ACCUEIL > Exhibition > Récit : L'essence de Vanessa 2

L'essence de Vanessa 2

+9

Lue : 4009 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2011

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

L’essence de Vanessa raconte les aventures réelles et imaginaires d’une jeune femme libérée amoureuse de la vie et de ses plaisirs…

L’essence de Vanessa Chapitre 2 : Un train d’enfer !

Vanessa et Katia arrivèrent à la gare avec suffisamment d’avance pour s’installer à la terrasse d’un café. Tout en sirotant leurs boissons elles échangèrent quelques promesses de futures visites soit ici dans le sud où tout les unissait soit à la capitale. Vanessa tapota en souriant sur la poche qui contenait la culotte de son amie. Katia rendit son sourire à un homme assis quelques tables plus loin et qui la dévorait des yeux depuis un bon moment déjà.
-Regarde le mec là-bas… Tu crois vraiment qu’ils en ont des comme ça à Paris ?, dit Katia tout en souriant au bel inconnu.
-Vanessa se retourna sans trop de discrétion.
-Hum… Pas mal du tout en effet… Et je suis sur que s’il savait que tu n’as rien sous ta robe, il aurait l’air encore plus bête.

Katia pouffa de rire.
-Bon ma chérie, ton train va arriver.

Les deux femmes se levèrent et traînèrent péniblement l’énorme sac vers le quai de la gare.
-Vous voulez un coup de main ? demanda une voix masculine.

Katia et Vanessa se retournèrent et découvrirent le jeu homme de la terrasse de café.
Katia se redressa et, tout sourire, accepta l’aide du jeune homme qui plaça le sac sur son épaule.
-Au fait, moi c’est Thierry
-Et moi Katia et elle c’est Vanessa… en partance pour Paris.
-Une parisienne ?, s’enquit Thierry

Vanessa se retourna et le fusilla du regard. Katia, plus clémente, lui adressa un petit sourire et dit :
-Non juste une rêveuse.

Katia et le jeune homme échangèrent quelques banalités sur le quai. Vanessa restait muette, le vague à l’âme. Le train arriva en gare parfaitement à l’heure.
Thierry se proposa de placer le sac dans le train pendant que les deux amies se diraient au revoir.
-On ne s’oublie pas hein ? demanda Katia la mine triste.
-Promis, répondit Vanessa.

Déjà Thierry redescendait du train l’air satisfait.
-Et fait gaffe avec lui, je ne le sens pas ce type !
-Jalouse !
-Je t’attends à Paris.

Vanessa attendit alors de croiser le regard de Thierry pour enlacer tendrement son amie. Tout en soutenant le regard de Thierry, Vanessa posa une main sur les fesses de Katia qu’elle se mit à caresser ostensiblement. Un peu gênée, Katia s’abandonna tout de même sans rien dire.
Puis Vanessa monta dans le train, lança un baiser à son amie d’enfance tandis que les portes du train se refermaient déjà.
L’annonce sur le départ imminent du train résonna dans la rame.
Puis, après une secousse, comme un sursaut, le train se mit en marche en direction de Paris laissant sur le quai Katia et Thierry…

A l’intérieur du TGV la climatisation était défaillante, la chaleur était écrasante. Le train était bondé de touristes bronzés dont les vacances touchaient à leur fin. Ticket en main, Vanessa se fraya un chemin dans l’étroit couloir de la rame à la recherche de sa place. A plusieurs reprises, elle du se pencher au dessus de passagers déjà bien installés pour laisser passer un voyageur chargé comme une mule. Un horrible ado boutonneux ne manqua pas de profiter de la situation en louchant sur la poitrine de la jeune femme pliée en deux. Essoufflée et en sueur, son débardeur lui collant à la peau, Vanessa arriva enfin à sa place située dans le « carré » ou quatre personnes se font face. Deux vieilles déjà installées coté couloir cessèrent de bavarder pour lui jeter un regard désapprobateur, regard qui devint encore plus sévère lorsque Vanessa indiqua qu’elle était à coté d’elles coté fenêtre.
Vanessa du se tortiller pour se faufiler jusqu’à sa place. Elle se sentait observée des pieds à la tête par les deux vieilles femmes. A peine assise, Vanessa leur adressa son sourire le plus charmeur tout en se décollant le débardeur de la poitrine.
-Pfff, quelle chaleur !

Pas de réponse.
-Hé bien, ce voyage va être bien long !, songea Vanessa en regardant sa campagne natale défiler à par la fenêtre du train. La tête appuyée sur la vitre, Vanessa laissait divaguer son esprit librement. Elle espérait que Paris soit à la hauteur de ses espérances. Après tout, elle partait là-bas sans emploi et ses connaissances se comptaient sur les doigts d’une main.

Elle fut tirée de ces pensées par une voix douce et virile :
« Bonjour, excusez-moi je suis à cette place. »

Les deux vieilles se poussèrent et laissèrent passer un homme, la trentaine juvénile, brun, les cheveux longs. Il portait un pantalon en lin blanc avec une chemise blanche entre ouverte qui laissait deviner un torse légèrement musclé, « juste comme il faut » selon Vanessa.
Une fois assis, l’homme rangea son ticket dans son sac à dos et en sorti le roman « Shutter Island ». Un bon choix pensa Vanessa.

Au moment de se replonger dans son roman, le bel inconnu remarqua enfin la jeune femme assise juste en face de lui. Elle le dévisageait, elle était très séduisante, il fut flatté.
-Bonjour, dit-il avec un franc sourire qui découvrit des dents parfaitement blanches.
Vanessa remarqua enfin qu’elle regardait cet homme comme un enfant regarde des bonbons derrière une vitrine. Elle rougit et bredouilla un « bonjour » confus.
-Vous rentrez sur Paris ?, demanda-t-il en affichant le même sourire plein d’assurance.
- Non, je quitte le sud pour la capitale. Je pars un peu à l’aventure, j’ai juste mon gros sac et… plein d’optimisme.
- Ho ! Une aventurière ! C’est vrai qu’avec votre short et votre débardeur j’aurai du me douter que Lara Croft n’était pas loin.

Vanessa remarqua que le jeune homme lançait régulièrement des regards qu’il devait espérer discrets sur son débardeur qui lui collait comme une seconde peau. Elle décida alors de lui offrir une vue imprenable sur son décolleté. Elle se pencha en avant, bien plus que nécessaire, pour lui tendre la main.
- Au fait moi, c’est Vanessa, cousine de Lara Croft et enchantée.
- Frédéric, fan de Lara Croft… et de sa cousine, ajouta-t-il avec un petit sourire.
- Je suis rassurée, murmura Vanessa en se penchant encore un peu plus pour livrer un secret et encore plus sa poitrine.
- Rassurée de quoi ?, demanda lentement le jeune homme en profitant du spectacle que lui offrait Vanessa le plus discrètement possible.
- J’ai bien cru que j’allais me taper ce voyage seule avec ces deux mégères… Déjà que la chaleur est insupportable…

Vanessa termina sa phrase en tira largement sur son débardeur qui se décolla péniblement de sa peau moite. La tentation était trop forte et Frédéric profita largement de cet instant pour admirer les seins de la jeune femme. Malgré un bonnet C qui tirait franchement vers le D, ils étaient parfaitement fermes avec un maintient qui défiaient avec arrogance les lois de la gravité.
Bien évidement, Vanessa se délecta du spectacle de ce pauvre homme qui avait si vite mordu à l’hameçon. Une douce chaleur commençait à envahir son bas ventre.
Lorsque le débardeur épousa à nouveau son corps, elle fut gênée de constater que ses seins pointaient de façon très visible comme si ses tétons avaient l’intention de percer la fine étoffe de coton blanc.
Frédéric ne manqua pas de noter ce qu’il espérait bien être un signe d’émotion de la part de la charmante voyageuse. Il avait bien comprit qu’elle minaudait mais il espérait secrètement que la belle serait prise à son propre jeu.

Pour reprendre ses esprits, Frédéric expliqua qu’il travaillait dans une agence de communication en tant que maquettiste et qu’il consacrait une bonne partie de son temps libre à un projet artistique dont il ne dit rien de trop précis mais qui visiblement le passionnait.
Plus Vanessa l’écoutait parler et plus elle le trouvait à son goût. Il semblait doux, presque féminin, s’intéressait à l’art et aimait Paris. Vanessa voyait en lui une sorte d’esthète qui ferait un excellent guide pour l’accompagner dans ses premier pas à la capitale.
Frédéric de son coté était impressionnée par cette jeune femme qui venait à l’aventure sur Paris sans rien mis à part un sac énorme qu’elle devait avoir du mal à porter. Elle avait un caractère bien trempé et physiquement, il la trouvait très sexy.

Agacée par les deux vieilles femmes qui n’avaient pas cessé leurs ragots et leurs médisances ; elles en étaient à critiquer une petite fille de six ans qu’elles considéraient comme étant un modèle de la mauvaise éducation actuelle, Vanessa proposa à Frédéric d’aller prendre un verre au wagon-bar.
- Seulement si je vous invite, répondit le jeune homme.

Vanessa se leva de sa place et se tortilla pour atteindre le couloir de la rame avant Frédéric afin de le précéder. Elle voulait lui montrer que l’arrière était tout aussi intéressant à reluquer que son décolleté.
Frédéric suivait le minishort en jeans de Vanessa avec un regard plein de gourmandise. Derrière le vêtement, il devinait parfaitement les fesses fermes et bien rondes de la jeune femme et sa chute de reins était un vrai délice.
Arrivés au wagon-bar, le jeune homme commanda un Coca et offrit un Perrier citron à Vanessa qui le remercia comme s’il venait de lui sauver la vie.
Tout en sirotant leurs boissons, ils en profitèrent pour faire plus ample connaissance. Vanessa expliqua qu’elle avait comme pied à terre un couple qu’elle ne connaissait pas mais un ami commun avait tout organisé et Vanessa semblait être la bienvenue chez eux le temps qu’elle puisse se trouver un emploi et un petit appartement.
- Hé bien, tu es une vraie aventurière, toi ! La comparaison avec Lara Croft me semble tout à fait méritée !, lança Frédérique épatée.
- Ho, tu dis ça par ce qu’on porte bien le débardeur, répondit Vanessa en se cambrant faisant ainsi ressortir sa poitrine qui pointait plus que jamais.

Frédéric se contenta d’un petit sourire gêné pour toute réponse tandis que ses yeux dévoraient des pieds à la tête la jeune femme qui se cambrait en haut de son tabouret de bar.
Vanessa n’était pas en reste et couvait Frédéric avec des yeux de fauve. Elle trouvait de plus en plus à son goût. Elle avait parfaitement remarqué la bosse assez imposante entre les cuisses du beau jeune homme et s’amusait sans fin de son pouvoir de séduction sur la gent masculine.
Alors comme ça tu bandes petit coquin, pensa-t-elle, et tu n’as encore rien vu mon petit Fred !
- Merci encore pour la boisson, murmura-t-elle en se penchant outrageusement vers le jeune homme. Puis elle poursuivit :
- Je crève littéralement de chaud.

Elle s’appliqua alors le verre glacé sur les joues et poussa un petit soupir de satisfaction tout en plissant les yeux. Frédéric tenta de se calmer en relançant la conversation mais il comprit bien vite que Vanessa ne comptait pas le laisser s’en sortir aussi facilement.
Elle fît rouler le verre sur son décolleté tout en fixant Fred bien droit dans les yeux. Elle faisait glisser le verre lentement sur sa peau, dans un sens, puis dans l’autre, caressant d’un air faussement candide chacun de ses seins. Fred bredouillait des banalités sans se rendre compte qu’il avait les yeux rivés sur la poitrine de la charmante passagère. Vanessa se délectait de la situation au point de perdre un peu pied. Ses sens prenaient le contrôle sur sa raison et lui réclamaient désormais quelque chose de plus physique, de plus charnelle. Elle n’avait plus qu’une idée en tête : faire sauter les boutons de son mini-short ridiculement court, désormais trop serré et offrir sa chatte trempée à la bouche de ce bel inconnu. Elle s’imaginait Fred assis, son pantalon de lin aux chevilles et elle à ses pieds, la tête entre ses cuisses caressant les jambes du jeune homme de sa belle chevelure brune au rythme des vas et viens de sa bouche sur un sexe qu’elle s’imaginait long et incroyablement dur.

La sonnerie d’un téléphone portable la sortit de sa rêverie érotique. L’affluence dans le wagon bar ne cessait de croître. On pouvait entendre les gens se plaindre de la chaleur tout en sirotant un verre. Le barman, tout en encaissant les clients, expliquait que le train avait un léger problème technique qui empêchait la climatisation de fonctionner parfaitement.
- Evidement, il faut que ça tombe un jour où la chaleur nous cloue au sol, grommela un père de famille en quittant le wagon chargé de nombreuses boissons et d’une petite montagne de gobelets en plastique.

Le regard de Vanessa se posa à nouveau sur Fred qui fut prit, une fois de plus, à reluquer sa poitrine.
Elle ne put réprimer un petit sourire et lui dit à la façon d’une maîtresse d’école qui gronde un de ses élève :
- Dis-donc ! Qu’est ce que tu regardes comme ça ?

Déjà bien rouge, le visage de Fred vira instantanément à l’écarlate ; son regard cherchait désespérément un point sur lequel se fixer. Il se posa finalement sur un petit morceau de tissu rouge qui sortait de la poche du short en jeans de Vanessa.
Il tenta d’évincer la question posée par la jeune femme et dit :
- Heu… Tu as un truc qui sort de ta poche là. Fais gaffe, tu risques de le perdre.
- Quoi ? Où ça ?
- Juste là, répondit Fred en se penchant et en tendant la main vers le short de Vanessa.

Vanessa se rappela alors qu’elle avait gardé la culotte de Katia. En effet, un petit bout de tissu rose fuchsia sortait de la poche droite de son short. Vanessa gênée tenta de remettre bien au fond de sa poche la culotte fugueuse de son amie mais son mini-short ultra serré ne lui facilita pas la tache. Elle du se lever pour faire passer sa main dans l’étroite poche. Fred nota que le visage de sa jolie voyageuse s’était subitement empourpré. L’occasion d’inverser les rôles était trop belle et il ne voulait pas rater l’occasion de voir cette jolie femme dans un gentil embarras. Et puis… Il se demandait bien ce que pouvait être ce petit bout de tissu entre aperçu et qui avait pourtant fait bondir Vanessa de son tabouret de bar.
- Je me demande bien ce que Lara Croft cache la poche de son short, demanda Fred amusé.

Vanessa tapota son short, se rassit.
- Si je te le disais, je devrais te tuer, répondit-elle avait un petit sourire.
- Quel mystère ! Là j’avoue que ça pique ma curiosité, insista-t-il.

A cet instant, elle comprit qu’il avait décidé de reprendre le contrôle de la situation. Son excitation, était-ce possible, monta encore d’un cran. Elle adorait ce petit jeu aux règles tacites et dont elle était persuadée de sortir vainqueur.
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Connaître un des secrets de Lara Croft ? J’en crève !, répondit Fred avec un air de défi.

Vanessa regarda autour d’elle. L’endroit, désormais bondé de monde, n’était pas propice à la révélation d’un secret mais chauffée par ses sens, elle releva le défi du jeune homme.
- Tu es joueur ?
- Très joueur oui, dit-il en insistant bien sur le « très ». Il affichait un sourire un peu macho et plein d’arrogance comme si le triomphe et la gloire était à portée de main. Vanessa trouva que cette assurance lui donnait encore plus de charme.
- On se fait un pierre, feuille, ciseaux. Si tu gagnes, je te montre ce qu’il y a dans ma poche.
- Et si c’est toi qui gagne ?
- J’emporte mon secret dans la tombe et… tu m’offres un Coca light.
- Ca me va.
- Alors c’est parti.

Ils placèrent une main dans leur dos en se regardant droit dans les yeux.
1, 2, 3
Fred tendit un poing fermé que Vanessa couvrit de sa main.
- La feuille recouvre la pierre. J’ai gagné, j’ai gagné, j’ai gagné !, dit Vanessa en sautillant sur son tabouret et en levant les bras au ciel en signe de victoire.

Fred grimaça quelques instants visiblement déçu puis fit contre mauvaise fortune bon cœur et il la félicita avec un grand sourire avant de se lever pour acheter un Coca light.
Il revint quelques instants plus tard et tendit la canette métallique à une Vanessa triomphante qui bomba le torse pour recevoir son prix.
- C’est bondé de monde, on retourne à nos places ?, proposa-t-elle.
- Oui, allons-y.

Vanessa précéda le jeune homme dans le couloir. Elle avançait péniblement traversant les rames en s’accrochant aux fauteuils des passagers, en se tassant sur un bord pour laisser passer des personnes transpirantes qui allaient en sens inverse, probablement vers le wagon-bar.
- Tu arrives à me suivre ?, demanda-t-elle en se retournant. Elle eu le temps de se rendre compte que Fred reluquait ses fesses. Il leva rapidement les yeux mais savait qu’il avait été, une fois de plus, pris la main dans le sac. Pour toute réponse, il se contenta de hocher la tête.
- Ok, on continue… Et arrête de mater mes fesses ou ne prend pas cet air gêné quand je te prends en flag’, dit-elle avec un sourire triomphant.
- Non… C’est juste que je me demande toujours ce qu’il y a dans cette poche moi !, tenta de dire Fred pour sauver la face.
- Mouais, c’est ça !

Puis Vanessa reprit sa pénible marche vers leurs places.
Elle n’avait pas remarqué que la culotte de Katia était à nouveau partiellement sortie de sa poche.
Fred quand à lui tentait de deviner ce que pouvait bien être ce petit morceau d’étoffe. Il spécula et opta pour un foulard ou un mouchoir et fut assez déçu de ses conclusions.

Ils arrivèrent à un passage encore plus étroit et moins bien éclairé, au niveau des toilettes. Un homme de forte corpulence avec un maillot de supporter de foot marchait dans la direction opposée et la bouscula sans s’excuser.
- Quel con !, dit Vanessa tout en se retournant.

Durant la bousculade, elle ne nota pas que la culotte de Katia avait été accrochée pour finalement tomber par terre.
- Fred ramassa le sous-vêtement et identifia immédiatement l’objet. Il le cacha immédiatement du regard des autres voyageurs.

Vanessa qui l’avait vu ramasser la culotte attendit sa réaction.
Elle ne se fit pas attendre :
- Alors comme ça Lara Croft se la joue sans culotte derrière son short ?, nargua Fred qui affichait un sourire radieux. Il avait gagné la partie finalement songeait-il.

Vanessa le trouva irrésistible avec son assurance et son air triomphant. Elle se retenait pour ne pas lui faire des avances ou garder un comportement plus ou moins neutre à son égard.
Elle ne put toutefois pas s’empêcher de lui dire un mot gentil :
- Tu sais que tu es très mignon quand tu crois avoir gagné ?

Fred sembla déstabilisé un court instant par la franchise de la jeune femme puis, sans doute galvanisé par le compliment, prit encore plus d’assurance. Il attendit que personne ne soit à proximité puis il agita la culotte rose fuchsia qui sous les yeux de Vanessa :
- Ha oui, je crois avoir gagné ? Et qu’est ce que Mademoiselle sans culotte répond à ça ?
Vanessa n’en revenait pas de l’assurance que Fred avait pris en l’espace de quelques instants : dire qu’il passait écarlate en regardant ces seins il y a encore moins d’une heure !
- Que j’ai ma culotte, regarde !

Et Vanessa plongea la main dans son short et saisit le haut de son string, le tira fermement vers le haut pour le montrer à Fred. Vanessa senti la culotte se tendre au niveau de son sexe pour remonter en frottant largement sur son clitoris plus excité que jamais.
Fred aperçu le bout de tissu tendu comme une toile de tente qui sortait du short minuscule de Vanessa. Il la trouva à la fois sans gène et terriblement sexy d’oser exhiber à un inconnu ses sous-vêtements comme ça, dans un train. Chauffé à blanc il se risqua à un audacieux :
- Dommage, je crois que je t’ aurai trouvé encore plus sexy si tu n’avais pas eu de culotte sous ton short.
- Oui mais là, ça pourrait passer pour de la provocation, répondit Vanessa en lui adressant un clin d’œil.
- Alors, c’est quoi cette culotte ?, demanda Fred.
- Un trophée…, répondit-elle sans plus de précision tout en reprenant le string de Katia qu’elle remit immédiatement dans la poche de son short.

Vanessa constata qu’ils n’avaient pas bougé depuis tout à l’heure et qu’ils étaient toujours justes à coté des toilettes. Poussée par ses sens elle dit :
- J’ai besoin d’aller au petit coin, on se retrouve à nos places ?
- Oui, répondit Fred visiblement déçu de voir la conversation se terminer de façon si brutale.

A peine entrée dans les toilettes, Vanessa posa la canette de Coca light sur le bord du petit évier, déboutonna son short, le fit glisser le long de ses jambes et le balança d’un petit coup de pied sur la paroi à quelques dizaines de centimètres en face d’elle.
Elle ne prit pas le temps d’en faire de même avec son string qu’elle laissa piteusement enroulé autour de sa cheville gauche. Rapidement, elle s’assit sur les toilettes, remonta son débardeur au dessus de ses seins luisants de sueur. Sans plus de détour, elle écarta les jambes, posa un pied sur une des parois puis plongea sa main droite vers son intimité. De l’autre main, elle se caressa les seins qui se balançaient légèrement au rythme des secousses du TGV.
Sa main droite n’eut pas besoin d’écarter ses lèvres pour rencontrer une humidité qui trahissait déjà une forte excitation.

Elle passa quelques instants à étaler sa mouille sur sa fente douce et luisante mais aussi sur ses cuisses, sur son ventre et même sur ses seins. Elle aurait voulu que tout son corps sente l’odeur de son désir comme si elle arborait un délicieux parfum terriblement sexuel. Elle enfonça son majeur dans son intimité puis le ressorti pour le porter à sa bouche. Elle voulait se goûter, connaître les propres secrets qu’elle portait en elle et qu’elle avait à offrir. Elle suça puis lécha son doigt avec gourmandise fermant les yeux pour mieux en apprécier le goût. Une pensée pour Katia lui traversa l’esprit. Elle se revit quelques heures plus tôt, au milieu des herbes en train de lécher son amie. Le goût était presque similaire et la sensation qu’elle avait en avalant cet interdit nectar était toute aussi grisante. Totalement sous l’emprise de ses sens, son regard se posa sur la canette de soda posée sur le petit évier. Elle s’en saisit et sa la passa lentement sur son visage. La fraîcheur, vive et soudaine, lui donna la chair de poule, ses seins pointaient plus que jamais. Elle plaça une main sur son intimité : la sueur se mêlait à son excitation. Elle écarta ses lèvres d’un geste expert de la main droite et de l’autre elle effleura son clitoris chauffé à blanc avec la canette de soda. Le contact de la canette fraîche sur son clitoris brûlant déclencha un éclair qui se propagea dans tout son bas ventre.

Surprise, elle ne s’attendait pas à une réaction si violente. Elle observa la canette avec un air de gourmandise puis replaça l’objet entre ses jambes. A nouveau, le contact de sa chatte et du métal froid déclencha une décharge de plaisir qui partit de son bas ventre pour se propager comme une onde de choc dans tout son corps. Elle réprima du mieux qu’elle le pu un gémissement de plaisir. Tandis qu’elle maintenait d’une main la canette entre ses jambes, elle se caressait la poitrine de l’autre passant d’un sein à l’autre dans une torride caresse. Elle faisait de petits mouvements avec son bassin pour faire glisser sa chatte le long de la canette. Les lèvres de son intimité avaient épousé la forme arrondie de l’objet que sa vulve semblait embrasser en un brûlant baiser. Vanessa se pâmait complètement, ses mouvements de bassin devenaient de plus en plus rapides, saccadés. Son corps réclamait plus que la froide caresse du métal le long de son sexe. Elle s’enfonça le majeur dans sa chatte trempée. Sa respiration était lourde et elle s’abandonnait à quelques gémissements qu’elle espérait discrets. Tous ses sens explosaient et lui réclamaient l’extase du plaisir charnel. Hagarde, elle jeta un regard perdu dans la minuscule pièce. Un instant, elle posa un regard obscène sur la canette de soda avant de se saisir de l’objet d’une main tremblante.

Une secousse du train un peu plus forte que les autres lui remis un peu les idées en place. Tout à coup, elle réalisa ce dont elle devait avoir l’air à l’instant. Elle se trouva un peu ridicule : nue dans les toilettes d’un TGV surchauffé par un soleil d’été à se masturber comme une collégienne qui fantasme sur sa star préférée ! Ses cheveux collés sur son corps par la sueur, les jambes écartées à l’extrême, la chatte moite et ouverte pour accueillir ses doigts. Elle ne pu réprimer un petit rire tant elle se trouvait grotesque à cet instant. Un large sourire aux lèvres, elle reposa la canette de soda sur le bord du petit lavabo puis son regard se posa sur son string toujours enroulé autour de sa cheville gauche. Elle ôta totalement le sous-vêtement qu’elle abandonna négligemment sur le sol. Elle enfila son mini-short qu’elle fit glisser le long de ses jambes luisantes de sueur. Elle fut tentée de se masturber encore quelques instants avant de fermer les boutons mais se félicita de résister à la tentation. Elle rabaissa son débardeur sur son sa poitrine puis se releva et regarda son reflet dans le miroir pour ajuster sa tenue. Ses joues étaient roses, sa chevelure ressemblait à une serpillière et son débardeur était si trempé qu’en plus de lui coller au corps comme une seconde peau, il laissait largement percevoir sa poitrine tant il était devenu transparent. Il allait falloir affronter un TGV bondé dans cet état. Elle ramassa son string qu’elle serra dans son poing, prit le soda, inspira profondément et sortit des toilettes. Elle traversa les rames aussi vite qu’elle le put. Comme elle le présageait, les regards sur sa poitrine étaient nombreux et appuyés. Il faut dire que dans son accoutrement, elle ressemblait plus à une Miss T-shirt mouillé qu’à une passagère ordinaire.
Lorsqu’elle arriva enfin à sa place, Fred lui jeta un regard interrogateur tout en en profitant pour se rincer l’œil tandis qu’elle se faufilait entre les deux vieilles plus outrées que jamais.
- He ben ! Il devait faire chaud dans ces toilettes, t’es complètement trempée !
- Tu n’imagines même pas, une véritable étuve !, répliqua-t-elle en posant le soda sur la table.
- c’est vrai que c’est dingue qu’ils fassent partir un train par cette chaleur alors que la clim’ ne fonctionne pas.
- Oui, c’est sur que des voyageurs vont râler !
- En même temps, je pense que certains sont plutôt satisfaits de la situation répondit Fred en désignant discrètement d’un geste du menton la poitrine de la jeune passagère.

Vanessa se sentit rougir et décolla son débardeur qui se recolla à l’identique dès qu’elle le relâcha.
- C’est ton cas ?, osa-t-elle finalement demander.
Le regard de Fred se posa sur la table et il dit :
- Je ne vais pas me plaindre, tu es vraiment charmante.
- Oui et avec l’état de mes fringues, j’ai l’impression de me balader topless.

Le jeune homme jeta un regard assumé sur la poitrine offerte de Vanessa qui ne chercha pas à la cacher. Sans s’en rendre compte, Fred s’était mis à jouer avec la canette de soda. Lorsque Vanessa s’en aperçu, elle fut à la fois troublée et gênée. Quelques minutes plus tôt, l’objet était entre ses cuisses caressant sa chatte humide pour son plus grand plaisir.
- Rassure-toi, ton débardeur joue encore un peu son rôle, répliqua-t-il enhardi et en soutenant le regard de la jeune femme.
- Ha bon, tu trouves ?, répondit Vanessa en bombant le torse pour offrir ses seins à la vue de Fred.

Fred sentait le désir monter en lui devant cette belle femme qui lui faisait des avances à peine voilées.
Grisé par la situation et largement sous l’emprise des charmes de Vanessa, son comportement se faisait plus audacieux, plus direct. Il observa longuement la poitrine de la voyageuse qui semblait attendre comme un verdict, un jugement. Fred pouvait aisément admirer ses formes généreuses dont l’arrondi parfait n’était brisé que par ses seins qui pointaient outrageusement et semblaient pousser le tissu vers l’avant. Fred voulu y voir un bon présage pour lui. En insistant un peu, il arrivait à percevoir l’auréole de ses seins qui se dessinait comme deux petites îles derrière le brouillard de son vêtement pas tout à fait transparent.
Puis il releva les yeux et son regard et croisa celui de Vanessa. Il était chaud et provoquant. Visiblement, elle se délectait d’offrir ce beau spectacle à ce jeune et bel inconnu. Elle ne cachait plus son jeu et cela chauffa les sens de Fred.
- Alors, mon débardeur joue encore son rôle ?, demanda Vanessa en faisant dodeliner ses seins devant son interlocuteur.

Fred avala sa salive avant de répondre comme hypnotisé :
- Encore un peu oui…

Machinalement, il décapsula la canette de soda. Il était sur le point de la porter à sa bouche lorsque Vanessa le stoppa. Interloqué, il examina la canette puis il porta un regard interrogateur à la jeune femme visiblement très mal à l’aise.
- Quoi ?, demanda-t-il intrigué et amusé par la gêne soudaine de la voyageuse.
- Ne… File-moi cette canette, répondit-elle le regard fuyant.
- Quoi ?, répéta-t-il avec insistance.
- Je pense qu’il ne faut pas que tu boives ce Coca, murmura-t-elle.
- Je ne pige pas ! Bon ok, la canette n’est plus super fraîche mais bon… Qu’est ce que tu as fait avec…

Soudain, une idée traversa l’esprit de Fred. Il regarda Vanessa, interdit, les yeux exorbités comme s’il venait de découvrir un incroyable secret.
Voyant Vanessa devenir rouge écarlate, il comprit immédiatement qu’il avait vu juste.
Pour autant, il ne lâcha pas la canette de soda.
Mille questions lui passèrent par la tête mais pas une n’était décemment abordable. Son regard passait de la canette à Vanessa puis de Vanessa à la canette.
- Ce n’est pas ce que tu crois, tenta de couper court Vanessa pour reprendre le contrôle de la situation.
Fred se pencha à son tour sur la petite table et murmura :
- Dans ce cas dis-moi ce qui s’est passé avec ce coca !

Vanessa était gênée et ne savait plus où se mettre. Cette fois, elle était acculée et se demandait bien comment elle allait se sortir de cette situation sans devoir avouer, au moins partiellement, ses prouesses dans les toilettes quelques instants plus tôt.
- Je… Je crois que cette chaleur, ce train et tout le reste m’a fait un peu perdre pied et tourner la tête, bredouilla-t-elle.
- Tu ne peux pas être plus précise, insista Fred avec un petit sourire entendu.
Vanessa décida de rendre les armes et de lui dire ce qu’il finirait de toute façon par entendre. Autant en finir au plus vite.
- C’est bon tu as gagné… Je me suis… rafraîchie un peu partout avec ce maudit Coca !
Fred n’en pouvait plus ; son sexe était plus dur que jamais et cette dernière confession avait achevé de l’allumer complètement.
- Je trouve ça, très sexy et très… excitant, avoua-t-il à son tour.

Les dernières défenses de Vanessa tombèrent, réduites à néant. Intérieurement, elle espérait des avances immédiates de Fred pour y céder volontiers. Elle voyait parfaitement le feu dans les yeux du jeune homme et imaginait le combat qui se passait en lui pour résister à la tentation.
Contre toute attente, il se pencha brusquement sur la table pour lui murmurer quelque chose. Vanessa nota que sa respiration était rapide et qu’il transpirait au moins autant qu’elle.
- Je sais que je vais passer pour un dingue et pardonne-moi si je te choque mais… je te trouve vraiment magnifique hyper attirante et je crève d’envie de te faire l’amour dans ce train…

Il était suspendu aux lèvres de Vanessa, guettant le moindre signe, la moindre réaction.
Celle-ci ne se fit pas attendre. Vanessa se leva et adressa un petit geste de la tête qui invitait Fred à la suivre. Elle se réjouissait de retourner dans les toilettes pour assouvir son désir, faire offrande de son corps brûlant à son compagnon de quelques heures.
Fébriles, tout deux se dirigèrent à la hâte vers les toilettes ; Vanessa ouvrait la voie tandis que Fred la suivant en observant sa silhouette onduler et se faufiler avec agilité entre les passagers du train plus surchauffé que jamais.
La porte des toilettes était enfin à portée de vue, le cœur de Fred battait à tout rompre.
Tout à coup, une voix retentit dans tout le train :
- Mesdames et Messieurs, le train entrera en gare de Paris gare de Lyon dans quelques minutes. Nous vous prions de nous excuser pour le problème de climatisation et espérons que vous avez fait un agréable voyage. Merci de vous assurer que vous n’oubliez aucun bagage à la sortie du train. »

Vanessa se retourna, la déception et la frustration se lisait sur le visage de Fred.
Elle lui posa la main sur le bras et lui fit une petite caresse.
- Je crois que ça sera pour une prochaine fois, dit-elle avec un petit sourire résigné.

Fred se contenta de hocher la tête, faiblement, comme si toute vigueur l’avait quitté.
- Donne-moi ta main, demanda-t-elle.

Fred la regarda interrogateur, un peu perdu dans son désir qu’il devait se résigner à voir inassouvi.
Vanessa se saisit de la main du jeune homme et y plaça quelque chose.
- Qu’est ce que c’est ? demanda-t-il sans se donner la peine d’ouvrir la main.
- Un trophée dit-elle avec un sourire entendu. Puis elle ajouta :
- Ca nous obligera à nous revoir pour que je le récupère…

Fred ouvrit la main et découvrit un petit morceau de tissu. Il reconnu immédiatement le string que la jeune femme portait et qu’elle avait tiré hors de son short pour lui prouver qu’elle portait bien, à ce moment là, un sous-vêtement.
Ils échangèrent leurs numéros de portable et se dirigèrent à nouveau vers leurs places pour récupérer leurs affaires.
Quelques instants plus tard, le train se stoppa, les portes s’ouvrirent.

Sur le quai Fred et Vanessa s’échangèrent un simple « au revoir » comme si le fait de sortir du train avait rompu un charme. Puis ils se mélangèrent avec le flot de voyageurs qui se dirigeait vers la sortie. Sans vraiment s’en rendre compte, ils se perdirent l’un l’autre dans cette marée humaine.
Vanessa était radieuse. Le voyage qu’elle redoutait long et ennuyeux s’était révélé particulièrement amusant et avait passé à la vitesse d’un battement de cil. Et plus que tout, elle allait enfin découvrir la capitale…
9 vote(s)


Histoire de Vanessa

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : L'essence de Vanessa 2


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :