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L'ex bourgeoise 3

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Lue : 3921 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/06/2017

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Il ne m'a jamais rien dit pour l'emprunt de sa voiture, car afin de ne pas qu'il se dise que je ne roule pas avec, avant de rentrer, je faisais des km, Mme De, allait plus souvent au coiffeur qu'au début, elle allait aussi chez l'esthéticienne, à la demande de jean surement, petit à petit, le soir à table, contrairement au début, elle était habillée plus moderne, elle changeait crescendo, afin que je ne remarque pas le changement.

Un autre soir, j'ai attendu longtemps, dés qu'ils sont dans la salle, je monte et me poste, lui est sur le canapé, elle avait mis une tenue limite pute, très maquillé, elle marche en racolage devant lui qui lui dit de plus se déhancher en l'insultant, de tortiller du cul, elle lui obéit sans résistance, elle s'applique même, sur un trottoir, elle aurait du succès et des clients.

Il lui demande ensuite de faire un striptease, sans être une professionnelle, elle se débrouille très bien, elle arrive à m'exciter de la voir se trémousser, des pensées malsaines m'arrivent, je regrette de ne pas avoir gardé quelques négatifs, elle m'excite, je lui demanderais bien le même traitement, mais j'ai peur qu'elle le dise à jean si je n'ai rien contre elle, aime t'elle les femmes, je suis dans l'inconnu sur le sujet.

Après l'effeuillage, étant nue, elle le suce à sa demande, cela dure une minute, il se lève et lui dit d'aller se mettre à plat ventre sur la table et il la baise, jean a du mal à se contrôler, il jouit alors qu'elle n'est pas prête, je l'entends dire, "ho non maître, pas déjà, baisez-moi encore maître, bourrez-moi", jean la bourre encore un peu, mais pas suffisamment.

Il lui donne un gode et lui dit, "finis-toi avec ça", ce qu'elle fait, allongée sur le canapé, elle se gode pendant qu'il lui tripote les seins, quand elle jouit, elle hurle avec retenue son plaisir pendant que jean l'insulte, voyant comment cela se passe, je comprends pourquoi jean n'est pas si entreprenant avec moi, ce n'est pas ce qu'on appelle un bon baiseur, il a peur que je lui fasse une mauvaise pub.

Un autre soir, deux semaines après, ou je les laisse seuls, lui est en boxer, et torse nu, sans être un athlète, il est bien foutu, de le voir ainsi m'émoustille, dommage qu'on se connaît de trop et qu'il est bizarre comme tout le monde dit, son boxer est déjà déformé, dans ces moments-là, je me dis, "au diable les quand dira-t-on, s'il vient dans ma chambre, je l'attendrais nue", mais heureusement que quand l'excitation de ce moment-là est passé, je me reprends.

Mme De arrive en tenue d'écolière, avec chaussettes blanches, jean a beaucoup de fantasmes, elle a quand même du charme dans cette tenue, jean rouspète en disant qu'elle a eu de mauvaise note, elle rentre dans son jeu en inventant une excuse plus que bidon.

Vient là dit-il, l'allongeant sur lui, sur le ventre, prenant appui sur une main au sol et l'autre sur le canapé, il remonte sa jupette, baisse sa culotte blanche et la fesse, apparemment, il ne frappe pas assez fort, elle demande plus de fermeté, il continue plus fort à sa demande et au bout d'une dizaine de tapes, il lui met la main au sexe qui a l'air bien trempé, car il dit, "mais tu aimes ça catin", il lui en remet d'autre plus fort et plus vite.

Jusqu'au moment où elle commence à ressentir que ça chauffe, car elle gémit en se tendant les muscle des jambes et du dos, il arrête et lui dit, suce-moi, elle s'exécute en vitesse, lui sortant le sexe de son boxer, qu'est-ce que j'aimerais être à sa place, sans être une bête de foire, il a vraiment une dimension respectable, dommage même qu'il ne sache pas s'en servir, cela viendra peut-être avec l'expérience.

Suffit salope dit-il, va m'attendre penchée sur la table, Mme De, contrairement au début, s'exécute aussitôt qu'il ordonne, c'est lui son maître, à l'époque, c'était la partie qui me dégoûtait le plus, comment une femme pouvait-elle obéir ainsi à un homme, en s'humiliant de la sorte, les mois suivant me l'ont fait comprendre, même si je ne suis pas à cette pratique, (pas encore), (moi qui écris ici, je le comprends tout à fait par contre, son récit m'avait fortement émoustillée quand elle me l'avait raconté).

Mme De, penchée sur la table, attend d'être saillie, se connaissant, il ne la baise pas de suite, il la gode, le gode dans une main et la cravache dans l'autre, la culotte en bas des jambes, quand elle veut se toucher, la cravache s'abat sur elle, elle ne peut que dandiner son cul pour mieux recevoir le plaisir, de mon côté, je me masturbe aussi, je suis prête à jouir, mais j'attends le moment, celui ou, il ou elle jouira aussi.

Mme De n'a plus aucune retenue, elle hurle, elle gueule, elle demande, "encore maître, faites jouir votre putain, oui là, plus vite, encore plus vite, je veux jouir maître", il répond, "c'est vrai, tu veux jouir catin, tu es une vraie morue, une sale pute", comprenant qu'il faut qu'elle s'insulte, elle répond, "oui maître, je suis votre morue, vous pouvez tout me faire, tout me demander maître, je vous appartiens, faites jouir votre salope".

Il s'active encore un peu avec le gode, puis posant la cravache, il baisse son boxer, (moment que je préfère), il la pénètre d'un coup, elle émet un grand gémissement, il lui donne le gode pour qu'elle se vibre le clito.

Elle se vibre et commence à gémir en répondant à ses insultes, "oui maître, je suis votre pute, je vous appartiens maître, baisez-moi, haaa, non maître restez", il s'était retiré d'elle, j'ai pensé qu'il jouissait, mais non, il lui dit de continuer de se goder, d’où je suis-je n'ai pas de vue précise, mais j'entends ce qui se dit.

Et j'entends, "non maître, pas par là, non maître", tais-toi salope", "non maître, non, haaaaa, oui maître encore, haaa, c'est bon maître", tu aimes ça te faire enculer salope, je t'ai vu au club te faire défoncer le cul, hein, tu aimes salope, dit le", "oui maître, j'aime ça, c'est tellement bon de se faire défoncer, je viens maître, je……. , haaaaaaa".

Jean venait de l'enculer, elle appréciait grandement, à cette époque, je me demandais comment pouvait-on être aussi salope, quelle horreur que se faire sodomiser, cela ne m'empêche pas de jouir en même temps qu'elle, jean n'a pas trainé non plus, il lui a donné encore une dizaine de coups de reins, puis lui a tout mis dans son fondement pendant qu'elle lui disait, "oui maître, remplissez-moi, videz bien vos couilles dans mon cul".

Avec les années, je me suis demandé si ma présence dans la maison ne les excitaient pas davantage, la peur que je les surprenne, l'humiliation qu'elle aurait si je la surprenais, quelques semaines après, les soirs de relâche, jean revenait me mater, j’attendais cela impatiemment, il venait me mater en se masturbant, en le voyant avec Mme De, j’avais compris qu’il n’était pas ce qu’on appelle un baiseur, mais plus un voyeur, un dominant.

J’étais de plus en plus dénudée quand il venait dans ma chambre, ma chemise de nuit bien remontée, j’avais moins peur qu’il me saute dessus, un soir, dans le miroir, je découvre qu’il n’est pas seul, j’étais sur le dos, le sexe visible et un sein sorti, je me dis, ce n’est pas un copain et j’entends chuchoter, sans en comprendre les mots, mais les devinant", vas-y, suce-moi", les yeux fermés, j’entendais à voix très basse toujours, le oui maître, c’était Mme De qui était là, à le satisfaire, heureusement qu’il faisait sombre, mon sexe était tout trempée.

Depuis quelque temps, j’avais acheté des boules de geisha, plus facile à cacher, un soir, je me les suis mise, et j'attends qu’ils arrivent, quand ils avaient fait deux soirées de suite, j’étais sûr que la troisième était dans ma chambre, j'avais fini à me mettre sur le côté, en position de fœtus, ma chemise de nuit complètement remonté, je leur montrais mon derrière, et quand je voyais Mme De qui le suçait, je bougeais doucement comme un sommeil agité et prenais un orgasme silencieux en même temps que lui.

Je prenais de plus en plus de risque, et aussi de plus en plus de plaisir, une fois, je m'étais allongée sur le dos et jambes légèrement écartées, sans mes boules, elle était là aussi, je ne pouvais les voir, mais je les ai entendu chuchoter ensemble, il lui dit de regarder ma chatte et elle répond, "oui, on en mangerait", après leur départ, je me suis masturbé en fantasmant sur Mme De qui me bouffait ma chatte.

Je les avais suivis quelques vendredi ou samedi, j’avais acheté une perruque afin de rentrer dans les clubs où ils allaient, plus loin encore que ceux ou on avait été, Mme De, était exhibée, tripotée, baisée même, quand jean voyait qu’elle était trop en centre d’intérêt, ils partaient, il ne voulait pas que trop de monde sache de peur de tomber sur quelqu’un de connu.

Il n'y avait généralement que des hommes qui étaient autour, sauf une fois, un couple de la quarantaine approche, l'homme parle à jean, j'étais trop loin pour entendre, il a dû lui dire oui, car la femme passe sa main sous la jupe de Mme de, elle n'a pas le temps de refuser, jean lui fait signe de se laisser faire, l'homme lui tripote les seins, jean tripote la femme, Mme De, tient l'épaule de la femme et commence à onduler.

L'homme parle à jean, et ensuite, ils sont partis s'isoler, je n'ai pas pu rester, comme d'habitude, dés qu'on arrive, on nous repère, on attend un peu, et dés qu'ils sont certains qu'on est venue seule, on vient nous draguer, tous ceux dans ce genre d'endroit, étaient des "vieux" de plus de 30 ans, à cette époque, celui qui avait cinq ans de plus que moi, était des vieux pour moi.

J'avais vu que Mme De n'était pas réticente au plaisir entre femmes, c'est la seule fois où j'ai pu le vérifier, autant avant, elle ne me donnait aucune envie de gouiner avec elle, et autant depuis que je l'ai vue nue, elle m'excite, je ne sais pas comment faire pour l'aborder et j'ai peur qu'elle le dise à jean.

Il arrivait, que jean parte seul, certains weekend, et que je reste, un de ces soirs, j'était nue sur le lit et je m'imaginais jean, qui allait venir me voir pour se branler, je savais qu'il n'était pas là, j'étais jambes complètement écartées, comme je ne bougeais pas, j'entends comme marcher sur la pointe des pieds dans le couloir, je pense à un bruit extérieur, mais j'entends la poignée s'ouvrir doucement, je me dis, jean est revenu ou alors j'avais mal compris, je me tourne vers la fenêtre, coté miroir.

Et là, j'entends, "vous dormez", j'allais dire non, mais il me vient à l'esprit, que comme Jean, elle contrôle si vraiment je dors, quand jean vient, je ne bouge pas, elle redemande et suffisamment fort pour que j'entende, si mon sommeil était léger, elle essaie une troisième fois, je ne bouge pas, et là, je vois une lampe très petite s'allumer, je n'avais pas pris la position adéquate pour me montrer, et je craignais de bouger pour lui faire peur.

Sans la voir de façon nette, je la devine se masturber, sur le coup, j'aurais dû en profiter, mais je n'ai pas été assez rapide, de plus, je n'avais aucun plan, après ma surprise passée, comme je suis sur le côté, je me mets complètement sur le ventre, j'aurais préfère sur le dos, mais elle aurait vu mon visage sur elle, et aurait pus penser que je me réveille, alors que sur le ventre, je ne la verrais pas.

Tendant l'oreille au maximum, la tête sur le coté miroir, j'écoute ce qui se passe, soit la porte soit qu'elle reste et là, j'entends qu'elle se masturbe, son souffle ne laisse aucun doute, une fois partie, je me masturbe à mon tour.

Deuxième partie

Forte de ce que je viens de comprendre, que je fais de l'effet à Mme De, qui maintenant ne m'est plus indifférente, je me mets en tête de chercher un moyen de profiter d'elle moi aussi.

C'est lors de ce weekend, seules toutes les deux qu'une idée me vient, depuis qu'elle est avec jean, elle ne va plus au bridge, (donc, plus en club seule), le vendredi soir, j'avais pris la voiture et les avais épié dans leur jeu, ce samedi matin, jean était partie de bonne heure.

L'idée qui me vient, est de prendre le gode que j'ai vu la veille dans leur jeu, et de le mettre dans le canapé, entre le dossier et le siège, la ou les miettes et la poussière se mettent, cela n'est pas trop possible, car il se verrait, et elle le retirerait aussitôt, je profite que le samedi après midi, elle soit de sortie shopping, je suis censé être chez une copine, sachant ou est la clef de son tiroir ou se trouve ce gode, je le prends et le cache.

Je ressors ensuite et je vais m'acheter des dessous sexy, je rentre en fin d'après-midi après elle, elle était en train de lire, je révise un peu, on mange, et puis après, je lui demande ce qu'elle regarde à la télé, je lui dis, que je la regarderais avec elle, elle est étonnée, mais comme je me suis levée tard le matin, elle pense que j'ai mon compte de sommeil.

Après le repas, je prends ma douche, elle débarrasse, alors qu'avant, c'était à moi de le faire, je m'installe sur le canapé, cote droit, je mets le gode dessous et sur le côté, il y a des coussins sur le canapé, avant que Mme De s'installe à son tour, je me lève et dis, "ha tient, je vais profiter que jean n'est pas là, je vais dans ma chambre et reviens en soutien-gorge et string.

C'est une chose que je n'aurais jamais osé faire, mais comme je l'ai vu dans des situations bien plus hard, je n'ai aucune gêne, quand j'arrive devant elle, je la sens troublée, elle fait un, "mais, vous…. ", Je lui dis, "oui, j'en profite, comme nous ne sommes qu'entre femmes", quand même dit-elle, le film commence, je ne la vois pas me regarder, si elle n'avait pas une aventure avec jean, elle m'aurait renvoyé ad pâtre dans ma chambre, pour mettre une tenue plus convenable.

Au bout de cinq minutes, je gesticule sur le canapé, elle me regarde bouger en jetant furtivement un coup d'œil, après plusieurs gesticulations, ou je devais être énervante, elle me dit, "vous avez des vers", comme je m'y attendais plus ou moins, je saute sur l'occasion et dit, non, mais je ne sais pas, j'ai un truc qui me rentre dans les fesses, je ne sais pas ce que c'est.

Je me mets au bord du canapé et fouille, j'attrape le gode que j'avais enfoui dés le début du film, et le brandissant, je dis, "c'est quoi ça", Mme De, étonnée et toute rouge dit, "ho mon dieu", disant cela, elle se rend compte qu'elle s'est trahi, elle tend la main pour le saisir, mais je le ramène à moi en lui disant, "c'est a vous".

Mme De vie un grand moment de solitude, elle dit, "non, oui, enfin je…, ce n'est pas ce que vous croyez, je le mets à mon nez et lui dit, il a servie, contre toute attente, elle se lève, et va dans sa chambre, j'avais envie de la rejoindre, mais je n'ai pas osée, j'éteint la télé et devant sa porte, je lui dis que je monte me coucher, en fait j'éteins les lumières, je monte dans ma chambre en faisant du bruit dans les escalier et en fermant ma porte, puis je redescends en catimini.

Je m'allonge sur le canapé, j'ai toujours le gode avec moi et j'attends, je ne sais pas quoi faire, je n'avais pas prévu sa fuite dans sa chambre, j'espérais dialoguer avec, qu'elle me dise comme avec jean, "ne dites rien, je ferais tout ce que vous voudrez", mais je repense à leur première fois, elle n'a pas été favorable au début, elle a agi pareillement, de plus, jean avait des photos d'elle hard, moi, je n'ai qu'un gode, maigre moyen de pression.

J'attends bien une demi-heure, mais rien ne se passe, elle s'est mise au lit, j'ai vu la lumière s'éteindre sous sa porte, j'attends encore une demi-heure, en me disant, qu'elle va venir pour récupérer le gode, je fantasme même qu'elle se masturbe en pensant à moi, qui sais qu'elle se gode, mais hélas, je n'entends rien lorsque je me lève pour écouter à sa porte, je ne sais même pas si elle dort ou pas, je m'en veux même de lui faire peut-être passer une mauvaise nuit.

Je remonte sans bruit me coucher, excitée, j'utilise le gode, je suis complètement nue au-dessus des draps, dés que je me fais du bien, je me lève et entrouvre ma porte, et je me fais jouir sans me retenir, en fantasmant qu'elle vienne me voir, mais hélas, elle reste dans sa chambre et je finis par m'endormir après avoir été refermer ma porte et mis une règle derrière, celle-ci, si elle tombe, fera du bruit et me réveillera, ou au pire, je saurais si elle est venue.

Le matin, vers huit heures trente, je me lève et descends déjeuner, je suis étonnée, car elle n'est pas levée, sa voiture est dans le garage et ses clefs de maison sur le couvre radiateur, connaissant ses goûts, je lui prépare son petit-déjeuner ainsi que le mien, je lui beurre même ses biscottes, il fut un temps, ou elle m'impressionnait, mais plus maintenant, si elle devenait trop hautaine avec moi, j'aurais de quoi répondre.

Dans la même tenue qu'hier soir, string et soutien gorge, je frappe à sa porte de chambre, et j'entre sans attendre, elle est en pyjama, rien de sexy, rien à voir avec ce que jean regarde habituellement en mon absence, a-t-elle dormi nue et a mis son pyjama ce matin en allant aux toilettes, je ne sais pas, elle commence une phrase par "mais", mais je ne lui en laisse pas le temps de continuer.

Mme De, il faut qu'on parle, regardez, je vous apporte le petit-déjeuner au lit, nous sommes entre femmes, et je vous aime bien, rien que de m'héberger déjà, alors vous n'avez pas à vous en faire, aller, déjeuner d'abord, je lui pose le plateau sur les genoux, je m'assoie en tailleur, à côté d'elle sur son lit, lui faisant face.

Elle est stupéfaite de mon comportement, je ne suis plus l'ado qui baissait les yeux quand elle parlait et ou je ne devais qu'écouter, ni celle que j'étais les premiers jours ici, ou je ne devais dire que, " oui Madame, comme vous voudrez madame, merci madame", aujourd'hui, je suis d'égale à égale, avec peut être un avantage, mais elle ne sait pas à quel point.

Je lui dis, "vous êtes partie un peu vite hier soir, il n'y avait pas de raison, vous n'avez pas à vous cacher de cela, jean n'étant pas présent, nous sommes entre femmes, nous savons toutes les deux que depuis que ce genre de jouet existe, toute femme en a chez elle, vous seriez anormale, si ce n'était pas le cas".

Son visage trahit sa gène, elle est toute rouge et ne sait quoi dire, est-ce moi en petite tenue qui en est la cause, ou est-ce que c'est ce que j'ai découvert et dont je lui parle, quel dommage que je ne lise pas dans ses pensées, sans me regarder, en buvant son thé, elle me dit, "c'est très fâcheux, vous avouerez, je n'ai pas votre âge".

Devant ces mots, et encouragée par le fait qu'elle ne m'a pas dit de sortir, je lui réponds, "fâcheux, peut être, mais voyez le bon côté, avant quand je vous regardais, je voyais une pauvre femme aigrie, prisonnière du passé, passant sa vie dans l'ennui total, dans des habits datant de l'inquisition, une zombie de naissance, maintenant, je vois une femme qui prend du plaisir, avec un cœur et un corps sous la carapace, une femme de chair avec de la chaleur et non-froide comme du marbre".

Vous me remerciez de mon hospitalité d'une drôle de façon dit elle, "je suis en train de vous dire que j'avais tort, de vous avoir jugée comme cela, donnez de vous une image plus moderne, je suis sûr que si vous vouliez, vous seriez très……. attirante", toujours en regardant ailleurs, afin de ne pas croiser mon regard, elle hoche la tête en ayant l'air de dire qu'il ne faut pas exagérer, pourquoi vous ne me regardez pas dis-je.

Elle répond, qu'allez vous penser de moi maintenant", moi, "je viens de vous le dire", elle, "oui, mais c'est très gênant cette situation", je lui demande si c'est parce que c'est moi qui ai trouvé son gode, elle dit, "oui, entre autre", avec tout ce que je sais d'elle, de comment elle est en réalité, je n'ai aucune gêne à lui dire tout doucement, "vous savez, hier soir, je l'ai utilisé votre jouet, et je me suis fait beaucoup de bien avec, voyez, maintenant, je ne suis plus la seule savoir cela sur l'autre".

Mais vous, c'est différent dit-elle, je réponds, "non, maintenant vous savez que je me masturbe comme vous, et que je ne le dirais à personne, comme vous, vous ne le répéterez à personne, on gardera cela entre nous", le petit-déjeuner fini, je débarrasse en lui disant, attendez-moi, ne bougez pas, je reviens.

Mais elle ne m'a pas attendue, elle s'est levée derrière moi, être dans le même lit pour déjeuner est une chose, mais l'être sans raison, en est une autre, a-t-elle craint quelque chose, elle a été à la douche, et est revenu habillée en pantalon, je suis restée en petite tenue toute la matinée, mais elle n'a pas fait de signe que j'attendais, l'après-midi, elle sort se promener et rentre vers dix-sept heures.

Avec Jean, on rentrait peu avant dix-neuf heures, afin d'être reposés pour le lendemain, le temps qu'il arrive, je lui dis, on est bien d'accord, pour le gode, je ne dis rien, mais vous ne le dites à personne non plus, même pas à votre amant, car sinon, si j'apprenais cela, de mon côté, je le dirais à ma mère et la mère de jean.

Quand j'ai prononcé "son amant", elle a eu un soubresaut, elle allait dire qu'elle n'a pas d'amant, mais de la menacer de raconter cela à ses amies, a prit le dessus sur sa crainte, et me dit, non, non, soyez tranquille, je ne dirais jamais rien, et je vous en supplie, ne dites pas non plus, j'en mourrais de honte.

Sa peur n'était pas feinte, j'en profite pour l'étreindre en disant, "n'ayez crainte, ça restera toujours entre nous, je vous apprécie trop pour vous faire du mal", je la serre contre moi, elle a les bras qui ne savent pas s'il faut rester ballant ou m'étreindre aussi, si elle m'avait étreinte, j'en aurais profité, je suis restée longtemps dans la même position.

Il a bien fallu que je la lâche, nous nous somme assises devant la télé, jean est arrivé une vingtaine de minutes après, une fois qu'il a rangé ses affaires, il nous a rejoints, j'ai senti qu'il voulait être seul avec elle, je suis monté dans ma chambre, faisant du bruit en fermant ma porte, quand je suis revenue en silence à mon observatoire.

Il était passé derrière le canapé et lui tripotait les seins, elle se laissait faire en appréciant la caresse, il lui donne ses consignes pour ce soir, je n'ai pas entendu, mais il a dû lui dire, "ce soir, tu t'habille en pute", car c'était la tenue qu'elle avait le soir même.

Après le repas, je prends ma douche et pendant que jean prend la sienne, je regardais un peu les informations à la télé, au moment ou jean sortait de la douche, pendant le peu de temps, ou il était hors de notre vu, je lui dis, je peux garder le gode, je m'endors mieux après, elle ne sait pas quoi répondre, mais comme il arrivait, elle esquisse un oui de la tête, à peine deux minutes après, en baillant, je dis, "bon, moi, je monte me coucher", comme jean est dans mon dos, je fais un clin d'œil à Mme De, qui ne laisse rien paraitre.

En fait, je n'utilise pas le gode, comme à chaque fois, jean attend une demi-heure, il passe voir dans ma chambre si je dors, puis il l'a rejoint, je mets mes boules et rejoins mon poste d'observation, j'arrive au moment où elle retire sa robe de chambre à la demande de jean, elle est vraiment habillée comme pour aller faire le trottoir.

Elle a un peu de maquillage, mais elle manque d'expérience pour se faire un look, a force d'obéir à jean, elle a la démarche sensuelle, elle n'obéit plus par obligation, mais pour lui plaire, sa démarche est provocante sans être vulgaire, jean lui dit, "tu es bandante, on croirait une vraie pute", elle ne répond que d'un sourire.

Après plusieurs passages devant lui, elle se penche sur la table à sa demande, et la pénètre directe, j'entends péniblement, "t'es excitée aussi salope", jean la lime et arrive à tenir jusqu'à temps qu'elle jouisse, jean n'étant pas à répétition, je regagne ma chambre, il arrive peu de temps après, pour me voir endormie la chemise de nuit relevé

Je préférais les soirées ou je les laissais tranquille à la maison, celles où ils croyaient être seuls, ils se lâchaient tous les deux, criant leur plaisir, les entendre était jouissif.

De temps en temps, quand exprès, Mme De n’obéissait pas du premier coup, jean lui rappelait les photos, à ce moment-là, Mme De faisait celle qui avait très peur et montrait à jean qu’elle était prête à tout pour qu’il ne les montre pas. Mme De n’était pas idiote, ce que jean demandait ou faisait faire, était pire que ce que les photos montraient, Mme De était dans son plaisir et c’était jean qui le lui procurait.

Cette femme, autoritaire, rigide, coincée du cul comme certains disaient, était en fait soumise, salope et maso, elle aimait être humiliée, elle créait les motifs de punition, jean l’avait compris, il aimait la dominer, il n’osait pas trop frapper, mais elle le poussait à cela, Mme De aimait être frappée pendant sa jouissance.

La semaine se passe de la même manière, et le vendredi soir en regardant le programme télé, je vois un film où j'ai déjà vue quelques scènes érotiques pour l'époque, je lui dis qu'on m'a dit beaucoup de bien de ce film et que ma mère aussi.

En fait, le film était un navet, et le peu de scènes érotiques ne duraient que deux secondes, comme c'est souvent le cas lorsqu'ils font la promotion d'un film, ne montrant que les seuls moments intéressants, je me sentais ridicule d'avoir imposé cela à Mme De.

Jean ne me prêtait plus sa voiture, il sortait sa fiancée, me demandant de l'excuser, mais je le comprenais, un soir pendant qu'elle était à la douche, je regarde machinalement une feuille de sécurité sociale sur le buffet, et je vois à son numéro qu'elle est du mois de février, je vais aussitôt fouiller dans son sac pour le jour exact qui tombe le vendredi qui prochain.

J'appelle mes parents pour avoir une participation financière pour lui faire un cadeau, ils acceptent, trouvant cela normal, elle ne prend pas de pension autre que la nourriture et le prix est plus que raisonnable, car nous consommons de l'eau et de l'électricité ainsi que du gaz pour le chauffage de ma chambre.

Ils me disent qu'ils viendront samedi la saluer, pour la remercier, ils coucheront à l'hôtel et repartiront le dimanche, après les cours, je passe dans une boutique de lingerie fine et j'achète un string, un soutien-gorge et porte jarretelle avec dentelle, couleur rouge, avec des bas noir, emballé dans du papier cadeau, avec joyeux anniversaire dessus, pour la taille, je n'ai aucun problème, nous avons la même.

J'avais dit à la vendeuse, que c'était pour un copain voulant faire un cadeau à sa femme, au moment de payer, j'ai un frisson, le prix est exorbitant pour ma bourse, mais je pense être bien remboursé, en rentrant, je passe aussi dans une boutique qui vend ce qu'il faut pour un dîner aux chandelles, bougies, petit bouquet, quelques paillettes, le vendredi, je prends aussi un petit gâteau à la boulangerie.

À la maison, je dis à Mme De, que ce soir, je m'occupe de la cuisine, que c'est une surprise, au moment de mettre la table, je lui demande d'aller dans sa chambre dix minutes, elle ne comprend pas, mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et la pousse, je prépare la table, je mets une nappe, les bougies et paillettes, j'éteins la télé, les lumières et je lui dis de venir.

Elle est étonnée, je lui souhaite un bon anniversaire en l'embrassant affectueusement sur les joues, elle ne sait quoi répondre, cela fait surement longtemps, voir jamais, que quelqu'un lui témoigne pareille affection, je lui tiens sa chaise pour qu'elle s'assoit, elle me dit d'attendre et va mettre au congélateur, une bouteille de champagne pour la rafraichir.

je lui dis que ce soir, c'est moi qui fais le service, nous mangeons, un frugal repas, celui qu'elle devait faire, et au moment du dessert, j'amène les gâteaux avec les deux bougies dessus représentant un chiffre, il ne fallait pas dit-elle, une fois le gâteau fini, il était petit, mais elle connaît mes moyens, de plus, nous tenons à notre ligne, elle va chercher la bouteille de champagne et deux flutes, elle l'ouvre, me disant merci, mais que je n'aurais pas dû, que j'aurais dû garder mon argent, que je suis gentille.

Avant de trinquer, je me lève et lui apporte le paquet, le voyant, elle dit, "ho non, "il ne fallait pas, je ne sais pas quoi dire, vous me gênez", ouvrez dis-je, elle déballe, je jubile intérieurement, elle voit les dessous, elle rougit et ne sachant quoi dire, je lui dis, "mes parents ont mis avec moi", mal à l'aise, elle répond, "mais comment, ce n'est pas possible, je …", je la coupe en disant, "attendez, je ne vais pas leur dire que je vous ai offert cela avec leur participation".


Vous m'avez fait peur dit-elle, je poursuis en disant, "non, ces dessous-là, vous ne les mettrez que pour moi, et comme tout le monde sait que le dimanche, vous aimez bien prendre un petit verre de très vieux porto, je leur dirais que c'est ça que je vous ai offert, vous voulez bien", oui je préfère dit-elle.

En discutant, je nous sers en champagne, replissant son verre plus que le mien, elle a bu trois flûtes et moi deux, je lui dis, allez, maintenant, allez prendre votre douche et vous revenez avec votre cadeau sur vous, je veux voir si cela vous va bien, elle veut protester, mais je ne lui en laisse pas le loisir, sa peur que je parle du gode, ma gentillesse, et un peu l'alcool, en la poussant un peu vers la salle de bains avec son cadeau que je lui tends, elle y va.

Pendant ce temps, je range, je ne l'ai pas vu aller dans sa chambre, pour prendre une jupe et un chemisier, quand assis sur le canapé, je la vois qui arrive, je suis déçue, le chemisier n'a pas de décolleté, et la jupe arrive aux genoux, je me lève et dis, "mais vous êtes en train de me blouser là, c'est mon cadeau que je veux voir.

En fait, même si elle ne le sait pas, je l'ai déjà vu en tenue sexy, mon but n'est pas de la mater, mais de la mettre mal à l'aise, en position d'infériorité, de lui casser l'image qu'elle donne, l'humilier ne m'apporte aucun plaisir, mais je sais qu'elle, elle va en avoir, et ainsi être plus docile, je joue sur du velours, je la connais bien maintenant.

Je m'approche d'elle, je commence à glisser sa fermeture éclair de jupe, elle va pour dire non en se poussant, mais je lui dis, "aller, retirez ça, sinon, je ne dirais pas que c'est la bouteille de porto que j'ai acheté mais les dessous, j'ai le ticket", elle se laisse faire le temps de réfléchir, mais rapide, je baisse la jupe d'un coup.

Disant, "ho mon Dieu", elle met sa main devant son sexe, j'en profite pour lui ôter le chemisier en élevant un peu la voix, "aller, ça aussi", je lui dis d'aller s'assoir, et pendant ce temps, je reviens avec des chaussures à talons, pas celles auxquelles jean à droit, car je ne suis pas sensé le savoir, cette paire-là est dans son armoire, mais celles qui se trouvent dans le placard à chaussures ou on a tous accès.

Je reviens et lui mets ces chaussures, levez-vous maintenant lui dis-je, en lui attrapant la main et la tirant, ho mon Dieu dit-elle encore, quelle honte, je dis, "mais non, il ne faut pas, attendez, moi aussi je me mets en dessous, comme cela, on sera à égalité", je me mets comme elle m'a déjà vu.

Je m'assois sur le canapé et lui demande de marcher normalement, je lui dis quoi faire, de retirer ses mains pour se cacher, de se mettre droite, je lui fais faire plusieurs passages en la corrigeant, si aux premiers passages, il fallait que je parle de façon autoritaire, à mesure, elle faisait cela naturellement.

À chaque fois, je la complimentais, "voila, oui comme ça, c'est bien, mettez-vous droite, plus droite encore, la tête droite aussi, regardez devant vous, marcher de façon plus féminine, faites de pas plus grand, voilà comme ça, balancez un peu plus vos hanches", j'étais contente, j'avais fait un grand pas, elle m'obéissait, je ressentais la même chose que jean, quand il l'avait à sa botte, elle n'était pas entièrement à la mienne, mais c'était un début.

Je lui demande de venir s'assoir à coté de moi, et je lui dis, vous voulez que je vous dise ce que j'en pense, elle répond qu'elle s'en doute, je lui dis, "vous êtes magnifique, excitante et sensuelle, vous êtes désirable, j'ai des copines de mon âge, qui aimerait avoir votre corps, vous êtes une belle rose envelopper dans du papier journal quand vous mettez vos oripeaux", en lui montrant ce qu'elle a mis tout à l'heure.

Profitant de ma supériorité verbale sur elle, je lui dis, "à partir de maintenant, comme nous ne sommes que toutes les deux ici, le soir, vous vous habillerez comme ça, décontractée, vous serez moins gênée ainsi, tient, je vous dirais quoi mettre et vous me direz quoi mettre, ça vous va", je ne lui laisse pas le temps de répondre, je dis, au fait, mes parents viennent demain, ils mangeront avec nous, demain matin, je leur chercherais un hôtel.

Sur le moment, je n'y ai pas porté attention, c'est plus tard que j'ai réalisé, Mme De, au lieu d'oublier l'incident du gode, ainsi que la gêne de son cadeau, elle me le rappelle, en disant, "promettez-moi de ne rien dire pour le, le, enfin vous voyez et puis aussi pour ce que vous m'avez offert", je la serre dans mes bras, seins contre seins et lui dit à l'oreille, "je vous le promets, ça sera notre petit secret à toutes les deux, mais vous aussi, il faut me promettre de ne pas le dire que j'utilise votre objet.

Ça va de soi dit-elle, et je n'en sais rien de toute manière", je lui dis, si, puisque je vous l'aie dit, elle détourne la conversation et comme je m'y attendais, elle propose la chambre de jean à mes parents, tout en discutant, on s'assoie toutes les deux sur le canapé, je m'approche d'elle et l'enlace encore en lui disant merci pour mes parents, nos corps se touchent à nouveau, je frissonne et je vois qu'elle aussi.

Nous avons toutes les deux la chair de poule, alors qu'il ne fait pas froid, je lui dis aussi, " au fait, et mon petit bisou, pour mon cadeau, j'avais voulu faire du forcing pour tourner la tête et me faire embrasser sur les lèvres, mais je n'ai hélas pas le culot de Jean.

J'attrape la télécommande de la télé et lui donne, je lui dis, en m'allongeant sur le canapé et mettant ma tête sur ses cuisses, "je suis bien, choisissez ce que vous voulez", n'osant rien dire, elle obtempère.

Le soir dans mon lit, je repense à ce qu'elle m'a dit, me rappeler l'incident du gode et du cadeau, je me dis que ça se trouve, elle m'apportait de l'eau à mon moulin, pour que je profite encore plus de la situation, comme elle faisait avec Jean, lui faisant croire qu'elle obéissait par ce qu'il la tenait par le chantage.

Quelle conne je suis, j'aurais dû en profiter davantage, je me masturbe avec le gode, porte ouverte, sans retenue, en me disant et en espérant qu'elle m'entende et vienne me voir, qu'elle fasse les premiers pas, les plus dur.

A suivre.
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Histoire de annizette

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