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La boîte de Pandore

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Lue : 9446 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/04/2010

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Mon épouse et moi vivons maintenant depuis près de 10 ans ensemble. J’avais toujours pensé que l’érosion de la vie sexuelle dans un couple était inéluctable et pourtant, dès que j’ai rencontré Maëlie, j’ai cru que ça pourrait n’être finalement pas si inévitable que ça : pas très grande, dans les 1,60 m, elle a exactement tout ce qui me fait fantasmer chez une femme. Elle a des jambes magnifiques, d’une grande finesse et, quand elle met des chaussures à talons hauts, on ne peut s’empêcher de contempler l’élégance de ses chevilles, le raffinement de ses mollets légèrement étirés par la position imposée par ses chaussures. Si en plus on a le bonheur qu’elle ait choisi un modèle ouvert, le regard est attiré par les arabesques des lanières qui enserrent le pied sans le masquer, et il est ensuite comme guidé vers la jambe nue qui monte se dissimuler, mais très peu, sous une jupe courte et légère.

Mon premier contact physique avec elle l’a été par l’intermédiaire de nos mains. Je me souviens très bien de ce moment et c’est à chaque fois une petite bouffée d’émotions. Je ne suis pas un fétichiste, ni des pieds, ni des mains ni de quoi que ce soit. Mais quand nos doigts se sont rencontrés la première fois, alors qu’il était déjà évident que nous nous plaisions et qu’il allait se passer quelque chose entre nous, ce contact m’a comme électrisé : elle avait des doigts si fins et si doux que je ne pouvais que les imaginer parcourant mon corps. Je ne pouvais plus penser à autre chose tellement j’avais envie de la caresser. J’ai pourtant été bien obligé de garder en moi toute cette énergie sexuelle qu’elle faisait naître, probablement sans même en avoir conscience. Je pense d’ailleurs qu’elle continue à ne pas avoir conscience de ce sex-appeal, et c’est sans doute mieux pour moi ainsi ! Elle n’a connu que quelques amants avant moi, suffisamment pour avoir acquis une délicieuse expérience, pas trop non plus, ce qui ne lui a pas démontré qu’elle aurait pu avoir pratiquement qui elle voulait, y compris des hommes beaucoup plus beaux et sexy qui moi !

Lors de ce premier contact, je ne connaissais pas encore son tour de poitrine, 95 B. Je ne suis pas amateur de très grosses poitrines, j’ai même plutôt un faible pour les poitrines menues. Je ne raisonne pas ainsi devant mon épouse : elle est magnifique, ni grosse poitrine, ni menue, juste belle et, une fois que le regard masculin, au prix d’un effort dicté par les règles de bienséance, a réussi à quitter le haut de ses jambes pour tenter de croiser son regard, il ne peut faire autrement que s’arrêter un instant sur son décolleté. Quel hétérosexuel serait donc capable de ne pas imaginer l’espace d’une minute, ses mains se posant doucement sur sa gorge, ses doigts suivant les lignes de son cou vers l’espace découvrant la naissance de ses seins, afin d’y plonger la main à la recherche de la douceur de ce sein magnifique ?

Les quelques chanceux, dont je fais partie, ayant pu réaliser ce geste, ont également connu le contact avec ses lèvres, qui sont à l’encontre de certains critères esthétiques actuels, d’ailleurs déjà en passe d’être démodés : pas de lèvres pulpeuses chez Maëlie. Au contraire, on les dirait ouvertes dans son visage par un chirurgien de génie, d’un simple trait de scalpel. Une petite bouche, qui appelle les baisers.

Lorsqu’on répond à cet appel et qu’elle se laisse prendre dans les bras, les mains se posent naturellement sur le haut de ses jambes, ou plutôt le bas de son dos, délicieusement dissimulé sous une jupe tellement légère qu’on la comprend faite pour être enlevée. La main se sent obligée de poursuivre son exploration, uniquement partagée sur la route à suivre : se laisser aider par la gravité, afin de suivre le galbe de ses fesses, le long d’une ligne de démarcation loin d’être imaginaire, ou lutter contre l’attraction terrestre et plonger sous le tissu ennemi qui recouvre les charmes de ce buste qu’on ne pense qu’à découvrir ? « Que ta main droite ne sache pas ce que fait la gauche » répond le créateur de ce corps de rêve.

La main remonte alors sur son dos, passant rapidement du creux de sa colonne vertébrale à son côté, la femme étant d’une taille modeste. La peau est douce et chaude, on se demande pourquoi certains comparent l’épiderme féminin à du satin : alors que ce dernier est froid et synthétique, la peau de Maëlie me fait plutôt penser à la soie sauvage.

Au cours de son avancée en territoire inconnu, la main ascensionnelle rencontre un contraste brutal avec la chaude douceur de son dos : un ensemble d’armature, de coutures et de systèmes de fermeture froid, œuvrant en coulisse au spectacle du décolleté, que la bouche est maintenant en train d’effleurer. L’index glissé sous l’armature du soutien-gorge, juste sous les crochets de fermeture, le pouce et le majeur exercent une pression de chaque côté de celui-ci, par-dessus le tissu, l’obligeant à se plier en deux. L’index se retire, le pouce et le majeur glissent l’un sur l’autre et, comme d’un claquement de doigts, les deux petits seins libérés de leur carcan viennent à la rencontre de la poitrine de l’amant. La main droite, ayant temporairement terminé la découverte de la face postérieure, remonte le long du côté gauche de la jeune femme, passant sous le tissu du bustier, avançant rapidement sur le ventre plat et chaud, afin d’aider sa jumelle à débarrasser la belle de tous les atours devenus inutiles.

Bien sûr, avec le temps, nous avons cessé de faire l’amour cinq fois par week-end ! Mais pourtant, nos ébats n’ont jamais vraiment perdu en ferveur. Et puis, je ne saurais dire comment, je me suis mis à imaginer ma femme aux prises avec un autre homme, alors que je lui faisais l’amour.

Alors qu’on a la chance d’être celui qu’elle a choisi pour être son seul amant, pourquoi rêver de l’offrir à un autre me direz-vous. Je n’en sais rien et j’ai cessé de me poser la question. Sauriez-vous expliquer, vous, pourquoi finalement vous accepteriez probablement sans discuter le fait de devenir cet autre, bien qu’il faille alors supporter ma présence ? Le sexe aussi a ses raisons que la raison ignore et c’est peut-être mieux ainsi. A tout vouloir expliquer, on perd un peu de ce qui fait la magie de la vie.

La première fois que je lui ai parlé de ce fantasme, j’avais apporté un petit recueil d’histoires érotiques, parmi lesquels des récits adultères et de trios de deux hommes et une femme. Nous avions la chance de disposer d’un sauna privatif et nous nous sommes entièrement déshabillés pour le lire tranquillement. La température est montée très vite, et l’humidité également. Ma jeune épouse, qui n’était encore que ma maîtresse, tenait le livre, pendant que je lui prodiguais des caresses. J’eu la satisfaction de voir qu’elle ne quittait pas le livre des yeux, alors même que sa réponse à mes caresses étaient claires : elle vivait en rêve les histoires qu’elle était en train de lire, à travers mes attouchements.

Mon sexe était dur et je savais que, lorsque nous déciderions de passer à l’acte, nous n’allions pas battre des records de durée. Alors qu’elle lisait, je lui demandais « tu aimerais te trouver avec un autre que moi, dans ce sauna, et que ce soit lui qui soit en train de te caresser ? » Mon cœur battait extrêmement fort car, malgré notre formidable entente sexuelle et quotidienne, nous n’avions jamais abordé nos fantasmes. Je sentais mon cœur battre avec une force que je ne lui ne connaissais plus, ma bouche entrouverte laissait échapper de petits halètements en écho à ces pulsations cardiaques démoniaques. Je laissais glisser ma main le long de sa cuisse jusqu’à toucher ses lèvres intimes. Dans un soupir, elle me répondit « ouiii ».

J’atteignais un état d’excitation indescriptible. Sans même y réfléchir, j’avais suggéré à celle qui allait devenir mon épouse de prendre un amant ! Mes sentiments se mélangeaient sans que je sois capable d’y voir très clair. Il faut dire que le sang qui affluait vers mon sexe devait priver mon cerveau d’une partie de son oxygène vital. J’avançais alors un peu plus ma main, et mon index entra en contact avec le sexe de Maëlie, comme enduit de savon. Une légère pression de mes doigts faisait immédiatement glisser ses lèvres l’une sur l’autre, sans le moindre frottement. Une pression un peu plus soutenue, et voilà que s’ouvre à moi l’antre de son plaisir. J’y avance fermement, mais sans brutalité, lui arrachant un expiration en forme de râle « aaaaahhhhhh ». Elle ne lâche pas son livre et je décide de m’immobiliser, pour prolonger cette montée de notre plaisir mutuel, et pour ne pas interrompre ce moment. Chaque caresse nous rapproche tous les deux du seuil de l’orgasme, alors que chaque instant de plus passé à fantasmer augmentera l’intensité de celui-ci.

« Tu aimerais faire l’amour avec un mec que tu ne connais pas ? » lui chuchotais-je à l’oreille, mon doigt toujours enfoncé profondément en elle. « aaahh ouiii » répond-elle dans un souffle. Les hormones nous libèrent de nos interdits, je sens son sexe qui palpite, alors que le mien est au bord de la rupture. Je retire mon doigt et je me place sur le banc inférieur. Elle comprend très bien ce que je souhaite et ouvre ses jambes, relève un peu le livre, pour me laisser atteindre son sillon humide de ma bouche. Mes lèvres rencontrent les siennes, ma langue s’immisce immédiatement en elle, au lieu des caresses que je lui prodigue habituellement. Je ne suis pas sûr de l’avoir déjà connue aussi humide, même au cours de nos premiers rapports.

La chaleur du sauna est terrible, celle de nos corps également. Il y a déjà longtemps que j’ai perdu toute notion de temps, je voudrais juste que ça puisse durer toujours. Mon cœur s’est à peine calmé, chaque question que je lui pose, chaque réponse qu’elle me donne, relançant la cadence infernale. Je ne me suis pas aperçu qu’elle avait fini le recueil et qu’elle venait de s’en débarrasser. Elle me repousse un peu impatiemment et je la comprends au bord de l’orgasme. Toujours dans une forme de râle, elle me supplie « prends-moi, vite ! » Je me redresse mais n’arrive pas à imaginer de solution praticable pour la prendre de cette façon, elle assise les jambes ouvertes et moi debout sur le banc inférieur, un peu trop haut pour me permettre de la pénétrer directement. La faire allonger serait une torture inutile, étant donné la température que le bois a atteint au cours de nos préliminaires. Je m’assois donc à côté d’elle et elle se lève rapidement, avide de mon sexe dressé pour elle. Elle m’enjambe et se laisse doucement descendre vers mon pieu de chair turgescente.

Alors qu’elle atteint l’objectif, je lui demande « tu aimerais être prise de cette façon par un autre homme ? » Elle me répond « ouiii, ah ouii ce serait bon !!! » et s’empale sur mon sexe rigide en expirant tout l’air de ses poumons. Elle pousse sur ses pieds afin de me libérer partiellement, je me penche en arrière pour lui donner plus d’amplitude, ce qui me donne l’occasion de prendre ses seins en main « tu pourrais faire l’amour avec un autre, vraiment ? » « oui, oui ! » cette fois, ses réponses s’approchent plus du gémissement, saccadé par les à-coups.

Je la reprends contre moi, mes mains descendent vers ses fesses pour l’aider dans ses mouvements verticaux. Ce faisant, mon index reconnaît la zone délicate de son petit trou, complètement dégagé de ses adorables fesses par la position et tout humide, sans que je puisse décider si c’était dû à l’excitation ou à la transpiration. Ayant découvert ensemble il n’y avait pas si longtemps la sodomie, je sais qu’elle ne se plaindra pas si je m’immisce en elle de cette façon.

« Et si j’étais là moi aussi, et que je te prenne comme ça ? ». Mon majeur force doucement le passage, puis s’enfonce rapidement de toute sa longueur. Je sens mon propre sexe à travers la fine paroi, alors qu’elle continue de monter et descendre. J’arrive même à sentir mon gland lors de l’apogée de la course. Elle n’arrive plus à répondre, secouée des spasmes d’un orgasme violent. La vision de mon épouse prise par deux hommes lui procurant autant de plaisir me propulse comme, je suppose, si je venais de me faire un shoot de drogue : mon ventre se tord, me rappelant la sensation de la jalousie extrême, alors que, dans le même temps, mon sexe est traversé de plusieurs jets brûlants de semence. Je dois crier moi aussi, me sentant traversé de part en part d’un plaisir hallucinant.

Nous sommes tous deux exténués et on aimerait pouvoir rester l’un sur l’autre, l’un dans l’autre pour prolonger ce mouvement. Mais la chute est déjà là, le sauna est brûlant, on étouffe, le banc me scie les jambes et la position de Maëlie la soumet à la torture. Quand ces sensations sont-elles donc apparues ? Tout n’était que bonheur il y a une minute. Nous sortons rapidement prendre une douche bien froide, l’esprit embrumé de tout ce qu’on vient de vivre.

J’ai l’impression confuse qu’on vient d’ouvrir la boîte de Pandore, l’avenir nous le dira.
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