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La nouvelle prison

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Lue : 1198 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/07/2013

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Dans notre ancien monde toutes les peines de morts ont été abolies. Les peines de prisons sont nouvelles. Plus de ces bâtiments en béton inhospitaliers, avec de barreaux partout. Une certaine tolérance est inscrite dans les règlements. Même les punitions ne sont plus les mêmes. Je suis chargé de la discipline interne en tant que femme. J’applique mon métier avec rigueur. Le quartier des femmes et mon domaine.

Pour le moment je n’ai pas à me plaindre, seule une fille est chez moi. Sa tenue lui va fort bien, elle découvre la presque moitié du poitrail, la totalité des fesses. Elle a dû jouer la poupée dans sa cellule en servant de machine à jouir. Je la laisse debout dans mon bureau à l’accueil. Je la détaille : elle est jolie, même pas maquillée. Ses seins ressortent bien en pointant sous la blouse administrative. Ses genoux ressortent en peu du bas de son costume. Le peu que je vois montre une femme sexy : mon rêve. Je sais que si j’étais un homme, je sortirais ma queue pour qu’elle me lèche, sans me faire obligatoirement jouir ; comme ça, pour le fun.

Elle me suit vers sa cellule avec son balluchon. Je l’ai placé au mieux de mes moyens : seule dans une vaste cellule bien exposée. Un lit normal, des commodités isolées. Elle ne peut pas se plaindre. Je lui appelle quand même que les punitions sont à mon gré.

Si aucun incident n’arrivent je ne m’occupe plus d’elle, sauf la visite réglementaire du matin. Tout se passe normalement pendant une semaine. Elle se plaint de n’avoir aucun rapport sexuel. Je lui propose de se masturber en compensation. Ce n’est pas suffisant, à moins que je n’assiste à ses plaisirs, dans ce cas elle en sera assez excitée pour jouir presque normalement.

Le lendemain au cours de ma visite, je le vois nue (elle est bien fichue) une main dans sa chatte : elle se branle devant moi qui ne peut rien faire J’attends son orgasme pour partit. C’est moi qui suis au supplice. Je coule entre mes jambes. J’ai une seule envie, aller m’isoler un instant pour me faire du bien. Elle met bien longtemps à partir, sans doute une bonne heure. Je me sauve, court dans mon bureau, je m’y assois pour prendre ma tenue favorite, les jambes écartées sur le bureau. Au moins ma chattoune est en liberté. Je vois ma fente. Deux doigts de la main gauche pour écarter un peu les grandes lèvres, un doigt de la main droite dans ma bouche pour cueillir ma salive, je suis prête. Ma main droite descend lentement se poser sur le pubis, Le doigt s’aventure dans la fente.

A mon tour de connaitre les délices. J’ai sans doute trop attendu, ma cyprine déborde sur le périnée. J’entends le léger bruit de succion liquide. Tant pis si je suis peu bruyante : je me branle. C’est délicieux, presque aussi bon que la bite de mon mari. J’espère qu’elle ne redemandera plus de la regarder. A la fin je serais entrainées vers un gouffre de délectations, de ravissements que j’ai connu il y a longtemps, bien avant que je n’épouse cet espèce de machine à baiser qui me fait tant jouir, quand il me la met dans le vagin, dans la bouche ou, sur ma demande mon petit trou.

La journée est calme : J’accueille une vielle guenon que je case facilement. Le lendemain l’autre, là, celle qui veux jouir, est toujours en place. Nue comme hier, elle se masturbe tranquillement. J’arrive à éviter le spectacle complet. Programmé avec un gros carré blanc. Dans la matinée elle demande un gode. Comme si je pouvais en fabriquer à la demande. Quoique je me souvienne de ce que je faisais quand j’étais très jeune.

Je tordais un bout de serviette, je le trempais dans l’eau pour le durcir. Je rajoutais encore du tissus, j’obtenais un genre de gode souple et dur. Je prenais pas mal d’organes ainsi.

Le soir même j’en parlais à mon mari, excité de me voir fabriqué mon sexe particulier. J’y ai mis un bon moment, nue devant les lavabos, ma chatte dégoulinante d’espoir. Le dos de mon époux contre moi, ses mains sur mes seins, sa queue dans la raie. Dès que l’ersatz était prêt je me le suis entré dans le ventre. Mon mari en a lâchement profité pour m’enculer. Je sentais sa grosseur dans mes fesses, je sentais le soit disant gode dans le vagin. Je ne me souviens pas avoir joui autant, même en double pénétration ça ne doit pas être aussi délicieux

J’ai attendu le dernier moment de la dernière seconde pour proposer mes services, je ne voulais pas laisser ce gode de fabrication artisanale. Elle commencera ses caresses intimes ? Je la regardais avec une attention qu’elle ne soupçonnait pas. Quand je le sentais prête à jouir, j’écartais sa main, je posais le bout de mon engin sur sa féminité. Elle ouvrait de grands yeux étonnés. J’entrais doucement dans son connexion. Elle était tendue comme un ressort vers ma main.

Je la baisais sans cesses, même que je la sentais jouir. Ses spasmes me donnaient envie d’aller plus loin. Le plus moi devenait mon autre main. J’osais caresser son petit trou. Je lui faisais ce que me faisait mon époux. Elle devenait amorphe, acceptant tout ce que je pouvais lui faire d’admirablement de sagement. Ses orgasmes devenaient les miens.

Son souhait : avoir une vraie bite dans son con. Et ça, je ne pouvais pas le lui procurer. Je ne pouvais que revenir le lendemain ramoner sa cheminée. C’était beaucoup pour elle et sa chatte.
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Histoire de fabrissa

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