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La ferme des étalons 4

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Lue : 5673 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/04/2013

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Nat dans les bois. Après la chaude nuit passée avec mes trois mecs qui m’ont baisée par tous les trous, je n’ai pas pu honorer l’invitation de Julia et Jean, d’ailleurs ils ne m’en ont pas voulu, ça ne sera que partie remise... Donc pour moi ce fût tout repos jusqu’au lendemain. Cette nouvelle journée s’annonçait radieuse. Après un petit déjeuner tardif en compagnie de Julia, elle avait l’air claquée, elle me raconta dans les moindres détails sa soirée et sa nuit complète avec mes trois amants… eh oui comme je n’étais pas « disponible » pour son invitation ils ont chamboulé le programme et donc Julia s’est retrouvée avec mes trois étalons pendant que Jean restait seul. Mais comme me dit Julia : « c’est pour se réserver Nat pour ce soir… car c’est d’accord hein t’es notre invitée ce soir… » Ok comme ça !...

Aujourd’hui j’avais envie de me dégourdir les jambes en pleine nature, j’ai vite enfilé une brassière sous mon débardeur et suis partie courir dans la campagne environnante. Ici, l’air agréablement parfumé permet d’amples et saines respirations. J’aime courir dans les chemins campagnards là où le pied avec toute la mécanique humaine, foulée après foulée, cherchent et adaptent les appuis en trouvant l’équilibre parfait. De plus j’éprouve toujours cet étrange sentiment d’être un animal sauvage dans son élément, surtout à la belle saison lorsque je suis très peu vêtue.

Dans ce paysage où alternent petites parcelles cultivées et parties sauvages, les chemins se croisent dans tous les sens, partent dans toutes les directions et aboutissent souvent dans des recoins cachés, autrefois cultivés. Ces minuscules parcelles abandonnées depuis longtemps sont recolonisées par la lavande, le thym et les enivrants buissons de chèvrefeuille, ils abritent des habitants aussi méfiants que furtifs, lapins, mulots, serpents. Donc avant de descendre et m’enfoncer dans ces recoins, je repère par où je pourrai en ressortir pour continuer ma course. Ce n’est pas évident au premier coup d’œil mais je m’en sors assez bien dans presque tous les cas, bien sûr il faut se pencher et se faufiler entre les buissons dont certains, épineux et coquins, prennent un malin plaisir à griffer mon short et mes longues jambes exposées.

Si je ne sens pas mon short flottant, ultra léger et flottant comme son nom l’indique, par contre mon string trop juste me rappelle sa présence sensuelle en me rentrant dans les fentes… et avec les foulées il frotte sur mes lèvres le coquin. Au début ça me gênais, puis progressivement le tissu a pris position entre mes lèvres… et maintenant, blotti dans la tendre douceur de ma vulve, il sirote l’humidité de ma mouille tout en me caressant au rythme des foulées… c’est plutôt sympa…

Les imperfections du chemin me permettent de jouer avec mon string que j’essaie de diriger, soit en allongeant la foulée, soit en faisant un écart où un saut d’un côté puis de l’autre en écartant bien les cuisses. Le jeu devient vite très excitant, surtout lorsque le chemin monte… alors le tissu tire dans mes fentes qui mouillent de plus en plus... et si je fais de grands écarts de chaque côté, alors là c’est le summum, mon string me masturbe à la demande… voilà une savoureuse découverte !

Me voici arrivée au sommet d’une imposante colline boisée de pins, un rapide tour d’horizon et j’aperçois 5 hommes sur un chemin transversal en contrebas. Ils transportent des petites cages, certainement des chasseurs participant au repeuplement de quelque espèce… ou des braconniers ?... M’ont-ils vue ? Je ne pense pas… car ils sont bien occupés mais je reste méfiante car les gens habitués à leur campagne connaissent parfaitement leur milieu et ils détectent facilement toute présence étrangère au moindre coup d’œil.

Dans le doute je reste prudente. Je préfère donc sortir du chemin où je suis trop visible et m’enfoncer dans le bois en slalomant entre les pins. Mais voilà qu’avec cet intensif jeu de jambes mon string redouble d’efficacité dans ma fente… je remouille de plus en plus !... Oubliant la présence des chasseurs au bas de la colline et voulant profiter de cet agréable moment, j’accentue mon slalom entre les arbres et les buissons, les frottements du tissu tendu s’amplifient, je commence à jouir… le plaisir dure jusqu’au moment où je craque, je m’arrête et me couche au milieu d’un gros buisson de buis, enlève le flottant pour continuer de jouer en roulant du bassin, croisant les jambes et tirant sur les liens du string… oh que ça fait du bien… c’est trop bon ça !... de plus voilà un prétexte pour dégourdir mes doigts dans mon doux sillon trempé d’excitations et d’envies… ils s’y attarderont un certain temps…

Je profite pleinement de cette jouissance aussi sauvage qu’imprévue ! Calmée et assouvie, étendue en croix sous les arbres, le temps s’écoule lentement, tout comme les petits nuages d’évaporation annonçant une chaude journée d’été. Ils courent furtivement derrière le rideau feuillu frissonnant à tous les courants d’air. Je suis bien. Je m’imprègne des bonnes ondes ambiantes. Toutes les terminaisons nerveuses de mon corps sont au repos, je ne ressens plus que ma respiration, elle se rappelle à moi. J’étais sur un nuage… ou dans les nuages… mon esprit ?... je ne sais pas très bien, mais là et partout ailleurs… indéfinissable…

Soudain un craquement me sort de ce bien être… mon esprit se reconnecte vite… bon sang j’avais complètement oublié la présence des chasseurs ! Sans faire de bruits, j’enfile mon flottant et me poste à genou derrière un chêne rouvre pouvant faire office de paravent avec ses petites branches tombant à ras le sol. Je ne vois personne. J’attends, tendant l’oreille à l’affût d’autres bruits, rien… Lorsque je me décide de me lever, j’entrevois au-dessus d’un buisson une tête à environ 15 mètres. Comme je n’en vois qu’une il ne me semble pas qu’il s’agisse des chasseurs. Méfiante, je regarde aussi sur les côtés et en arrière, sait-on jamais. Rien ne bouge. Alors ma curiosité l’emporte, m’enhardissant je rampe à quatre pattes vers le buisson… j’espère que ma curiosité ne m’entraînera pas dans un vilain piège… L’individu s’étant accroupi, je suis obligée de me rapprocher encore, j’avance de buissons en buissons. Mon cœur bat fort, mélange de peur et d’excitation. Tapie au pied d’un buis à 4 mètres, vision suffisante.

La surprise est plutôt agréable, il s’agit d’un jeune homme, lui aussi en flottant de running et t-shirt… il l’enlève pour s’étendre dessus. Postée dans son dos il ne peut me voir. La vue et la proximité de ce jeune homme musclé et trempé de sueur réveillent rapidement en moi des désirs charnels, ce beau tas de chair et de muscles à portée de mains… à palper, tripoter, caresser… je retiens mon souffle… et mes mains bien sur…

Les siennes, ses grandes mains, reposent sur son ventre palpitant faiblement. Et les voilà qui descendent vers l’entrejambe pour aller caresser la protubérance masculine qui prend vite une belle place au point de forcer la ceinture du flottant… Toujours allongé, le grand garçon enlève son flottant muni du slip filet et libère son sexe…Wouaou !... la bête !... j’ai failli m’exclamer à la vue de cette magnifique et imposante queue dans sa garniture touffue et frisottante !... le pénis possède une courbure parfaite, pour le coït bien sûr et aussi esthétiquement… que c’est beau un sexe d’homme !… les grosses veines bleues saillantes contrastent sur la peau très claire du membre qu’elles enserrent… le prépuce se déroule lentement et ne libère qu’à moitié le gland rosé qui palpite d’impatience…

De le voir se caresser sur tout le long de son sexe, j’en bavais… sa queue aussi car elle brille déjà de quelques gouttes perlantes. Sans décalotter complètement son gland sur lequel il rajoute de la salive aux gouttes gluantes de son lubrifiant naturel, il se masturbe doucement. Le geste ample indique une bonne dimension du gland !... j’ouvre grand les yeux, la « bête » grandit encore !… le gland enfin complètement décalotté offre une couronne très évasée au-dessus d’un profond sillon rouge cramoisi. Il recommence à se caresser lentement. Une main sous ses couilles, l’autre astiquant son grand pénis que j’estime à au moins 20cm… je le vois de profil donc plus grand qu’il n’est en réalité mais là quand même je le trouve large et grand, très grand ! Mes yeux suivent chacun de ses mouvements… et moi à plat ventre dans l’herbe je me contente de pincer mes tétons… je ne vais pas tenir longtemps cette situation… Outre la taille du pénis, imposante en diamètre comme en longueur, c’est la forme du gland qui m’attire le plus, jusqu’à m’hypnotiser… plus long et la base est plus large que ce que je connais, enfin je n’en ai vus que 4 jusqu’à ce jour. Je mouillais abondamment tout à l’heure avec mon string coquin et voilà maintenant que ça recommence de plus belle, mon corps réclame de l’action sensuelle, du sexe ! Le désir m’envahit complètement ! Que faire ?... quoi ?... comment ?... Le cadre se présente parfaitement, sauvage dans la nature tout comme ce beau mec, je n’ai qu’à obéir à mes instincts, comme lui ?... Allez je me lance… oui… non ?... oui !... En vitesse je défais ma queue de cheval, ébouriffe mes cheveux, tombe mon débardeur et ma brassière ainsi que le flottant mais garde mon string trempé… et sur les genoux je rampe les 4 mètres qui me séparent du beau mec… Bien sûr trop absorbé il ne me voit qu’au dernier moment lorsque je suis à 1 mètre de son torse…
- … un p’tit coup de main beau gosse ?...

Il sursaute, étonné, sans un mot.
- … un p’tit coup de main… et tout le reste… dis-je en gonflant ma poitrine.
- … heu…
- quoi, ça t’intéresse pas ?... tu sais je peux m’occuper de ta bite aussi bien que tes mains… et je crois qu’elles vont avoir beaucoup d’occupation ailleurs tes grandes mains…

Sans plus attendre, je me plaque sur son ventre en roulant mon bassin vers son torse. J’ai envie mais pas le temps de détailler la belle pièce qui s’offre à moi. Il me faut faire vite, très vite… donc pour l’encourager je gobe aussitôt son gland et lui taille gentiment une pipe pour lui éviter de débander sous l’effet de la surprise, car de son côté rien ne se passe. Il est paralysé d’avoir été découvert, enfin pas totalement paralysé car il croise ses cuisses, ce qui rehausse son sexe me le mettant en valeur. J’en profite pour triturer et bien malaxer ses couilles tout en suçant aussi copieusement que bruyamment ce beau morceau de bite… et croyez-moi y’a de quoi s’occuper !
- … alors tes mains ne sont pas tentées ?… elles peuvent caresser ma chatte… elle te fait pas envie ma petite chatte en chaleur ?... profites-en, elle s’apprivoise très facilement, du bout des doigts et avec ta langue…
Toujours rien…
- … t’as une belle queue tu sais… et je vais pas la lâcher…

Je reprends le gland en bouche, lui pince gentiment les couilles, il apprécie en se tortillant un peu, je caresse ses cuisses puissantes ainsi que ses abdominaux, je dois faire réagir son corps rapidement pour qu’il devienne demandeur et acteur à part entière !

Gagné !... il tire vers lui ma cuisse droite, me pelote rapidement les fesses et je sens déjà ses doigts farfouiller dans les chairs chaudes et humides de mon entrecuisse. Le tissu du string roulé et mangé par mes lèvres a guidé ses doigts :
- tire-le de côté… tu pourras passer ta langue et bouffer mon minou…

Ce qu’il fait aussitôt, je l’y aide en relevant légèrement mon cul.
- … soit gourmand… bouffe-moi à pleine bouche !... après t’auras un bon gros dessert en me baisant… elles sont bien remplies tes burettes, ça aurait été dommage de vider ça dans l’herbe…

Il me fait jouir le cochon ! Mais je sens que ce jeunot ne se retiendra pas plus longtemps, à regrets je lâche prise et me couche sur le dos, les cuisses debout et ouvertes pour l’accueillir :
- tu viens me prendre ?... viens dégorger tes grosses couilles !...

Pas besoin de lui dire deux fois, je disparais sous sa belle carrure athlétique qui pèse sur mon corps. Je ferme les yeux pour ne pas le bloquer et surtout pour qu’il prenne tout son plaisir de baiser une nana qui s’offre à lui, comme ça, alors qu’il ne s’y attendait pas. Mes seins font office de tampons et n’ont pas bénéficié des attentions du jeune homme pris dans son ardeur de mâle devenu dominateur par son sexe viril. Nos deux organes étant parfaitement lubrifiés facilitent une rapide pénétration. Une sensation presque inconnue m’envahit au moment de la pénétration pourtant brutale ! La verge me remplit bien c’est sûr, je l’ai vue de près avec ses belles dimensions et son gland en forme de champignon, mais en plus de bien me remplir, je la sens sur tout son long… un léger mouvement suffirait à me faire jouir. Mais mon jeune et fougueux partenaire s’applique à me baiser dur et profond sans plus attendre ! Rapidement nous jouissons ensemble, nos souffles gémissants font maintenant place aux râles annonciateurs de l’éjaculation… puissante, avec de nombreux jets que je ressens sur tout leurs parcours, rythmés par leurs passages dans le canal et leurs sorties du large gland surgonflé !... Comblée par ce feu d’artifice, mon orgasme devenu voluptueux finira doucement à s’estomper. Instinct assouvi…repue… je suis bien… Le bel inconnu s’est retiré, a repris ses esprits. Il me dévisage, étonné de son acte… ou de sa rencontre ?... Pas un mot, il me caresse enfin la poitrine, peut-être pour occuper ses grandes mains… ou le temps ?

Continuant de savourer la tempête qu’il a provoquée dans mon corps, fermant les yeux, je le laisse découvrir mes formes sur lesquelles il s’attarde. Toujours pas un mot. Fermant les yeux j’essaie de l’apprivoiser en le caressant. Il se laisse faire et me présente même les beaux morceaux de son anatomie musclée, un mâle quoi !... en caressant son ventre ma main retrouve vite son sexe encore gluant mais déjà prêt !... j’ai bien envie d’aller le lécher… Mais nous n’avions pas entendu le bruissement dans les feuillages à proximité… les branches s’écartent soudain laissant apparaître une femme, belle, très belle, avec juste une chemisette à peine boutonnée et un minishort frangé en jeans. La quarantaine, une allure splendide respirant la santé et la grande forme ! Son opulente chevelure noire encadre un très beau visage au regard décidé :
- on ne s’embête pas ici !... Julien tu vas rentrer à la maison !...
- … tantine…
- quoi tantine ?... et pourquoi tu caches ton sexe, t’en a honte ?... allez enlève tes mains !...

Elle se penche et sans ménagement défait les mains croisées de Julien, elle regarde le pénis presque au repos, se tourne vers moi avec un sourire puis le saisit doucement, il reprend très vite une belle dimension :
- tu m’avais caché ça mon coquin !... et moi qui voulais te dépuceler !... j’aurais pas dû attendre…
- tantine, qu’est-ce que tu fais ?...
- comme j’arrive trop tard je me contenterai de finir le travail de mademoiselle…laisse-toi faire mon beau !...

Sans aucune gêne devant moi, elle se met à sucer la queue gluante de son neveu, j’en reste baba ne songeant même pas à me rhabiller !
- et voilà !... tout propre ton bel engin !... mais ton prochain coup sera pour moi… et les suivants aussi… dit-elle en me regardant d’un air malicieux.
- … et ne m’appelle plus tantine !... je deviens maintenant ton amante instructrice… et toi t’es mon p’tit mâle…
- eh bien… dis-je
- quoi, faut bien s’en occuper de ce beau gosse, non ?... il est bien monté le p’tit salaud !...
- …ça coule encore… dit-elle en regardant mon entrejambe puis celui de Julien… elles étaient bien remplies hein… pourtant il arrête pas de se branler dans la salle de bains… y va finir par boucher le lavabo si je le laisse faire…

Après avoir sucé les dernières gouttes, elle colle sa poitrine sur le nez de son neveu puis l’embrasse goulûment :
- ce soir tu vas passer à la casserole mon beau p’tit mâle !...
- … allez rhabillez-vous… bon je vais partir la première, et toi Julien tu laisses la petite demoiselle, elle a eu ce qu’elle voulait…
- ok…
- eh bien en voilà une surprise, pour toi c’est la totale : tu découvres ta tante devenue ton amante… apparemment elle va faire ton éducation sexuelle ! elle a raison, fini les masturbations, de toutes façons elle ne t’en laissera pas le temps d’après ce que j’ai vu !... faut dire que t’es rudement bien monté… et en plus t’es craquant… hummm….
- merci… toi aussi et tu m’as fait du bien… encore merci. Je te laisse le numéro de téléphone de ma tante, j’y suis pour les vacances jusqu’à fin août.

J’ai oublié de lui dire qu’il y avait des mecs en bas de la colline, mais elle est partie en courant, dans une très belle foulée. En se rhabillant, Julien m’observe, moi aussi, il n’en faudrait pas beaucoup pour qu’on entame une deuxième mi-temps… Nous nous rapprochons, il m’enlace la taille, ma tête blottie contre sa poitrine je sens son cœur battre… et aussi son sexe contre mon ventre… de nouveau le désir m’envahit, j’enlace et tire ses fesses pour mieux sentir sa verge durcir. Nous allions nous embrasser quand soudain des cris… C’est Martine, la tante, elle a dû tomber au milieu des chasseurs ?... puis plus rien… Embarrassés nous sommes rentrés chacun de notre côté.

Le soir j’apprends par Julien qu’effectivement sa tante avait rencontré les cinq chasseurs… et qu’elle ne s’en été pas plaint, bien au contraire… il m’expliquera cela à notre prochaine rencontre.
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