lit de la chambre du dessus semble prêt à céder et la belle Italienne cri son plaisir, c’est le moment que je choisis pour éjaculer entres les mains expertes de ma cousine.
- Oh putain c’est booooon.
Le premier jet vient atterrir sur mon téton gauche. Je me tends comme un arc et expulse le reste sur mon ventre en longues pulsations qui m’arrachent un plaisir que je n’ai jamais connu.
Jade me regarde un sourire ponctué d’un.
- Eh ben ! admiratif.
Elle se penche sur mon téton, lape la goutte de sperme et me gratifie d’un baisé d’une douceur dont je me rappelle encore.
Elle se lève, voilà c’est fini, ma première expérience sexuelle est terminée, elle va dans la salle bain et me balance un rouleau de papier toilette pour m’essuyer .Elle est plantée devant moi à me regarder faire, elle me tend la main pour prendre le papier souillé et le mettre dans la cuvette des WC .En revenant vers moi, elle laisse volontairement tomber la serviette de plage qui ne l’avait pas quitté.
- Oups.
me dit-elle.
- Bon ben maintenant qu’elle est tombée…
elle s’allonge sur moi ,elle se vautre sur moi ,elle se frotte contre mon bas ventre et ma bite qui a aussitôt répondu présente est en train de glisser le long d’une fente qui ne demande visiblement qu’à être pénétrée .Sa main prend mon sexe et l’astique contre ses lèvres trempées et son clito gonflé ,elle souffle ,elle gémit , elle me dirige et s’empale d’un coup sur toute la longueur .
- Oh …la vache …comment c’est bon !
Elle s’est redressée et j’ai pris ses seins à pleines mains en lui caressant les mamelons qui ont eux aussi durci ,je relève mon buste pour les sucer mais elle m’intercepte et me gratifie d’une bataille de langues qui raidit encore un peu plus ma bite, voyant cela elle continue et commence à balancer son bassin d’avant en arrière tout en salivant , en me léchant les lèvres et me suçant la langue . A cette cadence, je ne vais pas tenir longtemps mais elle est tellement excitée que d’un seul coup elle se contracte et pousse un long râle , sa bouche a quitté la mienne et elle est en train de jouir avec la tête en arrière et la bouche grande ouverte , je sens des contractions provenant de son ventre, ça dure un long moment puis elle s’affale sur moi et m’embrasse avec amour en me regardant bien dans les yeux .
On reste dans cette position quelques minutes, elle reprend son souffle, je suis toujours en elle et toujours aussi dur. Elle finit par me regarder à nouveau dans les yeux, elle extrait mon sexe humide du sien, se recule un peu et me prend dans sa bouche en me branlant vigoureusement avec l’intention manifeste de me faire jouir à mon tour dans sa bouche. Dans l’état dans lequel je suis, l’affaire est vite pliée et pour la seconde fois de la soirée je m’arcboute en éjaculant dans sa bouche, elle laisse mon liquide couler le long de ma verge et vient m’embrasser à pleine bouche .La sensation est extraordinaire, le gout de mon sexe et du sperme font que je ne débande même pas tellement c’est excitant. Elle avait gardé sa main autour de ma verge et elle y jette un regard étonné.
- T’es insatiable toi me dit-elle en se lovant contre moi, putain quel pied je me suis pris.
- Et moi donc, pour une première fois ça ne pouvait pas être mieux lui répondis-je.
Je crois que nous avons somnolé quelque temps après que je l’ai pris dans mes bras, sa tête sur mon épaule. Puis nous avons entendu des pas dans l’escalier, le porte d’à côté qui s’ouvre.
- Ça va être le moment de se quitter me dit-elle avec regret.
- A moins qu’ils nous refassent le coup de mercredi.
Je la vois sourire dans la demi-pénombre.
Quelques minutes plus tard nous avons la confirmation que la plage ne devait pas être aussi confortable qu’un lit même qu’un lit qui couine comme celui des italiens du dessus . Des gémissements et des petits cris nous parviennent rapidement au travers de la cloison.
- On est en sursis me chuchote ma cousine.
En sursis, oui mais ces bruits ont pour conséquences de raviver nos désirs et cette fois je suis à l’initiative en commençant à la caresser et lui sucer les mamelons tout durs lui donnant la chair de poule puis en descendant ,je glisse un doigt dans sa fente déjà bien humide , je descends entre ses cuisses qui s’écartent naturellement pour passer ma langue sur sa chatte et son petit trou.
- Ouiii, comme ça …oh c’est bon comme ça, continue.
Devant autant d’encouragements, j’introduis un doigt entre les lèvres et je commence à la masturber en continuant de titiller son clito avec ma langue, son bassin commence à suivre le mouvement, j’enlève mon doigt, je le mouille de salive et je teste l’autre entrée que je caresse doucement, je force son sphincter et j’ai une autre adhésion.
- Oh ouiiii….comme ça, vas-y.
Je continue mes vas-et-vient dans son cul tout en lui léchant le clito, j’accélère, son bassin suit encore le mouvement et tout à coup des contractions emprisonnent mon doigt, elle jouit longuement, je bande comme pas possible, elle se met à quatre pattes en se cambrant avec les cuisses bien écartées, plonge la main sous son oreiller et en sort un magnifique gode réaliste rose en silicone souple.
- T’as vu, il est beau mon gode rose cochon.
- Rose cochonne tu veux dire.
Elle rit aux éclats.
- Il m’a bien servi la nuit dernière quand les Italiens baisaient …tourne un peu la porte de l’armoire que je me vois dans le miroir.
Là-dessus, toujours dans sa position suggestive, elle humecte l’objet et entreprend de se l’introduire rapidement dans le cul puis, dans un souffle elle me dit.
- Prends-moi dans la chatte et après mets la-moi dans le cul, j’adore ça.
Je me positionne.
- Viens je vais te la lubrifier.
Je change de position et elle me suce avec un maximum de salive.
- Vas-y là.
Je ne me fais pas prier et après qu’elle se soit également mouillé l’entrée, je la pénètre en levrette. Je nous vois dans le miroir, elle se masturbe pendant que je la besogne lentement, elle ne quitte pas notre reflet des yeux. Je continue mes vas-et-vient en la maintenant fermement par les hanches et bientôt elle accompagne mes mouvements. Plus ça va, plus elle se cambre et plus elle écarte les cuisses, la vue est imprenable et dans le miroir je vois une magnifique jeune femme au corps de déesse prise par derrière par un jeune mâle aux pectoraux et aux biceps saillants qui la maintien comme un prédateur maintien sa proie. N’importe quel réalisateur rêverait de nous filmer tellement la scène est sensuelle et sans vulgarité.
- Met la moi dans le cul maintenant me dit-elle…
- Adieu le manque de vulgarité pensais-je.
J’enlève le gode qui laisse un trou béant auquel je présente ma bite après l’avoir mouillée de salive, ils étaient fait pour s’entendre car une fois mon gland passé, je l’enfile avec facilité. Cette pénétration tout en douceur est accueillie par un.
- Oh putain de bordel, c’est booon.
A sa demande je commence à la sodomiser assez violemment. Elle continue de nous regarder dans le miroir, bouche ouverte, elle se branle frénétiquement si bien qu’au bout de quelques minutes je sens les mêmes contractions que sur mon doigt tout à l’heure et elle se met à trembler de partout en hurlant dans l’oreiller pour amortir ses cris de jouissance, dans le miroir je la vois les yeux fermés comme si elle souffrait, l’effet sur moi est immédiat ,mes mains quittent ses hanches et je me sers de ses épaules pour m’enfoncer encore plus en elle, à grands coups de reins, je décharge tout ce qu’il me reste en poussant des « han » de bucheron. Nous basculons tous les deux sur le côté, je suis encore en elle effectuant toujours des vas-et -vient, mes mains revenues sur ses hanches la maintiennent toujours contre moi et elle sent encore les spasmes de ma queue qui lui provoquent un nouvel orgasme moins violent et surtout moins bruyant.
Un nouveau
- Putain… quel pied tu m’as fait prendre.
Et elle m’embrasse à pleine bouche qui a encore le gout de ma bite ce qui m’excite à nouveau.
Je vois des étoiles et j’ai du mal à redescendre tellement c’était puissant.
J’ai quitté la chambre à 6 heure du mat avec une énorme boule au ventre , je viens de faire connaissance avec ce qu’on appelle l’amour dans ce qu’il a de plus beau, non pas l’amour physique mais ce sentiments d’être aimé, Daniel Balavoine dira plus tard « qu’aimer est plus fort que d’être aimé », malgré toute l’admiration que j’ai pour lui, je ne suis pas de son avis .
Les adieux ont été difficiles, elle est repartie à Lens, nous nous sommes écrit des lettres enflammées et puis un an plus tard, juste avant le mariage de mon frère et de sa copine au mois d’août dans le nord, elle m’a annoncé qu’elle avait fait la connaissance d’un militaire de son âge avec qui elle envisageait l’avenir. Elle rajoutait qu’on aurait tout le loisir d’en parler lors du mariage car il serait en mission à l’étranger et qu’elle serait donc seule. Malgré cette nouvelle qui m’a perturbé quelques jours, j’étais impatient de la retrouver, sans aucune arrière-pensée, j’avais tellement d’amour pour elle que son bonheur passait avant tout.
Nous n’avons pas eu la possibilité de nous parler beaucoup pendant la journée du mariage, ça n’est qu’au bal que nous nous sommes retrouvés sur la piste de danse, elle est vêtue d’une longue robe bleu nuit qui sublime son élégance naturelle, elle a les cheveux encore plus courts, ce que j’adore, je suis subjugué par sa beauté. Elle n’a d’yeux que pour moi et refuse systématiquement les nombreuses demandes lors du passage des slows. Nous parlons de nos avenirs respectifs, elle, la fin de ses études d’ingé , moi le service National .
Sa maman nous regarde danser avec un air attendri, Jade est la petite dernière de la famille. C’est ma tante préférée, son mari est décédé récemment et sa vie est difficile. Elle est très belle à 55ans et d’une dignité incroyable aidé en cela par ses 4 enfants qui sont très soudés autour d’elle. La sœur de Jade, Michèle est d’une beauté incroyable, j’ai rarement vu une femme aussi belle.
- Elle sait pour nous, je lui ai tout dit me dit jade.
J’ai un mouvement de recul, pris de panique.
- Ne t’inquiète pas, tu sais bien qu’elle t’adore et elle sait qu’on s’aime réellement et elle est plus ouverte que tu ne le penses.
- Je t’aime Jade.
- Je sais me dit-elle les larmes aux yeux.
Les danses s’enchainent et doucement nous en venons à l’intime.
- La coupe de cheveux c’est pour toi, c’est cadeau.
- Tu es magnifique.
Puis sans transition.
- il a une plus grosse que toi me chuchote-t-elle à l’oreille.
Je souris.
- Ton agrès préféré a toujours été la poutre lui dis-je espérant que son sens de l’humour était intacte.
Il l’était car elle pouffe, me traitant d’idiot, je sens son ventre plat pris des soubresauts de ses rires ce qui déclenche chez moi une réaction mécanique, je bande et elle le remarque.
- Non non non, me dit-elle doucement en souriant.
- Je suis désolé, tu connais la chanson de Brassens, « la bandaison papa, ça ne se commande pas »
Ce sont de nouvelles vibrations qui parviennent 80 cms plus bas et qui n’arrangent pas vraiment ma situation, il va falloir trouver une échappatoire. L’extinction des lumières nous permet de nous éclipser et je me retrouve dehors à fumer une cigarette, Jade m’ayant prévenu qu’elle montait dans sa chambre et qu’elle en avait pour un petit quart d’heure.
A son retour, je la trouve étrange, elle a les joues rosées et ses mains tremblent un peu. Bizarrement, une certaine gêne s’est installée entre nous, elle fume nerveusement en me regardant. Nous savons tous les deux que c’est la dernière fois que nous avons l’occasion de nous retrouver comme l’an passé . Elle écrase sa cigarette et m’entraine dans une sorte de cabane de jardin qui sert d’abris pour l’entretien de la piscine de l’hôtel où nous sommes, elle me fixe et vient se lover contre moi, je me délecte de son parfum sophistiqué.
- Je ne veux pas tromper Didier me dit-elle.
- Je ne veux pas que tu trompes Didier lui dis-je, je te fais confiance c’est certainement un mec bien qui ne mérite pas ça.
Elle sourit et parait soulagée.
- Je lui ai parlé de toi …sans tout lui dire.
- Et ?
- Il m’a dit que c’était à moi de choisir.
- Tu as fait le bon choix. Est-ce que tu considèrerais qu’un dernier baisé serait le tromper ?
La réponse fut immédiate, se collant à moi comme elle ne l’avait jamais fait, elle prend ma tête entre ses mains et commence un véritable marathon, nos lèvres ne se sont pas quittées pendant au moins un quart d’heure .Elle sait dans quel état je suis et me fait confiance, je n’ai aucun geste déplacé, mes mains juste placées sur ses hanches. Je sens sa main qui descend vers mon entre jambes et je la laisse faire.
- Est-ce que branler c’est tromper ? je ne vais pas te laisser dans cet état me dit-elle.
- Et toi ? ton plaisir il sera où ?
Petit rire de Jade.
- Tu crois que je suis allé compter le nombre d’invités tout à l’heure ? me répond-elle, je suis allé voir si mon petit jouet rose cochonne n’avait pas disparu du tiroir de ma table de chevet pour avoir une chance de ne pas craquer avec toi.
Je suis sidéré. En disant cela elle défait ma ceinture, glisse mon pantalon et mon slip à mi cuisses, fouille dans son petit sac à main et en ressort une culotte en dentelle blanche qu’elle garde dans sa main gauche.
Elle me la met sous le nez, je vois qu’elle est humide.
- T’as vu dans quel état tu m’as mise simplement en dansant ? me dit-elle en feignant le reproche.
Elle salive deux ou trois fois sur sa main droite et commence à me branler tout en m’embrassant avec passion, c’est tellement bon que j’essaye de tenir le plus longtemps possible, elle se salive à nouveau dans la main, m’en enduit à nouveau la queue puis elle prend la culotte et commence à m’astiquer avec.
- Y’en aura pas partout comme ça et t’auras un souvenir de moi.
Les paroles de trop, je grogne mon plaisir et j’éjacule dans la dentelle avec de violents allers-retours du bassin comme si je la baisais dans l’abri de jardin. Quand elle sent que je m’apaise enfin elle m’essuie le sexe, se penche et me prend dans sa bouche, sa langue s’emble s’amuser avec mon gland sensible, la sensation me clou sur place. Elle se relève et ma langue remplace ma bite dans sa bouche, le gout de sperme, d’urine et de tabac mélangés, loin de me dégouter est un véritable régal.
Nous finissons par reprendre nos esprits, je me rajuste du mieux que je peux, elle me tend sa culotte que je mets dans la poche de ma veste de costume.
Je la prends tendrement dans mes bras.
- Si tu savais comme je t’aime ma Jade.
- Moi aussi je t’aime, tu es mon âme sœur, Je sais que Didier ne pourra jamais me donner autant de plaisir que toi mais tu sais que nous deux c’est pas possible.
Ses yeux se sont embués.
- Je t’ai donné ce que je pouvais aujourd’hui, j’ai confiance en toi, si tu veux bien, viens dormir avec moi cette nuit, simplement dormir dans les bras l’un de l’autre, juste par amour. Ma chambre c’est la 208 dans l’autre aile de l’hôtel, il n’y a que des gens qu’on connait pas.
- C’est le plus beau cadeau que tu me feras, à tout de suite ma chérie. Je t’aime fort.
Cette nuit-là nous nous sommes retrouvés dans sa chambre, nous n’avons pas résisté au plaisir de nous masturber mutuellement avant de dormir enlacés. Contrat de non tromperie à moitié respecté. Le matin fut plus difficile et la même méthode fut employer d’un commun accord. Nous y prenons beaucoup de plaisir et un polochon a cette fois servi d’extincteur de cri de jouissance pour Jade. Je l’ai regardé prendre son pied, il n’y a rien de plus beau que de voir la femme qu’on aime jouir. Elle m’a regardé avec tant d’amour que je me suis remémoré cette phrase « Les yeux sont les fenêtres du cœur »
- Je t’aime Jade.
Nous nous sommes quittés heureux et sans frustration, je n’ai revu Jade qu’une fois après ce jour car elle est parti au canada, 48 ans plus tard nous nous écrivons toujours avec tendresse 1 ou 2 fois par an avec des moyens plus modernes qu’à l’époque.
Le vrai amour est éternel, je t’aime Jade.









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