ACCUEIL > Hétéro > Récit : L'aide soignante renoue avec le sexe

L'aide soignante renoue avec le sexe

+20

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 13/09/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

‌Travailler dans une maison de retraite en tant qu'aide soignante, c'est être en permanence en relation avec la mort. Avec ses dix ans d'expérience, Cécile le savait mieux que quiconque. Elle aimait pourtant son métier, même si elle ne voyait jamais sortir ses patients contrairement à ses collègues de l'hôpital. Sauf entre quatre planches. Mais être en relation constante avec la mort, c'est aussi, pour soi-même, développer une puissante envie de vivre. Et donc de faire l'amour. A l'aube de la quarantaine, Cécile avait conservé un corps attrayant avec son opulente chevelure brune, ses mensurations bien proportionnées sur son petit gabarit, le tout complétant un tempérament enjoué, un visage souriant, une démarche vive.

Mais là où le bât blessait, c'est que Cécile vivait désormais seule avec son fils de dix ans et entrait dans la catégorie des mères célibataires, ou plutôt divorcées. Le père s'était taillé, la laissant seule avec une maigre pension alimentaire. Quand Cécile sortait de ses huit heures de boulot, elle avait tellement à faire chez elle qu'elle n'avait pas de temps à consacrer à sa "vie de femme". Ce n'était pourtant pas l'envie de baiser qui lui manquait et elle se consolait avec son gode en rêvant d'une queue chaude et épaisse qui la ferait vraiment jouir.

C'était d'autant plus frustrant qu'autour d'elle, à la maison de retraite, où l'élément féminin prédominait largement, les histoires de cul abondaient. Le commerce avec la mort stimulaient les ardeurs conjugales, voire extra conjugales. Certaines collègues de Cécile les avouaient en gloussant, avec d'autant moins de réserve que du côté des cadres, on ne manifestait pas non plus une chasteté ostentatoire.
A commencer par la directrice, une petite blonde de 35 ans prénommée Elise, visage d'ange mais sexualité affirmée avec des jeans moulant un fessier rebondi rehaussé par des escarpins ou des robes ajustées ouvertes sur un balconnet relevant des petits seins ronds. En instance de divorce, elle ne dissimulait pas sa liaison avec l'un des kinés de la maison, un beau brun qui en faisait saliver plus d'une. Une chambre volontairement vide abritait leurs ébats et le personnel collait son oreille à la porte pour entendre madame la directrice bramer de plaisir avant de la retrouver un peu plus tard à son bureau, pimpante, la moue satisfaite.

Son adjointe était une grande femme noire d'une quarantaine d'années, plusieurs fois mère, prénommée Sandra. Elle affichait encore plus sa sexualité avec des robes affriolantes, dévoilant généreusement des cuisses puissantes et deux obus spectaculairement mis en valeur. On ne lui connaissait pas de liaison extra conjugale mais un mari athlétique, fou de son corps comme elle le racontait avec moult détails. Le sexe constituait pour elle un sujet de conversation récurrent et elle ne cachait pas son goût pour les ébats à plusieurs au sein de sa communauté d'origine.

L'une de ses interlocutrices favorites, la psychologue prénommée Audrey, une grande sauterelle brune d'une trentaine d'années, également mère et épouse, ne sortait jamais d'une de ces conversations avec la directrice adjointe sans une puissante envie de baiser. Si Mike, l'homme à tout faire de la maison, trainait alors dans ses parages, il se faisait convoquer dans son bureau qu'elle fermait à clé dès son entrée. Elle l'embrassait fougueusement en lui mettant la main aux parties avant de lui ouvrir la braguette, de l'emboucher et, une fois bien en forme, virer elle-même son jean et sa culotte et l'attirer entre ses cuisses à même le bureau. C'était un coït bref, intense, qu'elle peinait à rendre discret dans la jouissance. Ils se quittaient en s'embrassant, mutuellement apaisés et tenus par le secret de l'adultère, même si Audrey considérait qu'il s'agissait surtout d'un rapport "hygiénique".

La quatrième larronne de l'encadrement était l'infirmière chef prénommée Anne, la plus âgée avec ses 50 ans. Rondelette mais sans excès, mariée et mère de grands adolescents, elle régnait sur la communauté infirmière avec une prédilection pour les deux seuls hommes la composant : deux jeunes gars vigoureux, libres de liens conjugaux. Le jour d'un décès, toujours pénible pour des soignants, l'un ou l'autre étaient convoqués dans la chambre vacante où elle les attendait sur le lit, entièrement nue, ses seins lourds étalés sur son torse et ses cuisses dodues ouvertes sur une chatte poilue. Elle révélait alors un puissant appétit sexuel stimulé par la noirceur de l'événement récent, verbeux et sans tabous, qui comblait ses jeunes amants, définitivement édifiés sur le vice des femmes mûres. Il arriva même un jour qu'ils la prennent à deux, ce qui scandalisa certains membres du personnel féminin, jugeant un privilège inacceptable de la part de la cheffe. Elle sortait de ces ébats repue mais considérant qu'elle avait contribué à la sérénité de ses subordonnés dans un moment difficile pour eux. Sans penser une seconde que les femmes dudit personnel auraient mérité aussi un peu de cette considération de la part des deux étalons, qu'elle s'était réservés sans vergogne. Cécile était évidemment du nombre mais se garda bien de marcher sur les brisées de sa supérieure hiérarchique. Elle avait trop besoin de bosser.
*******
Une évolution importante dans sa vie se manifesta le jour où, comme chaque année, elle fut convoquée par les deux directrices pour son évaluation professionnelle. Dans l'échange qui en résulta, il apparut qu'elle bénéficiait de la forte estime de ses supérieures hiérarchiques, ce qui la poussa à s'épancher. Elle leur avoua les douleurs de sa solitude sentimentale et osa même l'expression de "misère sexuelle", ce qui ne pouvait que parler à Elise et Sandra qui vivaient exactement le contraire. Face à leur subordonnée, elles ne pouvaient que compatir. Sandra proposa une "soirée" en sa compagnie et celle de ses proches, ce que Cécile comprit comme une partouze à l'africaine. La perspective ne lui déplaisait pas mais butait sur un obstacle infranchissable : la garde de son fils, qu'elle ne voulait confier à personne dans un environnement immobilier guère sécurisant.

Une fois qu'elle eut quitté le bureau, les deux cadres devisèrent sur la solution à apporter à leur subordonnée, qu'elles souhaitaient sortir de ce marasme, par solidarité féminine. L'idée retenue fut qu'Elise "partagerait" son kiné préféré, ne doutant pas que celui-ci verrait d'un bon oeil les faveurs de cette brune piquante. Pour cela, elle avait besoin de la complicité de Sandra. Et c'est ainsi qu'un beau jour, Cécile fut conduite discrètement par l'adjointe à la chambre vacante où l'attendaient Elise et son kiné, aussi nus qu'on peut l'être, en pleins préliminaires buccaux-génitaux.
- Ne te pose pas de question, rentre, intima Sandra avant de fermer la porte derrière Cécile.

L'aide-soignante eut cependant un peu de mal à réaliser la situation. Déjà, voir sa patronne à poil en train de pomper un pénis resplendissant tout en se faisant lécher en 69 par un homme dont le visage disparaissait sous son juteux croupion ne relevait pas de l'évidence. Néanmoins, l'onde de chaleur ressentie dans son bas-ventre ne l'incitait guère à fuir, d'autant qu'Elise lui lança entre deux succions :
- Ne reste pas là les bras ballants, déshabille-toi et viens nous rejoindre.
Quand Cécile fut nue sur le lit, le couple se détacha et l'homme, prénommé Damien, commença à s'intéresser à son petit corps tonique sous l'oeil bienveillant de sa maîtresse.
- Il va te baiser mais on va prendre notre temps, dit Elise à Cécile, qui se demanda comment les choses allaient évoluer dans ce trio manifeste.

Il lui fallait d'abord regarder, mater si on préfère. L'exiguïté du lit une place de la chambre n'avait pas été prévu pour des ébats à trois. Assise à un bout, Cécile en fut réduite à observer la pénétration en missionnaire et le cul de Damien virevolter entre les cuisses en V d'Elise. C'était la première fois qu'elle voyait un couple faire l'amour en réel, à quelques centimètres d'elle qui plus est. La vision des couilles ballottantes de Damien la mit dans un état d'intense excitation, à tel point qu'elle ne put s'empêcher d'y mettre la main, de les soupeser et d'apprécier leur douceur autant que leur lourdeur. Tout partait de ces deux glandes, véhicules du plaisir d'Elise dont les pieds commençaient à s'agiter en tous sens. Chacun des coups de boutoir du kiné était ponctué d'un "ahou" de la jeune directrice, qui en avait très probablement oublié la présence de la voyeuse.

En revanche, elle la retrouva au changement de position quand, prise en levrette dans la longueur du lit, elle se posa nez à nez avec sa subordonnée, désormais sidérée par cette scène tellement improbable : voir sa patronne baisée devant elle et la prendre à témoin de sa jouissance par des "ah c'est bon ah c'est bon" avant de couiner un grand coup, en proie à l'orgasme. Cécile s'aperçut qu'elle s'était masturbée sans s'en rendre compte en observant le couple fornicateur, si bien qu'elle dégoulinait sous ses doigts. Quand elle vit Damien se retirer, la bite toujours tendue, elle poussa un soupir de soulagement. Il pourrait encore combler le vide douloureux de son bas-ventre en fusion.

Quand Elise émergea de son extase, elle retrouva son réflexe de directrice et ordonna à sa subordonnée :
- Allonge-toi, c'est ton tour.
Damien n'attendait visiblement que ça. Cette jolie brune offerte après sa maîtresse, et avec le consentement de celle-ci, que demander de plus ? Mains posées de chaque côté de la tête à la chevelure étalée sur le matelas, les yeux plongés dans le regard noyé de désir de Cécile, il taquina de son pénis la vulve offerte, différent l'introduction avec un plaisir un peu pervers. Il voulait qu'elle vienne à lui. Les talons de Cécile se rivèrent à ses fesses, imposant une pression qui se voulait salvatrice mais le kiné poursuivait son petit jeu, un sourire aux lèvres :
- Tu la veux, hein ? dit-il.
- Oui, s'il te plait, viens !

Cécile décolla ses fesses du matelas pour tenter un passage en force à l'envers mais le gland continuait d'effleurer la fente. Alors, Elise prit les choses en mains, si on peut dire, en les plaquant sur le cul de son amant et en exerçant en pression telle qu'il se trouva presque totalement engagé. Cécile poussa un râle de femelle enfin creusée et le lit médicalisé se mit à grincer sous l'effet des coups de boutoir du kiné accompagnés des ruées de Cécile, incapable de se maîtriser, tant corporellement que verbalement.
- Baise-moi baise-moi baise-moi, répétait-elle, encore encore encore vas y vas y t'arrête pas...

Subjugué par ce tempérament de feu, Damien cognait d'autant plus dur qu'il sentait la main d'Elise tantôt sur ses fesses, tantôt sur ses couilles, tantôt dans son trou du cul, comme s'il avait besoin de cette assistance pour honorer cette femelle en chaleur. Sa préoccupation fut alors de conserver son sperme le plus longtemps possible, ce qui ne tombait pas sous le sens sur ce petit corps aussi agité. Elise intervint alors :
- Stop. Changez tout. Chéri, couche toi et elle va venir sur toi.

Cette évolution convenait parfaitement à Cécile, de passer de la soumission (relative) à la domination. A peine s'était-elle empalée qu'elle se mit sur ses pieds pour allonger la bite, mettant son amant provisoire au supplice tant cette pénétration longue et tonique était jouissive, accompagnée du spectacle de Cécile la langue entre les lèvres entre deux onomatopées de jouissance.
- Tourne-toi maintenant.
Elise ordonna à sa subordonnée de chevaucher Damien en lui montrant son joli petit cul en mouvement, manière de le faire durer car elle savait cette position au frottement moins intense, pour la pratiquer régulièrement elle-même. Son visage contre celui de sa subordonnée, elle observait chaque minute de son plaisir :
- C'est bon hein ? Tu prends ton pied hein ? Et c'est grâce à qui ?
- A toi à toi ah ah, oh là là, ah j'aime ça.
- Tu en avais besoin, hein ?
- Ah oui ah oui merci merci Elise...
- Tu veux qu'il te prenne comment maintenant ? Comment tu veux jouir ?
- Par derrière, j'adore ça !
- Tu es une vraie chienne, Cécile !
*****
Elle se mit à quatre pattes en travers du lit, qu'Elise monta avec l'aide d'un bouton électrique propre à ce genre de couche, afin que Damien soit à la bonne hauteur debout et puisse procéder à la pénétration sans effort. Idéalement pénétrée, Cécile sut qu'elle allait jouir rapidement. Elle manifesta son contentement en agitant frénétiquement sa croupe au point que l'homme n'avait même pas besoin d'aller et venir, laissant la femme venir à lui. Assise sur le lit, Elise observait en se caressant, encourageant le couple de la voix, jusqu'au moment où Cécile brama son orgasme, essorant son amant en roulant des hanches tandis que celui-ci expulsait une semence longtemps contenue, en grande partie sur un dessus de lit qu'Elise devrait obligatoirement envoyer à la lingerie.

Ces ébats complices changèrent évidemment le statut de l'aide soignante. Elle fut moins souvent commise aux tâches rebutantes, ce qui lui valut quelques jalousies mais elle n'en avait cure, ayant trop longtemps souffert d'un marasme sexuel, désormais caduc. Damien était devenu son amant attitré car Elise avait jeté son dévolu sur un jeune médecin qui visitait deux pensionnaires de la maison de retraite. La difficulté résidait désormais dans la disponibilité de la chambre du stupre. Cécile et Damien butèrent un jour sur l'occupation par Anne, à quatre pattes, échevelée, seins pendants, pendant qu'elle se faisait besogner par un de ses infirmiers, si bien qu'ils durent s'exiler dans la chambre d'une résidente alors occupée dans un atelier de mémoire. Si elle était revenue chez elle, elle aurait été bien surprise de découvrir Cécile cavalant sur la bite de Damien, mais les deux amants purent assouvir leurs pulsions sans créer de scandale.

Ayant désormais renoué avec le sexe, Cécile ne pensait plus qu'à ça. Lorsque Sandra lui proposa une nouvelle fois une "soirée africaine", elle ne rechigna plus à laisser son fils aux mains d'une voisine. Elle savait ce qui l'attendait, à savoir une partouze, la première de sa vie, mais elle en était arrivée à un stade où l'essentiel était qu'on la baise. Sur ce point, elle ne fut pas déçue, étant la seule femme blanche parmi trois femmes noires et quatre hommes de même couleur de peau. Tous honorèrent Cécile à tour de rôle, parfois même à deux, sous le regard bienveillant de Sandra qui subissait le même traitement.

La complicité sexuelle de Cécile avec les deux directrices fit que celles-ci l'incitèrent à préparer un concours où elle deviendrait intendante de la maison de retraite. Ce fut fait deux ans et pas mal de parties de jambes en l'air plus tard. Et c'est ainsi que le sexe avait contribué à une promotion sociale, sans tomber, il faut le préciser, dans les rapports tarifés. Damien, désormais divorcé, devint même son compagnon attitré, signe que l'ex "monops" avait gagné sur tous les plan.
20 vote(s)


Histoire de Micky

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : L'aide soignante renoue avec le sexe

Le 15/09/2023 - 16:15 par DBHB24
Encore un très bon récit. Didier
Le 15/09/2023 - 13:15 par valeriane
Bien amenée cette histoire
Le 14/09/2023 - 13:23 par lucrece
Très joli texte. Mais pourquoi Cécile n'a-t-elle jamais profité de l'occasion donnée de rendre certain(e)s pensionnaires heureux ?
Le 13/09/2023 - 13:16 par OlgaT
Pardon aide-soignante:-) et pas infirmière
Le 13/09/2023 - 13:15 par OlgaT
Une excellente réponse à une ambiance mortiphère. Le sexe, un excellent antidote! Cette infirmière l'a compris et pratiqué.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :