ACCUEIL > Exhibition > Récit : Juste en face

Juste en face

+32

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/08/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

JUSTE EN FACE

Je laissais le café finir de se faire, pour en boire une tasse avant de repartir. Il était treize heurs vingt. Je suis venu me caler à la fenêtre. Ca faisait deux mois que j'étais revenu chez moi définitivement, après des années d'itinérance. J'avais enseigné l'économie en acceptant d'être remplaçant. Ca m'avait permis de tourner sur pas mal de départements, de communautés de communes, de villes...Une expérience qui m'avait beaucoup plu. Mais tout a un temps. Je venais de prendre ma retraite. A 58 ans, j'avais suffisamment d'annuités, j'avais eu aussi l'intelligence de faire des placements. Je savais que je pourrais finir mon existence tranquillement. J'étais rentré chez moi, une maison qui appartenait à mes parents et que j'avais gardée, où j'avais prévu de me retirer.
Je n'étais pas oisif pour autant. Je m'étais engagé, comme j'en avais envie depuis longtemps dans des associations caritatives. Le matin, je faisais la ramasse de la Banque Alimentaire, le soir, j'étais bénévole aux Restos du Coeur, je leur faisais la comptabilité et je gérais l'administratif.
J'habitais dans un petit hameau bien tranquille, où chacun restait chez lui. L'indiscrétion, ce n'était pas trop notre truc, et c'était tant mieux.
Le spectacle que j'avais sous les yeux a capturé mon attention et j'aurais été bien incapable de regarder ailleurs.
Ma voisine, Danyelle, avec un Y, elle y tenait, était installée sur le siège conducteur de sa voiture. Elle avait les deux jambes posées sur le sol cimenté de son garage. Son attention posée sur ses jambes, elle a fait glisser doucement, une jambe puis l'autre, les mains sur son collant, pour lisser et remonter celui-ci le long de ses jambes. Elle avait des jambes fines, mais très bien dessinées, et comme elle avait une jupe courte, et qui était remontée quand elle s'était assise, son absence de culotte était évidente. Même d'où je me trouvais, je pouvais voir nettement le dessin de son sexe, une fente dont dépassait un bout de lèvre, et une absence de poils. Elle avait exactement le même âge que moi, mais, malgré le passage du temps, Danyelle était toujours une femme désirable. Et ma verge dressée dans mon caleçon ne disait pas le contraire.
Danyelle. Je ne l'avais pas vue depuis des mois, et en tout cas pas depuis mon arrivée. Ca faisait trente-cinq ans qu'elle était en face de chez moi. Avec son mari, ils avaient acheté cette maison, inhabitée, et ils en avaient fait une belle demeure. On avait eu l'occasion de discuter, plusieurs fois, à l'époque. Elle était chaleureuse et souriante. Et surtout elle était très désirable. Une petite brune, avec des formes menues mais très marquées, quelque chose de très sensuel dans son allure, dans sa démarche, et une féminité affirmée. Elle m'avait aussitôt plu, mais elle était mariée, et ce n'était pas mon style de courir après une femme mariée.
A l'époque, j'avais repris mes études pour un an, et j'étais souvent là. Le Destin me tourmentait en me la mettant sous les yeux et en me confirmant bien que oui, elle était désirable. A l'été, quand elle était chez elle, elle se baladait systématiquement en maillot de bain. Difficile de ne pas frémir en la voyant étendre le linge ou lire un magazine sur un transat. Elle avait une plastique impeccable, et ses maillots le disaient clairement. Quand le froid était venu, elle avait opté pour des tenues près du corps, robes, tailleurs, jeans, qui la soulignaient. Une taille fine, des jambes qui ne l'étaient pas moins, des fesses très cambrées, une poitrine en dysharmonie avec le reste de son corps, et puis le choix de couper ses cheveux très courts.
Ce qui m'avait pourtant le plus troublé, au-delà, c'était qu'à l'époque, elle et son mari étaient très amoureux l'un de l'autre, comme on peut l'être quand on vient de marier, qu'on se connaît depuis peu, qu'on est jeune et que le désir est très fort. J'avais été témoin de moments qui m'avaient tordu le ventre, impudiques, mais d'une impudeur qui n'était absolument pas calculée. Ils étaient chez eux, et ne pensaient pas forcément que leur hangar ouvert, leur jardin, donnait sur la maison en face, tout comme une chambre à la fenêtre ouverte. Près de trente-cinq ans après, ces scènes étaient encore en moi, jamais effacées, toujours ravivées...J'y pensais souvent quand je me masturbais. Et même quand j'avais une copine, une compagne, il m'arrivait d'y penser aussi, comme si au final c'était ce que j'avais pu vivre, connaître, de plus excitant.
Il y avait eu sans doute, je ne savais pas si c'était le premier chronologiquement, ce moment où elle étendait le linge. Ils avaient mis un fil dans le hangar à l'étage, et elle y pendait régulièrement le linge pour qu'il sèche. A la base, c'était déjà troublant parce que la lingerie féminine m'émoustillait toujours. Je trouvais troublant de voir du tissu qui était en contact avec les parties intimes d'une femme, et le vide renvoyait forcément au plein. Et j'aimais voir ces collections de culottes, de soutien-gorge, de dessins et de couleurs divers. Il y avait aussi la sensualité de voir une femme étendre son linge, et encore plus quand elle est en maillot de bain.
Son mari est monté la voir alors qu'elle étendait, en fin d'après-midi. Je relisais des notes près de la fenêtre. Ces notes, je les ai délaissées pour un moment.
Il a fait sauter l'agrafe qui maintenait son soutien-gorge dans son dos, et il a attrapé le tissu. C'était une chose de voir ses seins enveloppés par le tissu, c'en était une autre que d e les voir nus. Ils étaient haut perchés, bien ronds, charnus, fermes...Avec une envie évidente, il est venu prendre ses tétons dans sa bouche...Elle faisait d'évidence partie de ces femmes sensibles par là. Elle s'est cambrée en arrière, fermant les yeux, et poussant un gémissement que j'ai entendu par la fenêtre entrouverte. Il y avait une ardeur chez son mari, une envie de lui bouffer les seins, sans aucun doute, mais aussi de lui donner du plaisir, et apparemment, il y réussissait très bien. Je n'ai pas manqué de remarquer que, pendant qu'il allait d'un sein à l'autre, son épouse avait glissé sa main dans le slip de son maillot de bain et qu'elle se masturbait, dans un geste déterminé, faisant tourner sa main sur son intimité. Un mouvement circulaire qui avait d'autant plus d'impact qu'il n'était pas visible, mais masqué par le tissu. Elle a tendu son autre main vers lui, et j'ai bien compris qu'elle allait chercher sa queue dans son pantalon pour le masser en même temps.
Il allait d'un sein à l'autre, et je voyais bien, même d'ici que ses tétons s'étaient durcis, plus épais, plus longs...Et qu'elle éprouvait du plaisir. Elle a fini par jouir, se tendant, se cambrant. Lui par contre, n'en était pas encore là. Ils se sont légèrement déplacés. Je me suis demandé si elle n'était pas consciente de ma présence, et qu'elle ne voulait pas me donner à voir sa masturbation. En tout cas, comme ils se sont positionnés, de trois-quarts j'ai pu nettement voir la belle queue de son mari, aussi longue qu'épaisse, et sa main qui allait et venait sur lui, une caresse qui tournait autour de lui, venait aussi sur son gland et sur ses couilles. Il s'est tendu et a joui, bouche ouverte, balançant des traits copieux de sperme dans les airs.
Et ça n'a pas été la seule fois, loin de là. J'en étais arrivé à me poser des questions, qui n'ont jamais vraiment eu de réponse. J'étais plus ou moins convaincu qu'elle m'avait aperçu et qu'elle voulait me troubler en mettant en scène des moments de sexe avec son mari. Me donner envie de quelque chose que je ne pourrais pas avoir...Mais je n'ai jamais eu aucune certitude à ce sujet. Dans les jours, les semaines, les mois qui avaient suivi, je l'ai souvent vue le masturber. Il ne disait pas non. Elle venait le chercher quoi qu'il fasse, scier du bois, peindre, arroser les plantes, elle sortait sa queue de son pantalon, et elle le caressait. Ce n'étaient jamais les mêmes caresses, parce qu'elle ne prenait jamais sa queue au même stade de l'érection, et elle ne faisait jamais pareil, parfois frôler une partie de sa verge de l'ongle, du doigt, parfois un mouvement de va-et-vient classique...Ca finissait en tout cas toujours de la même manière, des jaillissements de sperme, qui partaient en tous sens.
Ce qui m'avait énormément plu, une fois, je m'étais joui dessus, ca avait été la seule fois, ca avait été de la voir venir se caler devant lui, en short, sortir sa queue, et la masser en frottant son cul contre lui. Elle était repartie avec le short et le débardeur couverts de sperme.
Un dimanche matin, j'avais été témoin, tôt , d'un accouplement, quelque chose de vraiment intime. Leur chambre à coucher était en face de la fenêtre de ma chambre à coucher, mais un peu décalée, et le matin ils ouvraient pour aérer. Est-ce que j'envisageais de mater quand j'étais venu boire mon café devant la fenêtre...Me décaler un peu par rapport à la fenêtre, elle-même déjà décalée, me permettait de jouer es voyeurs. Je n'avais sans doute pas à être fier de ça, mais j'aimais la voir nue. Souvent, je la voyais quand elle passait une nuisette, l'enlevait, partait à la douche, en revenait, s'habillait ou se déshabillait. Ces moments me plaisaient. Ce jour-là, ça a été nettement plus hardcore.
Elle était toute nue, sans rien sur la peau. Voir quelqu'un paré d'un vêtement est excitant, mais la nudité est aussi plutôt troublante. Ce corps souple, féminin, m'attirait énormément.
Elle avait grimpé sur le lit, et elle s'était mise à quatre pattes. Je la voyais de profil. Parlant à quelqu'un que je ne distinguais pas, mais je pouvais aisément deviner de qui il s'agissait, elle avait dit:
--Viens, j'ai vraiment envie de sexe ce matin.
Lui avait un pantalon de pyjama et un T-shirt. Il était venu derrière elle. Il avait fait quelque chose qui m'avait vraiment troublé, prenant ses fesses à pleines mains, il était venu parcourir son sexe de sa langue, la faisant gémir.
--Viens sur mon amus aussi, tu sais que je suis hyper-sensible par là.
Le mouvement qu'il avait eu disait qu'il était effectivement remonté sur sa muqueuse anale.
Avant de se pencher sur elle il avait sorti sa queue de son pantalon, et je l'avais vue se remplir de sang, prendre de la forme, pour une belle érection. Queue qu'il a ajusté sur le sexe de son épouse, pour aller et venir en elle. A en juger par la réaction de la jeune femme, sa manière se se tendre, de se cambrer, de gémir, ça devait être bon d'être fouillée par cette queue. Elle se pincait les seins. D'où j'étais, je les voyais de profil, et je voyais la queue rentrer, sortir, puis re-rentrer dans sa vulve.
Quand il a senti qu'il allait jouir, le gars a arraché sa queue, dilatée d'avoir été en elle, et il a fait deux ou trois aller et retours de sa main sur sa queue pour faire jaillir son sperme sur la croupe ronde et ferme, que sa femme lui offrait.
Il y avait eu aussi cet autre moment, qui m'avait bien troublé, quand un soir, ils étaient dehors, en plein été, et alors qu'ils me semblaient vraiment visibles, en tout cas, moi, je la voyais, elle. Il lisait, installé sur un fauteuil de jardin. Elle était venue se poser au-dessus de lui, écartant son slip, venant le caler dans son aine, et elle avait guidé sa queue vers les lèvres de son sexe. Visant bien, elle avait fait rentrer le gland en elle, avant de se laisser tomber sur lui, et d'avaler totalement la queue, disparue en elle. Ca m'avait terriblement troublé de la voir bouger sur lui, faisant ressortir la queue puis l'avalant à nouveau en elle. Elle se masturbait en même temps, appuyant sur son gland clitoridien. Elle avait fini par sortir sa queue de lui, et l'avait collée contre son ventre. Deux secondes plus tard, il éjaculait, crachant jet de sperme sur jet de sperme, montant haut au point d'atterrir sur son visage.
Et puis j'avais pris la route. J'avais bien sûr la chance d'avoir des vacances, mais je ne la voyais qu'épisodiquement. Et passé cette première période, je ne les avais plus vus faire l'amour. J'admirais pourtant toujours autant sa féminité, aussi soignée que troublante.
Et le temps avait glissé. Elle était devenue autre. Et pourtant, à en juger par ce que je voyais, elle n'avait rien perdu de sa capacité à troubler un homme. Moi, en tout cas, elle me troublait.
Ce qui m'intriguait, depuis que j'étais arrivé, c'était que je n'avais pas aperçu son mari. Aux dernières vacances, je l'avais croisé. Et là...En plus sa voiture n'était pas là. Je redoutais le pire. Un coup d'oeil sur les avis de décès locaux m'avait laissé penser qu'il était encore vivant...
Le lendemain, sur le coup de midi, il s'est trouvé qu'on est rentrés au même moment. Je me suis garé, et j'ai traversé la rue pour aller la voir. Quand elle est descendue de voiture, j'ai eu une vision qui m'a troublé. Elle avait des cuissardes de velours noir, qui enveloppaient ses jambes, également parées de bas stay-up qui montaient quelques centimètres plus haut que les cuissardes, et je pouvais voir aussi un sous-vêtement du même rouge, tendu par son sexe. Etait-ce mon regard ou bien, même en ayant changé, gardait-elle le même sex appeal ?
Elle est descendue de voiture, et m'a fait un grand sourire. Elle avait une robe noire, toute simple qui soulignait nettement qu'elle avait encore un corps impeccable. Je me suis vu soulever la robe et venir sur elle de la bouche et des doigts.
--Je sais que tu t'es installé il y a peu, mais on n'a pas eu encore l'occasion de se parler. Tu vas bien?
--Ecoute, je démarre une nouvelle vie. Et je suis content d'être un peu chez moi. Et toi?
--Je fais de l'aide à domicile actuellement.
--Je ne veux pas être indiscret, mais...
Elle a compris tout de suite.
--Phillipe? Oh, rassure-toi, il va très bien. Je l'ai simplement foutu dehors. J'avais totalement confiance en lui. Tu sais ce qui s'est passé? Il y a trois mois, je suis descendue à la mairie un soir. Je voulais refaire ma carte d'identité...Tu te souviens que mon mari est maire adjoint?
--Je n'ai pas oublié.
--Je l'ai trouvé avec la secrétaire de mairie.
--Vu son rôle, ca ne me semble pas anormal.
--Tu vois qui c'est la secrétaire, Stéphanie?
--Oui, je me souviens d'elle.
--Elle a de très gros lolos. Plus gros que les miens en tout cas. Au moment où je suis arrivée à la mairie, elle avait enlevé son pull, et son soutien-gorge, et elle était seins nus. Et j'ai pu constater qu'effectivement, elle a deux gros seins, et qu'ils sont bien fermes encore. Elle les tenait par en dessous.
--Et ton mari?
--Il avait sa queue fichée entre ses seins, et il la faisait bouger dans un mouvement de va-et-vient.
--Ah oui, carrément, une cravate de notaire...
Je me suis senti un peu gêné, et en même temps l'incident m'amusait.
--Oui, une bonne cravate de notaire...Et je peux te dire qu'il y prenait du plaisir, et qu'elle ça la ravissait aussi.
--Et alors?
--Je suis arrivée au moment où il allait jouir. (Elle n'a pas pu s'empêcher de sourire. J'ai compris pourquoi quand elle a continué de développer son propos.) Tu vois la scène? J'arrive devant l'immense salle. C'est elle la première qui s'est rendue compte de ma présence. Elle avait la bouche ouverte, attendant certainement qu'il jouisse. Elle a redressé la tête, pour me regarder, avec un mélange de surprise et de panique. Et là, ça a été la catastrophe. Frank a commencé a jouir, et son sperme au lieu de finir dans sa bouche est parti sur son visage. Tu me diras que c'est pas si grave en soi, mais elle s'en est pris dans les yeux. Et le sperme, c'est acide...Elle s'est mise à glapir, portant ses mains à son visage.
--C'est pas possible, ça brûle...
--Va te mettre de l'eau sur les yeux.
Ce crétin s'est rendu compte à ce moment-là que j'étais là. Il est devenu blême.
--Ecoute, ce n'est pas ce que tu crois...
--Non effectivement, je dois me tromper. Je parrie que tu vas me dire que tu signais des papiers avec ta queue...Et là, plaf, l'accident bête...Le stylo qui fuit...Je pense que ce soir, ce ne sera pas la peine que tu reviennes à la maison. Ni demain.
Il est quand même revenu chercher des affaires. Il m'a laissé la maison et il a pris une bonne partie de l'argent sur le compte commun. On p asse devant le juge la semaine prochaine...Bon, je ne vais pas t'ennuyer avec tout ça...
--Ah je suis navré pour toi...
--C'est moi la plus navrée...Surtout quand j'ai appris qu'il me faisait cocue depuis le mariage et même avant. Il n'a jamais arrêté. Et tout le monde le savait sauf moi.
Et là elle s'est mise à pleurer.
Je ne saurai pas dire qui est venu vers qui. Si c'est elle qui est venue vers moi ou si c'est moi qui ai avancé vers elle. Toujours est-il qu'elle a été contre moi, que j'ai senti son épaisseur, sa chaleur contre moi, le poids de ses seins contre mon torse. J'ai passé mes bras autour d'elle, en priant pour qu'elle ne sente pas la réaction, sans doute naturelle, que ça me provoquait de la sentir contre moi. Je ne sais pas si ça lui a apporté du réconfort. J'ai pensé que c'était il y avait trente-cinq ans que j'aurais aimé la tenir comme ça...Mais peut-être fallait-il que ce soit le bon moment. Est-ce que c'était le bon moment, là? Je ne savais pas trop. Notre jeunesse s'était dissoute.. Pourtant, elle restait remarquablement séduisante. Elle n'avait plus la fraîcheur de la jeunesse, c'était une évidence, et moi non plus, mais la maturité d'une femme qui avait su non seulement préserver sa sensualité, mais aussi sans doute la porter à un autre niveau. J'avais du mal à comprendre que son mari ait eu envie d'aller voir ailleurs. D'autant que la secrétaire de mairie n'avait rien d'une vamp, avec son extraordinaire vulgarité et ses kilos en trop. Ca c'était certain, elle avait deux seins énormes, et pour quelqu'un qui fantasmait sur les poitrines... Ce qu'elle me disait me surprenait en tout cas. Qu'il ait été voir ailleurs alors même qu'ils venaient de se marier... Danyelle était hyper attirante, et surtout, pour autant que j'avais pu le voir, contrairement à bien des femmes, elle ne se refusait pas à lui et ne refusait pas de lui donner du sexe...Au contraire...C'était l'épouse rêvée pour un homme qui aime vraiment le sexe.
Elle a fini par se détacher de moi.
--Merci pour ce moment de réconfort. Pardon, mais je n'ai pas bien vécu la chose. Je lui ai donné tout ce qu'il voulait. Il avait ma bouche, mon cul et ma chatte quand il voulait. Je me suis toujours occupée de sa queue.
--Les hommes se lassent vite...
--Oui....Bon n'en parlons plus, c'est du passé. Dis-moi, tu fais quelque chose ce soir ?
--Ce soir? Non, rien de particulier.
--Ca te dit de venir diner à la maison ? Je cuisine plutôt bien...A moins que tu ne sois invité ailleurs...
--Non, et je suis seul en ce moment.
-Tu viens quand tu veux. A partir de 19 heures.
--Je serai là.
J'allais m'éloigner, quand elle m'a dit :
--Attends, je voudrais te dire merci.
Elle est revenue vers moi. J'étais plus grand qu'elle mais avec ses talons et un petit effort, elle a atteint sans mal ma bouche. Elle a pris mes lèvres, pour un baiser qu'elle a fait durer. En même temps, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, de deux mains habiles. J'ai juste senti que ma queue était à l'extérieur de mon pantalon. Son geste ne m'a pas surpris tant que ça. Ca me renvoyait dans ce passé lointain et proche à la fois. Je l'avais vu un nombre incalculable de fois masturber son mari...Que ca n'avait pas empêché d'aller voir ailleurs...
Comme tous les hommes, même si beaucoup ne l'auraient pas forcément avoué, j'aimais me faire masturber. C'était un plaisir très fort que de sentir une main de femme sur soi, qui vous menait au plaisir. Elle a continué de m'embrasser en même temps qu'elle faisait aller et venir sa main, d'un rythme régulier, sur ma queue. Elle frottait sa langue contre la mienne, et la conjonction des deux plaisirs m'a mis très vite au bord de l'orgasme. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a resserré sa main autour de ma queue, et elle a recueilli tout mon sperme, alors que, spasme après spasme, je me vidais dans cette main chaude qui m'enserrait.
De sa main libre, elle a rangé ma queue dans mon pantalon, pendant qu'elle ouvrait l'autre, dans laquelle nageait une mare de sperme, Avec un sourire, elle est venue laper mon sperme jusqu'à ce que sa main soit parfaitement propre. Je l'ai revue faisant le même geste en d'autres temps, ou masturbant son mari devant sa bouche ouverte, laissant le sperme remplir sa bouche jusqu'à la dernière goutte.
--Tu vois ce salaud, j'ai bouffé son sperme, il en a rempli ma chatte et mon cul, et ca ne lui suffisait pas...
J'ai eu envie de faire un trait d'humour, lui répondre qu'il avait de grosses réserves, mais j'ai préféré me taire.
J'ai eu la tête ailleurs tout l'après-midi, pensant à son baiser et à sa caresse. Dommage qu'on ne se soit pas connu avant qu'elle ne rencontre son mari...J'aurais eu une vie différente, avec une femme chaleureuse, intelligente, et qui aimait le sexe. Si longtemps après je retrouvais la jeune femme que j'avais pu mater, mais aussi cotoyer, même si c' avait été brièvement...Mais à ce moment-là, ma vie aurait été totalement différente. Un mal? J'aurais fait autre chose. Ca donnait le vertige quand on pensait qu'à partir d'un croisement, on pouvait partir sur mille routes différentes, avec mille parcours différents.
Je ne savais pas trop ce que je devais attendre de la soirée. Même si ce n'était qu'un dînea, je savais qu'elle cuisinait très bien, ainsi qu'une longue discussion, ce serait déjà bien...Elle était très agréable...Je n'attendais rien de précis d'ailleurs...Elle m'avait déjà donné un moment de plaisir intense quand elle m'avait embrassé, et qu'elle avait caressé ma queue. J'avais appris au fil des années que peu, c'était déjà beaucoup.
J'ai acheté un bouquet de fleurs en revenant, des roses rouges, de taille moyenne, serrées dans le bouquet, et, sur le coup de huit heures, je me suis présenté à sa porte.
Je n'ai pas été déçu, c'est le moins qu'on puisse dire.
Elle s'était préparée comme une femme peut se préparer pour une soirée. Elle s'était maquillée, un maquillage qui soulignait la finesse de ses traits. Le temps avait su la préserver. Les crèmes aussi. Elle avait une belle paire de cuissardes, noires, d'un cuir qui luisait, et elle avait mis des bas stay-up, qui se prolongeaient un peu plus haut hors des cuissardes, prenant sa chair et s'y accrochant avec une bande élastiquée noire.
Sa robe...Je n'en avais jamais vue une pareille. J'avais l'idée, je me trompais peut-être, qu'on ne devait pas la trouver dans la boutique au coin de la rue, mais plutôt sur certains sites spécialisés. Elle était en tout cas impressionnante. Et on ne peut plus simple. Elle était faite fans un plastique entièrement transparent, plutôt épais, et fermée par une fermeture à glissière qui faisait toute la longueur de la robe. Dessous elle n'avait rien, même pas un string. L'occasion de profiter de son anatomie comme ça n'avait pas été le cas depuis longtemps. Le plastique enserrait ses chairs sans trop les comprimer mais en les réhaussant. Elle m'a laissé la regarder. Elle n'avait pas vraiment changé avec tout ce temps. Aussi désirable que quand elle étendait le linge en maillot de bain. Ses seins, peut-être parce qu'ils étaient tenus par le plastique étaient fermes et bien ronds contre le plastique. Elle avait gardé un triangle assorti à ses cheveux sur son pubis, mais miniaturisé. Je me suis demandé si elle se teignait ou si elle avait encore les cheveux naturellement noirs. Elle a tourné sur elle-même, me présentant aussi ses fesses, rondes et fermes. Difficile de ne pas la désirer.
--Ca te plaît? Je l'ai achetée par correspondance il y a deux ans, mais je n'avais pas eu l'occasion de la mettre avant. J'intéressais de moins en moins mon mari ces derniers temps. Je pensais qu'il y avait forcément une usure dans le couple. Je n'avais pas compris que sa queue fonctionnait toujours parfaitement, mais qu'il allait la mettre dans d'autres culs que le mien.
--Je te trouve très amère.
--Ca passera avec le temps. Ca ne nous empêche pas en tout cas de passer une soirée sympa. Alors si tu me parlais un peu de ce que tu as fait toutes ces années?
On s'est posés sur le divan, avec un verre de vin. C'était bien cette robe, ca me permettait de la voir sous toutes ses coutures, ma vision changeant quand elle bougeait. Elle était toujours aussi désirable.
--Le rôti doit être cuit, je pense qu'on va passer à table...Dis-moi, avant, ça te dit de profiter de moi un peu? De quelques centimètres. Par le haut ou par le bas?
Lisant de l'incompréhension dans mon regard, elle m'a précisé :
--Il y deux tirettes, une qui descend et l'autre qui remonte.
Difficile de choisir. J'ai finalement opté pour le haut. Voir ces seins, ça me rappelait la fois où son mari était venu les prendre avec sa bouche. Je ne voulais pas marcher sur ses traces plutôt laisser les miennes, mais ça m'avait excité, et j'avais rêvé d'en faire autant.
J'ai glissé de quelques centimètres vers elle, et je suis venu chercher sa bouche, qu'elle ne m'a pas refusé. On a échangé plusieurs baisers longs, nos langues s'accrochant, se frottant, avant que je n'attrape le petit morceau de métal, pour le descendre de quelques centimètres. Sa robe ne prenait pas ses épaules, l'enveloppant à partir du torse, et j'ai écarté un peu le plastique pour avoir accès à ses seins. Était-ce en frottant contre le plastique, à cause de l'excitation ou les deux que ses tétons étaient devenus semi-durs ?
Ce qui n'avait pas changé avec le temps, non plus, c'était le plaisir qu'une caresse buccale pouvait lui donner. J'ai commencé très soft, en donnant de petits coups de langue dessus.Elle a lâché de petits gémissements en se cambrant.
--Mmmm, c'est bon...Tu sais à la fin, il ne me faisait plus rien de tout ça...Il le faisait à d'autres femmes. Quand j'allais le chercher, il me demandait toujours de me caler en levrette, il venait en moi deux ou trois fois, il jouissait, et c'était tout. Il ne se souciait pas de mon plaisir. Je ne sais pas d'ailleurs s'il s'en est jamais soucié.
J'avais noté. Si on allait plus loin, la levrette était totalement à proscrire. Pour l'instant, j'avais enveloppé son téton gauche de ma bouche, et je le caressais doucement de la langue. Je l'ai senti, ou alors c'était une fausse impression, gonfler dans ma cavité buccale, s'allonger et s'épaissir. En tout cas, ça lui faisait de l'effet. Quand je suis passé sur l'autre téton, j'ai gardé contact avec le premier en le caressant avec la pulpe de mes doigts.
--J'ai toujours pensé que tu pouvais faire un amant parfait. Dommage que ça arrive si tard.
Allez viens, on va manger, je t'ai préparé un bon repas.
J'ai remonté la fermeture-éclair. J'aurais d'autres occasions de la descendre.
Elle a développé son propos pendant qu'on mangeait.
--Il paraît que c'est une situation plus commune qu'on ne pourrait penser. Tu te maries, et puis tu croises quelqu'un qui te plaît. C'est exactement ce qui s'est passé quand je suis arrivée ici. Je t'ai vu, et je me suis demandée ce que je faisais avec mon mari. Vraiment le coup de foudre, et je ne suis pas sûre que je l'avais expérimenté avec lui. On se connaissait depuis longtemps, en fait, depuis l'école, et c'était un peu naturellement qu'on s'était mis ensemble. Je ne suis pense pas au final qu'on s'aimait.
--Je n'avais pas imaginé que...D'autant qu'on ne se parlait pas spécialement...
Et c'était vrai. Si j'y repensais, j'avais passé bien plus de temps à la mater qu'à échanger avec elle, dans la rue, devant chez elle ou chez moi. Je comprenais mieux en tout cas pourquoi elle se baladait si souvent en maillot. L'envie de m'aguicher. J'en arrivais même à me demander si, quand elle s'exhibait avec son mari, ce n'était pas aussi quelque chose de calculé. Dont il n'aurait pas été conscient. C'était en tout cas très paradoxal qu'elle lui reproche une infidélité bien réelle, alors qu'elle avait été tentée de le trahir avec moi. Aurait-elle été jusqu'au bout, ou était-ce juste un fantasme...
--Je te trouvais magnifique...Mais j'avais le sentiment que rien n'était possible à l'époque.
--Ce n'était pas le moment. Ca l'est peut-être maintenant.
On venait de finir le plat principal. Il restait le dessert. J'ai eu le sentiment que les desserts,j'allais en avoir plusieurs. Elle est venue se poser juste devant moi.
--Et si tu attaquais par le bas.
J'ai fait comme elle le souhaitait. Remontant la fermeture-éclair pour accéder à son ventre plat. J'ai entamé un mouvement circulaire dessus, qui a semblé lui procurer du plaisir. Elle a fini par me dire:
--Descends sur ma fente...Tu vas voir que malgré la ménopause, une femme peut encore mouiller.
Je me suis arrêté à la hauteur de ce triangle, réduit à sa plus simple expression, goûtant à la sensation de la texture soyeuse de ses poils. Une pause avant d'aller plus loin, peut-être parce que j'appréhendais des sensations fortes. J'ai finalement glissé sur sa partie la plus intime. Un monde à découvrir, fait de sensations qui m'ont assailli. Le renflement naturel de sa vulve, l'ouverture au centre, dont dépassaient ses lèvres que j'ai senti gonfler contre mes doigts, et effectivement son liquide intime qui coulait d'elle et qui est devenu plus abondant quand elle a senti ma main contre elle. Je l'ai caressée doucement. Elle s'est mise à se tordre, comme si tout avait tourné autour de cette main, entamant un mouvement qui a stoppé le mien, se caressant elle-même, yeux mi-clos, dans des mouvements doux, lents et circulaires.
--Il y a trente-cinq ans c'est ta main, ta langue et ta queue qu'il m'aurait fallu au lieu de celle de mon mari...
--On ne peut pas refaire le passé...Mais on peut quand même profiter du temps qui nous reste.
Elle a tendu sa main vers mon pantalon et elle est venue chercher ma queue, comme elle l'avait fait à midi.
--Je savais que tu me matais, mais moi aussi. Tu sais que de l'étage du hangar je voyais parfaitement chez toi. Je t'ai vu plusieurs fois te masturber. Ca me mettait dans tous mes états. Tu pensais à moi?
--A ton avis?
--Si je me souviens bien une fois allongé, une fois debout. Ta main bougeait sur ta queue. Je la voyais prendre de la vigueur. J'étais trempée. Je t'ai vu jouir deux ou trois fois. C'est beau une queue ultra-dilatée qui crache sa semence.Tu sais que je me caressais après en pensant à ces scènes. Tu vois, ça marchait dans les deux sens, dans un jeu de miroir qui n'en finissait pas.
Elle m'a masturbé doucement avant de me dire:
--J'ai envie d'un premier dessert avant l'omelette norvégienne...Elle peut attendre encore un peu.
Elle a remonté sa main vers la fermeture-éclair du haut et elle l'a descendue pour libérer ses seins. Je me suis demandé où elle voulait en venir. Enfoncé entre ses seins, et c'est pour cela que je ne l'avais pas vu, il y avait un préservatif emballé d'aluminium. Elle a déchiré l'emballage, a sorti le latex tout gluant et elle l'a fait coulisser sur ma queue. Quelques ajustements pour dégager le réservoir. Elle a remonté la fermeture-éclair un peu plus, avant de venir se placer au-dessus de moi. Elle a attrapé ma queue pour ne plus la lâcher. Je pensais qu'elle allait simplement la faire rentrer en elle, mais ça a été tout sauf ça. Elle voulait sans doute me montrer un savoir-faire dont je n'avais douté, clair 37 ans plus tôt. Elle a amené mon gland encapoté sur les lèvres de son sexe, luisant du liquide qui coulait d'elle, et elle s'est mise à me promener sur le relief de ses chairs intimes. Une caresse lente, qui prenait son temps et me permettait d'apprécier les sensations. C'était exactement le genre de chose que je l'avais imaginée faire. Son jus, épais, sirupeux coulait sur le latex, dégoulinait le long de ma queue pour venir se perdre sur ma chair. Un moment intense, avec une pointe de regret, on se connaissait, mais qu'on ne se soit pas rapprochés plus tôt. Du temps perdu. Mais parfois, il faut attendre pour que les choses se réalisent. Mieux vaut tard que jamais, comme on dit.
--J'ai envie de te prendre dans mon sexe. Tu crois que c'est possible?
--A ton avis ?
Ca s'est fait très simplement. Elle s'est laissée descendre sur moi, avalant mon sexe petit à petit. Les sensations m'ont peu à peu gagné. La chaleur de son sexe, son humidité autour de moi, mais surtout la merveilleuse sensation d'être enveloppé par une gaine souple et extraordinairement caressante.
--Si on veut rattraper tout le temps perdu, il va nous falloir beaucoup de moments de sexe.
--Je suis tout à fait prêt à partir dans ce sens.
--Mets tes mains sur mon cul et fais-moi bouger sur ta queue.
Ses fesses étaient rondes et bien dures. Je les ai prises à pleines mains, et je l'ai faite aller et venir sur ma queue. Elle s'est mise à gémir.
--Une bonne queue qui te caresse bien à l'intérieur, il n'y a rien de meilleur.
Il y a eu ce moment vraiment hors du temps, et d'autant plus hors du temps qu'il faisait se rejoindre passé et présent et futur. Il y avait le moment présent, le plaisir intense, le passé, celui que nous avions loupé, mais curieusement, une étrange métamorphose faisait que, dans notre esprit, nous étions redevenus les jeunes adultes que nous avions été et qui se trouvaient, et un futur possible ensemble, celui que nous avions loupé 35 ans plus tôt.
Pendant que je la fouillais, elle s'est mise à se pincer le gland clitoridien, qui semblait plus épais et plus long à chaque nouveau pincement.
Au bout d'un cycle, je me suis mis à jouir, mon sperme, bien que prisonnier dans l'enveloppe de latex, venant taper contre les parois internes de son sexe. Sentir le sperme jaillir l'a faite jouir.
Elle est restée accrochée à moi avant de se dégager. Elle a fait glisser la capote de long de ma queue.
--Je vais chercher l'omelette norvégienne.
Elle a remonté les deux fermetures et elle est partie, un rien titubante, comme si elle était ivre, en direction de la cuisine. Elle est revenue avec la fameuse omelette et le préservatif toujours accroché aux doigts. Elle a coupé deux bonnes tranches d'omelette. Sur la sienne, elle a fait couler jusqu'à la dernière goutte la semence que contenait la capote.
--Ca aura meilleur goût comme ça.
Pendant qu'on mangeait, elle a dit:
--Je te propose de m'accompagner au lit. Tu peux rester jusqu'à matin si tu veux. Tu dois te lever à quelle heure?
--Il faut que je sois prêt pour huit heures.
--Moi aussi. Bon, c'est parfait, on prendra le petit déjeuner ensemble. J'aimerais bien que ce ne soit pas une nuit unique.
--Je ne le souhaite pas non plus.
--Alors tout peut commencer.
Pendant que finissais, elle est venue se pencher sur ma queue, que j'avais laissée à l'air et qui n'avait pas dégonflé d'un millimètre. Elle a fait tourner sa langue dessus.
--Je suis une amante imaginative et sans tabous.
--C'est toujours ce que j'ai imaginé.
On est partis ensemble vers sa chambre, conscient l'un comme l'autre que quelque chose de nouveau commençait pour nous qui serait peut-être meilleur que tout ce qu'on avait pu vivre de par le passé.




32 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Juste en face

Le 17/12/2022 - 23:00 par Trial
La femme dont tout le monde rêve, le récit la rend pourtant bien vivante! Merci pour votre récit

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :