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L'apprentissage de Séverine 3

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Lue : 10515 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/07/2012

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Le message avait été clair, elle devait se rendre dans ma chambre à 22h30, uniquement vêtue du peignoir de l’hôtel, étant ainsi obligé de remonter le couloir. À 25, je plaçais à l’angle de celui-ci une petite webcam trouvant un bon angle de vue qui englobait de sa chambre à la mienne, il y avait environ 10 mètres entre les 2.

Sa petite culotte était accroché à ma porte que j’avais laissée entrouverte accompagné d’un petit mot qui disait : « voilà ce que tu es réellement venue chercher, maintenant si tu viens chercher autre chose, enlèves ton peignoir et entres ! Mais attention si tu rentres, attends toi à tout… tu me redonneras ta culotte. Si tu veux partir, tu seras libre de le faire, tu n’auras qu’as me dire « rends moi ma culotte ! » et alors je te laisserais, mais en sinon, tu devras faire tout ce que je te demande. »

Je regardais l’écran de mon portable qui affichait l’image de la mini caméra et à 29, je vis sa porte s’ouvrir, elle était ponctuelle. Elle passa timidement la tête par l’encadrement pour s’assurer que le couloir était vide, elle sorti en fonça à ma chambre, effectivement vêtu de la sortie de bain. Elle vit le mot et le lu, hésita, fit mine de repartir vers sa chambre, puis revint vers la mienne, commençant à faire glisser le vêtement, toujours dans le doute lorsque la porte de l’ascenseur commença à s’ouvrir, elle laissa choir l’éponge et me laissant voir son dos superbe, une chute de reins à la courbe parfaite et souligné par un cul magnifique, pas un de ces gros cul, non, elle avait 2 globes bien charnu, et elle se précipita à l’intérieur de ma chambre.

Une fois entrée, je pouvais l‘admirer en vision directe, j‘avais soigneusement refermé mon écran et glisser le pc sous le fauteuil sur lequel j‘étais assis. Elle se tenait là, debout face moi, nue comme je le lui avais demandée, elle était maintenant à ma merci… je pris un le temps de l’admirer dans la pâle lumière des lampes de chevet que j’avais laissé allumées. Elle se tenait gauchement, essayant pudiquement de cacher sa nudité.
« -tiens-toi droite ! » Lui ordonnais-je d’un ton sec mais que je voulais rassurant.

Elle se redressa
« bien, croises tes bras dans ton dos, en te tenant le coude ! »

Le ton légèrement autoritaire la fit se soumettre, et cette position mit sa poitrine en valeur. Ses seins au courbes généreuses ne tombaient pas, on les sentait bien ferme, les tétons étaient entourés d’un discret mamelon brun et commençaient à pointer vers l’avant
« très bien, maintenant cambre toi un peu plus et écartes les jambes ! »

Elle avait un corps superbe. Son ventre plat était surement le résultat d’une pratique régulière d’un sport quelconque, footing ou natation, impression renforcée par le galbe de ses jambes, fines et longues, surmontées de hanches aux sinuosités parfaites, sa peau, au grain si délicat et au teint blanc comparé à la noirceur de ses longs cheveux, était entachée au niveau de son bas-ventre d’une épaisse broussaille brune. Je lui fis signe de se retourner, ce qu’elle fit ma permettant d’admirer une nouvelle fois la cambrure de ses reins.

Je pris sa main et l’accompagna vers le lit, je la fit assoir au bord, je la sentais à la foi anxieuse et excitée.
« -alors ? Prête à tout ?
- heu oui, je crois.
- tu dois être sûre ! Tu es là pour prendre du plaisir. Tu veux jouir ?
- alors oui
- oui quoi ?
- je veux jouir !
- comment ?
- En me faisant lécher.
- lécher où ?
- à la chatte !
- et c’est tout ?
- non.
- que veux-tu aussi, que je te prenne ?
- oui c’est ça, prends moi ! »

J’attrapais ses jambes et les plaça sur les tables de chevets que j’avais disposées de chaque côtés, lui écartant ainsi les cuisses et après avoir glissé un traversin sous son dos, je lui demandai d’un ton sec :
« - branle toi ! »

Dans cette position, elle se retrouvait installé comme chez un gynéco, j’avais une vue imprenable sur sa vulve et je pouvais apercevoir son œillet qui me faisant de l’œil.
« -mais …
- tais-toi ! Tu es prêtes à tout et je veux te voir te masturber, ne me dis pas que tu ne l’a jamais fait ! »

Timidement, sa main vint vers sa touffe et elle commença à se tripoter.
« -mets-y plus de conviction, pense à ma langue ! »

Ses gestes devinrent plus hardis, elle faisant tournoyer ses doigt autour de son clitoris et je voyais déjà les premières perle de sa mouille pointer.
« Mets-toi un doigt maintenant ! »

Elle obéit, son corps se contractant sous l’arrivé d’un orgasme.
« Arrêtes toi maintenant ! »

Elle m’obéit
« Maintenant, lèche-toi le doigt ! »

Embarrassée, elle exécuta mon ordre et lécha sa mouille.
Je m’approchais de son visage et l’embrassa sur la bouche, je lui fit mettre la tête de travers, tournée vers le mur, pris ses mains que je glissa sous se fesses, lui obligeant à les tenir écartées.. Cette position était vraiment obscène, elle était là, devant moi, les cuisses et le cul largement ouverts, son sexe gonflé par le désir. On voyait tout cela au travers de cette épaisse fourrure.
« Maintenant, ne bouge plus ! »

J’attrapais les ciseaux, j’avais minutieusement préparé tout le nécessaire avant sa venue, et commença à défricher le buisson.
Au fur et à mesure, la serviette blanche sur laquelle elle était installé se couvrit de ses poils pubiens, la longueur de ceux-ci était impressionnante, il fallait tailler ferme !
« -que fais-tu ? Osa-t-elle demander
-tais-toi, c’est une surprise, fais-moi confiance ! »

Son inquiétude était normale, mais je ne voulais pas lui dire qu’une telle pilosité gâchait une bonne partie du plaisir.
Petit à petit toutefois, la peau laiteuse apparaissait, les grandes lèvres commençaient discrètement a émergé de cet océan touffu, découvrant leur ton brun à la lumière.

Une fois le plus gros enlevé aux ciseaux, je pris le soin de passer un gant d’eau chaude sur son pubis et aspergea allégrement de mousse. Le blanc du savon était grisé par la toison brune qui se trouvait dessous, j’attrapai alors mon rasoir et commença à le passer autour de son anus, partie peu accessible, mais je voulais la libérer de cette position somme toute peu confortable, je profitais qu’elle écartait largement ses fesses avec ses mains pour accéder à la partie la plus intime de son anatomie. À chaque passage, la lame enlevait une bonne touffe de poils, laissant petit à petit apparaitre une rondelle brunâtre en son centre et qui s’éclaircissait vers les bords extérieurs. Cela lui faisait également de l’effet car à chaque allée et venue, elle poussait de petit gémissement.

Une fois l’œillet bien dégagé, elle put relâcher ses demi-lune tandis que je passais à la vulve, partie la plus délicate, je prenais mon temps, faisant attention à chacun de mes geste pour éviter tout accident, mais progressivement la peau était mis à nue.

Toutes ces caresse prodiguées aussi près d’une zone sensible accentuait son excitation et au fur et à mesure son sexe s’humidifiait de plus en plus, et lorsque je mis mon doigt sur son clitoris pour pouvoir barber autour, je dû reculer mon rasoir car elle fut prise d’un violent orgasme qui la fit se cambrer. Je laissais alors ma besogne de côté et inséra le petit doigt dans sa chatte trempée, il en ressorti couvert de son jus, je le descendis vers son anus et caressa sa petite pastille toute serrée, elle continuait de gémir de plaisir, doucement mon doigt lubrifié commença à écarter les parois vierges et put s’introduire jusque la 1ere phalange. Elle se contracta, l’intromission de quelque chose dans ce trou la surprise.
« -qu’est-ce que …
- continu de me faire confiance chut ! »

Tout en gardant mon auriculaire en place, mon pouce revint sur son clitoris, ma main couvrant ainsi complètement son sillon, et je me remis au méticuleusement travail afin de libérer son bouton de cette prison de poil.

Après avoir accompli cette tâche, le plus facile restait à faire : déblayer entièrement son bas ventre, le rasoir glissait sur son pubis, « sshhh, sshhhh » et à chaque fois, la toison faisait place à une peau tendre et douce.

Voilà, le dernier poil est parti, il est allé rejoindre ses congénères dans le bac d’eau près du lit, un mélange d’eau, de mousse à raser le tout sous une couche brune de la touffe de Séverine. Je pris le gant et lava soigneusement le reste de savon resté sur le pelvis maintenant glabre, je pouvais admirer mon œuvre : le bas ventre de ma belle était dorénavant imberbe, laissant impertinemment voir ses grandes lèvres, on pouvait voir les petites en ressortir telles les ailes au teint rosacé et bords brun d’un papillon, la tête de celui-ci étant ce haricot rose, le mont de vénus entourant tendrement tout cela.

J’enduisis la peau agressée d’une crème hydratante, je la laissais alors reposer ses jambes, cela faisant 20 mn qu’elle avait cette position inconfortable et je la regardais s’étirer, allongée sur ce lit. Comme je lui avais demandé, elle continuait de regarder le mur sur le côté, j’admirais les lignes de son corps depuis le haut de ses mains jointes au-dessus de sa tête, le creux des aisselles proprement épilés prolongé de la courbe naissante des seins sur lesquelles je ne pus résister de poser mes mains. Elle resta quelques instants dans cette position alors que mes doigts faisant rouler ses tétons qui se durcirent instantanément.

Lentement, mes mains descendirent vers ses hanches, immédiatement remplacées par ma bouche qui vint les sucer. Alors que je pinçais avec mes lèvres cette tétine, ma main droite se glissa sur son ventre plat et musclé, contourna lentement le nombril et s’attarda sur ce pubis fraîchement tondu. Ma langue quitta sa poitrine et suivi le même chemin pour enfin déposer un doux baiser sur sa motte glabre. Rapidement, je retrouvais son clitoris, je l’aspirai et le titillait avec ma langue, puis celle-ci se glissa entre les petites lèvres, vers le fond de son vagin, faisant une série d’aller et retour de son abricot à son puits humide. Mes mains étaient remontées à sa poitrine, en même temps que je lui suçais le con, je lui malaxais les tétines. Je ressorti ma langue une nouvelle fois mais cette fois, au lieu de remonter vers son berlingot, je descendis à sa rosette.

Séverine se contracta quelque peu, je lui pinçai alors fermement les seins, elle gémit sous la douleur et compris qu’elle devait me laisser faire.
Je tournais doucement autour de l’œillet, provoquant chez elle des séries de contractions, petit à petit elle se détendit, je remontais alors vers son sillon qui s’humidifiait de plus en plus. Ma langue alors couverte de sa mouille quitta cet endroit si sucré pour venir l’embrasser langoureusement.

Je me relevais et quittait mon caleçon, je me posai à côté d’elle, mon sexe en érection à hauteur de son visage, elle ne se fit pas attendre pour le prendre ne bouche. Ses lèvre pulpeuses aspirèrent mon gland puis le reste de ma tige, je pris sa main gauche et la déposa sur mes couilles, elle comprit qu’elle ne devait pas les négliger et les massa tendrement. Puis ses gestes s’enhardir, ses doigts furent remplacés par sa langue, son index commençant à vouloir se promener entre mes fesses. Il s’appuya sur mon anus et essaya de se frayer un passage.
« Caresses toi les seins en même temps » lui proposais-je

Sa main libre ne se fit pas prier, elle les passa sur ses tétons. J’admirais le spectacle de cette femme se caressant la poitrine qui avait ma queue dans sa bouche, son index dans mon cul qui commençait à me fouiller le fondement.
« Maintenant, occupes toi de ta chatte »

Sa main quitta le haut de son corps pour se diriger vers le pubis, lorsqu’elle arriva au niveau de ce qui avait été une épaisse toison, elle ’s’arrêta, stupéfaite ! Sa bouche lassa mon sexe et elle découvrit son bas ventre maintenant imberbe.
« -voilà ma belle, une vrai petite chatte prête à se faire lécher ! Une véritable petite chatte de salope que tu vas devenir ! »

Sa main caressa doucement cette partie de peau mise à nue, découvrant au toucher de nouvelles sensations, rapidement, je me plaçant entre ses cuisses, présentant ma queue raide à l’entrée de sa vulve.
« tu veux devenir ma salope hein ?
-oui
-que veux-tu maintenant ?
-devenir ta chienne, prends moi, fourre moi la chatte, tu me l’as rasée mon salaud c’est pour ça que c’est si bon ! »

D’un mouvement sec, je la pénétrai entièrement, elle émit un feulement, l’endroit était si accueillant que je restai au fond un instant, profitant de la chaleur des lieux, ma queue bien au chaud dans ce fourreau étroit et humide. Puis je commençai à la ramoner, debout au bord du lit sur lequel elle se tenait allongé, je voyais ses seins lourd se balancer de haut en bas à la cadence de mes coup de boutoir. Je regardais Séverine dont les yeux gris allait et venait de mon regard à son bas ventre, elle voyait quelqu’un la pénétrer, elle essayai de voir son sexe transpercé, je l’aidai à profiter du spectacle.

A SUIVRE
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