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Jeux nocturnes avec mon épouse

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Lue : 2707 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/11/2021

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Je n’aurais jamais cru éprouver autant de tendresse, d’amour, de sensations diverses, avant de connaître Lisa. Je suis un homme comblé, et mon unique désir, est de la rendre heureuse. Un homme amoureux de sa croustillante épouse, de son corps diabolique et sensuel, de son plaisir affolant. Fou de plaisir lorsqu’elle m’offre des instants passionnels. J’éprouve toujours une énorme envie de la prendre dans mes bras, de la caresser, de lui faire l’amour, de la voir s’abandonner, offerte à des sensations inouïes.
Comme cela arrive parfois, nous sortons dîner dans un petit restaurant, ou Lisa a pu déguster quelques fruits de mer, tandis que nous savourons, le serveur et moi, l’agréable vision de son sourire, de sa silhouette dans une petite robe légère, qui met en valeur le galbe de ses hanches, et dévoile par instant, une superbe poitrine, libre de tout soutien.
Le vin aidant, c’est le rose aux joues, les yeux brillant, qu’elle attaque le dessert. Arrivé au café, je lui joue à pile ou face, l’endroit ou je pourrais lui offrir une coupe de champagne. C’est « Le Clair Obscur », que le destin choisit, un club branché de la ville.
Il semble y avoir du monde ce soir, en ce lieu voué aux plaisirs de la chair.
Tant pis, tant mieux...En attendant, le champagne est frais, l’ambiance assez torride, et la musique plutôt agréable.
Déjà, pas mal de regard se posent sur Lisa, se faisant brusquement plus curieux, lorsque elle monte sur un tabouret. Le coup classique, car sa robe se fait un plaisir de découvrir largement ses magnifiques jambes, et moi un plaisir égoïste à observer l’attention dont elle fait l’objet. D’ailleurs, si des regards se promènent sur ses cuisses, j’y pose moi même une main caressante, car j’adore la douceur de sa peau.
- Si nous descendions, proposais-je.
Proposition malhonnête, qu’elle accepte avec son habituel sourire. Nos verres à la main, nous nous dirigeons vers l’escalier, non sans qu’elle fasse se retourner sur elle, des yeux brillant qui suivent la houle de ses hanches.
Enfin le canapé, la table basse, la petite piste de danse, et ses indéboulonnables miroirs, posés un peu de partout. Lisa se blottit contre moi. Mes mains, mes lèvres s’égarent sur elle, sur ses jambes, ses cuisses à nouveau découverte, ses seins nus sous le léger tissu.
Des silhouettes s’approchent, s’installent sur les canapés voisin. Certains se sont arrangés pour la conserver dans leur champ de vision, dont un black, assis face à nous, qui la détaille, la déshabille des yeux, en souriant.
Lisa me prend la main, m’entraîne sur la piste. Les yeux dans les yeux, étroitement enlacés, nous nous offrons quelques instants, de pure tendresse. Mais très vite, nos corps s’éveillent. Mes mains glissent sur elle, retrouvent la souplesse de son corps. Petit à petit, je la sens s’abandonner.
Elle se retourne, et, dans son dos, admire son reflet par dessus son épaule.

Son reflet et celui de mes mains qui, de son ventre, remontent lentement pour s’arrêter sur l’échancrure de sa robe. Docile, deux petits boutons se laissent gentiment dégrafer, et le tissu glisse sur son épaule.
Sous mon regard émerveillé, et celui de plusieurs autres que j'aperçois dans le miroir, attentifs, tendus, deux globes de chair, ferme et tendre, aux pointes durcies s'échappent du léger vêtement pour se dresser fièrement et s'offrir aux caresses. Je sens ses reins onduler contre moi, je ne peux résister à la tentation de laisser une main s'égarer sous sa robe, contourner une hanche ronde, pour s'insinuer lentement entre ses jambes, sur une douce toison au creux de laquelle je retrouve un précieux trésor, un saphir de chair nacrée à laquelle j'offre mes plus douces caresses.
Elle ondule de plus en plus et, frémissante, s'abandonne au plaisir, offrant aux spectateurs toujours assis, le très excitant spectacle de son corps à demi dénudé. Je prolonge ma caresse en lui murmurant que je l'adore, que j'ai très envie d'elle, de son plaisir... En échange de quoi elle m'offre, dans un long tremblement, un délicieux orgasme qui envahit son corps, illumine son regard. Elle est vraiment merveilleuse et cette danse m'a enchanté. Elle se retourne à nouveau avec un très joli sourire, me tend ses lèvres douces et chaudes avant que nous ne retournions vers notre canapé.
Lisa trempe ses lèvres dans son verre, allume une cigarette avant de s'adosser langoureusement au fond du canapé. Sa robe encore dégrafée n'a pas retrouvé sa ligne initiale et l'on peut entrevoir par instant la courbe divine d'un sein, les jambes croisées, laissant à nos voisins profiter de ses cuisses galbées, largement découvertes
- Après ce qu'ils viennent d'apprécier, il est bien agréable de profiter de ces regards admiratifs sans aucune gêne, n'est-ce pas mon cœur ? Peut-être avec une certaine excitation, voire avec quelques envies ou fantasmes ?
- Pour ma part, j’avoue que je prolongerais volontiers, ces petits jeux, et le beau black n’est pas pour me déplaire.
Nos verres vides, je lui propose de monter chercher à boire. Elle accepte d’y aller, d’autant qu’elle doit faire un détour par les toilettes. Détour que je lui suggère de prolonger, et d’éventuellement, trouver un cavalier, qui l’inviterait à danser. Ce qui me donnerait l’occasion de l’admirer, une danse entière, dans les bras d’un inconnu, peut être entreprenant, et audacieux. Elle est si séduisante, que je pardonnerais volontiers son partenaire, s’il devait laisser ses mains s’égarer sous les reliefs de ma femme. Elle a aussi tout à fait le droit d’abandonner ce petit triangle de tissu, sue je trouve particulièrement superflu ce soir. Cela ouvre bien des horizons à mes doigts indiscret, à ma bouche très gourmande, voire à d’autres encore, inconnus, mais qu’elle désire parfois secrètement, inconsciemment et qui se feraient une joie d’honorer sa féminité, si désirable.
Lisa m’accorde baiser, s’éloigne la démarche chaloupée, vers les escaliers.
Elle set suivie de quelques mâles qui semblent avoir tous, quelque chose à faire, en direction du bar. Les minutes s’écoulent lentement, alors que, dans ma tête, mon imagination parcourt le couloir, derrière elle.
Que fait-elle ? Est-elle en train de discuter avec le grand black qui est parti juste après elle ? Sait-elle faite coincer par un inconnu, à qui elle a autorisé le droit de caresser son corps ? Peut-être même a-t-elle accepté un verre offert par un inconnu souriant et, assise au bar, sur un haut tabouret, le laisse tenter sa chance, glisser une main indiscrète sur ses cuisses nues, et remonter jusqu’à sa petite chatte, exciter son clitoris, au point de la faire jouir devant des clients acquis à sa cause ? Pensées brûlantes et multiples qui entretiennent en moi une excitation grandissante.
Soudain, elle est là à nouveau, près de moi, plus belle et désirable encore que l'instant d'avant ! Je l'aime follement !
Assise, elle attire ma main pour la poser sur ses jambes, m'inciter à remonter plus haut encore jusqu'à frôler son léger duvet brûlant. qu'aucun vêtement ne protège plus ni des regards ni des caresses. Elle est surprise par mon regard interrogateur, quand mes doigts rentre en contact avec sa fente. Elle m’avoue, en s’excusant, avoir eue un terrible orgasme, quand un mec la branlée au bar. Nous éclatons de rire tous deux, alors que je profite de l'occasion pour approfondir ma caresse en infiltrant sa chatte tandis que mon autre main retrouve le doux contact d'un sein gonflé de désir. Elle ne rit plus, les yeux mi-clos, sa respiration s'accélère. Insensiblement son corps se livre, s'abandonne, ses jambes s'ouvrent lentement et elle recommence à frémir doucement. Sa main se glisse sur moi, ses doigts se crispent sur mon désir. Cette fois, c'est pire que sur la piste de danse ! Je ne résiste pas à l'envie de l'attirer sur mes genoux, face à moi. Sa robe cède sous mes doigts, s'ouvre largement sur son ventre, ses jambes, ses seins sur lesquels je laisse courir mes lèvres, tandis qu'elle continue à me caresser, libérant discrètement mon sexe. Enfin elle se soulève légèrement avant de s'empaler profondément sur ma queue, ondulant des reins en gémissant.
Si les inconnus qui nous entourent ne nous voient que de dos, ils ne peuvent ignorer de ce qui se passe entre nous. D'ailleurs, sa robe glisse légèrement sur ses épaules lorsqu'elle se cambre en arrière, leur permettant de savourer le balancement sensuel de ses seins nus. Elle murmure que nous sommes fous, mais me laisse relever le tissu de sa robe sur ses reins pour caresser son dos, ses fesses rondes, tout en continuant à fouiller son ventre en feu. Cette soirée est vraiment dédiée à notre unique bonheur... Et nos verres nous paraissent bien frais après de si chauds instants. Bien courte pause que celle d'une cigarette, mais je meurs d'envie de la voir danser et elle accepte gentiment d'exaucer mon vœu. Lisa ondule seule sur la piste, souriante, me jetant de fréquents coups d'œil tout en observant les danseurs autour d'elle.
Il y a la grand black qui vient de se lever, pour danser près d’elle, et plusieurs clients virevoltent en la regardant, espérant peut-être ub geste, un sourire de sa part, qui les autoriserait à s’approcher.
Le grand black, lui, n'attend pas, et vient la frôler avant de l'enlacer sans hésiter. Elle le laisse faire en riant Nous échangeons encore un regard puis elle s'abandonne aux bras de son cavalier inconnu. Lisa danse vraiment très bien, j'ai même l'impression qu'elle s'applique pour mon propre plaisir, elle est ravissante, et... toujours désirable. Je ne suis d'ailleurs pas le seul à être de cet avis, son partenaire profite lui aussi avec un plaisir évident, d'une aussi charmante cavalière. Je ne comprends pas ce qu'il peut lui raconter, mais cela semble beaucoup l'amuser. La musique change, devient plus chaude, comme son cavalier qui l'attire contre lui. Un nouveau regard entre nous, comme si elle voulait quémander une permission que j'accorde d'un grand sourire... Elle danse maintenant très, très près, une grande main sombre plaquée contre ses reins tandis qu'une autre remonte de sa hanche vers sa poitrine pour se poser sur un sein que je devine déjà frémissant. Lisa ne s'oppose pas à la caresse, semblant même y prendre beaucoup de plaisir et j'en suis ravi. Pendant de longues minutes je contemple le corps alangui de ma femme que les grandes mains noires caressent lentement, glissant même jusque sous son unique vêtement pour flatter sa peau nue. Envoûtant spectacle, d'un érotisme brûlant dont je profite pleinement en souhaitant qu'elle aussi en éprouve des sensations particulières. Ce qui me semble être le cas, car je la vois maintenant onduler contre lui, son ventre contre le sien comme pour éveiller encore plus le désir de l'inconnu d'ébène... Elle laisse même l'une de ses mains se glisser entre leurs deux corps, coquine.
Que fait-elle ? Je parierais volontiers qu'elle prend toute la mesure de la virilité de son cavalier ! Horreur !!! La grande main noire posée sur ses reins vient de glisser au long de sa cuisse, jusqu'à l'ourlet de sa jupe et relève lentement le tissu léger, découvrant la dentelle de ses bas. La main disparaît de ma vue, mais reste persuadé qu'elle progresse lentement vers un endroit précis.
Lisa se crispe soudain et j'aperçois sa nouvelle cambrure, la poitrine rejetée en arrière, son ventre cette fois semble ouvert à une invisible caresse, elle ferme les yeux. Je suis sûr désormais que la main vient d'atteindre son but et que mon amour laisse faire son agresseur avec un évident plaisir... Il est en train de la branler d'un doigt habile, au milieu de la piste de danse et elle l'encourage d'une ondulation des reins, allant au-devant de la caresse qui soudain la fait vibrer ! C'est la soirée des orgasmes à répétition me semble-t-il.
Mais tout a une fin, la danse aussi et Lisa me rejoint, légèrement essoufflée, pour se laisser tomber dans le canapé, se blottir contre moi. Je lui avoue avoir beaucoup aimé cette danse ainsi que l'audace de son cavalier qui me semblait avoir très envie d'elle. D'un air amusé, elle me confirme qu'il avait effectivement une très... grosse envie, qu'elle n'a rien fait pour arranger, bien au contraire, reconnaissant même avoir pris beaucoup de plaisir à provoquer ces réactions sachant que je n'en serais pas jaloux.
C'est moi, cette fois, qui l'abandonne pour remonter chercher deux verres. À mon retour, je la retrouve en grande discussion avec le black qui s'est installé à côté d'elle.
Lisa reprend ma main pour la poser sur sa jambe et la conversation continue, presque innocente. La main noire est-elle innocente, elle aussi ? En attendant j'ai de la concurrence, car elle est repartie à la découverte d'une peau bien tentante et ce mélange de couleurs, de contacts, n'a pas l'air de déplaire à mon adorable démon.
Pire encore, elle nous laisse aller bien plus loin que la décence ne le permet, au point qu'à nouveau sa robe largement dégrafée dévoile ses seins ronds, le délicieux compas de ses cuisses fermes sur lesquelles glisse la main noire, atteignant très vite le triangle sombre qui s'ouvre comme une fleur au contact d'un doigt habile. C'est désormais tout son corps qui frémit sous nos caresses alors que ses mains se posent aussi sur nous dans une lente caresse, au travers du tissu qui a bien du mal à contenir nos envies. Je me penche sur elle pour l'embrasser et ce sont mes lèvres qui étouffent son cri lorsqu'elle jouit brutalement, longuement, le corps tendu comme un arc.
De longs instants, Lisa reste presque inerte, abandonnée avant de s'ébrouer comme un jeune chien, de ramener le tissu de sa robe sur son corps nu et de m'adresser un joli sourire. Je propose d'aller boire notre verre tranquillement dans un endroit plus intime, le temps d'une pause qu'elle mérite bien. La pièce couverte de miroirs ? La pause risque d'être de courte durée mais la suite me semble très... prometteuse. D'autant que nous sommes un peu obligés d'inviter son voisin de canapé, n'est-ce pas ?

- Accorde-moi quelques minutes, le temps de retrouver une tenue plus décente, et j'accepte volontiers ton invitation, me dit Lisa avant de m'embrasser.
Elle se lève pour s'éloigner vers l'escalier métallique qu'elle monte lentement, nous laissant encore un instant profiter de la vision très sensuelle de ses hanches souples, de ses jambes splendides. Du fond de mon canapé, je regarde les danseurs sur la piste, les allées et venues des silhouettes d'une salle à l'autre, imaginant par avance ce qui va bien pouvoir se passer sur le grand lit entouré de miroirs, dans la petite pièce du fond. Mon démon adoré va-t-il se livrer totalement à toutes nos envies, ne vivant ces instants torrides que pour notre plaisir commun ? Jusqu'où son audace, sa sensualité et ses désirs la pousseront-elle à aller, dans les jeux de l'amour ? Je sais qu'elle aime être admirée, désirée, faire l'amour... Après tout, nous verrons bien !
D'ailleurs elle est de retour, recoiffée, fraîche, attirante et délicieusement excitante sous son léger maquillage. De plus, elle rapporte deux verres tout frais.
- Hum...tu es véritablement à croquer, ma chérie, mais je t’es promis une pause...on y va.
Sans répondre, elle part devant moi, accentuant encore plus que nécessaire le balancement voluptueux de ses hanches. Je suis presque sûr que ce n'est pas moi qu'elle provoque ainsi, mais ces inconnus dont elle doit sentir les regards brûler ses reins, ses jambes…
Assis à ses pieds, je caresse ses jambes, profitant de cet instant de calme très agréable. Calme de courte durée. Une silhouette se dessine dans l'encadrement de la porte... s'immobilise un instant avant de repartir. Commence alors un incessant ballet de curieux, qui arrivent et repartent.
Étrangement c'est Lisa qui entame le jeu. Lentement, elle se redresse en souriant. À genoux au centre du grand lit, dans la lumière tamisée d'un petit spot, elle pose ses mains sur sa robe, longeant ses cuisses, ses flancs, remontant sur ses seins en une longue caresse au travers du tissu qui épouse sous ses doigts, les courbes affolantes de son corps sublime.
Bien que je connaisse par cœur la moindre parcelle de sa peau nue, je reste subjugué par ce spectacle qui ne laisse que deviner sa beauté. Elle est vraiment très excitante ! Je ne la quitte plus des yeux, suivant le jeu de ses mains qui continuent à glisser sur son corps. Son regard pétillant se plante dans le mien, puis s’accroche à son reflet dans les miroirs qui l’entourent, admiratif avant de se retourner, provoquant, vers trois ombres immobiles, près de la porte. Comme moi, les inconnus l’admirent en silence.L'atmosphère est tendue, chargée de sensualité, d'érotisme et de désirs de toutes sortes... Les seuls mouvements dans cette pièce sont ceux de ses mains qui entraînent avec elles quatre regards masculins tout au long de leur promenade sensuelle. Encore à genoux, assise sur ses chevilles, le corps légèrement cambré en arrière faisant saillir sa poitrine, elle poursuit son petit jeu. La tension monte d'un cran lorsque le tissu glisse sur ses jambes, découvrant très largement deux cuisses galbées et musclées tandis que ses doigts jouent avec les petits boutons qui ferment le haut de sa robe. Pas très résistants, ils cèdent lentement, laissant son décolleté s'évaser sur la peau soyeuse de deux seins ronds qui n'attendaient que cet instant pour s'offrir à la caresse de nos regards et de ses douces mains. Comment s'appelle ce petit jeu ?
Ce ne serait pas du « pousse au viol » par hasard ?
Car, vu l'état de ma virilité, j'imagine aisément à quel niveau en sont les spectateurs inconnus, toujours immobiles à côté de moi... Elle court des risques mon amour, surtout parce que, en cas d'assaut, je serais obligé de faire partie des... assaillants et je la violerai avant les autres !
Malgré mon avertissement, Lisa persiste ! Elle s'amuse à nous provoquer plus encore. Les mains caressant toujours ses seins, elle se cambre, le ventre en avant puis se laisse aller en arrière pour s'allonger sur le dos, les yeux vers le grand miroir servant de plafond qui lui renvoie non seulement son image, mais aussi celle de ses admirateurs, toujours très attentifs.
Ses jambes légèrement fléchies s'ouvrent imperceptiblement, laissant deviner un charmant triangle, que ses doigts effleurent comme un bijou fragile. Abandonnée ainsi, le compas de ses jolies jambes ouvert sur une affolante toison brune, les seins saillants, le corps vibrant sous ses doigts, les yeux mi-clos, elle est véritablement démentielle...et je n'y tiens plus !
Penché sur elle, le laisse courir mes mains sur son corps impudique, offert. Je caresse ses seins, ses cuisses, et pose mes lèvres sur sa peau.
Je vais jusqu’à la limite de cette douce fourrure, dont j'adore flatter du bout de la langue, la perle rose de son clitoris, qu'elle m'accorde cette fois totalement, largement, impudiquement ouverte à ma caresse, livrée au plaisir, à ma bouche et aux regards des trois hommes qui ne perdent rien du spectacle de mon ange, de mon démon.
Je la dévore, la caresse, faufilant une main entre les globes charnus de ses fesses rondes, violant d'un doigt ses reins ondulants. Lisa halète maintenant, murmure des mots sans suite, gémissante, frémissante... Brusquement, elle sursaute, se raidit légèrement, attirant mon attention.
Ce qui n'était pas nécessaire, car j'avais déjà vu son cavalier de tout à l'heure s'approcher et s'asseoir à côté d'elle. Ses grandes mains noires courent sur ses seins dénudés, en agaçant les pointes durcies de désir.
D'une pression des mains sur ses jambes, je l'incite à se laisser aller, dévorant toujours son ventre brûlant. Elle s'abandonne à ces plaisirs inconnus et je peux voir maintenant un visage sombre penché sur sa poitrine, déguster ces fruits délicats. Elle murmure, gémissante.
- Encore, oui, c'est trop bon, encore... j'ai envie de jouir…
Petite phrase anodine qui nous encourage à aller plus loin encore. Une main noire vient remplacer ma bouche. Avant de me redresser pour poser les lèvres sur ses seins, je vois les longs doigts sombres investir son ventre pour prolonger son plaisir.
Spectacle sulfureux que je ne peux m'empêcher de savourer avant de plonger vers sa poitrine frémissante. Tout en la caressant d'une main, le grand black dégrafe son jean. Lisa avait raison, après la danse. Il s'agit bien d'une très grosse envie ! J'avoue que j'en serais presque jaloux, tant c'est impressionnant. D'ailleurs elle est en train de s'en apercevoir et, après m'avoir adressé un regard brillant, laisse aller une main vers le pieu fièrement dressé.
Elle referme les doigts autour de la colonne de chair noire, alors que la main de son partenaire fouille délicatement sa chatte et que j'aspire doucement la pointe d'un sein tiède.
Jaloux, je ne tarde pas à être dans la même tenue que mon complice et Lisa s'empare de mon sexe d'une main gourmande. Caressante, caressée, elle ondule devant nous, nous donne maintenant tout son corps, sa tête, son cœur, livrée entièrement aux plaisirs de l'amour, à nos caresses, nos regards, nos sourires. Enfin, elle étouffe un cri, le plaisir l'envahit dans une grande vague de jouissance.
Quelques secondes de calme nous permettent d'adoucir nos caresses, de nous libérer de ses mains, très douces mais trop affolantes. Doucement, son corps s'anime à nouveau. Son cavalier et moi sommes allongés à ses côtés. Elle nous adresse un joli sourire et quelques mots…
- Hum... c'était trop bon, vous êtes fous ! avant de poser à nouveau ses mains sur nous.
Ce n’était pas forcément nécessaire, vu nôtre état, mais c’est toujours très agréable.
Ses caresses sont tout de même trop hard, il n'est plus question de résister longtemps à nos propres envies. Les mains sur ses hanches, je l'incite à se tourner vers le grand black encore allongé, le ventre surmonté d'un manche de chair fièrement dressée, dont ses doigts longent la tige monstrueuse, découvrant un gland rond, luisant, énorme.
Lentement Lisa penche la tête en avant, frôlant le pieu frémissant de ses lèvres avant de lui offrir sa bouche brûlante en une caresse folle... Son beau visage déformé par le mandrin sombre est d'un érotisme à couper le souffle ! Elle aspire langoureusement ce gourdin offert, comme si elle voulait le vider de son plaisir. Une légère poussée de mes mains sur ses reins la décide à enjamber le corps musclé et à s'empaler lentement, profondément sur le sexe palpitant qui emplit doucement, totalement son ventre en folie, lui arrachant un gémissement rauque, lorsqu'elle le sent l'investir, distendre sa chair brûlante. Il l'emplit entièrement, butant au fond de ses chairs bouleversées. Elle entame alors une danse lascive, oscillant des reins, du ventre sur ce pieu énorme qui fouille son corps à chacun de ses mouvements. Brusquement, elle se met à crier.
- Oui... c'est bon, c'est trop bon, plus fort ! Viens toi aussi, mon amour !
Le grand black tient ses hanches et s'enfonce en elle à grands coups de reins. Je m'approche au-dessus de lui, mon sexe frôle les lèvres de Lisa. C'est elle qui me dévore alors que, dans son ventre va-et-vient la longue et grosse queue noire qui lui arrache de petits cris à chaque poussée en avant.
Je caresse ses cheveux, ses épaules nues tandis que le black pétrit doucement ses seins qui oscillent comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis. Je me baisse un peu, ce qui l'oblige à se pencher sur le torse de son partenaire. Mes mains atteignent les hanches rondes, la croupe cambrée au-dessus de son amant d'un instant. Doucement, je sens Lisa s'ouvrir sous mes doigts, son ventre investi, ses lèvres glissantes sur mon sexe, ses reins semblent réclamer l'ultime caresse.
Mais, mes mains abandonnent sa peau... remplacées par deux autres dont je ne connais pas le propriétaire. Il me semble faire cela aussi bien que moi, si j'en crois la nouvelle cambrure des reins de Lisa. Je l'avais prévenue, elle court des risques... mais je crois que c'est désormais un peu tard pour reculer devant le danger et échapper à l'homme qui vient de s'approcher dans son dos.
Le black fiché dans son ventre l'a repéré aussi et nous n'avons pas l'intention de la laisser se sauver. Il tient fermement mon amour empalé sur lui tandis que l'inconnu derrière elle libère un sexe qui n'a rien à nous envier, vu sa taille et son état. Il frôle ses reins, se penche en avant.
Ses mains caressent les fesses rondes, écartent les deux globes soyeux entre lesquels sa langue vient fureter, à la découverte de l'orifice le plus secret de mon épouse. Un long frisson parcourt le corps de Lisa lorsqu'il atteint son but, vrillant à petits coups de langue la rosette sensible. C'est un doigt habile et souple qui s'insinue en elle lui arrachant un petit cri.
La caresse se prolonge quelques secondes, accroissant les ondulations des reins de Lisa... Puis l'homme se redresse, Son membre raide et palpitant remplace sa langue, joue à glisser sur la chair humide. À ce contact, la peau de Lisa se couvre d'une chair de poule annonciatrice de plaisirs sublimes.
Sous mes yeux ravis, je vois le gland décalotté, luisant sous sa pellicule de caoutchouc, forcer lentement ses reins pour disparaître, s'enfoncer en elle, allant buter contre le pieu qui vrille toujours son ventre. Il s'immobilise un instant puis entame enfin un lent va-et-vient. Chaque poussée en avant, au creux de ses reins, la fait basculer un peu plus sur l'énorme sexe planté dans son ventre et sur mon sexe qui se laisse dévorer avec un infini plaisir. Livrée ainsi aux assauts de ses trois amants, Lisa gémit de plus en plus fort avant de jouir dans un long cri, le corps tétanisé par le plaisir. C'est l'instant que nous choisissons pour jouir en elle !
Commence alors un ballet fou et délicieux où nous lui offrons tour à tour des positions, des sensations et des jouissances aussi diverses qu’excitantes. Je ne décrirai pas les plaisirs multiples auxquels elle a pu goûter tout au long de cette soirée... On verra plus tard !
Sauf pour ces tendres instants que nous avons passés ensuite, seuls, enlacés et heureux. Repue, comblée, heureuse, elle m'a alors offert un cadeau unique. Son véritable amour, souriant, délicat, tendre... et plus encore !
Plus le temps passe, plus je suis amoureux de ma femme, et plus j’ai envie de jouer avec cet adorable démon, qui se cache derrière son regard pétillant, son sourire coquin, à des jeux particulièrement chauds.
D’ailleurs, elle y prend aussi, un certain plaisir. Celui d’être heureux, libres de vivre nos envies les plus folles, les plus secrètes, les plus... sensuelles.
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Histoire de Aurore34

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