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L'été sera chaud - 2ème partie (4)

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Lue : 568 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/04/2020

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Mardi 30 Juillet 2013

Dès le matin, tout le monde respecte la décision de naturisme et arrive déjà à poil pour le petit-déjeuner. Ça a l’air d’être un peu dur pour Hélène et Thomas qui n’en ont pas encore l’habitude et par pitié pour eux je ne fais rien pour rendre la situation scabreuse.

Mais Ber qui arrive en dernier se présente en belle érection:
- Excusez-moi, mais ce matin impossible de redescendre…

J’interviens immédiatement pour désamorcer:
- Oh, c’est bon, on en a déjà vues d’autres, hein Hélène?
- Euh, oui, mais bon, pas dans ces circonstances…
- Mais oui, regarde, pas plus tard qu’hier, ton fils! Et on en a tous été témoins.
- Bon, OK, mais tout de même, devant Lola…

Celle-ci intervient pour la rassurer:
- Si c’est que ça, c’est pas la première fois que je le vois dans cet état.
- Ah bon…
- Oui, tu te doutes bien que toujours à poil à la maison, il y en a eu des érections.

Ber promet de penser à des choses tristes pour accélérer la redescente. En attendant, Hélène ne se prive pas de jeter des œillades vers ce beau morceau. Finalement, avant la fin du petit-déjeuner, la bite a repris des dimensions plus modestes.

Vers midi, c’est Thomas qui occasionne une alerte-érection, mais il s’éclipse et ne revient qu’une fois calmé. Comment, on ne sait pas…

Après le déjeuner, je profite qu'Hélène est sensée faire du travail sur son ordinateur et que Thomas est en train de faire une petite sieste digestive sur le canapé du salon pour faire une fellation à Ber au bord de la piscine. Il est assis sur la margelle et je suis dans l’eau, calée entre ses jambes. Hélène qui a fini plus vite que prévu en a la surprise. Elle stoppe net avant d’arriver sur la terrasse et reste à couvert pour regarder la scène. Elle s’étonne car en temps normal, elle aurait dû se montrer et nous faire cesser en nous engueulant pour notre sans-gêne. Au lieu de ça, elle est obligée de se rendre à l’évidence: ça l’excite. Elle remarque alors la présence à proximité de notre fille allongée sur le ventre. Comme cette dernière nous tourne le dos et a l’air de somnoler derrière ses lunettes de soleil, ça rassure mon amie qui en même temps commence à sentir sa chatte s’humidifier et ses tétons durcir et résiste à l’envie de se caresser le clito. Mais c’est le moment où Ber remplit ma bouche et plonge pour se rafraichir et donc ça la coupe dans son élan.

Du coup elle attend un petit moment pour se montrer et fait comme si elle n’avait rien vu. Elle décide de m’en parler, mais plus tard, seule à seule.

Comme hier, je profite qu'Hélène est sous la douche pour la rejoindre. Cette fois elle me laisse volontiers venir avec elle parce qu’elle prend goût à ces petits massages et que ce sera une bonne occasion de parler de l’incident de l’après-midi.

Cette fois je sens sa résistance faiblir quand je commence à la savonner partout. Elle ne se crispe pas quand ma main vient se glisser entre ses jambes ni quand je lui empaume les seins pour les malaxer.

Avant de succomber, elle se retourne et me dit pour calmer un peu l’ambiance:
- Je vous ai vus faire cet après-midi, dans la piscine.
- Ah, bon, OK, et?
- C’était un peu limite, non? Lola était juste à côté. Imagine qu’elle se retourne!
- Oh, ça aurait pas été la première fois qu’elle nous voit en pleine action.
- Comment ça?
- Ben oui, plus d’une fois elle est entrée dans notre chambre sans frapper, donc…
- Ah, bon! Et ça vous dérange pas qu’elle vous ait vus?
- Non, ça a été l’occasion d’en parler et de faire son éducation. Et toi, avec Thomas?
- Euh, non, on n’a pas parlé de ça encore.
- Tu vois, Lola est maintenant bien décomplexée à ce sujet, et c’est cool.
- Mais tout de même, une fellation en plein jour, au risque de se faire surprendre…
- Justement, Ber bandait et c’était le moyen le plus rapide pour le calmer.
- Mais c’était un peu risqué, Thomas aurait pu arriver, ou moi.
- Oui, d'ailleurs , tu t’es manifestée bien après la fin, il me semble?
- Euh oui, j’ai pas voulu vous déranger, c’était délicat.
- Et c’était excitant aussi, je parie. Tu as aimé? Ça t’a fait mouiller?
- Oh, Anna…
- Allez, lâche-toi! avoue que ça t’a excitée.
- Euh, oui, mais c’est parce que je suis en manque.
- Eh bien, comblons-le!

Sur ce, je recommence à peloter les tétons d’Hélène, mais de face. Cette fois celle-ci se laisse faire quand je lance un doigt pour lui titiller le clito. Comme elle commence à haleter, je sais que c’est gagné. Je la fais monter Jusqu'à un bel orgasme. Puis, après avoir coupé l’eau, je prends une serviette et me sèche avant de faire de même sur Hélène qui est un peu étourdie par l’explosion de ses sens.

Puis j’ouvre la porte, jette un coup d’œil dans le couloir et comme tout le monde semble être en bas, la voie est libre. Je lui prends la main et toutes deux nous nous retrouvons dans la chambre d’Hélène où normalement personne ne viendra nous déranger. Je la couche sur le lit et je me mets entre ses jambes pour lui procurer son premier cunnilingus lesbien, qu’elle a l’air d’apprécier. Quand je sens qu'Hélène a atteint un point de non-retour, je monte tête-bêche sur elle et continue à lui dévorer le minou tout en lui présentant le mien pour la réciproque. Hélène hésite un moment puis finalement se lance à me déguster la case trésor. Après un deuxième orgasme pour Hélène et un premier pour moi-même, je laisse retomber la pression.

Je demande à Hélène en lui pinçant un téton:
- Alors, ça va mieux?
- Oui, ça fait du bien, je reconnais. Mais si j’avais imaginé…
- Quoi, faire ça avec moi?
- Faire ça avec une femme, déjà. J’avais jamais envisagé la chose.
- Eh bien tu vois, tu sais maintenant que c’est bon.
- Il serait temps de redescendre avant que les autres se posent des question.

Après un dernier bisou discret sur la bouche nous retournons vite à la salle de bains nous faire un coup de propre et descendons. Ça n’empêche pas Ber de noter la rougeur au niveau de nos lèvres intimes. Il devine ce qu’il s’est passé et m’en fait la remarque un peu plus tard. Je le lui confirme. De bons signes…

Le soir, pour préparer le programme du lendemain, je m’assois dans le canapé entre Ber et Thomas tandis qu'Hélène et Lola sont dans les fauteuils en face. Comme la réunion prend fin, cette dernière décide de s’amuser un peu en s’étirant bien en arrière tout en écartant ostensiblement les cuisses, offrant une vue vertigineuse à Thomas qui se met à bander. D’autant plus qu’à ce moment, j’avais profité que ce dernier était penché en avant pour lui passer mon bras dans le dos et que ma main était un peu baladeuse sur la fesse du garçon.

Comme Hélène ne sait pas comment en faire la remarque à son fils, c’est moi qui dit:
- Bon, je vois que tout ça t’a mis en forme, on va peut-être te laisser seul.
- Euh non, ça va passer.

Au grand étonnement d’Hélène, je referme mes doigts autour de la hampe:
- Tu rigoles, dure comme elle est, tu ferais mieux de te branler si tu veux dormir vite.

Vu la tournure que prennent les choses, Hélène se manifeste enfin:
- Allons Anna, tu vas l’embarrasser, là!
- Oh, tu crois qu’il ne se fait pas plaisir de temps en temps, à son âge?
- Euh, peut-être, oui, j’y ai jamais pensé. Mais là, c’est un peu…
- Excitant?
- Non, je dirais plutôt gênant. Et si tu pouvais le lâcher…
- Ah oui, pardon… Mais bon, là, soit on s’en va, soit il va devoir le faire devant nous!

Du coup Hélène se lève, suivie par Lola et Ber. Elle constate au passage que, concentrée sur Thomas, elle n’avait pas remarqué que Ber avait aussi pris du volume. Ce dernier n’est pas encore en totale érection, mais sa tige est déjà bien à l’horizontale et continue à avoir un développement qui la dirige vers le haut.

Pendant qu'Hélène nous tourne le dos et se focalise sur ça, je me penche sur Thomas et lui décalotte le gland. Avant de me lever je lui souffle à l’oreille:
- Commence tout seul…

Puis je me dépêche pour les rattraper et passer devant dans l’escalier à côté de Ju, Hélène et Lola suivant derrière eux. En montant, notre fille fait remarquer par geste à sa voisine ce qui se passe devant. Hélène jette un œil et voit que j’ai empoigné la bite de Ju et que je le branle doucement tout en montant les marches pendant qu’il me rend la politesse avec un doigt entre mes fesses. Elle va pour s’offusquer, mais Lola lui fait un grand sourire et lève le pouce. Bien que dépassée par la tournure que ça prend, elle décide de ne pas s’insurger. Elle s’oblige à ne pas trop regarder

Arrivés sur le palier, Lola dit que finalement, elle va d’abord retourner en bas pour boire un dernier verre bien frais. Elle nous laisse donc comme ça, Hélène évitant de me regarder tenir toujours dans ma main l’engin maintenant pleinement érigé de Ber.

C’était bien prévu comme ça avec nous: ce soir c’est elle qui irait profiter un peu de Thomas pendant que nous essayerions d’entraîner Hélène dans un jeu à trois.

Thomas est bien calé sur le canapé, s’attendant à ce que je renouvelle les séances des autres soirs. Quand il entend un pas furtif dans son dos, il continue à se maintenir en forme maximum en s’astiquant la tige voluptueusement.

Il sursaute quand il reconnait la voix qui vient lui murmurer à l’oreille:
- Attends, je vais m’en occuper…

Et Lola fait son apparition dans son champ visuel. Elle vient s’assoir à côté de lui et sa main prend le relais de la masturbation en cours. Comme il ne réagit pas, elle lui prend un main et la pose sur sa volumineuse poitrine. Il finit par se lancer et la caresse. Elle lui demande au bout d’un moment de descendre et il obéit, atteignant enfin son bouton bien dégagé par les jambes grandes ouvertes. Elle se met à gémir volontairement pour se signaler aux occupants de l’étage.

En haut, j’ai continué à m’occuper de Ber devant Hélène qui proteste:
- Dites, vous pourriez attendre d’être dans la chambre.
- Ah non, c’est plus excitant ici. Et tu as déjà vu plus que ça cet après-midi.
- Oui, mais bon, j’étais pas sensée y être, et j’étais loin. Alors que là…
- Là, tu peux sauter dessus. Je sais que tu en meurs d’envie mais que t’oses pas.
- Arrête, en plus Lola risque de remonter d’un moment à l’autre.
- Si c’est que ça qui t’inquiète, chut, écoute un peu nos enfants!

Effectivement, du rez-de-chaussée montent les gémissements de Lola qui sont rejoints rapidement par des grognements de Thomas. Aucun doute sur leur action.

J’attrape mon amie par le poignet et l’approche de la queue de Ber:
- Allez, tu as dit que tu étais en manque, profite de l’occasion que je t’offre!

Hélène se laisse convaincre et empoigne à son tour cette colonne qui la tente:
- OK, vous avez gagné, mais pas ici, allons dans ma chambre.

En bas les choses se précisent avec Lola qui s’est penchée sur le gland pour le gober et qui a fini par se mettre sur Thomas en soixante-neuf. Après un moment d’hésitation, celui-ci lui mange l’abricot bien mûr qu’elle lui présente.

En haut, dans la chambre d’Hélène la situation évolue très rapidement depuis que cette dernière a décidé de se laisser aller. Elle commence par me regarder sucer Ber et se met enfin à genoux à côté de moi pour une fellation à deux. Elle gobe sans hésiter le gland que je lui présente. Puis je l’attire sur le lit pour lui prodiguer des caresses comme tout à l’heure sous la douche. Ber nous regarde nous faire plaisir en entretenant son érection, puis il nous rejoint alors que nous sommes tête-bêche, Hélène étant dessus. Je prépare un peu le vagin d’Hélène avec trois doigts tout en passant un coup de langue sur le gland que Ber me promène sur la bouche. Je lui laisse enfin la place et comme mon amie est visiblement bien trempée et chauffée, il rentre d’abord le gland puis embroche Hélène d’un coup Jusqu'à la garde.

Hélène marque le coup en se cabrant et et lâchant un long râle:
- Rhaaaa! Putain que c’est bon! Ça faisait trop longtemps…

Maintenant c’est elle qui envoie son bassin à la rencontre des coups de reins de Ber. Elle halète de plus en plus vite et atteint un premier orgasme foudroyant.

De l’autre côté, la situation est presque la même puisque Thomas est en train de prendre en levrette Lola. Comme il annonce qu’il ne va pas tenir plus longtemps, Lola se dégage et s’allonge sur le canapé en lui demandant de jouir sur elle. Ce qui ne tarde pas à faire, envoyant ses premières giclée sur ses seins et le reste arrivant sur le ventre.

Il ne débande pas vraiment et Lola se met à genoux devant lui pour lui redonner toute sa vigueur. Pour ça elle le prend entre ses doudounes et commencer lui faire une branlette espagnole, de plus bien lubrifiée par tout le sperme qu’elle a reçu là.

Tout en le lui faisant découvrir cette caresse, elle le prévient de la suite:
- Maintenant que tu as éjaculé un fois, tu devrais tenir plus longtemps.
- Euh, oui, je pense, je sais pas…
- Parce que moi, j’ai pas encore joui, et je compte bien avoir ma part.

Comme il est de nouveau en grande forme, elle le fait assoir sur le canapé et le chevauche de face. Elle se démène un moment, puis se tourne pour se renfiler la bite dans la chatte de dos à lui. Elle va au petit trot, puis au galop. Elle sent monter la pression et enfin elle sent l’orgasme éclater dans son ventre et dans sa tête.

Comme Thomas n’a pas encore joui cette fois-ci, et qu’il a une vraie barre à mines en acier, elle décide de l’initier à plus. Elle se soulève et lui prend la queue pour la pointer sur son anus. Elle descend progressivement, et dès que le gland à franchi la porte, elle se laisse aller jusqu'à la garde. Puis elle commence à donner le rythme. Thomas hallucine de voir ce cul superbe monter et descendre sur sa bite qui s’enfonce dans le petit trou écartelé. Il se cramponne aux seins de Lola et la laisse faire le travail toute seule. Lui qui se voyait se faire encore sucer par moi ou peut-être me baiser, voilà qu’il était en train d’enculer ma fille. Sacré famille!

Thomas ne tient plus et prévient Lola qu’il va tout lâcher. En ressentant les jets dans son boyau ça lui déclenche à elle aussi son deuxième orgasme.

Elle reste un moment dans cette position puis se déboîte de cette queue qui ramollit et se retourne pour lui faire juste un bisou sur le front avant de le quitter.

Elle lui fait un dernier clin d’œil en s’éclipsant:
- Bonne nuit! Et merci…

En arrivant à l’étage, elle se dirige d’abord vers la salle de bains pour se faire un petit coup de fraicheur entre-jambes avant d’aller se coucher. Comme elle entend les échos de la partie qui se déroule dans la chambre d’Hélène, elle ouvre la porte de la notre. Le fait de la trouver vide lui confirme que nous sommes arrivés nous aussi au but fixé. Elle hésite à nous rejoindre, mais décide de s’en tenir au plan que nous nous sommes fixé, et pourtant les bruits qui lui parviennent sont très excitants. Mais elle décide qu’elle a eu sa dose et qu’une bonne nuit lui fera du bien.

A l’intérieur, Ber en est à enculer Hélène qui ne contrôle plus le volume de sa voix bien qu’elle soit en train de bouffer ma chatte.

En bas, cette fois c’est Thomas qui a un doute quant à la propriétaire de cette voix qui clame son plaisir. On dirait sa mère, mais non, c’est impossible…

A suivre…
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Histoire de Hannapurna

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