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Je suis un romantique

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Lue : 6051 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/09/2011

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Je suis un romantique qui pratique les relations de domination soumission, parce que je ne peux pas bander autrement. Les relations dites « classiques » ne me font ni chaud ni froid. Ma sexualité s’est très vite révélée complexe... et riche ! Selon les critères sociaux en vigueur, je suis spécial. J’aime les émotions fortes, celles qui donnent le sentiment enivrant d’exister plus intensément. Mes premiers émois, à treize ans, je les dois à ma cousine germaine, de quatre ans ma cadette, que je prenais plaisir à terroriser avec des histoires de zombies et de morts vivants. Je guettais avec délice les prémices de son effroi : les frissons qui parcouraient sa peau blanche et potelée de petite fille, la dilatation de ses narines, l’accélération de sa respiration, le soulèvement de son torse qui trahissait la cadence palpitante de son cœur d’enfant. La première fois que je l’ai vue dans cet état, ma queue s’est mise à gonfler sans que je ne puisse rien y faire !

À cette époque, j’étais timide, boutonneux, et comme beaucoup, mal dans ma peau d’adolescent curieux des choses de la vie. Mal dégrossi, j’étais mal à l’aise et maladroit avec les filles. Leur contact me privait de toute la "fanfaronnerie" dont je faisais preuve auprès de mes proches et de mes copains de classe. Avec eux, j’étais un caïd, avec les filles, j’étais un looser.

À cinquante deux ans, je suis toujours un impulsif, un peu rustre, un peu brutal parfois, dans mes gestes et dans mes paroles, encore un gamin qui aime jouer à la poupée, mais qui grandit dans la jouissance d’une femme. J’aime me sentir tout puissant face à une femme qui se donne toute entière, sans retenue, sans tabou. J’aime dominer ma conquête, la soumettre à ma volonté, à mes désirs, lui offrir tant de plaisirs et tant de délicieuses souffrances, qu’elle ne peut qu’abdiquer, renoncer à toute volonté propre, lui faire perdre la tête, les sens, la déstabiliser, la désorienter, la manipuler. Instiller la crainte dans son esprit me procure des émotions jubilatoires, quasi sadiques.

Je recherche surtout des femmes novices dans leur rôle de soumises. Celles que j’apprécie le plus, sont celles que j’appelle les « inavouées », les « pucelles de la soumission ». Celles là me font bander, plus qu’une qui sait déjà tout et qui ne fait que se prêter au jeu, qui ne fait que jouer un rôle, qui ne s’y abandonne pas vraiment. Celle que je recherche, c’est une femme, une vraie. Une qui ne sait pas encore qu’elle va hurler mon nom, que je vais la marquer de façon indélébile, parce que, ce que je lui promets est à la hauteur de ses envies les plus sombres. Une qui ne se laissera pas faire, qui se frottera à mon autorité, me surprendra par ses rires, me trouera le ventre de ses sourires et des ses mots doux.
Celle là, je cois que je l’ai trouvée. Je l’ai draguée sur un site de rencontres « vanilles ». Sa photo, son regard, véritable appel à l’amour, au sexe, et son annonce ont déclenché dans mon bas ventre des sensations que je n’avais pas ressenties avec autant de force depuis des années.
« Femme, libre et libérée, la quarantaine, bien dans sa tête et dans son corps, cherche son alter ego... ».
Après plus d’un mois de discussions via Internet, ponctuées de conversations téléphoniques torrides, elle a enfin accepté une rencontre de cul.
Elle m’a écrit aussi, des lettres magnifiques. J’ai mangé et bu ses mots jusqu’en m’en lécher le bout des doigts, le gland humide de désir.
Elle m’émeut, me bouleverse par sa candeur et sa pureté. Je voudrais la salir pour la rendre encore plus pure, l’humilier pour mieux la vénérer, l’avilir pour mieux la grandir, l’enchaîner pour mieux la libérer. Je voudrais en faire une vraie chienne en chaleur qui rampera à mes pieds, se prosternera à mes genoux pour quémander sa ration de plaisir, de jouissances. Elle m’appartient déjà, je le sais, elle me l’a écrit :

"Dieu que c’était bon d’entendre votre voix, après ces heures de silence ! J’en avais presque les larmes aux yeux, de cette joie. Je pensais juste vous laisser un message sur votre boîte vocale, pour vous signaler mon incapacité à vous joindre par écrit, en espérant que vous consulteriez vos appels.
Quand, j’ai entendu « Allo », j’ai cru que j’étais tombée sur une ligne professionnelle.
J’ai essayé d’imaginer, en trois secondes, ce que j’allais expliquer à la personne à l’autre bout du fil. J’appelais qui ? Je l’ignorais ? Un prénom, un nom ? Rien. Une chimère. Et merde ! Alors, j’ai opté pour l’erreur de numéro.
Puis, une intonation de voix m’a fait espérer que c’était bien vous. Et là, instantanément, mon esprit a traduit l’information : c’était bien vous, vous aviez transféré vos appels. Alléluia ! Mon cœur a fait un bond énorme, mon ventre s’est soudain contracté, et perdue, j’étais à nouveau avec vous, proche de vous, contre vous, lovée dans votre cou.
Bien sûr, j’ai eu tous vos messages, nos échanges sur msn, mais il manquait votre voix...
J’ai entendu votre émotion, votre joie aussi, et je me suis sentie fondre. Tellement heureuse d’avoir retrouvé notre complicité, nos envies, vos exigences, mes réticences !
Je vous ai senti heureux, et j’ai été profondément fière et émue de vous avoir permis cela.

Depuis que je sais que nous allons nous retrouver bientôt, mon cœur bat la chamade, résonnant dans ma poitrine, comme s’il voulait jaillir pour vous rejoindre. Dieu que j’ai hâte de déposer entre vos mains divines et bienfaisantes, mon essence de femme-femelle ! Je vous offre mon corps, mes courbes, mes trous. Toute ma sève, toutes mes eaux. Je vous confie mon âme, mon intégrité, mon libre arbitre.
Dieu que cette relation me tente, pour le plaisir, la joie, la complicité, la tendresse qu’elle promet ! Qu’il est bon de penser que vous appartenir sera pour moi, un honneur, une fierté, une reconnaissance infinie.

Vous craignez que nos corps, nos voix, nos touchers ne s’accordent finalement pas.
Et moi, je sais que ce sera bien. Peut être très bien, ou extraordinairement bien, ce sera la cerise sur le gâteau. Mais ce sera déjà, bien, j’en suis sûre.
L’inquiétude que je sens pointer en vous, à l’approche de l’échéance, m’émeut à un point que vous ne pouvez imaginer... Elle reflète votre humanité, votre statut fondamental d’homme. Elle laisse présager les trésors de tendresse dont vous êtes capable, et j’aime ça. Je me sens guimauve, à l’intérieur. J’ai envie de vous prendre dans mes bras et vous dire ce que vous me direz toujours : tout ira bien.
J’entends vos appréhensions d’homme riche d’une vie d’expériences vraies, ou joies et douleurs ont laissé des traces, moins faciles à effacer que celles que vous laisserez sur mes fesses.
D’ailleurs, rien que d’y penser, ma chatte palpite, mon anus frémit, et une douce onde m’électrise de la tête aux pieds. Je me redresse sur mon tabouret, me cambre, et pointe les seins vers vous... Je les ai sortis de leur bonnet, pour les laisser librement s’étendre sous ma chemise. Comme ils sont plutôt lourds, ils tendent le tissu en menaçant de faire sauter les boutons ! J’ai dégrafé mon body, et mes lèvres lisses sont en contact direct avec le bois de l’assise. J’ouvre ma bouche, mouille mes lèvres, et la vague de chaleur tant désirée emplit ma chatte toute entière. En cet instant, je suis à vous, corps et âme.
Votre regard est posé sur ma nuque, comme une main invisible, un collier de chienne, une chaîne d’esclave.
J’aime votre présence permanente dans ma tête, là, à l’intérieur de moi. Vous avez envahi tout l’espace. Je ne mange plus, je ne dors plus beaucoup non plus. Tout ce qui n’est pas VOUS, m’indiffère. Je voudrais être là, à vos pieds, votre main posée sur ma tête. Juste ça.

Moi, j’ai rencontré votre âme. Je la trouve belle, elle me plaît. La viande, autour, comme vous dites, j’en ai rien à faire. Seule ma chatte jugera... Car BINGO ! Je suis une jouisseuse ! Je vous guiderai vers mon plaisir, comme vous me guiderez vers le vôtre. Et ce sera bon... Merci déjà, d’être ce que vous êtes, VOUS, Monsieur Hyde et Jekyll.

Quand je faisais de la randonnée en montagne, je regardais toujours le chemin parcouru.
Tout comme je regarde tous les moments que nous avons partagés, et j’en suis fière.
Ils m’ont rendue infiniment heureuse et comblée, comme jamais, je ne l’ai été auparavant.

Et vous, dites moi, que vous ont apporté nos échanges ? Vous ont-ils secoué comme ils l’ont fait pour moi, ou, aussi cool qu’un concombre, vous avez juste frémi ? J’ai besoin de savoir, au moins un peu, ne serait ce que pour être en mesure de répondre à vos attentes.
Oui, je me doute, le rôle de Maître ne vous permet pas de vous livrer à votre soumise.
Mais n’est ce pas, justement, le paroxysme d’une relation dominant/dominé épanouie, que le Maître puisse s’en remettre, enfin totalement, à son esclave ? Qu’il puisse enfin se reposer de son rôle d’homme, de guerrier, de conquérant, de chevalier, de superman.
Soyez en sûr, je suis votre geisha, garante de votre bien être, comme vous le serez du mien. Et votre terre promise, votre île mystérieuse, la fiancée du pirate...
Je pose mes lèvres dans la paume de votre main, mon museau d’animal aimant et reconnaissant.
J’attends vos caresses.
Je vous embrasse."

Elle ne connaît ni mon nom, ni mon visage. Elle est là, derrière la porte. Mais je ne veux pas qu’elle me voie. Je veux qu’elle se sente encore plus vulnérable, à la limite du risque d’être prise par un inconnu, un homme sans visage. Je lui ai ordonné de poser le masque noir que j’ai préparé, sur ses yeux, et de m’attendre, à genoux, face à la porte, les mains tendues, tenant le martinet et la chaîne sur le sol, devant elle.
J’entre, le cœur battant, l’esprit déjà en ébullition, de délicieux frissons au creux des reins. Elle est là, à genoux, les yeux bandés. Son body noir en dentelles, cache à peine ses formes généreuses. Dieu qu’elle me plait dans cette position.
Elle a suivi mes instructions à la lettre. Elle a posé devant elle la chaîne qu’elle portera tout à l’heure, tient dans ses mains offertes, le martinet que j’appliquerai avec joie sur ses fesses rebondies. Elle respire fort. Ses narines se contractent et se dilatent, en rythme avec sa poitrine qui se soulève par à coups. Elle a peur, je le sens, et sa crainte augmente mon désir de la sentir encore plus à ma merci.
Je ne dis pas un mot, lui retire le martinet des mains, et la laisse là, face à la porte.
Je passe à côté en prenant soin de la frôler juste ce qu’il faut pour la faire frissonner.

La tension est montée soudain, rendant l’air autour de nous presque électrique. Ça y est, nous y sommes, la partie commence. Elle l’ignore, mais mon taux d’adrénaline a fait un bond. La sentir là, humblement présentée, m’émeut, me trouble. Je sens toutes les résistances que je devrai combattre, une à une, pour l’amener le plus loin possible sur les chemins de la jouissance. Je sens aussi ses envies, ses appels muets de chair, de peau, de sucs. Je n’ai toujours pas prononcé un mot.

Je prends mon temps pour me déshabiller. Elle ne voit toujours rien. Elle esquisse un mouvement de tête pour écouter et tenter de comprendre ce que je lui prépare, mais elle se replace dans sa position initiale, sagement, patiente. J’ai envie de la toucher, de la pétrir, de la malmener, de la fouiller, mais pas encore, pas tout de suite. D’abord, faire monter d’un cran cette délicieuse crainte qui la fait mouiller, j’en suis sûr.

- À quatre pas ! énonçai-je d’un ton sec. C’est comme ça que tu m’accueilles ? Même pas à poil ?
Je la vois tressaillir. Sa respiration a marqué une pause. Elle s’empresse de prendre la position, toujours silencieuse. Je commence alors à défaire les agrafes de l'entrejambes de son body, puis le lui retire sans ménagement, comme si je la dépeçais de sa pitoyable armure. Elle se laisse faire, docile, en me facilitant les choses, juste ce qu’il faut pour me laisser croire qu’elle est n’est pas d’accord, et me faire comprendre qu’elle ne demande que ça. Hummm, comme son corps me parle bien !

- Écarte d’avantage tes genoux ! le ton toujours sec, sans rien lui montrer de mon émoi.
Sa chatte est luisante de cyprine, et se contracte convulsivement. J’ai envie d’y plonger mes doigts, de la fouiller, de prendre possession de son intimité, de son plaisir. Elle cambre imperceptiblement sa croupe vers ma présence derrière elle. Bientôt ma belle, bientôt...
J’effleure alors avec mes doigts les lèvres charnues de sa chatte lisse et douce, les lui écarte. Une goutte de son jus s’échappe et se dépose sur le bout de mon doigt. J’en veux plus, encore plus !
- C’est tout l’effet que ma venue provoque ? Je te croyais capable de mieux !
Je saisis alors la petite bouteille d’eau gazeuse posée sur la table de chevet, et en déverse la totalité sur ses lèvres ouvertes. Elle sursaute, surprise par la sensation de l’eau fraîche et frétillante sur ses muqueuses qu’elle contracte, puis relâche enfin, heureuse d’avoir reçu cette caresse plutôt qu’un coup du martinet sur sa croupe épanouie. Son dos se creuse d’un cran, sa tête penche en avant. Sa respiration emplit toute la chambre, son corps dégage une énergie sexuelle brute, me donne envie de me jeter sur elle, de la malmener, de la brutaliser, de la faire crier autant de plaisir que de douleur.
Je saisis alors son menton, l’obligeant à me faire face, scrutant son visage, sa bouche que j’ai envie de manger, ses lèvres qui vont engloutir ma queue tout à l’heure, imaginant ses yeux aveugles, plongeant mon regard dedans. Mais si je fais cela, je suis perdu. Déjà qu’elle fait battre mon cœur comme aucune autre n’a su le faire... Si elle m’attrape dans son regard, ce sera elle qui verra en moi, qui saura qui je suis, qui me dévoilera à moi-même, et c’est moi qui serai à sa merci.

Alors, j’attache autour de son cou un collier de chienne, la fait se redresser afin d’admirer le spectacle. Le collier sur son cou me fait l’effet d’une explosion dans le bas ventre, ma queue réagit dans un sursaut. Un doigt passé dans l’anneau du collier, je l’oblige à se pencher vers ma queue.
-Tire la langue... plus fort !
Elle obéit, me montre sa langue rose, l’étire. Je pose mon gland dessus, et le promène sur le velours pourpre, le tapote, caresse ses lèvres douces, l’enfonce légèrement dans la cavité humide et chaude de sa bouche. Son souffle me procure mille frissons le long de la verge, jusque dans les testicules.

J’accroche la chaîne au collier et la tire sans ménagement sur le lit, l’oblige à se coucher à mes côtés, contre moi. Je la tiens, je la serre, ne lui laissant aucune possibilité de mouvement. Surprise, elle se relâche, se laisser aller contre ma peau, le nez dans mon cou. Je saisis alors ses cheveux à pleine main et lui relève brusquement la tête, la gifle gentiment de mon autre main.
- Alors, c’est comme ça que tu dis bonjour à ton homme ?
Je la sens hésiter, se demander quelle sera la meilleure formule, celle qui déterminera son sort.
- Alors ? J’attends...
- Bonjour... Monsieur
Je la gifle encore plus gentiment.
- Non ! Mieux que ça !
Alors, dans un délicieux sourire, elle murmure « Bonjour... mon Amour »
- C’est mieux !
C’est même plus que mieux, cette nana me troue le ventre... Elle est prête, elle est à moi, le véritable jeu va pouvoir commencer...

Je lui mordille les lèvres, le menton, le cou, le lobe des oreilles. Elle relève la tête, m’offre sa nuque, ses épaules, se laisse faire, commence à ronronner. Ses lèvres cherchent ma peau, ma bouche. J’attrape ses poignets, les lie ensemble au dessus de sa tête. Sa poitrine se relève fièrement, ses pointes sont une douce tentation pour ma bouche. Je saisis un de ses tétons entre mes dents, le mords doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Elle se tord de plaisir, ouvre ses cuisses, les genoux pliés, les talons en appui sur le matelas, prête à soulever ses fesses. Je gobe ses mamelons, les aspire, les triture avec mes dents, tantôt fort, tantôt doucement. Elle tremble de la tête aux pieds.
Je deviens musicien, son corps est un beau violoncelle dont je vais tirer la plus belle des mélodies.
Je murmure alors à son oreille : « Qu’est ce qu’il t’arrive petite chienne ? Tu as un problème ? Tu veux que je remplisse ta jolie chatte ? »
- Oui... s’il vous plaît... répond elle entre deux soupirs.
J’écarte ses lèvres toutes humides, effleure son clitoris, ce qui lui fait pousser un petit cri.
- Oui qui ?
- Oui mon Amour, s’il vous plaît !
- J’aime mieux ça. Et bien, tu vas être servie ! Ecartes d’avantage tes cuisses !
Docile, frémissante, elle s’exécute, s’abandonne. Elle ignore ce que je vais lui faire, mais elle accepte, me fait cadeau de sa confiance, me donne le pouvoir de lui faire autant de mal que de bien...

Je saisis la petite bouteille d’eau gazeuse, et en place le fond, donc la partie la plus large, entre les lèvres de sa chatte. Elle sursaute au contact du verre froid, un frisson court soudain sur sa peau, faisant durcir encore la pointe de ses beaux seins, mais elle ne résiste pas à la poussée que j’exerce à l’entrée de sa caverne. Elle s’ouvre lentement, laissant tomber ses résistances une à une, se déleste de ses inhibitions, accueille les sensations nouvelles, surprenantes, déroutantes. Elle avale la bouteille millimètre par millimètre. Je commence alors, à effectuer de petits vas et viens, qui agrandissent le passage, distendent les parois de son vagin, la font mouiller et se contorsionner de plus belle. À chaque poussée, elle jute d’avantage. Son suc s’écoule lentement le long de son périnée, jusqu’à la raie de ses fesses. D’une main, lentement mais sûrement, j’enfonce la bouteille dans sa chatte, de l’autre, je caresse, tantôt son clitoris que je fais rouler sous mes doigts, tantôt son anus, qui se contracte de plaisir à chacune de mes caresses.
La bouteille est à présent au deux tiers enfoncée, sa chatte est largement dilatée, écartelée. Je me penche sur son clitoris tout tendu et le prends entre mes lèvres, le malaxe, l’étire. Elle a encore ouvert le passage, la bouteille ne laisse apparaître à présent que le goulot. Elle a englouti tout le reste.
J’active mes mouvements, les fais de plus en plus amples, faisant presque ressortir la bouteille lors des vas et viens, l’introduisant ensuite violemment, lui arrachant des cris de douleur autant que de plaisir. Les mouvements de son bassin s’amplifient, le bruit de sa mouille qui inonde ses fesses, mes mains, ma bouche, me fait bander de plus en plus. Elle crie maintenant, dans un râle qui ne cessera que lorsque l’ orgasme l’aura enfin libérée.
Je suis son Maître, elle m’appartient, je fais d’elle ce que je veux.

Les draps sont inondés de sa jouissance. Encore étourdie du plaisir qui l’a terrassée, je la place devant moi, à quatre pattes, ses belles fesses largement ouvertes. Puis je commence à triturer son œillet avec mes doigts enduits de gel. J’entre un doigt, puis deux, puis trois. A chaque doigt supplémentaire, elle se cambre d’avantage, se dilate. Je m’enfonce lentement dans la chaleur de son large postérieur, me laisse engloutir dans cette caverne chaude.
Me sentant en elle, elle contracte ses sphincters pour garder mes doigts prisonniers dans ses chairs. Des spasmes de plaisir lui arrachent de longues plaintes, portant mon désir de la posséder à son paroxysme. Je vais enfoncer lentement mon sexe dans cette caverne palpitante, l’empaler, la faire hurler, supplier. J’accroche fermement ses hanches. J’adore sentir ma queue dans ses trous, elle me donne le sentiment d’être enfin un homme, à ma place, heureux.
J’attrape le martinet, et commence à infliger sur ces fesses charnues des petits coups qui la font tressaillir. Peur et excitation mêlées. Douleur et plaisir. Le dur et le doux.

D’une main, j’agrippe une de ses hanches, de l’autre, j’accentue les coups de martinet à chacun de mes coups de butoir dans sa croupe. Elle vient à la rencontre de mon pubis pour me recevoir encore plus profondément en elle. Je frappe encore plus fort, sa peau claque contre la mienne, les lanières du martinet rougissent sont dos et ses fesses.
Elle lâche, je le sens. La douleur a transcendé son plaisir. Elle jouit, elle mugit. Mon plaisir monte, lentement, puissant, de mes couilles jusqu’au bout de ma queue. Je libère ma semence entre ses fesses.

Je me retire. Elle se laisse tomber sur les draps défaits, et je m’écroule à ses côtés. Je la prends dans mes bras, la serre, la cajole. Elle m’embrasse, avec dévotion, les doigts, les mains, les yeux. Je me sens bien. Je suis le roi du monde !
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Histoire de Tina34

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