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L'optichienne

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 12/12/2022

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‌‌Plaquée après 25 ans de vie commune ! Sandrine avait eu du mal à s'en remettre mais elle avait décidé de prendre le taureau par les cornes. Puisque son ex ne l'avait plus jugée baisable au profit d'une grue, elle lui montrerait qu'elle faisait encore bander, la ! C'est Pascale, sa copine audioprothésiste, voisine de son magasin d'optique, qui le lui avait mis dans le crâne. Elle s'était citée en exemple. Cinquante balais, loin d'être un canon, et pourtant, elle baisait après la fermeture avec le jeune gérant de sa boutique sur un coin de table avant de retrouver son mari cocu. Sacrée Pascale !

Baiser avec son patron opticien, il ne fallait pas trop y compter. Pas son genre de mec. Dès sa séparation, elle avait tenté le coup avec le marchand de vin à côté de sa boutique, qui lui faisait du gringue depuis un moment. Il l'avait invitée à déjeuner, ils avaient ensuite été à l'hôtel mais déception sur toute la ligne. Petite bite et éjaculateur précoce, la totale. Il devait boire trop de vin. Leur relation en était restée là mais au moins, elle avait franchi le pas. Elle était devenue, comme le voulait Pascale, une femme qui baise... sauf qu'elle ne baisait pas souvent, contrairement à l'audioprothésiste.

En fait, Sandrine avait des vues sur un autre voisin de commerce. Il tenait la boutique du primeur, là où elle allait acheter ses tomates (entre autres). Un gars pas très beau, la quarantaine, mais la virilité suintant par tous les pores. Et un sacré paquet sur le devant du jean, ça, Sandrine l'avait remarqué. Elle avait rénové sa garde-robe. Le jean n'était plus obligatoire, même s'il moulait bien son joli petit cul. Place aux minis, robes ou jupes, pour mettre en valeur ses longues jambes, son principal atout physique. Et puisqu'elle avait de petits seins, haro sur le soutif et décolleté dorsal fréquent pour le confirmer. Coupe au carré, mèches blondes, ongles peints. Bref, quand elle allait acheter ses patates chez le primeur, elle ne passait pas inaperçue, d'autant qu'elle dépassait largement les 170 centimètres. Le gars avait bien noté le changement. Elle savait qu'il la suivait des yeux; Hélas, elle savait aussi que la boulangère, de petite taille et aux gros nichons, entrait dans la boutique à l'heure de la fermeture et n'en sortait que beaucoup plus tard. Côté buste, elle ne pouvait pas s'aligner.

Pascale la rassura :
- Ce type est un baiseur et s'il sait que tu baises, il te baisera.
Du Pascale tout cru. Sandrine finit par lui faire avouer qu'elle était passée à la casserole dans l'arrière-boutique du primeur et réclama des détails, qu'elle obtint de sa copine :
- Il est monté comme un âne en rut. Et il sait attendre ton plaisir. Hélas, cette salope de boulangère m'a cassé le coup. Après, j'ai eu mon petit gérant et ça me suffit.

A force de rendre visite au primeur, celui-ci avait compris que la grande blonde ne demandait qu'à se faire sauter. Alors, à quoi bon les salamalecs. Un jour qu'elle était venue, comme par hasard, juste avant la fermeture, il ferma boutique pendant qu'elle payait ses pommes, la prit par la main et l'entraina dans la réserve. Sandrine émit une interrogation, puis une protestation quand le gars l'enlaça en la calant contre une tablette mais sa main glissant le long de sa cuisse fuselée la fit fondre d'un coup. Sandrine pensa un bref instant que la boulangère, son antithèse avec ses gros nichons et ses jambes courtes, attendait peut-être devant la porte. Cette pensée la galvanisa et l'homme ne rencontra aucune résistance lorsqu'il saisit l'élastique de sa petite culotte et la fit glisser le long de ses cuisses. Elle l'aida même à ouvrir son pantalon et à poser le préservatif qu'il avait tiré de sa poche.

Confirmation : c'était un vrai braquemard qui était sorti de la braguette. Il la prit à la hussarde, la robe troussée au-dessus du nombril, son pantalon aux chevilles, ses mains sur les mollets pour les écarter. L'arrière-boutique s'emplit des bruits de l'amour, floc floc pour la jonction des deux sexes, couinements de Sandrine baisée jusqu'à la garde, écartelée, les fesses martyrisées par le bois de la tablette. C'était tout sauf glamour mais c'était exactement le coït un peu sauvage, invasif et percutant à laquelle elle aspirait. Elle le lui signifia bruyamment et l'homme, encerclé par les grandes guiboles de cette passionnée, la creusa avec une telle ardeur qu'il ne put retenir son sperme lorsqu'il découvrit qu'elle jouissait. Ce fut donc une copulation brève mais intense qui les satisfit pleinement l'un et l'autre. Elle le remercia en s'accroupissant pour pomper ses dernières gouttes, capote retirée, et s'emplir la bouche de ce beau morceau de viande mâle en train de rétrécir. Elle ramassa sa culotte, baissa sa robe, embrassa son amant de circonstance, et s'en retourna le plus discrètement possible dans son magasin d'optique. Après une nuit agitée, elle passa un coup de fil à Pascale pour lui raconter la scène :
- Bon, tu as eu ce que tu voulais, tu n'as plus qu'à continuer, lui dit son amie.

De fait, il y eut d'autres parties de jambes en l'air dans l'arrière boutique. Mais Sandrine, après avoir été fusillée du regard par la boulangère lorsqu'elle allait acheter son pain, finit par s'inquiéter de ce partage, qui risquait de créer un incident fâcheux pour sa réputation dans le commerce lunettier. On commençait à jaser. D'ailleurs, les vacances arrivaient et le patron allait fermer boutique pendant quelque temps.
*******
Sandrine et sa fille de 20 ans, Clarisse, décidèrent d'un commun accord de passer un séjour en club. C'était pour la mère le seul moyen de partir avec sa fille, en lui octroyant toute liberté, sans la contrainte trop pesante de la tutelle maternelle. A les voir ensemble, aussi grandes et minces l'une que l'autre, et tout aussi blondes, la différence résidant seulement dans la coiffure, plus volumineuse chez la vingtenaire, on pouvait difficilement nier la parenté. A peine avaient-elles défait leurs valises et prit leurs marques dans la case qui leur était réservée que Clarisse disparut. Sandrine la retrouverait bientôt avec des jeunes de son âge en train de siroter un breuvage au bar. Elle était à la fois heureuse de voir sa fille s'amuser et déçue de se retrouver seule.

Elles mangeaient néanmoins à la même table et se retrouvèrent le soir sur la piste de danse, dans des coins évidemment opposés. Mais Sandrine dormait quand Clarisse rentrait, et celle-ci dormait encore quand sa mère partait prendre son petit-déjeuner et faire ses ablutions. Chacune avait de surcroit ses activités : sportives chez la fille, léthargiques chez la mère, qui avait découvert la possibilité de bronzer nue dans un enclos réservé au naturisme. C'est là qu'elle fit la connaissance d'un couple, Françoise et Serge, d'âge mûr, avec lequel elle sympathisa. Au fil de leurs discussions, Françoise lui avoua qu'ils étaient venus "pour le sexe", en couple certes, mais pas seulement. La plantureuse quinquagénaire soignait son bronzage intégral en prévision de parties de jambes en l'air avec un étalon sous le regard de son mari. Sandrine découvrit alors le mot "candauliste", épatée par l'état d'esprit de ce couple qui le renvoyait à sa propre histoire, nettement moins libérée.

C'est par l'intermédiaire de Françoise qu'elle fit connaissance avec un certain Kevin, d'une trentaine d'années, lui-même flanqué d'un dénommé Damien, colocataire de case. Tous les deux, Sandrine le comprit vite, étaient là pour tirer des nanas. Mais pas forcément les plus jeunes. Françoise Leur avait mis le grappin dessus. Elle chuchota à l'oreille de Sandrine qu'elle prenait une option pour Damien et lui laissait son pote. C'était aller un peu vite en besogne. Sandrine évoqua Clarisse. Que penserait-elle de sa mère si elle la voyait fricoter avec un garçon aussi jeune ? Françoise admit le dilemme mais se félicita que son mari ne soit pas un obstacle, ce qui laissa Sandrine songeuse. Elle décida de laisser les choses se faire, tout en surveillant du coin de l'oeil les fréquentations de sa fille, objet d'un véritable siège de jeunes mâles. Il faut dire qu'avec son mini-short mettant en valeur ses jambes interminables et son débardeur moulant ses petits seins, la jeune fille ne passait pas inaperçue. Elle la perdit pourtant de vue sur la piste de danse pendant qu'elle se défoulait avec Kévin, de plus en plus pressant.
*****
Tellement pressant qu'il voulut la raccompagner jusqu'à sa case; Il se produisit un petit flottement devant la porte. Sandrine l'aurait bien fait entrer car elle était enfin décidée à en finir avec sa chasteté, mais Clarisse pouvait arriver n'importe quand et elle ne voulait pas être surprise par sa fille en train de baiser. En voulant ouvrir la porte, elle s'aperçut qu'elle n'était pas verrouillée. Clarisse était donc déjà rentrée ? Bizarre.
Oui, elle était bien là... en train de chevaucher un mec, les cheveux rejetés en arrière et le cul en pleine frénésie. Sandrine mit sa main devant sa bouche, de surprise. Kevin, toujours avec elle, jeta un oeil à l'intérieur et comprit.
- Ta fille, elle prend du bon temps, conclut-il logiquement.
Sandrine ne savait plus où aller. Attendre la fin des ébats de sa fille ? Mais ça pouvait durer longtemps.
- Tu n'as plus qu'à venir dans ma case, sourit le jeune homme, en lui prenant la main. Sandrine se laissa faire.

Sandrine n'opposait plus qu'une résistance réduite. Avoir vu sa fille baiser lui avait provoqué un petit choc. Y compris au niveau du bas-ventre. Mais quand elle entra dans la case de son accompagnateur, plongée dans une demi-pénombre, ce qu'elle vit accentua encore son trouble. A quatre pattes sur un des deux lits, Françoise, rictus aux lèvres et seins pendants autant qu'agités, se faisait posséder vigoureusement en levrette par le dénommé Damien sous l'oeil attentif du mari en train de se palucher. Sandrine n'eut pas le temps de méditer sur la scène : elle se retrouva poussée vers le lit voisin par Kevin qui visitait son corps d'une main impatiente. Les gémissements de plaisir de Françoise constituaient une trame sonore propice à la capitulation. Non seulement elle ne résista pas à Kevin lorsqu'il voulut lui retirer son pantacourt, mais elle l'aida en levant les reins, et la culotte partit avec. Idem avec le top et les sandales. Aussi nue que sa voisine, elle n'aspirait plus qu'à recevoir les mêmes assauts. Son jeune amant la prit par les chevilles et les repoussa pour lui relever le bassin, qui s'offrit à sa bouche gourmande. Pliée en deux et dégustée, Sandrine s'abandonna totalement. Un cunni pareil, c'était la meilleure manière de la préparer. Elle observait en même temps Françoise qui suçait son mari tout en se faisant besogner par derrière. Pourquoi elle et pas moi, hein ?

Quand Kevin enfila sa capote, il visionna une femelle aux longues jambes très écartées, en attente. Et la pénétra. Sandrine se mit à baiser sans arrière-pensée, seulement préoccupée par la durée de son coït car c'était vraiment trop bon pour que ce soit court. Que son partenaire soit jeune, bien fait et vigoureux ne pouvait que flatter son égo de femme mûre et l'inciter à se livrer totalement. Le jeune homme comprit qu'il avait affaire à un coup en or, une vraie femme avec de l'expérience mais au corps bandant à souhait, qui lui renvoyait la balle avec ardeur, prenait des initiatives, l'encourageait verbalement, lui parlait même de sa bite pour la célébrer. Du coup, Françoise, écartelée par Damien, se mit elle aussi à proférer une volée de mots crus, de sorte que la case devint un mini baisodrome qui atteignit son point culminant quand les deux femmes eurent leur orgasme et les trois hommes en présence leur giclée de sperme. Sandrine eut ensuite du mal à retomber sur terre. Elle s'était totalement oubliée pour se concentrer uniquement sur son sexe et celui de son amant circonstanciel. Tandis que Françoise s'abandonnait dans un sommeil au ronflement sonore, elle se rhabilla dans un état second et s'éclipsa sans même embrasser Kevin, qui la salua de la main. Elle retourna à pas prudents vers sa case, espérant que le jeune couple en aurait fini avec ses ébats.

​C'était le cas. Clarisse et le jeune homme dormaient mais dans le même lit. Sandrine se dévêtit à nouveau, enfila une nuisette et se coucha, rompue mais satisfaite.
Le jour était levé depuis un bon moment lorsqu'elle émergea du sommeil et jeta aussitôt un regard vers le lit voisin. Sans la moindre gêne, Clarisse était en train de tailler une pipe à son jeune amant, à l'érection déjà bien avancée. Sandrine se crut obligée d'intervenir :
- Tu pourrais attendre un peu que je m'en aille, non ? dit-elle à sa fille. Déjà, tu m'as empêchée de me coucher hier soir.
- Et tu es allée où jusqu'à une heure avancée de la nuit, quand je t'ai entendue rentrer ?
- Cela ne te regarde pas.
- Tu as baisé, c'est ça ? Avec qui ?
- Cela ne te regarde pas, je te dis. Maintenant, arrête, laisse ce garçon tranquille.
- J'ai envie de baiser. Tu n'as qu'à t'en aller.
Sandrine prit alors conscience que sa fille était aussi portée qu'elle sur le sexe. Après ce qui s'était passé cette nuit, elle était mal placée pour le lui reprocher. Elle se leva, s'habilla sommairement, prit sa trousse de toilette et s'éclipsa au moment où Clarisse escaladait son jeune amant pour une nouvelle partie de plaisir.
A SUIVRE
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Commentaires du récit : L'optichienne

Le 16/12/2022 - 16:03 par DBHB24
Très belle histoire sur la quête du plaisir...
Le 13/12/2022 - 21:24 par OlgaT
La suite s'annonce prometteuse! Merci Micky

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