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L'été de Cassandra - partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/09/2022

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Mon cher journal intime, voici le récit de mon plus bel été. Je n’ai pas pu t’emmener avec moi en vacances, alors je vais essayer de tout te résumer, mais il s’est passé tellement de choses !
Cette année, je suis maintenant une adulte. J’ai eu mes 18 ans, et j’ai décidé de partir sans les Parents. Je suis partie avec Déborah. Je l’aime. C’est ma meilleure amie, et elle aussi elle m’aime. Avec ses cheveux courts, son joli visage, ses yeux noirs et ses cils épais, elle fait garçon. Tout en elle m’attire. Son piercing dans le nez, ses petits seins qui pointent sous ses chemises qu’elle porte entrouverte pour les laisser apparaître discrètement.
Dès notre première rencontre au lycée je suis tombée amoureuse d’elle. C’était en début d’année. Des abrutis de garçons avaient commencé à m’embêter : « Alors, tu mouilles ? T’as de gros nichons, viens nous sucer ! » Déborah n’avait pas hésité un seul instant. Elle était intervenue pour prendre ma défense. Le plus grand des gars s’était dressé devant elle, et là, à la surprise de tous, elle lui a envoyé un directe en pleine figure ! Le gars a saigné et je suis partie d’un fou rire monumental en voyant ça mine déconfite, ce qui l’a mis en colère. Avant qu’il ne réagisse, un surveillant et intervenu. Les gars se sont pleins comme des mauviettes, et nous avons finis toutes les deux avec une heure de colle.
Nous sommes donc restées seules, ensemble, dans la classe de perm. Je ne la connaissais pas, mais j’étais en admiration devant son courage et nous sommes ainsi devenues les meilleures amies. Je lui ai dit : « je ne sais pas comment te remercier. » Elle m’a répondu, « Moi je sais ! » Son visage s’est rapproché du mien. Nos yeux se sont rencontrés. Son regard était intense, et nos lèvres se sont touchées. C’était notre premier baiser. Du bout des lèvres d’abord, puis toute la bouche. Mais quand elle a mis sa langue, je me suis retirée brusquement. J’étais gênée, mais aussi excitée. Elle ne dit rien, ne bougea pas et me regarda tendrement. Alors cette fois-ci ce fut moi qui approchai mes lèvres, et nous échangèrent alors un vrai baiser, avec nos langues entremêlées l’une à l’autre. C’était délicieux.
Depuis nous ne nous sommes plus quittées. Aucun garçon n’est plus jamais venu m’embêter. Aussi, à la fin de l’année, pour fêter notre bac, nous avons décidé de partir ensemble en vacances, en camping. Toutes seules, sans personne, car nous étions toutes les deux adultes. Papa et Maman étaient d’accord. C’était la récompense que nous avions convenu pour avoir le bac et mon entrée à la Fac. Ils étaient rassurés que je parte avec une fille, qui avait du caractère en plus, mais ils étaient loin de se douter que nous étions amoureuses l’une de l’autre.
Arrivée au camping, j’étais tout excitée. Nous allions passer notre première nuit ensemble, sous la même tente ! Ce fut merveilleux et torride. J’avais envie d’elle depuis si longtemps, mais jusqu’à maintenant nous n’avions jamais pu faire l’amour ensemble. On s’était embrassées en cachette, et aussi caressé les seins. Ses mains se pressaient de temps en temps sur mes fesses et entre mes cuisses, mais il fallait nous cacher. Nous n’avions jamais pu trouver un endroit tranquille pour se retrouver l’une et l’autre et aller jusqu’au bout. Ce soir-là arriva. Nous étions enfin seules, sous cette tente minuscule. Son corps était pressé contre le mien, car de toute manière il n’y avait pas de place de faire autrement. Avec la chaleur, nous étions en sueur. Moi en sous-vêtements, et elle entièrement nue. C’était la première fois qu’elle se mettait nue devant moi mais je ne pus pas admirer son corps, car nous étions couchées l’une à côté de l’autre par manque de place, et dans le noir. Je la sentais tout contre moi. Son corps moite contre le mien. Sa peau douce se frotter contre moi. D’abord nos lèvres, puis nos mains se joignirent l’une à l’autre. Je sentis son sexe chaud et humide se frotter contre ma cuisse. A ma grande surprise, se m’aperçus qu’elle n’avait pas de poils. J’avais honte, car moi j’avais gardé les miens. N’osant pas m’épiler, car ma mère m’avait dit : « tu es encore trop jeune pour ça ». Déborah frotta aussi sa cuisse entre mes jambes et je sentis la douce chaleur monter dans mon bas centre. Tout alla très vite et se fit naturellement, en douceur. Elle glissa ses mains délicates dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge, libérant mes seins lourds de leur étreinte. Je les lui présentais, fièrement et elle les prit dans sa bouche. C’était délicieux. Elle les lécha, les mordilla et fit semblant de les manger, ce qui me ravi et me faisait rire. Je connaissais déjà ces caresses. Elle me les avait faites souvent. Sa main qui descendit lentement vers mon sexe, je la connaissais aussi déjà, et je l’accueillant avec bienveillance. Ce qui était nouveau, c’est qu’au lieu d’effleurer le tissu de mon jeans comme les autres fois, elle rentra sous ma culotte, pour la première fois. Sa main atteignit mes poils pubiens et elle s’arrêta brusquement pour me dire avec surprise : « Tu as gardé ta fourrure ? » « Oui, je lui répondis, toute gênée, d’une petite voix. Je n’ai pas pu la raser. Cela te dérange ? ». Elle se rendit compte qu’elle avait été un peu trop sèche, c’est son caractère, je la connais. « Non, me dit-elle plus doucement, ça ne me dérange pas, mais c’est plus facile sans, me confia-t-elle ? » Qu’est-ce qui est es plus facile, lui demandais-je ? » Elle hésita quelques instants, puis elle me répondit d’un air malicieux : « Tu verras bien… ». Elle replongea aussitôt sa tête entre mes seins, et la progression de ses doigts dans ma culotte, qui était maintenant entièrement mouillée. Machinalement, j’écartais mes jambes en grand pour l’aider dans sa progression. Elle trouva très rapidement et avec une grande habileté les points sensibles. J’étais plus que prête, si bien qu’il ne lui fut pas long pour faire éclater mon plaisir. Ce fut un bonheur intense, puissant. Mon premier orgasme donné par quelqu’un d’autre que moi-même, et pour cela, je lui suis éternellement reconnaissante. Je me mordis la main pour ne laisser aucun bruit lors de ma jouissance, car je ne voulais pas que tout le camping fut au courant. Une fois mon plaisir passé, elle me dit « Ah ton tour », en remontant sur moi et mettant sa minuscule poitrine à la hauteur de son visage. Si j’étais habituée à jouer avec ses seins, titiller ses tétons pointus pour les faire durcir, je n’avais jamais fait le reste, plus bas. Je lui avais juste glissé de temps à autre ma cuisse entre son sexe, et elle s’était frottée toute seule, ou une fois j’avais posé ma main sur la braguette de son jeans, et là encore elle s’était frottée contre ma paume pour se donner du plaisir, mais c’est tout. Là, il fallait que je parte à l’exploration. Même si j’étais aussi une femme, j’avais peur. C’était ma première fois. Elle comprit, et pris ma main dans la sienne, et me guida. Elle plaqua fermement ma main contre son sexe imberbe. Ses cuisses ouvertes, je sentis immédiatement l’humidité de son ouverture. Très vite mes doigts trouvèrent l’entrée de son vagin, et je les introduisis. Puis mon pouce remonta plus haut, et je sentis son clitoris tout gonflé que je fis rouler délicatement. « Oui, comme cela, me susurra-t-elle avec une voix douce. Ma main s’activa, comme si c’était mon propre sexe que je masturbais. Je l’avais fait si souvent. J’avais trouvé mes repères, j’étais maintenant en terrain conquis et savais quoi faire. Ainsi rassurée, j’embrassai à pleine bouche ses tétons bien dressés maintenant. Ma main devenait de plus en plus hardie. Avec le liquide qui coulait abondamment sur mes doigts, j’allais aussi lui caresser le bord de l’anus, comme j’aimais à le faire lorsque je me masturbais. Elle réagit en me serrant plus fort dans ses bars et m’encouragea : « Oh, oui, vas-y. Je vais jouir comme cela ! » Alors je sortis le grand jeu. Je tentais le tout pour le tout. De la même manière que je le faisais pour moi lorsque j’étais au comble de l’excitation, je lui malaxais avec une violence inouïe ses deux orifices. L’un avec mon index, et l’autre mon pouce. Je sentis des spasmes arriver. Ses bras m’étouffaient, ses ongles me déchiraient le dos et elle me mordit l’épaule, elle aussi pour étouffer ses gémissements. Mais je ne m’arrêtais pas pour autant. J’étais prise d’une furie, celle de la voir jouir. Je voulais tellement lui donner du plaisir, que ça ne s’arrête jamais. Effectivement, très rapidement, un second spasme arriva. Je sentais le liquide couler abondamment entre mes doigts, un troisième orgasme arriva un peu plus tard, et enfin se fut le silence. Elle me relâcha. Je retirais délicatement ma main et lui exhibait de manière triomphale, avec un grand sourire. Elle me lécha les doigts, un par un, langoureusement, et s’attarda sur l’index qui était allé profond dans son cul et me regarda droit dans les yeux avec son grand sourire coquin. Même s’il faisait noir, je devinais la flamme qui y brillait. Nous nous embrassâmes et nous endormîmes entrelacées. Ce fut ma plus belle nuit.
Au petit matin, je me réveillais avec encore ce feu entre mes cuisses. J’avais de nouveau envie de faire l’amour avec ma belle, et visiblement elle aussi. Mais nous avions entendus des bruits tous proches. Des pas, comme si quelqu’un marchait dans notre tente. C’étaient en fait les voisins qui étaient réveillés. On s’est rendu compte qu’on entendait tout à travers les toiles de tente. Ils avaient dû nous entendre la veille. Nous nous sommes mis à ricaner, puis nous nous sommes habillées tant bien que mal et levées, en dehors de la tente, à l’air libre.
La journée fut longue. J’attendais avec impatience la tombée de la nuit pour me retrouver de nouveau nue sous la tente avec Déborah et refaire l’amour avec elle. Mais il en fut autrement. Nous passions l’après-midi à bronzer sur le bord de la piscine du camping. Des garçons nous avaient remarquées et nous reluquaient, ne sachant pas comment nous aborder. Il faut dire que Déborah, puis plus délurée et moins pudique que moi, s’amusait à les aguicher. Elle ouvrait largement ses cuisses, et les regardaient droit dans les yeux jusqu’à ce qu’ils bandent. On pouffait alors de rire. Puis au bout d’un moment, elle me dit : « Viens, on va prendre notre douche. _ Maintenant, mais c’est bien trop tôt ! _ Justement, me répondit-elle d’un sourire coquin. Elle me prit par la main et m’emmena au bloc sanitaire. A peine le temps de prendre mes vêtements et ma serviette. Déborah courait presque, avec un petit rire espiègle. Bien évidemment, à cette heure-ci, toutes les douches étaient vides. Elle vérifia que personne n’était dans le bloc ou ne nous avait vu rentrer, puis elle ouvrit la porte de la douche handicapée, et m’y fit rentrer avec elle. Je comprenais maintenant où elle voulait en venir. En un éclair, elle fit glisser son maillot de bain deux pièces, et se trouva complètement nue sous mes yeux ébahis. Elle alla sous la douche et alluma l’eau. « Allez viens me dit-elle, elle est bonne ! ». Je la voyais enfin ! Elle était là, sous mes yeux. Son superbe corps uniquement recouvert des perles d’eau qui coulaient le long des ses formes féminines. J’admirai sa belle taille, si fine, dont j’étais jalouse. Son ventre plat, interminable, qui débouchait sur les lèvres charnues de son sexe soigneusement épilé. « Je te plais ? Tu aimes le spectacle ? me dit-elle en levant une cuisse lorsqu’elle s’aperçu que je la dévorai du regard. Les grandes lèvres de son sexe s’entrouvrirent, et je pu voir qu’elle n’était plus une enfant, mais une femme, avec un sexe de femme, qui attendait mes caresses. Je sortais de ma rêverie, et en oubliant ma pudeur, je fis voler moi aussi mon maillot de bain, et la rejoignit sous la douche. Elle me prit immédiatement par la taille et nous nous embrassâmes langoureusement sous l’eau. Elle avait eu une idée formidable. Nous pouvions enfin évoluer librement, en toute liberté, et nous aimer sans aucune retenue. Nous langues s’emmêlaient, nos mains parcouraient le corps de l’autre. D’abord la tête, puis les épaules, le dos et enfin les fesses. On se massait mutuellement lorsque je pris l’initiative en faisant glisser un doigt le long de sa raie jusqu’à atteindre son petit trou. Avec l’aide de l’eau, je n’avais pas besoin de l’humecter. Mon doigt glissa facilement dans son interstice. Elle fit de même. Ce fut délicieux. Alors tout naturellement nos cuisses se sont entremêlées. La sienne entre le mienne et vis-versa. Mon sexe frottait de tout son long contre sa jambe, et je sentais le sien contre la mienne. Nous étions en contacte l’une avec l’autre, comme un seul corps, uni pour prendre du plaisir. Nous ondulions, l’une sur l’autre, au rythme de nos doigts dans le cul, au rythme de nos cuisses sur nos clitos. La chaleur montait. Je me cambrai sous le plaisir, ouvrant ma lourde poitrine à sa bouche. Elle la saisit de sa main libre et me goba sensuellement les bouts des tétons. Elle enfouit sa tête entre mes seins, fit mine de les manger, puis descendis lentement, sa bouche collée contre mon ventre. Elle enfonça sa langue dans mon nombril, me laissant présager la suite, puis reprit sa descente. Ce fut le tour de ma toison, qu’elle effleura du bout des lèvres. Elle fut enfin en face de l’objet de mes désirs mais s’arrêta. J’étais là. Les jambes ouvertes, offerte devant elle. « Tu aimes le spectacle ? » Lui lançais-je d’un air moqueur ! Elle me sourit, puis reprit son sérieux et sorti sa langue. Du bout elle me titilla là ! Exactement à l’endroit voulu. Avec une précision extraordinaire elle avait touché du premier coup mon bouton. Je poussais un soupir de plaisir. Puis de petits coups de langues rapides me confirmèrent cet attouchement. C’était la première fois que j’offrais mon sexe à la bouche de quelqu’un. Je n’avais aucune honte, aucune appréhension. Je le voulais. C’était délicieux, un pur bonheur. Sa langue explora chaque parcelle de mon entre-jambe. Elle s’insinua profondément dans mon vagin, son nez frottant contre mon clito. J’ai cru qu’elle allait étouffer. J’aurai pu éclater de rire si le plaisir ne reprit le dessus et paralysa tout mon corps, me donnant des spasmes de pure jouissance qui me firent crier de bonheur. Heureusement le bruit de la douche camouflait mes gémissements. Cela dura longtemps. Je profitais au maximum de mon premier cunnilingus, me malaxant la poitrine et invitant ma partenaire à me masser les fesses pendant que sa langue effectuait son travail dans mon sexe. La jouissance arriva progressivement. Je la sentis monter, petit à petit et finalement elle explosa dans mon ventre, rayonnant dans tout mon corps. Je voulais que cela dure plus longtemps, mais je pensais aussi à Déborah. Je l’invitai à remonter. Elle m’embrassa sur la bouche cette fois-ci. Ces lèvres avaient le goût de mon sexe. Cela m’excita. J’aimais cette odeur et j’en voulais encore. Je descendis donc à mon tour à l’exploration de ce territoire inconnue, tout excitée, mais aussi un peu anxieuse. Est-ce que je serais aussi habile avec ma langue que Déborah ? Je ne l’avais jamais fait. La peau de son ventre était douce à mes lèvres. Son pubis imberbe était comme du satin. J’arrivai enfin en vue de mon objectif tant attendu. Son sexe était là, offert, juste sous mes yeux, à quelques centimètres de mes lèvres… Il me suffit de sortir ma langue pour l’atteindre, et je pu gouter à son jus. Je lui fis avec ma bouche tout ce que j’avais imaginé dans mes rêves les plus torrides. Je jouais avec son clitoris comme un gosse avec son nouveau cadeau de Noël. J’explorai chacun des recoins de son sexe avec minutie, en notant précieusement chacune de ses réactions. Elle était telle un instrument de musique dont je tirai les sons les plus harmonieux du bout de ma langue. Mes doigts non plus n’étaient pas en reste. Si ma bouche s’occupait du devant, mes mains écartaient ses petites fesses pour y introduire mon majeur dans son derrière. A en croire ses réactions, cela lui plaisait bien, et j’eu la joie de la voir jouir plus d’une fois sous mes coups de langues. Lorsqu’elle fut rassasiée, je me relevai et elle me prit tendrement dans ses bras pour m’embrasser de manière très affectueuse, comme pour me remercier. C’était un moment très doux, qui fut malheureusement interrompu par des coups à la porte de la cabine : « Y en a encore pour longtemps ? Vous n’êtes pas toute seule, il y en a d’autres qui veulent se laver ! » Nous nous mîmes à rire. Un rire complice qui en disait long sur notre relation. Nous nous sommes vites rhabillées, comme des voleuses, et nous sommes sorties de la cabine en faisant de grands sourires au vieux papy qui nous regardait méchamment. Son regard s’adoucit cependant lorsque Déborah entrouvrit sa serviette et qu’il put s’apercevoir qu’elle ne portait rien dessous. Elle lui fit un clin d’œil et l’homme se contenta de grogner en rentrant à son tour dans la cabine.
Bien entendu, le soir même, nous refîmes l’amour son la tente, mais c’était moins bien, car nous étions toujours aussi serrées. Cela ne nous empêcha pas d’atteindre le septième ciel, comme nous l’avions fait la veille et tous les soirs suivants.
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