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Je suis dépendante

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Lue : 30125 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/03/2010

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Je vous ai déjà parlé de ma rencontre avec mon amant. Il avait passé près d'une heure, sure une aire d'autoroute, à me prendre comme jamais je n'avais été prise avant. J'avais ce jour là fait connaissance avec des plaisirs dont je n'avais même pas l'idée qu'ils puissent exister. Nous nous sommes revus quelques fois, depuis, et nous avons décidé que j'aménagerais avec lui dans son luxueux appartement de la capitale européenne ou il travaillait: Bruxelles.

Il était diplomate au parlement, et plusieurs fois j'étais allée lui rendre visite à son bureau, où je m'étais glissée sous sa table pour le pomper longuement. Il est déjà arrivé que cela dure toute une avant midi. Moi j'avais continué mes études en secondaires, à dix-neuf ans, j'étais en cinquième année. Mes parents insistaient pour que j'obtienne mon certificat d'études secondaires supérieures.

Ce jour là, blasée du cours de maths, je me mis à penser à mon copain, et une folle envie de le sentir en moi me pris. Trente secondes après avoir commencé à lui, mes sous-vêtements étaient trempés, et je suais tant j'étais excitée. Je n'y tenais plus, je me levai de ma chaise et quittai en plein cours pour prendre le métro pour le rejoindre. La veille il m'avait parlé d'une promotion qu'il avait obtenue, et avait insisté pour se coucher tôt. Je comptais bien aller le récompenser aujourd'hui.

Comme pour toutes mes visites, je suis entrée dans le bâtiment et monté au quatrième étage, où je suis entré dans son bureau. Il était orné d'une magnifique plaque à son nom, il y avait un tapis plain, et un énorme bureau sous le quel j'aimais me placer, il y faisait sombre car il était très grand et qu'il faisait face à la fenêtre. Il était parti. Sûrement en réunion diplomatique. Je me cachai sous la table et me mis à patienter, excitée, humide. Je lui ferais aimer sa surprise.

Vingt minutes après, la porte s'ouvrit, et je vis ses jambes s'asseoir au bureau. Je reconnaissais son pantalon gris, et quand il approcha ses jambes, je les caressai. Il devait ne pas venir d'une réunion mais de la salle de sport, ses muscles étaient saillants. Il se laissa faire, je tirai sur ses jambes et le fauteuil à roulettes l'attira vers moi. J'entendais qu'il se remettait à travailler. Il faisait ça parfois quand il avait beaucoup de travail.

Il me bouchait entièrement ma seule entrée de lumière, et il faisait noir, j'étais encore plus excitée, de devoir parcourir son corps à tâtons pour lui ouvrir le pantalon. Il était plus excité que d'habitude. En général, il était encore au repos à ce moment là, mais aujourd'hui, je sentais une forte érection déjà bien présente quand je posai ma langue sur son gland. Je le léchais avec envie, mais je me forçais à me retenir de me mettre directement à le sucer. Je voulais avant tout lui faire plaisir, boire sa semence quand il aurait joui serait mon plaisir de l'avant midi.

Quand son manche fut complètement humide, je l'enfonçai dans ma bouche. d'habitude, je prenais mon temps avant de le prendre en gorge profonde, mais aujourd’hui, il avait doublé son salaire, je me devais de lui faire plaisir, et décidai que ma fellation se ferait entièrement comme ça.

Son gland entra donc bien vite en contact avec le fond de ma gorge, et je m'attendais à sentir d'une seconde à l'autre sa main sur ma tête pour ma baiser allègrement la bouche. Je suçais et pompais plus fort que jamais. J'entendis râler, et il se détendit complètement dans son fauteuil, il me laissait faire! Pour la première fois, il me laissait seule maître de son plaisir. Je jouissais intérieurement de la confiance qu'il mettait en moi, et me remis à l'ouvrage.

Je fus très surprise quand après seulement une petite minute, il éjacula. Et de grosses saccades en plus. Je pensais qu'il s'était vidé ce matin, mais là, il jouissait comme si on ne l'avait pas touché depuis trois mois. Heureuse, j'avalai le tout avant de le repousser légèrement pour lui montrer ma bouche vide, langue tirée et yeux fermés.

Le "merci mademoiselle" qui suivit me paralysa de honte: ce n'était pas sa voix! Je ne pu que répondre "mais... Ce n'est pas votre bureau..." "Non, suite à une promotion, j'ai reçu celui-ci, celui que vous cherchez est au sixième maintenant, mais merci quand même." L'homme me saisit par le bras avant de me jeter dehors.

Honteuse, je me rendis au sixième étage, via l'ascenseur. J'avais l'impression d'être regardée par tout le monde. Arrivée à destination je demandai le bureau de mon homme, et on me renseigna vite fait le bureau de sa secrétaire, qu'il fallait traverser pour arriver au sien. Je frappai avant d'entrer dans le bureau de la secrétaire. il était vide et la porte en face de moi était entrouverte. Je m'approchai pour jeter un oeil, avant de rougir.

MON mâle était debout devant une femme rousse à longs cheveux, elle-même à genoux, dos à moi. Il tenait fermement ses cheveux, et je reconnaissais le son caractéristique de la fellation brutale qu'il aimait. J'étais en colère et je m'apprêtais à rentrer comme une rufie dans le bureau quand je me rendis compte de deux choses: la première est qu'il lui tenait les cheveux et tirait dessus, alors qu'il me serrait délicatement la tête. La deuxième était que depuis les trente secondes que je regardais, il ne l'avait toujours pas laissée respirer alors que moi j'avais droit à une reprise d'air toutes les dix secondes.

En fait, il ne me trompait pas, il évacuait ses fantasmes bestiaux avec une autre. Il me respectait. Je me remis à mouiller gravement, me retournai et verrouillai la porte de son secrétariat. Je me mis à genoux devant la porte et me mis à me caresser. J'étais aussi excitée que la première fois que je l'ai vu.

Il la laissa enfin respirer, et le large filet de bave qui reliait sa bouche au chibre de mon homme témoigna de l'agressivité qu'il lui mettait. Il la reprit tout de suite, après avoir arraché son chemisier blanc et son soutien gorge. Je frôlai l'orgasme. trois minutes passèrent comme ça, avec seulement deux respirations pour la secrétaire.

Il la retourna ensuite et releva sa minijupe noire. J'entendais la femme le supplier de la prendre "baise moi, baise moi je suis une pute". Et là, à on soulagement, il enfila un préservatif avant de la reprendre. Elle hurla de plaisir dès le premier coup de rein, et continua durant toute la durée de l'acte. Elle transpirait, mais moins que moi, trois doigts enfoncés dans ma chatte humide, qui s'agitaient violemment, je me léchais les babines.

De son tiroir, mon homme sortit un pot de lubrifiant, et en aspergea l'anus de la secrétaire. après quelques caresses, il y enfonça trois doigts et continua ses va-et-vient. Il sortir rapidement de sa chatte malgré les supplications de la secrétaire "non non, pitié, arrête pas, baise moi, baise moi." mais elle cria à nouveau de plaisir quand la bite énorme de mon mec lui troua l'anus. Elle était à quatre pattes devant mon mâle, qui la prenait avec le sourire, et moi, je venais d'éjecter quelques gouttes de ma chatte tant je jouissais. Je réalisai à ce moment que je devrais le laisser me sodomiser si je voulais le garder pour moi. J'étais follement excitée à cette idée.

Je fus horrifiée quand le regard de l'autre femme croisa le mien, mais encore plus quand elle se lécha les lèvres en en regardant. Mon homme avait bon goût, elle était magnifique, sexy et très belle. A chaque coup de rein, elle poussait un petit cri. Je vis une alliance à son doigt, elle devait elle aussi assouvir un fantasme. Je rentrai à quatre pattes dans le bureau. Mon mâle s'arrêta et me regarda, gêné. "Baise-moi encore, bâtard" hurla la secrétaire. "Baise-la", dis-je simplement, en m'accroupissant au dessus du noeud où se rencontraient l'anus de la secrétaire et la bite de mon homme. Je déposai un coup de langue à cet endroit, et fourrai deux doigts dans la chatte de la secrétaire qui tourna la tête pour me faire un clin d'oeil.

Je la doigtai comme je me serais doigtée, en n'oubliant pas de bien titiller le clito, et en ne cessant de lécher son anus, en même temps que le membre opulent qui me donnait du plaisir trois fois par jour. Deux minutes ainsi, et mon homme éjacula, dans l'anus profondément ouvert de sa nouvelle collègue.

Quand il me vit lécher ce même anus, pour y récupérer la moindre goutte de son sperme, il me demanda ce que je faisais.

"Je ne sais pas", lui dis-je...

"Je suis dépendante."
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Histoire de Laura Eden

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