L'homme du lavoir

J'avais déjà eu quelques petites aventures depuis que j'étais mariée, mais mon mari ne le savait pas (maintenant il est au courant de tout).
Suite à la première expérience vécue sur un parking nous avons décidé que de nous amuser
de temps en temps en compagnie d'un(e) partenaire d'un soir comblerait notre vie sexuelle. Le deal était qu'au maximum cela se fasse toujours en présence de l'autre, sauf exception. La soirée que je vais vous raconter s'est d'ailleurs faite sans mon mari, avec son accord et sans sa présence. Je lui ai tout dit, détaillé du mieux possible.
J'étais au salon-lavoir d'Embourg/Chaudfontaine, j'attendais la fin du séchage de mon linge et parlais avec un vieux monsieur qui était déjà là lorsque je suis entrée. C'était un homme fort bavard, le temps que mon linge soit fait il m'avait raconté toute sa vie. Il avait 71 ans, séparé de sa femme depuis 12 ans, 2 enfants marié. Chaque semaine il venait dans ce lavoir, j'étais étonnée de ne l'y avoir jamais vu. De plus il habitait à moins de 10 minutes à pieds de chez nous.
Lui me dit qu'il m'avait déjà aperçue plusieurs fois, notamment sur le marché de Chênée où je vais régulièrement le mardi matin.
- Il serait difficile de ne pas vous remarquer, vous êtes si jolie, m'a-t-il dit.
Et pendant qu'il prononçait ses mots j'ai vu ses yeux qui s'attardaient sur mes jambes.
Nous étions en plein été, il faisait super chaud et ma petite jupe ne cachait pas grand-chose de mes cuisses, surtout avec les sièges qui, fort confortables, relevaient les jambes.
Il m'avoua même qu'une fois, sur le marché, il m'avait suivie plusieurs minutes rien que pour le plaisir.
Tandis qu'il continuait à me parler je ne l'écoutais que d'une oreille, mon esprit était ailleurs.
A un moment je me suis levée et l'ai prié de m'excuser car je devais téléphoner. Je me suis éloignée à l'autre bout de la pièce et ai contacté mon mari à qui j'ai expliqué la situation et mon désir de passer un bon moment avec ce vieux monsieur.
Au départ il exigeait que je le ramène chez nous, mais il a fini par accepter que ce ne serait peut-être pas possible. Tout en téléphonant, discrètement j'épiais l'homme et me caressais la jambe en faisant remonter ma jupe par moments.
Lorsque je suis revenue m'asseoir sa machine de linge était terminée, je lui ai alors proposé de l'aider à replier le tout.
Nous avions à peine replié quelques affaires lorsque je lui ai dit qu'il serait probablement mieux que nous le faisions chez lui, que tout risquait de se chiffonner dans sa manne à linge pendant son retour.
De suite il a accepté.
Nous avons attendu que mon linge soit fait puis, avec ma voiture, je l'ai suivi jusqu'à chez lui.
Dans le hall d'entrée il m'a dit qu'il habitait au 2ème étage, il n'y avait pas d'ascenseur et contrairement à la bienséance il m'a faite passer en première.
Ce ne fut certainement pas innocent, il a dû vouloir se "rincer l'oeil" comme on dit.
Une fois dans son appartement nous avons directement commencé le pliage du petit linge. Arrivés au draps de lit c'est chacun à un bout que nous nous sommes mis. Par moments nous étions fort proches l'un de l'autre, c'est à cet instant qu'il m'a dit:
- Avec ma femme, lorsque nous nous rapprochions en pliant les draps, on s'amusait à se donner un petit baiser.
Je n'ai rien répondu, mais lorsque je fus à nouveau proche de lui j'ai tendu la bouche. Il a hésité un instant puis à déposé ses lèvres sur les miennes. Ce fut un baiser assez chaste, mais j'ai compris qu'il pourrait se passer quelque-chose avec lui.
A 2 reprises nous nous sommes donné le même baiser, mais la 3ème fois j'ai laissé tomber le drap et l'ai attiré contre moi pour un véritable baiser.
J'avais déjà connu de nombreux hommes, des jeunes et des moins jeunes, mais jamais aussi âgés !
Quand nos bouches se sont écartées je lui ai dit:
- Et si vous me montriez le lit sur lequel vous mettez ces draps ?
Il a posé le drap de lit qu'il tenait encore sur une chaise et m'a emmenée dans sa chambre.
Je me suis assise sur le lit et me suis faite rebondir quelques fois en lui disant qu'il semblait fort confortable, il a acquiescé tout en me regardant.
Je me suis relevée et ai enlevé ma blouse, ma jupe et mes chaussures en lui disant que je voulais m'en rendre compte en me couchant. J'étais alors en soutien-gorge et string, allongée, offerte. Il me contemplait mais restait immobile.
J'ai tendu la main pour l'inviter et il s'est assis.
- Caressez-moi, lui ai-je dit.
Sa main est venue se poser timidement sur moi, caressant d'abord mon ventre puis montant jusqu'à mes seins. Il s'est penché de plus en plus et, presqu'allongé, m'a embrassée.
Pendant presque 10 minutes j'ai subi plein de caresses et de baisers voluptueux, mais j'en voulais plus et lui ai dit de se déshabiller. Pendant qu'il se mettait nu j'ai retiré mon string et mon soutien-gorge, j'ai écarté les jambes et il a compris ce que j'attendais. Sa langue est venue me gratifier d'un très agréable cunnilingus, c'était divin. Dans ma tête je me suis demandée si il bandait bien vu son âge, c'est lorsque nous nous sommes mis tête-bêche que j'ai vu que oui !
Quel engin ! Beaucoup de jeunes en seraient jaloux !
Je le tenais d'une main pendant que l'autre jouait avec son gland et, lorsque je l'ai pris en bouche, je fus ravie.
Quand il a quitté ma foufoune je lui ai demandé d'aller chercher mon sac dans lequel il y avait des préservatifs en lui spécifiant que toutes pénétrations devaient être protégées. Il m'a dit qu'il était sain, qu'il y avait plus d'un an qu'il n'avait plus connu de femmes, mais j'ai quand même exigé une protection.
Il m'a prise dans plusieurs positions, mais ne m'a pas sodomisée.
Malheureusement il a éjaculé dans un des préservatifs (il avait changé 2 fois) et m'a privée de me repaître de sa semence, c'est un peu dommage.
Quand nous avons quitté le lit pour rejoindre sa salle d'eau il m'a donné une tape sur les fesses, je lui ai dit que c'était dommage qu'il ne l'avait pas fait pendant que nous faisions l'amour.
Nous avons pris notre douche ensemble, c'est lui qui m'a lavée.
Je croise parfois cet homme sur le marché, il voudrait bien que je retourne chez lui mais je ne crois pas que je le ferai, même si il est très gentil et m'a laissé un beau souvenir.
Lucrèce