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L'optichienne (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 15/12/2022

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‌Depuis que Clarisse avait affiché sa sexualité sans pudeur devant sa mère, leurs relations avaient pris un tour nouveau. Sandrine pouvait difficilement jouer la prude après ses ébats dans une case avec un jeune homme en présence d'un couple candauliste (lire le précédent texte). Depuis cet épisode ultra chaud, elle avait même carrément le feu au cul. Elle ne s'était pas trouvée dans un tel état depuis sa jeunesse, celle justement de sa fille qui prenait le même chemin qu'elle. De quoi inciter à un minimum de tolérance...
Elle s'en ouvrit à Françoise, avec laquelle elle bronzait nue dans l'enclos naturiste du club. La mature y vit plutôt une chance, dans la mesure où cela pouvait entrainer une complicité nouvelle entre mère et fille.
- Moi, j'ai eu deux garçons, ce n'est pas pareil, expliqua-t-elle. Et d'avouer qu'ils ignoraient le penchant de leurs parents pour le candaulisme.
Elle ne cessait de vanter cette pratique, qui avait rallumé les sens de son couple et en particulier les siens.
- Deux bites pour moi toute seule, tu te rends compte ? disait-elle à Sandrine, la langue sur les lèvres...
Son interlocutrice en venait à regretter de ne pas avoir osé au temps où elle vivait encore en couple. Il aurait peut-être sauvé celui-ci.

A force de parler sexe avec son amie de vacances, Sandrine ne pensait plus qu'à baiser. Elle savourait sa chance d'avoir pour amant un jeune homme fringant, agréable à regarder (surtout en le chevauchant) et doté d'un pénis qui la remplissait merveilleusement. Le problème était de le garder avec elle au moins le temps du séjour. Et elle allait s'y employer.

Il se trouva que Clarisse et son jeune amant avaient choisi une excursion pour la journée. Sandrine pouvait donc disposer de la case et après le déjeuner, proposa à Kevin une "sieste crapuleuse" que le jeune homme s'empressa d'accepter, estimant qu'il n'avait "pas fait le tour de la question" avec sa longiligne et ardente partenaire. Et c'est l'incendie dans la culotte que le couple gagna la case de Sandrine, laquelle avait tortillé de la croupe moulée dans son mini short en montant l'escalier menant à l'habitation sous le nez de Kevin qui bandait comme un cheval. Il eut tout juste le temps de coiffer sa queue avant que Sandrine, à poil en un clin d'oeil, ne l'entraine entre ses cuisses pour apaiser son brasier. Il éjacula une première fois mais n'eut aucun mal à remettre le couvert, cette fois pour des ébats prolongés au cours desquels l'un et l'autre s'attachèrent à faire "le tour de la question", comme il avait été dit. Ils changèrent plusieurs fois de position, Sandrine accepta même d'être sodomisée, ce qui ne lui était pas arrivé depuis des années et c'est au moment même où Kevin était fiché dans son cul que la porte de la case s'ouvrit.

C'était Clarisse qui rentrait avec son boyfriend. Stupéfaction générale. Kevin se retira la queue en l'air, Sandrine ouvrit grand la bouche en s'asseyant sur le lit et Clarisse sortit de sa surprise pour dire :
- Euh, excusez-nous, on ne savait pas... Le minibus est tombé en panne et, euh, on a annulé la sortie et, euh, on venait pour, euh, faire la même chose que vous.
- Vous pourriez nous laisser un peu tranquilles, non ? rétorqua Sandrine, qui avait repris contenance, bien que nue devant le jeune couple.
- Vous n'avez qu'à continuer, ça ne nous gêne pas, mais je ne vois pas pourquoi on partirait, hein chéri ?
Et sans transition, la jeune fille releva son top par-dessus sa tête, révélant ses seins nus, baissa short et culotte et s'allongea sur le lit voisin de celui de sa mère, invitant son petit ami à faire de même.

Mise devant le fait accompli, Sandrine n'avait plus qu'une alternative : battre en retraite, se rhabiller ou bien poursuivre avec Kevin la même activité que sa fille avec son jeune amant.
En l'occurrence, l'humeur l'emporta sur la pudeur. Elle avait autant envie de baiser que sa fille et elle ne voyait pas pourquoi elle devait faire passer ses désirs après les siens. Du reste, Clarisse avait déjà entamé une fellation sans se préoccuper du lit voisin. Kevin se débarrassa de sa capote anale et offrit lui aussi sa queue à la bouche de Sandrine pour ranimer sa flamme. Et voilà comment une mère et sa fille se mirent à tailler une pipe en proximité, scène improbable pour les deux jeunes mâles qui en étaient tout excités.

Leur virilité exacerbée fut tout bénéfice pour les deux femmes, aussitôt pilonnées avec ardeur, et dont les couinements étonnamment ressemblants confirmèrent leur parenté d'une manière inattendue. Les deux gars tenaient à ne pas jouir en premier, par fierté masculine, si bien que leur endurance fit monter les décibels dans la case. Sandrine et Clarisse ne pensaient plus qu'à leur sexe et au pénis qui les visitait de fond en comble. Aux "oui oui" et aux "ah ah" de l'une répondaient les "encore encore" et les "oh oh" de l'autre. Elles baisaient. Les lits grinçaient sur leur base fragile et les "flotch flotch" des sexes joints complétaient l'ambiance sonore.

Elles se retrouvèrent un moment à chevaucher en parallèle et pour la première fois, elles se regardèrent, étonnées de se trouver ensemble dans cette posture, mains sur le ventre de leur amant et cul en mouvement, dans une surprenante ressemblance physique. Elles esquissèrent un sourire entre deux râles, ayant définitivement franchi la ligne rouge séparant la pudeur du plaisir partagé. Plus tard, elles devaient se ressouvenir de ce moment particulier avec émotion, même s'il ne devait plus se reproduire à l'identique. D'une certaine façon, Sandrine avait vu grandir sa fille ce jour là.

Quand elles se retrouvèrent face à face, prises par derrière, mélangeant leur haleine, un bref dialogue s'engagea entre elles :
- C'est bon, hein ?
- Ah oui, ah oui.
- Tu la sens bien sa bite ?
- Mmmhh, oui, elle est bonne.
- Tu es une vraie cochonne.
- Toi aussi maman.
Cette scène surréaliste et ces propos énoncés tandis qu'elles allaient chercher la bite à grands coups de fesses agirent aussitôt sur les couilles des deux baiseurs, si bien qu'ils ne purent s'empêcher de gicler quasiment en même temps. Au moins, pas de jaloux. Les deux femmes les finirent à coups de langue, comme pour les essorer, et la tension retomba dans la case. Tout le monde partit se baigner dans la mer dans un état de bien être dont ne pouvaient guère se douter les autres baigneurs.
******
Ces liaisons durèrent jusqu'à la fin du séjour. D'un commun accord, Sandrine laissa à sa fille l'usage de leur case lorsqu'elle voulait baiser et elle-même copula quotidiennement avec Kevin dans le logement de celui-ci, ce qui occasionna d'autres parties à cinq avec Damien, Françoise et Serge. Sandrine fit à ces occasions connaissance avec la bite du copain de Kevin. Elle suça même Serge à la demande de Françoise au cours d'un méli mélo qui la purgea de toutes ses frustrations antérieures. Elle n'avait jamais autant baisé de sa vie et plus elle baisait, plus elle avait envie de baiser. Elle se demanda même si elle devait laisser une odeur de stupre derrière elle comme les chiennes en chaleur. On aura compris que pour elle comme pour sa fille, ces vacances s'étaient déroulées sous le signe du sexe. C'était d'ailleurs, sans se le dire, ce qu'elles avaient souhaité. Les adieux entre protagonistes de ce séjour furent émouvants. Françoise fit promettre à Sandrine de correspondre avec elle et même, pourquoi pas, des retrouvailles sous le signe du candaulisme. Sandrine ne dit pas non. Le spectacle de Françoise écartelée, bramant de plaisir sous les assauts de son jeune amant, et sous l'oeil de son mari, l'avait marquée. C'est bien cette femme mûre si libérée qui avait contribué à ce qu'elle le soit aussi.

Le retour à la réalité du travail estival fut donc un peu morose. Sandrine, en l'absence du patron, tint la boutique d'opticien en période estivale tandis que Clarisse occupait un emploi de caissière pour son argent de poche. Mais toutes les deux n'avaient qu'une envie : remettre ça. Le cul. Les jours suivants, chaque homme passant à
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : L'optichienne (2)

Le 16/12/2022 - 16:08 par DBHB24
Belle suite, ne dit t'on pas telle mère telle fille...
Le 16/12/2022 - 05:58 par OlgaT
Merci Micky! Comme ces deux femmes j'ai envie de remettre ça: découvrir tes prochains textes, toujours aussi excitants!
Le 16/12/2022 - 05:46 par Micky
Une coupure malencontreuse a omis la fin du texte. Le Voici : Mais toutes les deux n'avaient qu'une envie : remettre ça. Le cul. Les jours suivants, chaque homme passant à portée était jaugé sur son potentiel sexuel. L'adage selon lequel une femme qui a envie de baiser finit toujours par baiser ne tarda pas à se vérifier... mais c'est une autre histoire.

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