La caviste

En cette triste période de pandémie dont on imagine même plus la fin, on se fait plaisir chaque vendredi soir avec mon épouse en s'accordant un petit apéro champagne en amoureux.

Je connais un sympathique caviste qui m'a déjà fait gouter pas mal de crus, il commence à me connaitre un peu et je dois bien avouer que je suis jamais déçu.

Mais il a aussi une très grande qualité, il a une femme extrêmement sexy. Et étant donné le regard coquin qu'elle me jette chaque fois que je la croise, j'ai l'impression de ne pas lui être indifférent.

Ce soir là, comme un fait exprès, il y a beaucoup de monde dans la boutique, certainement des épicuriens comme moi. Je fais la queue et j'attends mon tour.

Le caviste s'agace un peu et appelle sa femme à la rescousse. "Chérie, tu peux venir, il y a du monde, tiens occupe toi de Mr J.. s'il te plait" Mr J., c'est moi. Je rougis un peu, mais derrière le masque, je suis à l'abri.

Je m'approche de cette beauté à la silhouette alléchante et lui demande de me guider pour choisir une bouteille de Champagne. Son mari, l'air de rien et l'oreille attentive, lui conseille un nouveau cru, simplement il n'a pas encore eu le temps de l'exposer, les bouteilles sont toujours emballées dans la réserve. Généreusement et comme je ne suis pas pressé, je me propose d'aider sa femme à déballer le fameux liquide. Il acquiesce...

Nous nous retrouvons elle et moi, seuls, à l'arrière de la boutique à chercher les cartons. Je vois bien que la belle n'y connait pas grand chose en Champagne, au moins autant que moi.

Elle est vêtue d'une jolie robe courte toute fleurie qui annonce un été chaud qui tarde à venir. Alors qu'elle monte sur un tabouret pour accéder au précieux breuvage, je profite de ses formes magnifiques qui provoquent ma première érection de la soirée, quel galbe !

C'est alors qu'elle me propose de gouter le champagne pour s'assurer qu'il est bon. Géné, je n'ose refuser. J'ouvre la bouteille délicatement pour ne pas éveiller l'attention du patron. Elle est vraiment coquine.

Sans verre, nous voilà obligés de boire au goulot. Elle commence, et tout en levant la tête pour absorber l'alcool, elle gonfle sa poitrine et je découvre ses deux seins fermes et tétonnés à souhait, elle est nue sous sa robe...

Soudain, elle arrose volontairement ses mamelles et me demande de la lécher. Je me rends compte que j'ai une gaule de tous les diables. Je m'exécute et lape goulument ses tétons tendus au travers de sa légère tenue, elle pousse un léger soupir.

Juste le temps de prendre à mon tour une gorgée, elle s'attèle à détacher ma ceinture, elle attrape au vol mon sexe tout raide et le déguste avec délicatesse. Me délectant de sa bouche baveuse, je jette un oeil discret dans la boutique. Heureusement, le boss est toujours débordé.

Tout en continuant à me branler silencieusement, elle soulève sa robe et se met à chevaucher la bouteille, elle me rend dingue la caviste. Je jalouse la boutanche, je n'en peux plus. Je passe derrière elle et lui chatouille la rondelle, elle me sourit.

Je n'y tiens plus, j'attrape mon sexe et l'approche de sa jolie bouche, je vais lui envoyer ma purée, elle le sait et s'apprête a recevoir la semence. Je gicle en retenant mon souffle de peur d'attirer le cocu. Je jouis comme jamais, quel pied...

S'étant délecter de mon gland jusqu'à le rendre aussi rutilant qu'une sculpture en bronze, elle m'embrasse, on se rhabille, et je m'en vais m'acquitter de ma dette.

Depuis, j'attends impatiemment le vendredi, jour de fête pour un confiné hédoniste, amoureux des arrière-boutiques, où le fantasme est sans limite...