La croisière

Nous sommes au mois de juin, avec ma femme Catherine nous avons décidé de faire une croisière en Méditerranée. Aujourd’hui c’est le jour J, nous sommes à St Tropez ville de départ. Nous avons couru toute la journée avec la crainte d’arriver en retard, mais là maintenant c’est fait, nous sommes dans notre cabine, ce n’est pas la plus grande ni la plus chère, mais elle est spacieuse avec un balcon, une belle salle de bain et surtout un grand lit double ou nous allons pouvoir nous reposer et faire beaucoup de  gymnastique sexuelle.
Je suis en train de penser à tout ça, assis dans un fauteuil une serviette autour de la  taille (je viens de prendre une douche) quand Catherine sort de la salle de bain une  serviette autour du corps mais qui s’arrête très haut des cuisses. Je la regarde, elle est vraiment très jolie, avec ses cheveux frisés, ses grands yeux bleus, sa bouche bien dessinée, mais surtout ses formes qui m’attirent toujours autant après 22 ans de vie commune. Ses seins généreux, à la peau si douce, son ventre si accueillant, ses fesses et ses cuisses à la peau soyeuse, un peu rondes mais fermes et galbées. C’est une très jolie femme de 47 ans ma Cathy, et je sais que les hommes qui la regarde passer dans la rue ou ses collègues de travail la mettraient bien dans leur lit. Pour l’instant elle est devant moi, avec sa serviette, en train de me dire :
Mais tu n’es pas près Alain ? dépêches toi nous allons louper le départ du bateau depuis le pont supérieur.
Je lui réponds et m’approchant d’elle doucement : nous avons encore 1h30 devant nous et le pont supérieur n’est pas si loin. J’ai un autre projet.
Elle me regarde avec un petit sourire coquin, elle voit la bosse que fait mon sexe tendu sous ma serviette. Au moment où je la prends dans mes bras, nos deux serviettes tombent, nos corps se retrouvent collés, nos lèvres se soudent pour un long baiser langoureux. Elle m’attire doucement vers le lit, s’allonge en écartant les cuisses et je la pénètre sans difficulté tellement elle est humide. Je reste en elle quelques instants, sans bouger, sauf nos langues qui se frottent. Puis doucement elle bouge son bassin et je commence à la besogner. Elle gémit doucement, le rythme s’accélère. Quand tout à coup, la porte de la cabine s’ouvre et un couple entre en se disputant ; 
Elle : tu vois bien que c’est ici, la porte n 1111 et plus elle n’était pas fermé
Lui : lui ça suffit, j’y suis pour rient si la carte ne fonctionne pas.
Nous nous tournons la tête en même dans leur direction, pétrifiés, arrêtés dans notre élan à ne rien pouvoir dire et sans réaction
Eux ils nous voient en même temps aussi, se momifient et reculent dans le couloir et s’excusant en claquant la porte, mais surtout en éclatant de rire.
De nouveau seuls, 
Catherine : c’était quoi ça ? et ils nous ont vu entrain deeeeee ?
Moi : des gens qui se sont trompés de cabine
Catherine : mais si ils ont pu rentrer c’est que depuis une heure on est resté avec la porte ouverte
Moi oui et c’est toi qui est rentrée la dernière, mais ce n’est pas grave, c’était des adultes et ils ont vu un couple nu l’un sur l’autre c’est tout. Je ne saurais même pas les reconnaître, et eux non plus d’ailleurs, lui n’a regardé que tes courbes et elle ma musculature. 
Notre élan de tendresse était terminé, et nous sous sommes préparés pour le départ du bateau

A notre retour dans la cabine, une bouteille de champagne accompagnée d’une carte ou Sophie et Marc nous invitaient à diner au restaurant gastronomique pour s’excuser de leur entrée intempestive dans notre cabine.
Je dis à Catherine : si tous les soirs on gagne un repas gastronomique, je veux bien m’exhiber 3 secondes par jour. 

Vers 21h, nous arrivons, au restaurant, nous demandons Marc et Sophie, un maître d’hôtel nous accompagne vers un petit salon discret et nous découvrons nos voyeurs :
Sophie 165cm, 55kgs, une peau mate, qui à l’air douce et soyeuse, des cheveux noirs qui tombent sur ses épaules, un corps qui attire le regard des hommes,(comme Catherine) mais surtout des grands yeux noirs et une bouche aux lèvres pulpeuses et des dents d’une telle blancheur, qu’elle pourrait faire de la publicité pour un dentifrice.
Marc : 175cms, 65kgs, le sportif souriant, bronzé, musclé juste ce qu’il faut, ouvert  aux autres, mais surtout blond, comme les aime Catherine. Ils ont à peine 40 ans
A partir de ce premier soir, nous allons passer nos vacances ensembles.
Ils sont à la suite 1121, (d’où l’erreur), ils sont là pour leur anniversaire de 
mariage, ils habitent au Canada depuis 10 ans, mais sont originaires de Bretagne. Elle  est infirmière et lui a une petite entreprise de pub. Nous aussi nous leur racontons nos vies (famille, boulot)
Tout le monde s’entend très bien, les deux filles n’arrêtent pas de se raconter des  tas de choses (j’ai pu entendre quelques bribes de conversation très intimes), avec Marc on raconte des histoires, on parle sport, on regarde et on parle de filles.

Sur une plage déserte, ils nous font même faire du naturisme, et je me rends compte que Marc est très attiré par Catherine, ils jouent nus dans l’eau, il veut la couler la prend dans ses bras, en lui caressant les seins.
C’est la sirène du bateau qui nous ramène à la réalité. Ils sortent de l’eau, lui avec une belle érection, et elle toute rouge d’être prise au piège de ses désirs
Sophie me glisse à l’oreille : je crois bien que mon mari sauterait bien ta femme
Je lui réponds : moi aussi je sauterais bien sa femme.
Elle me sourit, m’embrasse doucement au coin des lèvres et me dit : je ne dirais pas non à un extra.

C’est le dernier soir, de main le retour à St Tropez,
Il fait très chaud nous leurs proposons de venir boire le champagne du 1er jour chez nous. Ensuite nous allons manger, nous buvons une bouteille de chaque couleur, plus champagne à la fin du repas. Après une ballade sur le pont, et que nous n’avons pas vraiment envie de nous quitter, ils nous invitent à boire une dernière bouteille dans leur suite. 
Nous acceptons mais avant nous passons par notre cabine pour prendre une douche et nous changer. Je mets juste un bermuda et une chemise très légère.
Catherine me dit : tu ne mets pas de sous-vêtements
Je réponds : Sophie trouvera mon sexe plus rapidement
Je la regarde elle met juste une petite robe à bretelles et un shorty, je lui fais la même remarque et elle me répond en souriant : Marc la fera glisser plus facilement.

Ils nous attendent, lui en bermuda, et elle dans une robe blanche, moulante qui ne cache rien de son anatomie.
Leur cabine est plus grande que la nôtre, un coin salon TV, avec deux fauteuils et un canapé. Je me laisse tomber dans le canapé à coté de Sophie, et Catherine s’assied dans un fauteuil face à Marc.
Nous buvons une bouteille de champagne, puis une deuxième tout en discutant de ces vacances qui ont été formidables. Puis Marc se lève et disant qu’il a envie de danser, il va mettre de la musique, une musique d’ambiance douce. Il s’approche de Catherine et l’invite à danser. 
Elle se lève en me regardant droit dans les yeux. Elle sait, que je sais, qu’il va se passer quelque chose. Je lui fais un clin d’œil comme pour lui donner mon accord. J’ai une boule à l’estomac je suis jaloux, mais je suis aussi excité comme un fou.
Je les regarde danser, ils sont collés, il lui parle doucement à l’oreille, et ses
mains lui caresse doucement les épaules pour descendre jusqu’à sa croupe. Elle se laisse aller, sa tête sur son épaule les yeux fermés,
Je bande comme un taureau, je m’aperçois tout à coup, que Sophie, est tout contre moi, elle me murmure à l’oreille : il va sauter ta jolie Catherine. Et lentement elle passe la main dans mon bermuda pur s’emparer de mon sexe et le branler.

Je ne peux m’empêcher de regarder les danseurs, il vient de faire glisser les
bretelles de sa robe, il s’écarte délicatement, et le léger tissu tombe à terre. Avec la main il lui prend le menton lui relève la tête et leurs lèvres se touche tendrement pour un doux baiser. Catherine entre ouvre ses lèvres et vient chercher sa langue pour un baiser brulant.
Il la soulève de terre et la porte sur le lit, toujours collés l’un à l’autre. Elle
écarte les bras et se laisse caressée. Les seins, le ventre, Il l’embrasse partout, il descend jusqu’au pubis, titille le clitoris par-dessus sa culotte, qu’il sent déjà bien humide . Elle lève les reins pour l’aider à enlever le léger rempart, et il pose délicatement sa bouche sur son sexe. Il aspire puis lèche son clitoris tout gonflé de désir. Elle mouille, elle soupir, elle gémit. Elle appui sur sa tête pour qu’il aille plus fort plus vite et elle jouit dans un sursaut de plaisir.

Elle ne bouge plus comme évanouie, il se relève enlève son bermuda. Il prend son sexe dans sa main et le dirige vers sa chatte, il y rentre sans effort, elle ne dit rien se laisse faire. Il commence à la besogner doucement, à frotter son pubis contre le sien. Catherine ne bouge toujours pas elle se laisse prendre sans réaction. Progressivement elle reprend vie, elle bouge le bassin va à sa rencontre, écarte les cuisses pour qu’il aille le plus profond. Elle recommence à gémir, ils s’embrassent à plaine bouche mélangeant leurs langues et leurs salives. Elle lui dit : défonces moi, fais-moi jouir, va plus vite plus fort.
Marc lui prend les pieds lui rabat les cuisses grandes ouvertes sur la poitrine, et la baise comme un sauvage, au bout de quelques instants il explose en elle dans une jouissance intense. Catherine à son 2eme orgasme en quelques minutes, elle sent son sperme gicler sur les parois de son vagin en feu, se mélanger à son plaisir et couler sur son anus.
Je les regarde, Marc glisse à côté d’elle et se retirant, il lui caresse doucement les seins, et lui fait de tendres baisers sur la bouche. Je suis jaloux, mais heureux pour elle et surtout très excité.
Sophie qui n’a pas cessé de me caresser passe à la vitesse supérieure, elle dégrafe mon bermuda, mon sexe sort tout raide, elle le prend dans sa bouche et commence une fellation. Tout à coup elle s’arrête se relève, enlève sa robe, me fait allonger sur le canapé, et s’allonge sur moi à l’envers en me présentant son sexe à lécher. Vu notre état d’excitation le 69 ne dure pas très longtemps je jouis très vite dans sa bouche, pendant qu’elle a un orgasme sous mes coups de langue. Le tout sous le regard de nos conjoints qui n’en perdent pas une goûte.

C’est Sophie qui émerge la première elle se lève, va chercher Catherine par la main pour l’emmener dans la salle de bain, prendre une douche. 
Marc me dit maintenant c’est au tour de Sophie de se faire ta femme
Je réponds alors ça m’étonnerait, mais je demande qu’à voir.