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La croisière s'éclate

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Lue : 18382 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 09/09/2011

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Bonjour c'est Julie ! Pour les nouveaux, lisez mes histoires et vous en saurez un peu plus sur moi.

L'histoire que je me hâte de vous raconter est une histoire vraie : tous les détails sont réels et vécus.

Voilà je suis partie en croisière du 27/06 au 10/07. Je vais vous raconter mon périple qui fut riche en aventures.

Tout commence le Vendredi 27. Le bateau part de Gênes, je dois prendre l'avion de 10h. Je me dirige donc à l'aéroport, en tenue estivale: Robe bleue foncée bien décolletée, et une petite paire de chaussures.

Appel et prise d'un taxi ,Tourcoing-Lesquin. Le gentleman m'aide avec ma valise assez imposante. Je prends place à l'arrière et discute avec lui.
Je le vois me déshabiller du regard toute la route. Il roule en Audi toutes options, vitre teintée, etc...

Arrivée à l'aéroport, il se gare sur l'emplacement taxi gratuit et viens s'asseoir à mes côtés. On a discuté toute la route et là, il est à côté de moi, brun, assez musclé, black, pantalon en lin blanc et chemise verte.
Il me réclame 20€, je fouille dans mon sac à dos. C'est plus pratique pour voyager. Je n'ai que ma carte de crédit.

Il hésite puis me dit : "On en parle depuis tout à l'heure, au pire payez-moi en nature".
Un peu choquée par cette phrase directe et inattendue, je lui demande de préciser.
- "Pour être franc, tu m'excites ! J'ai vu que tu n' as rien sous ta robe, suce-moi et j'oublie les 20€".
N'ayant pas d'argent, et vu que je suis célibataire et en manque, j'accepte.
Je commence à peine à le caresser qu'une bosse apparaît sous son pantalon en lin. Il passe sa main sous ma robe et m'attrape un sein.
Je retire sa main, et lui rétorque : "Tu as dis juste une pipe, alors admire, savoure, mais ne me touche pas s'il te plait !"
Je déboutonne son pantalon et l'abaisse. Il mesure bien 2m, j'ai un peu peur de ce que je vais devoir prendre en bouche.
-"Vite s'il te plaît, tu m'excites".

Je descends légèrement son caleçon juste pour avoir accès à sa poutre bien raide, bien raide et large. Je la sors et m'aperçois vite que jamais je n'ai vu une chose pareille. Au moins 35cm, large de 5cm.
Il me lance "Tu t'y attendais pas" !
Je ne réponds pas et utilise mes deux mains pour la faire rentrer dans ma bouche, et je commence par des lapements.
J'ai à peine entrepris ma fellation qu'il s'enfonce dans ma bouche, en tenant ma tête.
Je me retire, respire un bon coup avant de reprendre, je suis accroupie devant lui en train de le pomper quand la porte à l'opposé de moi s'ouvre.
-"Bonjour, est-ce possible de prendre le taxi?"
Avant qu'il ne réponde je lance à cette dame.
-"Je le vide et vous le laisse".
Ébahie par ma réponse, la veille dame s'en va.

Je passe à quatre pattes à côté de lui, cul vers la porte restée ouverte et reprend mon gourdin en bouche.
Je fais mes va-et-vient le mieux possible, j'accélère, ralentis, reprends de plus belle, quitte sa quille pour lécher ses boules. Je lèche ses boules au chocolat et utilise mes deux mains en même temps pour secouer sa tige.
Au bout de cinq bonnes minutes d'agitation intense je ressens une crampe et remplace mes mains par ma bouche. A peine l'ai-je en bouche que sa chantilly inonde ma bouche. Je n'avais jamais reçu autant de sperme d'une seule bite ! Ma bouche déborde mais je ne gaspille rien.
Je referme ma bouche le regarde dans les yeux avale et lui dit : "Ça te suffit?".
- "Oui, merci beaucoup".

Je quitte le taxi et m'aperçois que la porte était restée ouverte et que certains badauds ont vu mes exploits, et surtout mon cul.
Je me dirige vers l'aéroport avec l'odeur de son jus dans la bouche.
Tirant ma valise je vais d'abord l'enregistrer. J'arrive au guichet, pose ma valise sur le tapis roulant. L'hôtesse me demande de mettre un peu de poids dans mon sac, la valise étant trop lourde.
Je me penche et remplis un peu mon sac, ce qui remonte ma robe déjà très courte et offre à tous les voyageurs derrière moi une vue sur mes fesses, ma lune, et le bout de mes lèvres.
Une fois ma valise enregistrée et validée, j'avance vers la salle d'embarquement, sentant tous leurs regards me dévorer.

Trente minutes après je monte dans l'avion et prend ma place. Je range mon sac au-dessus de ma tête. Le sac frotte ma robe qui se soulève, ce qui offre à mon voisin une vue imprenable sur mon abricot dépourvu de poils. Je rabaisse ma robe rapidement et prend place. Je suis assise du côté couloir, à côté de deux adolescentes.
Les hôtesses commencent les explications de secours, alors que l'avion est déjà bien haut dans le ciel. Je m'endors.

Quatre heures plus tard, c'est l'heure de descendre de l'avion. A Gênes, nous prenons un car qui nous emmène au bateau. Mais avant, on doit récupérer nos bagages. J'attends ma valise devant le tapis roulant ; elle arrive et je dois me pencher fortement en avant pour l'attraper. Quelques voyageurs n'hésitent pas à se rincer l'œil, et parmi eux, il y en a un qui s'est permis d'agripper fermement - de sa grande main forte - ma fesse droite devant tout le monde. Je le regarde, lui souris et récupère ma valise.

Dans le car qui nous amène à Gênes, je me retrouve bizarrement à côté de Stéphane, blond, environ 1m80, yeux marrons, 23ans, qui m'a touché la fesse un peu plus tôt et se permet de s'asseoir à côté de moi.

On discute, pendant le trajet, et on commence à faire connaissance. Il est Lyonnais, sera sur la croisière, avec ses amis, il est militaire. Il m'excite, il est beau, séduisant, j'ai envie de lui mais suis bloquée, entourée d'enfants.

Tout en discutant de moi, je parviens à glisser ma main sous son tee-shirt, je sens ses abdominaux musclés, son torse velu, et après je redescends, j'ôte les pressions de son jean, et passe ma main dans son caleçon. Je reste discrète, vu les enfants près de nous.

Il me questionne, on apprend à se connaitre, se parle de nos expériences diverses. Ma main touche sa verge, et effectue de très légers va et vient en le décalottant régulièrement. Mon petit jeu dure bien une petite heure, vu l'ampleur et la rapidité des mouvements que je dois respecter. Et soudain, je vois son visage rougir légèrement, son faciès se modifie, et je sens sur ma main sa semence blanche qui coule entre mes doigts et tout au long de sa tige.

En le fixant dans les yeux, je retire ma main couverte de son sperme et, un par un, mes doigts passent dans ma bouche. Certaines personnes ont vu notre manège et se doutent de ce que je suis en train de faire, mais les jeunes enfants n'y prêtent aucune attention. Je suis passée inaperçue du moins par les mômes.

Arrivés à Gênes, nos bagages sont directement acheminés vers nos chambres par le personnel du bateau. Je réside au pont le plus haut et Stéphane, trois ponts inférieurs au mien.

La réception nous accueille avec un cocktail de bienvenue. Ayant hâte de découvrir ma chambre, je reste seule et n'essaie pas de m'intégrer aux autres.
Dans ma chambre je découvre mon lit une personne, la télé, le canapé clic-clac, la-salle- de-bain, la baignoire douche, les rangements, etc...
Je commence à peine à ranger mes affaires dans la penderie, lorsqu'on toque à ma porte. Il s'agit du personnel de nettoyage qui m'apporte le journal de bord, qui rapporte tous les services du bateau.

Une fois avoir rangé tous mes vêtements, je décide de prendre une bonne douche. La douche est très agréable ,bonne température, bonne pression. Lavée et coiffée, je reste en serviette et parcours les informations utiles pour la croisière. Toujours avoir sur soi la carte remise par la réception, elle sert comme moyen de paiement mais aussi pour ouvrir la porte !

On toque, j'ouvre en serviette, et sors à peine de la chambre pour prendre le thé offert par le personnel de nettoyage.
Ma porte vient de claquer, et ma carte est dans ma cabine ! Je me retrouve donc dans le couloir, coincée, juste couverte de ma serviette. Je dois aller à la réception pour demander qu'il m'ouvre, tout ça nue sous ma serviette.

De retour dans ma chambre, je me change. Pour mon premier jour ça commence bien!! Vêtue de mon bikini de bain, je me dirige vers la piscine.
Après avoir vu comment procéder, je donne ma carte pour obtenir un transat et une serviette et vais m'installer au soleil et reste à bronzer au soleil.

La première journée est assez calme. Le soir on a tous une table attribuée. On est 1600 sur le bateau, ce qui nécessite un minimum d'organisation comme une table bien précise. 1600 personnes mais à peine 100 francophones. Il y a des Italiens, des Anglais, des Portugais, des Allemands, des Belges, etc...

Je m'installe à ma table et fais connaissance avec le couple déjà présent. Ils sont français ont une trentaine d'années. Tout en mangeant on fait connaissance. Il est en costard cravate, bien bâti, de grande taille, de grandes mains musclées, brun, regard ténébreux. Elle est blonde, forte poitrine, 1m80, de belles formes, yeux verts, habillée d'un tailleur et d'un chemisier blanc laissant apparaître son soutien gorge noir.
On mange, on se chagrine, on se taquine. À la fin du repas, Sophie m'invite à passer la soirée avec eux et je les suis.

Dans leur chambre, un lit à baldaquin deux personnes, une douche plus grande, tout est surdimensionné par rapport à ma chambre une personne. Sophie range ses affaires, pendant qu'Antoine file sous la douche. Elle me demande de l'aider à ranger ses vêtements, après quoi elle sort de sa valise des sextoys de toutes sortes : des longs, des ronds, des godes ceintures simples et doubles, etc...
- "Antoine est fan, et j'adore avoir un mec et être prise de partout" me dit-elle.
J'acquiesce sans trop prêter attention.

Pendant qu'elle range, j'observe l'Italie depuis le hublot. Au bout de dix bonnes minutes je me retourne et ne voit personne. Je les appelle, mais sans réponse ; inquiète, je quitte le hublot et cours à travers la pièce. Je les retrouve dans la salle de bain : elle est en train de se faire sucer le gode. Ils sont nus comme des vers devant moi.
Antoine me dit : "Julie, viens me sucer".
Je n'ose pas rentrer dans leurs délires.
-"Ce sont tes vacances, profites-en".

Je réfléchis, ils sortent et regagnent le lit. Sophie est allongée sur le dos ,il suce le gode ceinture à quatre pattes, et moi derrière lui j'attrape son sexe et le suce à son tour. On change : il passe sur le dos, je suis plus à l'aise pour lui lustrer son instrument dur, de taille normale, et assez touffu. J'accélère mes mouvements de la bouche, quand je sens mon anus s'écartait pour laisser entrer Sophie.

Je sens ses va-et-vient dans mon cul, et d'un coup plus rien. Je profite de ce répit pour accélérer encore mes lèvres autour de la tige d'Antoine.
Il gémit de plus en plus, me place sur le dos et vient branler son sexe avec mes seins, après m'avoir retiré ma robe jaune poussin.

Dans la minute qui suit, je reçois ses giclées de sperme sur la figure ; au même moment; Sophie m'offre ma première double pénétration par un double gode ceinture. Je suis remplie de plastique, et j'ai le visage couvert de foutre.

Antoine laisse la place à Sophie qui s'occupe de mes trous avec son double sexe, je vois Sophie s'exciter comme un mec : elle accélère, elle commence à gémir, quand - pendant qu'elle s'occupe de moi - son homme la pénètre à son tour d'abord dans le vagin, puis dans l'anus, puis en alternant rapidement.

On change de place : Sophie prend ma place, je prend la sienne et Antoine reste derrière à s'attarder dans ma sodomie. Je pénètre Sophie avec son double gode, elle hurle de plaisir. Je continue à me faire enculer, Sophie jouit sur les godes trempés. Antoine prend place juste devant moi et enfonce son sexe dans la bouche de Sophie, qui semble apprécier sa triple pénétration.

Antoine se retourne vers moi, en train de pénétrer sa femme. Il me demande d'arrêter, j'obéis ; il enfile un gode ceinture-simple, me pousse vers Sophie, qui écarte les jambes, et m'enfonce sa bite dans le cul et le gode dans mon vagin. Je gémis, il accélère et je tombe sur le ventre.
Sophie me réclame un cunnilingus. Moi qui n'ai jamais rien fait avec une femme, je la lèche timidement. Elle réclame plus, je la lèche un peu plus. Toujours sous les assauts d'Antoine, je lèche Sophie de plus en plus. Elle se met plus sur le dos et me demande de lui doigter la chatte pendant que je lui mets ma langue dans l'anus. J'obéis sous l'euphorie.

Antoine a lâché le gode et se contente de me sodomiser. Je suis sur Julie en train de lui titiller les seins du bout de la langue et de jouer vite avec mes doigts, deux dans son cul, puis dans sa chatte, et je change à chaque fois cul, sexe, cul, sexe, et ma langue parcourt également ses seins.

Mes doigts sont trempés. Je les lui mets dans la bouche, pour qu'elle me les suce un peu. Je l'embrasse en lui caressant les seins.
Antoine accélère ses va-et-vient en moi et déverse son foutre dans mes entrailles. Je les remercie de m'avoir initiée à la bisexualité, me rhabille, les remercie encore et les laisse reprendre leur ébats.
Je regagne ma chambre et m'endors d'épuisement.

Le deuxième et troisième jour, je fais des excursions à Malte, en jeep, et à Limassol en bus. Je n'ai pas beaucoup de temps pour moi.

Le sixième jour, étant un jour réservé que pour la navigation, je compte bien en profiter. Le lever est délicieux, car j'ai demandé à avoir le petit déjeuner au lit.
Après m'être régalée, et après avoir pris ma douche et enfilé un short moulant et un tee-shirt jaune très clair, je me rends ensuite directement vers la piscine.
Je nage toute la matinée et pars ensuite manger pour reprendre des forces.
Le repas de midi est bref, je mange seule dans mon coin.

Tout de suite après je retourne à la piscine.
Toujours la même démarche : ma carte contre un transat et une serviette.
Pendant la navigation beaucoup profitent du soleil, mais je ne parviens pas à trouver un transat de libre.
Je retourne à ma chambre, et ne pouvant bronzer, j'enfile mon maillot de bain et repars vers la piscine pour aller nager. Je passe sous la douche, et saute de suite à l'eau.
Dès que mon corps est habitué à l'eau je commence mes longueurs. Aller-Retour et ainsi de suite.

Deux heures après, épuisée, je sors de l'eau, mais en m'agrippant à l'échelle, je sens qu'on me retient la jambe sous l'eau. Je me débats et aperçois une main m'entourer, me saisir un sein et me tirer en arrière.
Je remonte à la surface et voit Stéphane.
On sort de l'eau, je le repousse à l'eau pour me venger de ce qu'il vient de me faire. Il sort, m'invite sur son transat, lui juste en caleçon de bain et moi en maillot deux pièces.
Je lui demande de m'attendre et retourne rapidement à ma chambre prendre mon bouquin mes lunettes de soleil, et ma crème solaire.

Je le retrouve à la piscine, il m'a trouvé un transat ! Je le remercie, m'installe tout en admirant ses pectoraux, ses abdominaux bien musclés.
On discute : il m'avertit que ses amis doivent le rejoindre d'un instant à l'autre car ils mangent ensemble.
- "On a encore une heure avant le repas" ,me dit-il.
- "Oui je sais et que comptes-tu faire pendant une heure?"
- "Bronzer, et toi?"
Je lui réponds: "Pareil !"
Je me tourne sur le ventre et lui demande de me mettre de la crème sur le dos.
Il pose ses doigts forts sur mon dos et commence à me masser en m'étalant l'huile de bronzage.

Il débute par les épaules avec des mouvements circulaires, descend et me dégrafe mon haut, je ne proteste pas, pour qu'il mette bien de la crème solaire partout.
Je me soulève un peu, et tire mon soutien-gorge qui finit au sol.
Je reste sur le ventre, les seins dans le transat, et sens ses mains descendre sur mes côtes.

Il masse bien, il descend encore ses mains.
Je les sens au bas de mon dos, d'un coup il remonte ses mains sur mes épaules et s'allonge sur moi. Je perçois une bosse à travers son caleçon. Sa bite est bien dure et prête à me prendre, là devant tout le monde.
J'ai bien senti son sexe dur, mais ne dis rien et le laisse continuer son massage. Il s'assied entre mes jambes, et reprend ses caresses sur ma taille.

Il descend encore et me flanque une fessée. Pour le provoquer je m'empresse de répondre.
- "Je n'ai rien senti".
- "Ah oui" ,dit-il en glissant une main dans ma culotte.
- "Et là, tu sens rien?" me lance-t-il, en m'enfonçant un doigt dans chaque trou.
- "Absolument rien", dis-je d'un ton ironique, mais en sentant ma cyprine couler le long de ma chatte.
Il réitère son geste plusieurs fois en moi. Les plus curieux commencent à nous zieuter.
Pour qu'il arrête, j'attrape sa main et lui lèche chaque doigt très lentement à plusieurs reprises. Tout cela nous prend bien 15 minutes.

Ensuite, il retourne dans l'eau où ses amis l'attendent.
Toute émoustillée par ce mâle en rut, je replonge dans ma lecture pour faire redescendre mon excitation.

Observant, autour de moi, les femmes aux seins nus en train de bronzer, je fais un demi-tour pour me retrouver sur le dos, les seins à l'air, avant de continuer ma lecture.
Beaucoup me regardent m'exhiber.
Cela doit leur changer de voir deux seins bien ronds, bien fermes, faire bronzette sans pendre et sans aucune ride !

Il était déjà 19h15, quand Stéphane et ses amis sortent de l'eau, tous viennent me saluer. Sans le dire, ils se sont déjà tous bien rincer l'œil sur mes nichons de 19ans. Après quoi, ils partent vers leur chambre respective. Stéphane me convie à leur table pour le repas. J'accepte et retourne dans ma chambre me changer en vitesse.

Le soir nous avons une table précise dans le restaurant, mais pas dans le Self, autre endroit de restauration.
Je m'installe avec eux sept à leur table de huit. C'est un self, donc on peut se servir un peu comme on le souhaite. J'opte pour des saucisses, du riz et reprend une assiette de poulet avec des pâtes.

Nous faisons connaissance ; moi 19 ans, vêtue d'une robe de soirée, et les autres tous plus où moins habillés de manière classique, short, tee-shirt, tongs. Alexis, Gabriel, Jonathan, Mohamed, Julien, Rachid et Stéphane ont tous l'air ravis de me rencontrer.
Stéphane, 23ans, est le plus âgé ; le plus jeune étant Alexis, âgé de 17ans.

Pendant le repas, comme beaucoup de jeunes de notre âge, la conversation est très portée sexe. Tellement qu'au dessert, on décide de tous se rejoindre dans ma chambre pour faire un strip-poker et plus si affinités. Personnellement je suis excitée de me retrouver seule pour assouvir sept mâles.

Après avoir savouré mon ile flottante, j'attends les mecs. Une fois ayant tous fini, on se donne rendez vous dans ma chambre à 21h. Sachant qu'il 20h30, je cours vers ma chambre afin de me préparer.

Ils sont à l'heure ; moi comme toute fille un peu féminine je suis à la bourre ! Epilée, lavée, maquillée, habillée d'un jean, d'un teeshirt, d'un pull, je me grouille de me coiffer et les accueille en leur ouvrant pile à l'heure.

Je joue mal au poker, donc pas les vêtements habituels. Eux sont tous en tenue décontractée, short, t-shirt, tongs.
On s'installe tant bien que mal dans ma chambre individuelle sur le lit, à terre, là ou on peut et commence à jouer.

À ma grande surprise je ne suis pas la plus nulle. Alexis et Jonathan se retrouvent entièrement nus alors qu'il me reste encore mon jean, mon t-shirt, et mon string.
À leur tour, des gages leur sont donnés.

C'est d'ailleurs la première fois que je vois un mec en enculer un autre. Et aussi la première que je vois un mec avaler le sperme d'un autre.
Apres une heure de jeu, il ne reste que moi en string, et Mohamed et Julien en t-shirt, tous deux la bite à l'air.
À côté de nous, ça s'encule et se suce de partout.

Je perd cette manche et dois céder mon string.
Ça y'est : je suis nue devant ces mâles excités par mon premier gage. Il ne reste plus que nos deux joueurs.
La manche suivante arrive vite : étant nue, je bluffe à fond pour gagner, mais reste en échec avec mes deux paires face au full de mon adversaire.
Julien étant le gagnant de la manche décide de mon gage.

Après une réflexion de trois bonnes minutes, il dit:
- "Étant le gagnant pour le moment, je veux que tu t'occupes sexuellement des éliminés".
À ce moment là, je les regarde, tous nus, et aperçois cinq verges à l'air.
- "Dois-je m'occuper des cinq en même temps ?"
- "Oui."
OK, ayant bien compris le gage, je m'allonge sur la table basse sur le dos et leur demande à tous de s'approcher.

Très vite je me retrouve entourée de bites, je branle Gabriel et Stéphane chacun avec une main, attrape avec ma bouche Jonathan en penchant la tête en arrière. Alexis se lustre entre mes seins et Rachid me pénètre le vagin.

Comme vous pouvez le constater, je commence fort.
Occupée à mes ébats je zappe complètement la partie : c'est Mohamed le gagnant.
Comme fixé depuis le début entre nous, le gagnant aura tout les droits pendant dix minutes.

Je suce, branle, serre les pectoraux, et gémis des coups de reins de Rachid qui a une belle tige bien taillée, longue, et circoncise, elle doit bien mesurer 30cm !
Il me l'enfonce le plus loin qu'il le peut ; comme il a le plus gros et grand sexe, les autres glisseront facilement.
Mohamed demande à tout le monde d'arrêter : étant le gagnant, il compte bien profiter de ses dix minutes.

On coopère.
Il me dit "Reste allongée. Toi, tu me suces pendant mes dix minutes, tu as le droit d'utiliser tes mains, mais je ne veux personne en toi. Les autres, faites-lui prendre une douche".
A peine ai-je commencé à sucer Mohamed - qui a une bite moyenne d'environ 25cm, bien raide et humide - qu'Alexis, le plus jeune, se vide sur mes seins, suivi rapidement de Gabriel sur et non dans mon sexe.
Jonathan, Julien et Rachid eux préfèrent m'éjaculer à la figure. Rien qu'avec le foutre de Rachid sur le visage, çà dégouline, bien membré, et surtout bien plein. Je commence à sentir leur sperme partout, quand Stéphane m'éjacule dessus à son tour, lui choisit aussi mes seins.

Au bout des dix minutes de fellation offerte à Mohamed, je le sens se vider dans ma gorge.
Finies les contraintes, quartier libre ! A l'instant où il quitte ma bouche ,tous se jettent sur moi tels des hyènes affamées.

Stéphane, Gabriel et Julien choisissent de se partager ma langue et ma bouche, qui tente de contenter tous ces phallus en même temps.
Dans le même laps de temps, les bites de Mohamed, Rachid, Jonathan, Alexis me visitent à tour de rôle, dans l'anus et dans le vagin.

Après quoi, sans rien dire, comme si c'était l'ordre des choses, ils inversent : Mohamed, Rachid, Jonathan et Alexis investissent ma langue et ma bouche tandis que Stéphane, Gabriel et Julien me ramonent mes trous.
Bientôt chacun à leur tour vient se vider sur mon visage.
Par précaution, j'ai fixé - dès le début - aucune goutte dans ma chatte.

Déjà bien couverte de 14 éjaculations, excitée et chaude comme de la braise, sans plus aucune limite, je réclame des triples pénétrations afin que chacun puisse vraiment en profiter. Que tous passent au moins dans chacun de mes trous !
De là s'organise une véritable tournante sexuelle.
Toujours un dans la bouche, le cul et la chatte, en perpétuel mouvement.

On s'était fixé rendez-vous à 21h. Ma fellation à Mohamed a eu lieu à 22h.
Il est 00h10, tous se sont revidés au moins trois fois dans ma bouche et mon anus. Je dégouline littéralement de foutre.
Mes seins et mon visage sont couverts d'une couche blanche transparente de sperme.
Si je recompte avec le recul, j'ai reçu au total 56 éjaculations en 02h00.
Record à battre pour mes fans féminines !!!

Après ces exploits, tous partent se coucher, après m'avoir vue me nettoyer et avaler toutes leurs semences, à l'aide de mes mains.
Je m'endors exténuée sans prendre le temps de me doucher.

Le lendemain, le réveil est difficile : levée à 6 h, juste le temps de prendre mon petit-déjeuner, de me doucher, d'enfiler mini short ,t-shirt, préparer à la hâte mon sac-à-dos (Crème solaire, lunettes de soleil, mes papiers, mon appareil photo, spray anti-moustique, bouteille d'eau fraîche, brumisateur ,casquette, de quoi prendre des notes).
En speedant comme une folle je parviens à être prête à 7 h pour le départ en excursion.

Aujourd'hui le débarquement s'effectue par chaloupe, car le bateau de croisière est trop grand pour le port.
Tous dans plusieurs chaloupes, nous arrivons vite au port.
La guide nous dirige et nous fait visiter des ruines de Palais d'Apollon, nous parle des Spartiates, des conditions de vie de l'époque, des mentalités.

Cette journée est bonne, je découvert des lieux magiques d'une incroyable beauté. Je prend plein de notes et apprends plein de choses.
Les deux jours suivants sont identiques à celui-ci, remplis d'endroits spectaculaires, de lieux immémoriaux, d'histoires invraisemblables, de paysages inoubliables.

Nous en sommes déjà au dernier jour de croisière, demain soir je serai chez et dormirai dans mon lit. Le dernier jour est dédié uniquement à la navigation pour rattraper Genoa, Gênes en français.

Depuis notre soirée, mes sept camarades me réclament régulièrement, par des sourires, des clins d'œil lointains, des regards fougueux.

Ce dernier soir, je décide de retourner dîner avec Antoine et Sophie, qui sont à une table de huit, en compagnie de cinq blacks grands et costauds.
À peine suis-je arrivée qu'ils quittent tous la table, ayant terminé leur repas.
Voyant le regard et l'attitude de Sophie, je comprends vite qu'ils lui sont réservés.
Je ne relève pas et m'en vais dans ma chambre.

Deux heures après, je fais un passage devant leur chambre et l'entend gémir. Je toque, Antoine m'invite à se joindre à eux. Je passe encore une soirée baise inoubliable, à me faire transpercer par ces véritables marteaux-piqueurs du sexe.
J'en ai mal pendant plusieurs heures, à force de recevoir des coups de bites comme des pylônes électriques pendant trois heures ; ça a sûrement bousculé un peu mon organisme interne.

Sophie se contente de les sucer et d'avaler, tandis que tous me remplissent.
Ma chatte est nettoyée, inspectée par chacun y compris Antoine, mais je n'ai reçu aucune goutte.
Par contre, contrairement à Sophie qui n'accepte que les pénétrations de son homme, mon cul et ma bouche reçoivent plusieurs avalanches bien crémeuse. À cinq ils m'inondent plus que mes sept acolytes précédents.

Pas très étonnant quand on voit leurs perches ! On dit que les noirs sont bien montés, je comprends maintenant. Je ne connais pas leur origine mais sincèrement, véridique, la plus petite des bites que je suce et qui m'encule ce soir-là doit faire 30 cm avec une largeur de 3 cm, alors je vous laisse imaginer pourquoi je dis que j'en ai eu mal, surtout pendant les doubles pénétrations. Antoine est ridicule ce soir-là. D'ailleurs je le trouve distant.

À la fin de cette soirée, sans vous faire un dessin, je suis nue et couverte de blanc, comme si je portais des vêtements de sperme.
Mes trous, après ces rapports multiples, restent béants un moment.
Jamais je n'avais eu de tels rapports, avec de tels phallus.
Juste un conseil pour mes lectrices, essayez les Mauriciens, et les Guadeloupéens : ils valent le détour et prévoyez le parapluie !

Après une dernière fellation à tous pour les nettoyer, ce qui m'apporte un dernier bain de bouche général, je me mets à l'écart pour racler tout le sperme de mon corps et le boire.
Pendant ce temps là, tous y compris Antoine, se rabattent sur Sophie qui - agenouillée au sol - n'arrive pas à gérer toutes ces sexes qui l'entourent.

Après avoir bu toute cette délicieuse et onctueuse crème, je jette un dernier coup d'œil avant de les laisser finir entre eux.
Mon coup d'œil, même furtif, m'offre une dernière vue sur Sophie déjà ensevelie sous les éjaculations faciales de ces partenaires.
Ce n'est pas elle qui mène le jeu, mais plutôt eux qui attrapent sa tête l'un après l'autre et lui fourrent leur poutre le plus profondément possible. Je l'ai vu et vécu pendant une demie heure : quel régal !

Eux ont passés une excellente croisière sur le MSC MELODY, et comptent faire de la pub à leur retour.
Je dois bien dire que moi aussi j'ai passé un excellent moment.

Il est 10h30, je bronze sur mon transat seins nus depuis une bonne heure. Toutes les personnes sur le pont supérieur ont eu le temps de mater mes attributs sous tous les angles.
Je me lève, remets mon haut, regagne ma chambre et commence à préparer mes affaires pour quitter le bateau.
Une heure après, tous les passagers sont prêts à leur point de ralliement respectif, en fonction de leur itinéraire.
Les Français, sont débarqués du bateau à Gênes à 12h.
Direction la navette Gènes-Nice, puis l'aéroport.

Habillée d'un jean bleu, d'un string-ficelle noir, et juste d'un top rouge transparent, je m'assoies au fond du bus pour que tous puissent contempler et deviner ma poitrine visible par transparence, une dernière fois.

Trois heures après, nous arrivons à Nice pour 16h. Mon vol est à 17h. J'accélère, j'enregistre mes bagages, cours vers les portiques de sécurité, avec mon top rouge transparent qui laisse entrevoir mes seins gonflés, par le stress de rater l'avion.
Le personnel qui effectue le contrôle jette un œil à ma poitrine, et me laisse parler sans rien dire.

Je file vers la salle d'embarquement, et sur qui je tombe : Sophie seule.
Je la salue, et elle en fait de même.
- "Antoine est aux toilettes, il arrive".
- "Dis moi tu ne te trouves pas un provocante dans cette tenue?"
- "Disons que j'aime l'exhibition et être désirée."
- "Bonjour, Antoine."
- "Bonjour Julie, originale ta tenue".
- "Merci, alors Sophie tu t'en es sortie avec nos amis blacks?"
- "Oui çà a été, merci, j'ai pris une bonne douche."
Et sur ces mots ils se lèvent, me disent à la prochaine, et me quittent pour aller dans la zone duty free.

L'appel de mon vol retentit, j'embarque à bord juste avec mon sac à dos.
Je m'installe au siège indiqué sur mon billet 21c, contre le hublot, et replonge dans mon livre palpitant.
Plusieurs passagers, passant à mon niveau, prennent quelques secondes pour discerner mes seins en transparence de mon top.
L'avion décolle, tous attachés, nous écoutons les consignes de sécurité.
Dans les airs, je me détache et me rends aux toilettes.

Sans le faire exprès, ayant la tête ailleurs je dépasse les toilettes, et surprends une hôtesse de l'air en train de se toucher les seins.
Elle se hâte de se rhabiller, et fait semblant de rien, alors qu'au fond elle est honteuse.
- "Le vol ne dure qu'une heure, vous comprenez?"
- "Oui tout à fait, profitons-en."
Et à la vue discrète de tous, elle rouvre son uniforme, déboutonne son chemisier et m'offre son 95D.

Je les caresse subrepticement, puis un peu plus, jusqu'à bien les lui masser avec mes mains.
Elle m'embrasse, sa langue tourne autour de la mienne, je suis le mouvement.
Un homme vient vers nous, on s'arrête net, elle se rend présentable.
Il va juste aux toilettes, les cloisons étant fines, on l'entend faire ses affaires. Il ressort et retourne à sa place.

Sandrine, 27ans, hôtesse de l'air me pousse contre la paroi de l'avion, et me titille les tétons à travers mon top avec sa langue.
- "Il reste 10 minutes avant la procédure d'atterrissage, viens avec moi".
Avant que j'ai la moindre réaction, on est déjà toutes les deux enfermées dans les toilettes.

Très vite elle se met torse nu et, m'enlevant mon top, elle m'invite à m'asseoir sur la cuvette, j'obtempère et la laisse diriger.
Elle déboutonne mon jean, le baisse juste un peu, écarte ma ficelle, et lèche mon sexe rasé.

Assise sur la cuvette je contemple et savoure toutes ces nouvelles sensations, jusqu'à présent inconnues dans mes ébats.
Je vois sa langue rentrer en moi et ressortir. C'en est trop, je lâche toute ma cyprine sur cette langue inconnue qui me comble.
- "Tu mouilles ma coquine".
- "Oui et toi?"
- "Je compte sur toi."

À ces mots nous intervertissons nos places : je pose mes mains bien accrochées sur ses seins, lui écarte les jambes, et la lèche comme elle vient de me montrer. Pareil, bientôt les gouttes et l'odeur de sa cyprine remplissent ma bouche.
- "Profites-en il nous reste trois minutes de répit".
À peine m'a-t-elle dit cela que je lui ôte son tailleur, pour l'avoir à ma disposition nue pendant ce lap de temps.

Je quitte son sexe et ma langue vient aussitôt lui mouiller les seins, je lui mord les tétons, elle en gémit. Pour rester discrète, j'enfonce un doigt dans sa bouche, elle suce bien.
Elle prend un deuxième doigt et en réclame encore. Je lui inonde les seins de lèches et dans la dernière minute, pour le sprint final, je la pénètre avec mon autre main et visite sa chatte le plus de fois possible. J'ai deux doigts dans sa bouche, et deux dans son sexe, qui la secouent le plus vite possible. Elle jouit de plaisir en silence, je relâche mon étreinte.

Elle se rhabille et me demande mon adresse et mon 06.
On ressort avec deux minutes d'écart.
J'arrive juste au moment où l'avion amorce sa descente, regagne ma place, et attache ma ceinture. Je me rends vite compte que, sous l'excitation, mes seins ont un peu gonflé, et que mes tétons pointent, voilà pourquoi beaucoup me regardent.
L'avion se pose sans problème, je patiente pour mes bagages, me penche et me prends encore une main aux fesses.
- "Alors bien ce vol?"
- "Excitant, pour ma deuxième expérience homo."

Sandrine me propose de me ramener chez moi. Nous avons dormi ensemble et refait trois fois l'amour ensemble avant de nous séparer. Elle part à Shanghai pour deux semaines.

Mon périple se termine, demain boulot, comme vendeuse à domicile. Et grâce à Sophie et Sandrine, j'ai découvert les joies de l'homosexualité.

Je vous remercie de m'avoir lue jusqu'à la fin et vous invite à me laisser vos commentaires.
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Histoire de Julie592

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Commentaires du récit : La croisière s'éclate

Le 25/10/2016 - 22:23 par 3azouz
Je croire dire vrai "une bête de sexe comme toi, il n'y en pas deux".... T'es recits sont parfois impensable... Mais c'est ce qui leurs charme!
Le 09/05/2012 - 15:41 par yeepa
Bonjour jai eu la chance de lire tte t histoire tres exitante. T partenaire on du se regaler avec une coquine comme toi. Je les envies. Tres bonne continuation a toi avec le fantasme de te croiser un jour ;-)
Le 15/03/2012 - 19:44 par Julie592
Avez vous lu toutes mes histoires?Qu'en pensez vous?
Le 18/02/2012 - 11:24 par nico55
Merci pour l'histoire elle laisse des traces...
Le 09/09/2011 - 17:05 par MAXEX
très excitante ton histoire.... Je vois que tu n'as pas beaucoup de tabous, et j'adore ça!!!

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